Dragon Ball Z … Oeuvre culte parmi les oeuvres cultes. Des années après la fin de sa publication, il faut se rendre compte de quelque chose : on continue à parler sans arrêt de Dragon Ball !! Et c’est normal : des ventes astronomiques, un portage de la série sur tous les supports possibles, de multiples séries animés, des jeux vidéos à ne plus savoir quoi faire de nouveau entre chaque nouvelle sortie … On a même eu un film au cinéma ! … C’était l’une des plus grandes blagues de l’histoire du cinéma, mais tout de même il existe … Et nous le regrettons chaque jours.

Seulement, l’auteur de la série Akira Toriyama (ou Dieu suprême, comme vous le sentez) avait quitté le navire il y a un bon moment, préférant se consacrer à d’autres projets sans succomber à l’immense pression de gérer une oeuvre aussi culte et populaire que Dragon Ball. L’oeuvre avait dépassé le maître lui-même. Cela n’avait pas empêché les producteurs de nous pondre une suite au mangas en animé avec la série tristement célèbre Dragon Ball GT, immense arnaque et doigt d’honneur aux fans (aux vrais, purs et durs … Je ne parle pas de mon pénis non … Même si il est dur lui aussi au moment où j’écris ces lignes).

Alors forcément quand l’auteur annonce bien des années plus tard qu’il va se charger d’un nouveau film animé estampillé Dragon Ball Z, la nouvelle fait le tour du monde en un instant et toute la planète n’attend plus qu’une chose : voir ce que la bête va nous offrir, et comment va t-elle nous faire oublier les dernières déceptions que la saga nous a offert (Dragon Ball GT donc, mais aussi plus récemment Dragon Ball Kai, remake honteux des deux premiers arcs de la saga Dragon Ball Z). Tant de questions, tant d’attentes … Est-ce qu’on ne risque pas d’être déçus avant même que le film ne sorte, tant le projet provoque une telle attente ?

Maintenant qu’il est disponible pour les francophones, je l’ai enfin vu (ça a été très difficile de ne pas le regarder en version originale, même si je ne pige pas un bringue de japonais … Je peux vous faire les bruits d’une écolière qui se fait violer par un poulpe mais ça ne va pas plus loin) et je vais donc vous donner mon avis. Voici la review du dernier film Dragon Ball Z (qui est sorti au cinéma ! Ce qui est rare quand on sait le nombre important d’OAV qu’a connu la série) intitulé sobrement Battle of Gods. C’EST PARTI !!

*appelle le nuage magique*

*tombe du second étage de son immeuble car il n’a pas le coeur pur*

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Même si cela peut sembler difficile à croire étant donné que les saisons au cinéma ne fonctionnent pas comme les saisons normales, c’est désormais officiellement la grande fin de l’été des blockbusters. Ça a été une saison très riche en films, avec au final un résultat en demi-teinte. On a eu des tueries, et on a eu de belles déceptions. Mais sur la fin de l’été, une ultime vague est apparue avec Le Dernier Pub Avant La Fin Du Monde par exemple. Le gros film parmi cette dernière vague était malgré tout un autre puisqu’il s’agissait du dernier film de Michael Bay : Transf… No Pain No Gain.

Wahou … Cette introduction est tellement courte, concise et précise … La fatigue de la rentrée mes amis. Je retourne dans ce merveilleux cercle du métro boulot dodo avec un plaisir tellement peu présent que j’ai l’impression d’être constamment devant une mauvaise comédie. Scary Movie 5 par exemple. Ou Jobs ! (Ouuhhh le troll gratuit envers Apple … En même temps niveau quenelle ils sont au top en ce moment, et puis je fais ce que je veux !)

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Shaun of the Dead et Hot Fuzz, 2 films ô combien reconnus aujourd’hui, qui ont montré au monde un nouveau trio des plus efficaces au cinéma actuellement : Edgar Wright / Simon Pegg / Nick Frost. Le premier est le réalisateur de ces deux films mais est aussi en duo à l’écriture aux côtés de Simon Pegg qui joue également à l’écran avec Nick Frost. C’est bon on arrive à suivre ? Parfait je continue ! Ces deux films constituaient les 2 premiers morceaux d’une trilogie qui s’appelle aujourd’hui la Cornetto Trilogy, puisqu’il y a une référence à cette marque de glace dans chacun des films où ils sont. Alors forcément quand on sort 2 films de cette qualité (si vous ne les avez pas vu, finissez cet article et foncez les voir !!) puis que dans les projets solos ça marche du tonnerre également (Edgar Wright étant le réalisateur du déjà culte Scott Pilgrim vs. the World et bientôt du prochain Marvel Ant-Man) avant de revenir finir la trilogie, les fans attendent un certain niveau de pâté à envoyer pour le dernier opus !

Conservant cette multitude de tons et les domaines qu’ils ont toujours eu dans les deux premiers opus, voici The World’s End (traduit chez nous par Le dernier pub avant la fin du monde) qui arrive finalement dans nos salles ! … Enfin presque. En effet avant même de commencer cet article, j’aimerais passer un coup de gueule contre les distributeurs français qui prennent un malin plaisir à diffuser certains films dans un minimum de salles … Et ici c’est le cas ! Introuvable dans le coin j’ai dû aller jusqu’à la capitale pour aller le voir ! Bon il était en VO donc ça rattrape vu que la VF semblait assez désastreuse, mais tout de même ! Comment voulez-vous que des films comme ça marchent et nous changent des blockbusters qu’on a sans arrêts si quand une moyenne production de grande qualité n’est même pas diffusé massivement ! C’est pas étonnant que ça se casse la tronche au box-office après ! Regardez Scott Pilgrim qui a été un bide en salles et un méga carton dans les ventes Blu-Ray … Enfin bref, cette logique m’échappera toujours.

Voici donc le final d’une bien belle trilogie. Est-ce qu’il a réussit à être à la hauteur de ses illustres prédécesseurs ? Je vais tâcher d’y répondre ici !

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Après Kick-Ass 2, au niveau des suites durant cette vague finale de blockbusters pour cet été nous n’avions plus grand chose si ce n’est Red 2. Et on ne va pas se mentir, depuis quelques années je n’attends absolument plus rien des films où joue Bruce Willis. Sans vouloir manquer de respect à cet acteur qui a marqué mon enfance et qui est dans le meilleur film d’action de l’histoire du cinéma (je parle de Piège de cristal bien entendu … Pas de Mon Voisin le tueur 2 …), depuis quelques années il ne cesse de descendre petit à petit dans les bas-fonds du cinéma, se mettant à accepter tout contrat payant bien, peu importe la qualité du projet en lui-même. C’est d’ailleurs sa trop grande cupidité qui lui a coûté sa place dans le film The Expendables 3.

Mais nous sommes ici pour parler de la suite de Red ! Un film qui m’avait surpris car je n’en attendais rien puis au final il se laissait suivre, sympathique comme tout. J’étais passé à côté du premier au cinéma et je décide donc d’aller voir ce second opus directement en salle, en sachant qu’un Red 3 est déjà en écriture.

Du coup, Bruce Willis et ses compères sont-ils définitivement trop vieux ou en ont-ils encore dans le coffre ? Dans le vrai monde d’Hollywood, la drogue et la chirurgie fait d’énormes miracles, mais dans le monde de Red 2 je vais essayer de vous donner la réponse ici !

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Prochaine critique : Le Dernier Pub Avant la Fin du Monde (un conseil : foncez le voir)