Cette question, cette question douloureuse mais devenue obsessionnelle au fur et à mesure du temps qui passe … Elle reste en tête tellement longtemps que vous ne voulez plus qu’une chose : la réponse. Cette question c’est … Quel est le sens de la vie. Et ça je ne peux pas vraiment vous y répondre, beaucoup de gens pensent que la réponse est 42 mais beaucoup de doutes subsistent … Par contre la question à laquelle je peux répondre pour vous est : comment avoir fait pour rendre
Hostel acceptable auprès des gens ? C’est vrai, question difficile … Ce film est vraiment très mauvais après et tout et on se demande par quel enchantement on a réussi à faire dire aux gens au final :
“oh il est pas si mal finalement …”. Non mes amis, c’est faux ! Tout ceci est faux ! Il n’est pas acceptable ! C’est un film stupide fait par des gens stupides avec des personnages stupides pour un public fan stupide. Mais malgré tout je vais lui donner du crédit, ce qu’on dit est vrai … Au final il est acceptable. Pourquoi donc … POURQUOI ?! Cette question m’a trotté en tête pendant des années, je ne dors plus depuis que je l’ai vu c’est à dire … euh … 3 jours. Et finalement j’ai eu la réponse …
Cette illumination quand tu comprends tout, comme à la fin de
Sixième Sens où on fait tous
“Aaaaaahhh mais c’est pour ça alors que Bruce Willis dans telle ou telle scène blablabla”. Eh bien pour la saga
Hostel, c’est pareil. Et cette illumination nous l’avons quand nous ouvrons la boîte DVD d’un film … Lequel ? …
Hostel 2 *bruit de révélation inutile vu que c’est le titre de l’article* Eh oui, Hollywood a encore frappé de la plus horrible des manières possibles … Eli Roth semblait plutôt content de son étron et dans sa pensée de mâle basique il s’est dit …
“Hey, si je faisais un étron encore plus gros ?!”. Et c’est dans ces moments que je comprends les féministes de base avec leurs pensées du genre “pfff, les hommes … tous les mêmes !”. Par contre ce sont les seuls moments, sinon je trouve qu’elles parlent beaucoup pour pas grand chose, mais bref nous ne sommes pas là pour parler de féminisme ou pour gagner du temps pour gonfler artificiellement cette introduction pour me faire dire que j’ai écrit une belle et longue intro, nous sommes là pour causer d’un film. Alors causons de la suite de
Hostel, voici la critique de sa suite bien plus mauvaise (oui, c’est possible je vous l’assure) :
Hostel 2 !
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