Aujourd'hui on revient sur la trilogie originale de Karate Kid, sortie dans les années 80. Des films cultes, avec notamment le génial Monsieur Miyagi interprété par feu Pat Morita.
Et il y a donc eu 2 adaptations réalisées à l'époque.
Une sur la Nintendo NES réalisée par Atlus, et une autre sur les ordinateurs 16 bits Atari ST et Amiga, réalisée par le maestro Steve Bak.
Je vous laisse découvrir ce qu'elles valent ... vous verrez il y a du bon et du moins bon ^^
Alors oui, vu comme ça, on peut se dire que l'Amstrad CPC n'est pas la machine la plus appropriée pour nous sortir des musiques dignes de ce nom.
Et pourtant, avec des compositeurs de talent (David Whittaker, Jonathan Dunn, Rob Hubbard, Richard Joseph, ou encore le frenchy et très doué Gilles Soulet), le miracle se produit, et ces musiques restent mythiques plus de 30 ans après ...
Alors pour ceux qui ont eu un Amstrad CPC, un Commodore 64 ou bien encore un ZX Spectrum, vous avez forcément à un moment où à un autre joué à ce must du jeu de karaté-action-aventure qu'est le Bruce Lee de Datasoft.
Retour sur l'histoire de ce soft mythique, la meilleure adaptation jamais sortie de ce personnage culte...
Bon je vous partage la 2e partie de la vidéo sur the 7th Guest, avec une énorme revue de presse (où ils n'hésitaient pas à monter jusqu'à 10 pages à l'époque en spoilant l'intégralité du jeu), ainsi qu'un test bien vintage de Micro Kid's par JM Blottière himself
Sans oublier les 2 conversions improbables : la mythique version pour CDI Philips (qui reste la meilleure version jamais sortie)
puis la version jamais sortie pour le Super Nintendo CD-Rom (qui n'est lui non plus jamais sorti).
Après avoir traité de l'histoire de l'Amstrad CPC, changement de machine et d'époque avec cette fois-ci un focus sur un jeu emblématique des débuts du CD-Rom au début des années 90, à savoir The 7th Guest !!!
Retour sur l'histoire (compliquée) de son développement, avec les débuts du studio Trilobyte ...
Bon alors pour ceux qui ne le sauraient pas, le Joueur du Grenier a sorti une vidéo sur Amstrad il n'y a pas très longtemps. Je vous la remets ici pour ceux qui ne l'ont pas vue :
Alors c'est toujours aussi drôle, pas de soucis là-dessus.
Le problème, c'est les innombrables erreurs qu'il enchaine, confondant les époques et les machines, et on voit très bien qu'il était tout simplement trop jeune et qu'il n'a pas du tout vécu cette période là.
Du coup, je me suis lancé dans une vidéo retraçant l'historique de la machine, et il y a tellement à dire que je me suis arrêté pour cette première partie à la sortie de la machine en 1984. La suite viendra plus tard ...
Bon alors après avoir traité les 2 premiers Barbarians de Palace Software, j'ai décidé de m'intéresser au 3e épisode qui malheureusement n'a jamais été au bout de son développement.
Dessins préparatoires, histoire, améliorations prévues, premiers graphismes, et aussi malheureusement la fin de Palace Software, qui sera racheté par le français Titus, ce qui signifiera la fin définitive des aventures de notre barbare.
Bon, étant donné qu'aucune suite à cette grande saga qu'est Barbarian n'a été annoncée au Summer Game Fest, je continue ma rétrospective avec cette fois-ci un retour sur le second épisode de cette saga culte.
On passe cette fois-ci d'un versus fighting à un beat-em all, et avec des vrais versions 16 bits. Et pour notre plus grand plaisir, Maria Whittaker est toujours là, et cette fois-ci, elle va participer à l'aventure !!!
Bon pour ce WE en plein coeur de la Summer Fest, rien de tel qu'un petit retour au siècle dernier pour se changer un peu les idées.
Et on revient ici sur un des Jeux les plus marquants de l'ère 8 bits, et notamment de l'Amstrad CPC : Barbarian.
Retour sur le développement du jeu, ses influences, ses controverses, ses conversions, sans oublier un focus bien mérité sur Maria Whittaker, notre princesse préférée !!!
Attention, jeu culte en approche, avec un des premiers représentants du point n' click, qui lancera la grande mode des jeux d'aventure graphiques au début des années 90, de Monkey island à Indiana Jones en passant par Zak Mac Kraken.
Et pour en parler, je reviens sur le parcours d'un de ses créateurs de génie, Ron gilbert, en détaillant le processus de création du jeu, qui a quand même pris la bagatelle de 2 années en tout.
On revient également sur les différentes conversions, avec un focus particulier sur la version NES, qui vous le verrez a dû endurer la politique très stricte de Nintendo en matière de censure.
Et le jeu a eu tellement de succès qu'il y a même eu une sitcom TV avec 3 saisons aux USA (A quand une sortie en France ???)
Retour presque 40 années en arrière, avec les premiers jeux estampillés Games d'Epyx, qui sont sûrement les meilleurs jeux multi épreuves jamais sortis à l'époque.
On revient en détail sur chacun de ces titres, avec la revue de presse pour chacun.
Seconde partie de la vidéo consacrée consacrée à Ultima premier du nom.
Après être revenu sur les débuts de Richard Garriott dans la première vidéo, on s'intéresse ici à Akalabeth, puis à Ultima, qui à l'époque de sa sortie n'était pas encore numéroté.
Et enfin, on termine par une petite partie dédiée à l'influence du jeu, notamment au Japon avec la naissance des JRPGs.
Et comme vous allez le voir, certains ont été plus loin qu'une simple influence, allant jusqu'au plagiat, comme pour Dragon Slayer 2 : Xanadu.
Pour ceux qui n'auraient pas vu la première partie, je la remets ici :
Bon alors ce jeu n'est plus à présenter, mais je vais quand même essayer de le faire, de la manière la plus complète possible.
Et dans cette vidéo, on revient donc sur l'histoire de son développement (et notamment la toute première version sur le QL, l'ordinateur maudit de chez Sinclair), les différentes conversions (et notamment la très bonne version Amstrad CPC), ainsi que la très fournie revue de presse (et son double Tilt d'Or mérité !!! ).
Attention, très grosse vidéo aujourd'hui qui revient sur les origines d'une des plus importantes sagas du jeu de rôles de l'histoire des jeux vidéos : Ultima.
Il y a tellement de choses à dire, il y aura donc 2 parties.
Et dans cette première partie, nous revenons sur les débuts de Richard Garriott, le créateur de cette saga, et notamment sur l'influence qu'ont pu avoir ses parents sur lui.
Puis nous nous intéressons à ses débuts au lycée , où il va commencer à coder en BASIC ce qui deviendra ensuite Akalabeth, soit la toute première version d'Ultima.
Et enfin, nous terminons par une interview qu'il a donné à Micro Kids en 1992, où il revient justement sur ses débuts.