A découvrir
Attention je spoil à mort ne lisez pas ce qui suit si vous n'avez pas vu le film ou si vous comptez aller le voir !
Dans le premier 300 c'était Léonidas le héros mais dans cette suite c'est Artémise (Eva Green) qui est le plus mis en avant en temps qu'anti-héros. Certes du côté des gentils Thémistocle a le rôle le plus important mais je ne l'ai vu que comme un adversaire digne d'Eva Green comme l'était Xerxes pour Léonidas.
~ 300 : Léonidas Roi Spartiate chef de guerre d'un peuple de soldats contre l'envahisseur Perse.
~ 300 la suite : Eva Green Grec vengeresse contre son pays qui l'a horriblement fait souffrir.
Car oui Eva Green (osef du nom de son personnage) a vu son père se faire tuer alors qu'en même temps sa mère se faisait violer puis elle a servi de vide-couille dans les cales d'un navire jusqu'à être abandonné sur le sol Perse. Tout comme le bossu de 300 qui avait été renié par les siens, Eva Green a été humilié par ses compatriotes, tous 2 trahissent à raison leurs frères et soeurs, leur haine se comprend. On peut y voir une sorte de leçon avertissant que le mal qu'on fait peut se retourner contre nous.
Xerxes n'est que le pantin d'Eva Green, c'est elle qui l'a créé, le Dieu-Roi est l'instrument de sa vengeance, elle le manipule de bout en bout jusqu'à n'en faire qu'à sa tête sans écouter ses ordres.
Surprise pas d'affrontements terrestres à part au tout début du film : ce sont les batailles navales qui sont à l'honneur et on attend en vain un conflit sur la terre ferme avec les Spartiates qui ne viennent qu'à la fin en bateau et qu'on voit à peine se battre. Sérieux 
On aura un troisième film 300 pour assister à l'affrontement des Spartiates contre les Perses comme on en a eu la promesse à la fin du premier film
Après le père qui voit son fils mourir dans 300 c'est l'inverse pour cette suite, le fils voit son père mourir donc, pas original pour un sou, quitte à faire une redite d'impact émotionnelle autant choisir une autre relation forte, par exemple le déchirement entre la mort de 2 frères. Sinon je retiendrai de Thémistocle le mot "liberté" rabâché sans cesse à la manière de William Walace du film Braveheart qui comme l'écossais veux unir son peuple pour garantir sa liberté.
Pour finir best scène ever de négociation entre Eva Green et Thémistocle 
Elle tente de le rallier à elle pour conquérir le monde vu qu'il dirige avec brio ses troupes et fait preuve d'un esprit stratégique remarquable mais il refuse malgré la mémorable partie de baise qui est le "This is Sparta" du film. Autrement dit le moment culte de la suite de 300 c'est une scène de cul.
Au final j'ai bien aimé vu que j'adore Eva Green mais j'ai préféré le premier 300.
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publié le 09/03/2014 à 17:08 par
cuthbert
Climax
D'autres passages que j'adore toujours autant de Wind Waker sorti récemment en HD sur Wii U (lien de la première partie).
Si vous n'avez pas fais le jeu spoil évident.
Lors de la première rencontre de Link avec Ganondorf l'oiseau géant envoi valdinguer le petit héros par delà les mers mais quand Link revient par la suite il terrasse le géant des airs. Un boss vraiment bien intégré à l'histoire, du début avec l'enlèvement d'Ariel, puis avec la tentative de sauvetage avorté de Link et enfin dans le fracas de l'ascension de la tour où l'oiseau détruit l'escalier, pour finalement avoir un combat à la fois aérien et sur le sommet de la tour.
Encore mieux Link se fait savater quand il va à la rencontre de Ganondorf et même Tetra qui vient l'aider ne peut rien faire contre le puissant seigneur du mal. Il faut l'aide du dragon Valoo et la dextérité du peule Piaf pour qu'ils puissent s'échapper. Malgré les flammes dévastatrices on sait que Ganondorf en sortira indemne, ce que j'adore c'est l'impression d'invulnérabilité que semble avoir Ganondorf, il est le mal absolu mais il n'est pas bête, au contraire c'est un adversaire de taille, rusé et sachant attendre le bon moment pour agir.
J'ai aussi bien aimé la découverte de l'île dévastée par un cataclysme puis la tempête qui ne s'arrête plus et la nuit qui s'éternise. Le grand poisson géant Jabu a été contraint de fuir le terrifiant Ganondorf et même si du coup on perd un donjon entier c'est bénéfique pour le scénario. Le fait de gruger les pirates en leur subtilisant le sac de bombe avec la complicité de Tetra qui laisse de l'avance à Link en acceptant que ses pirates passent du bon temps à la taverne m'avais bien plû surtout à cause du mot de passe que j'avais dû recopier en kanjis à l'époque lors de ma première partie avec la version japonaise du jeu.
Voilà quelques uns des moments que j'ai adoré dans Wind Waker il y a plus de 10 ans, il y a 5 ans en refaisant le jeu avec ma jeune voisine, fin 2013 en terminant la version HD et dans le futur quand je fairai découvrir Wind Waker a mes enfants 
Bien sur il y a bien d'autres passages épiques comme la fin bien triste avec le Roi d'Hyrule mais bon je ne vais quand même pas parler de tous les passages. Et vous quels moments avez vous préférez dans Wind Waker
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publié le 20/02/2014 à 20:30 par
cuthbert
Climax
Nouvelle catégorie sur mon blog : Climax
Quelques passages que j'adore toujours autant de Wind Waker sorti récemment en HD sur Wii U.
Si vous n'avez pas fais le jeu spoil évident.
Il y a 11 ans lors de la découverte d'Hyrule sous la mer j'ai été obligé de mettre le jeu en pause tellement j'étais ému de découvrir ce qu'il était advenu du monde d'Hyrule. J'étais à la fois triste de constater l'ampleur de la catastrophe qui s'était abbatue sur le peuple Hylien et impatient d'explorer cette nouvelle partie du monde. A l'époque j'avais filé 150€ à ma mère pour partager ma joie avec elle tout en lui décrivant l'expérience. En y rejouant il y a quelques mois avec les magnifiques graphismes HD bien que la surprise n'en étais plus une j'adore toujours autant ce moment. Spécialement la reprise à la vie des lieux et des ennemis jusque là figés après leur victoire sur les armées d'Hyrule.
Un autre passage que j'aime par dessus tout dans Wind Waker ce sont les moments où les nouveaux sages prennent conscience qu'ils doivent remplacer les anciens qui sont morts depuis longtemps. Que ce soit sous la cascade avec la musique qui perce les flots ou sur le promontoir des Piafs l'instant est magique. Sublime musique, nostalgie des anciens Zelda, réapparition de peuples disparus mais qu'on aime toujours, bref c'est avec un grand plaisir qu'on retrouve un Kokiri et un Zora.
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publié le 17/02/2014 à 20:21 par
cuthbert
Ghibli
Le Vent se Lève (actuellement au cinéma en France) est un biopic sur Jiro Horikoshi un ingénieur en aéronautique concepteur de l'emblèmatique Zéro Fighter lors de la seconde guerre mondiale. Certes une romance issue d'un roman de Tatsuo Hori vient se mêler à l'histoire mais le coeur du film c'est bel et bien Jiro et son métier / sa passion pour les avions.
Un film a déconseiller aux enfants malgré les bruitages réalisés à la voix humaine qui donnent un aspect enfantin aux sonorités (cette technique aurait été plus judicieuse pour un film comme Ponyo). Si vous êtes fascinés par les avions (c'est mon cas depuis l'enfance) ce film est fait pour vous. On découvre une partie de l'histoire de l'aviation aussi bien japonaise qu'italienne ou encore allemande avec des découpes en pleine animation de la carlingue des appareils pour voir les différents mécanismes permettant aux avions de voler.
Il est à parier que le Vent se Lève révèlera des vocations d'ingénieur en aéronautique à une partie de son public tellement la passion de Miyazaki pour les avions est communicative.
Le travail, l'effort et le sacrifice pour la patrie ont une place prédominante dans le film, tout comme son personnage principal, Miyazaki est un bourreau de travail qui s'investi totalement dans ce qu'il entreprend jusqu'à son achèvement.
Perso je n'ai pas vu les 2 heures que dure le film passer tellement j'étais happé par l'histoire mature, les dessins époustouflants dont certaines animations avec une multitude de personnages en même temps carrément imprésionnant de maîtrise (travail de titan), on découvre le point de vue de Miyazaki sur son propre pays, il a d'ailleurs un oeil très critique qui lui on valu les foudres de certains partis politiques japonais.
Même si le film se veut réaliste il est essaimé de quelques rêves de Jiro. J'ai partiulièrement aimé le tout premier ou juste après on parcourt les mêmes lieux mais dans la réalité. Sinon malgré les catastrophes il est admirable de constater le calme de la population même si ce n'est qu'un film bien que ce ne doit pas être loin de la réalité connaisant un peu les valeurs japonaise.
Bref un film a voir tout en sachant qu'il se démarque des précédents travaux de Miyazaki mais qu'il serait dommage de bouder.
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publié le 10/02/2014 à 18:00 par
cuthbert
Avis
Mon cousin a bien fait puisque j'ai pris Assassin's Creed II, Assassin's Creed Brotherhood, Assassin's Creed Révélations et Assassin's Creed III le jour de leur sortie, pour ensuite tous les lui prêter 2 semaines à un mois plus tard. Vu que j'avais décidé de prendre Assassin's Creed IV soit sur PS4 soit sur XBox One dans 2 à 3 ans, mon cousin qui est fan d'Assassin's Creed (jeux et livres) mais qui ne veut plus acheter de console (pour se consacrer à ses enfants), a donc pris lui même Assassin's Creed IV sur 3-6, pour finalement après 4 épisodes me le prêter à son tour. Merci à lui car même si j'aurai patienté sans problème 2 à 3 ans avant de le faire, je suis bien content de l'avoir fait en ce début d'année, c'est un des meilleur Assassin's Creed, j'ai adoré voguer sur les mers et découvrir un monde immense dans l'environnement paradisiaque des Caraïbes.
Au niveau de l'histoire j'ai adoré jouer avec Edward Kenway car il n'est ni un Assassin ni un Templier mais un simple pirate. 3 grandes villes (La Havanne, Nassau et Kingston) mais aussi une multitude d'îles principales, sans compter bien plus de petits îlots, la variété est au rendez-vous et on a de quoi barouder.
Le cycle jour/nuit, les variations climatique, l'intensité des vagues, les nombreux événements aléatoires (baleine, dauphins, navires adverses...) rendent le monde très crédible (même si la navigation est simplifiée pour les besoins du jeu).
On peut aborder les navires et se battre à leur bord, plonger à la recherche de trésor engloutis, prendre d'assaut des forts, pêcher au harpon des animaux marins (baleine, requin, orque...), chasser à terre, piller des entrepôts, gérer sa flotte de bateaux capturé et les envoyés en mission, dénicher trésors, partitions (qui seront chanté par votre équipage), morceaux d'animus (pour débloquer des codes de triche), on peut se torcher la gueule, jouer à une multitude de mini-jeu dans les tavernes (ceux déja présent dans Assassin's Creed III) et j'en passe !
Bref il y a de quoi faire à côté de la quête principal. Perso j'ai mis 60 heures pour tout finir à 100% en un mois et demi.
Les passages au présent sont à la première personne, pas très intéressant sauf si l'on veut enrichir ses connaissances sur l'univers de la licence, avec différents mini-jeux de hackage, j'ai été carrément déçu du peu que l'on apprend sur la méta-histoire. De toute façon on prend son pied non pas avec le fil directeur des Assassin's Creed mais avec l'aventure d'Edward Kenway le corsaire.
J'ai renvoyé le jeu à mon cousin mais je sais que dans quelques années je referai le jeu soit sur PS4 soir sur XBox One tellement j'ai aimé. En tout cas il est déja magnifique sur 3-6 alors je n'ose pas imaginer la qualité sur PS4 et XBox One.
Assassin's Creed IV est vraiment un Assassin's Creed à part, à cause du gameplay en bateau, grâce a son anti-héros et même si les mécaniques de jeu sont les mêmes que les précédents Assassin's Creed, si vous n'aimez pas la licence c'est le moment de lui laisser sa chance.
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publié le 05/02/2014 à 19:38 par
cuthbert
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