Test
Liberté, liberté chérie !!!
The Elder Scroll IV : Oblivion est une ode à cette sensation. Oblivion (c’est plus court) est un RPG vu à la première personne où les combats se déroulent en temps réél. Je dois dire que je n’avais joué à ce genre de jeu avant, pour moi avant un RPG, c’était un jeu dans la veine d’un Seiken Densetsu, un Zelda, un FF ou encore un DQ. Une palette pas si restreinte que ça mais qui n’avait qu’une seule provenance, le RPG japonais. Jamais je ne mettais aventuré dans d’autres types de RPG (sauf si l’on considère Diablo comme un RPG).
Oblivion est donc pour moi comme mon premier Zelda ou mon premier FF. Je n’ai pas connu MORROWIND (le prédécesseur d’Oblivion) et c’est donc sans appriori que je m’engage dans ce monde enchanteur et enchanté.
Et là, première claque, qu’est ce que c’est beau !!! Pas que les textures, le nombre de polygone etc .. soient du jamais vu mais ils forment un tout, un et indivisible. On sent derrière ce monde une cohérence, une recherche peut inégalé dans le monde des jeux video, et seulement atteinte par quelques œuvres littéraires comme le « Seigneur des Anneaux ». Ensuite vient la sensation de liberté, qui nous met une deuxième claque. Il est vrai que vous avez une tache à accomplir mais pourquoi se presser !! Pour ma part, mon personnage (vous pouvez créer le personnage que vous désirez en choisissant sa race, ses talents …) est un elfe noir qui manie l’épée et qui deviendra plus tard un assassin et un vampire !!!
Dans ce jeu vous pouvez tout faire, vous pouvez entrer dans l’une ou plusieurs des guildes, acheté une maison, ouvrir une boutique, voler, tuer mais aussi faire de l’alchimie etc … Un éventail de possibilité énorme qui peut donner le tournis au premier abord. En effet on a envi de tout faire, mais on ne sait pas par où commencer !!
Le système de combat est une merveille (bien qu’entacher de quelques bugs de collisions), il est dynamique et permet de vraiment se sentir impliqué dans chaque combat. Oui contrairement à un FF dans lequel les combats les plus fréquents deviennent de plus en plus convenus au fur et à mesure de l’aventure, ici vous devrez vous méfier un peu à la manière d’un Zelda en moins dynamique.
Bon alors récapitulons, ce jeu est beau, prenant, dynamique, long (sauf si vous ne faites que la quête principale), alors est il le jeu parfait pour autant ? Non car il persiste des bugs de traduction, des chargements un poil long mais en étant honnête ces points noirs (gris, insignifiants) gâchent ils l’expérience de jeu ? La réponse est non !!
Un dernier point avant de conclure, Oblivion n’est en aucun cas multi joueur, l’univers si prêterait bien pourtant je pense que cela gacherait l’expérience. Oblivion c’est comme un bon livre, on a envi de lire seul sans bruit, tranquillement, et pas avec un orchestre dans les oreilles.
Au final, même si je n’avait pas déjà acheté la Xbox 360, je l’aurai acheté pour ce jeu. Un diamant au milieu de galets !!!
posted the 04/10/2006 at 04:02 PM by
moacmoii
Test
Objection !!!
Ah combien de fois j'ai pu m'exalter devant les retournements de situation dans la très bonne série Law and Order ou New York District en France.
Et Bien Phoenix Wright, vous permet pour le première fois en France de jouer le rôle de l'avocat de la défence. Le but du jeu est comme dans un jeu d'aventure classique de trouver différents objets pour pouvoir les utiliser plus tard.
Toute l'originalité du jeu vient du contexte, un procés !! Vous allez devoir récolter des preuves afin de les utiliser au bons moments lors des témoignages des témoins. Quelle joie de pouvoir choisir différentes stratégies de défense au cours du procés.
Ainsi lors des témoignages vous allez pouvoir soit faire pression sur les témoins, soit les mettre devant l'évidence en présentant une preuve.
Mais alors où se trouve la difficulté du jeu ? Cette dernière vient du fait que vous ne pouvez vous tromper qu'un nombre limité de fois au cours d'un procès. Si vous présentez une preuve et que celle-ci n'a aucun rapport avec le témoignage du témoin le juge vous enlévera une chance.
Du point de vue graphique c'est assez sympathique sans être un boulversement en terme de qualité, mais c'est largement suffisant pour les besoins du jeu.
Vous l'avez compris ce jeu est très immersif mais quels en sont les défauts ? Et bien, tout d'abord ce jeu est un remix d'un jeu sorti sur gba et donc sur les 5 chapitres que comporte le jeu, un seul (le dernier ) exploite toutes les capacités de la console. Ensuite, cela reste un jeu d'aventure et il est donc très linéaire. Enfin, la durée de vie est correcte sans plus une petite dizaine d'heure.
En conclusion si vous avez toujours révez de participer à un procés ou si les jeux d'aventures vous interessent alors foncez, ce jeu restera dans les mémoires pendant bien longtemps et n'oubliez pas de crier Objection au moment opportun !!!
posted the 04/07/2006 at 06:32 PM by
moacmoii
Test
Il est difficile de décrire ce que l'on peut ressentir en jouant à ce jeu, tellement celui-ci est génial sans l'être. Explications. God of War est un d'Action / Aventure un peu comme peut l'être un Devil May Cry. Il vous met dans la peau d'un héros surpuissant qui le deviendra encore plus pendant l'aventure. God of War n'innove pas, les actions sont assez classiques, les mécanismes pour la plupart connus et le monde dans lequel notre héros évolue, la Grèce mythologique, a déjà été utilisé dans d'autres productions.
Mais alors qu'a t'il donc pour lui ce jeu ? Et bien, tout simplement il est le meilleur jeu d'Action / Aventure disponible sur PS2 et peut être même toute console confondue. Pour reprendre une formule, God of War fait tout comme les autres mais il le fait mieux. Le level design est une merveille, les graphismes sont magnifiques, et la maniabilité est une pure merveille. Simple et complexe à la fois, elle permet une profondeur de jeu rarement égalée. Le seul petit problème du jeu est sa durée de vie, qui est d'une petite dizaine d'heure. Mais quelles heures !! Jamais nous n’avions connu un tel sentiment de puissance dans un jeu, Kratos (le héros du jeu) éventre, étripe, décapite, brise les nuques avec une classe sans pareil, à la plus grande joie du joueur. Et je ne parle pas des boss, tout simplement mythique (normal vu l'époque du jeu), mais qui malgré leur taille finissent par être balayés par Kratos.
Au final God of War est peut être le meilleur jeu PS2, tout simplement merveilleux, qui prendra j'en suis sur le statut de jeu culte dans quelques années. Si vous ne l'avez pas foncez !!!
posted the 04/06/2006 at 04:25 PM by
moacmoii
Test
I am Laharl the heir of the throne !!
Voilà la phrase qui décrit le mieux le personnage principal de ce génialissime RPG tactique qu'est Disgaea : Hours of Darkness.
Ce jeu est un RPG tactique développé par le studio Nippon Ichi qui est un spécialiste en la matière. L'histoire est assez originale puisqu'elle vous place dans la peau de Laharl, fils du roi défunt des enfers, qui décide de reprendre son dû à la suite d'une longue période de sommeil. Vous partez donc à la conquête des enfers pour faire valoir votre autorité en tant que roi. Voilà le scénario aurait pu être basique mais c'était sans compter sur les différents protagonistes présents (dont des pingouins zombis) et leur caractère bien trempé, et sur les rebondissement comme l'arrivée des humains en enfer ou celle des anges qui ne connaissent vraiment pas bien l'enfer.
Un RPG avec un bon scénario c'est bien mais un RPG amusant c'est mieux et c'est ce que propose Disgaea. A un gameplay assez convenu pour un Tactical RPG s'ajoute quelques touches d'originalité (la possibilité d'améliorer ses objets en plongeant dedans, pouvoir créer ses propres monstres) qui font de ce jeu un classique surtout que sa durée de vie dépasse les 80 heures de jeu.
Du point de vue de la réalisation, tout dépendra si vous avez connu l'air des 16 bits. En effet, Disgaea est tout en 2D mais quelle 2D. Une sorte de dessin animé interactif avec des personnages en SD (grosse tête, petit corps), et des séquences de discutions en écran fixe ou avec le moteur du jeu.
Pour conclure, je dirai que si vous aimez les Tactical RPG ne vous gênez pas, cette merveille ne vous décevra pas. Par contre si vous n'avez jamais joué à un RPG Tactique, essayez le avant car il est un plus compliqué que la plupart des titres du genre.
posted the 04/06/2006 at 04:21 PM by
moacmoii
Test
The Legend of Zelda : The Wind Waker, fut le premier Zelda sur Gamecube. Il avait pour tache de donner un nouveau départ à la saga après les excellents volets sur Nintendo 64. Ce jeu attendu, engendra beaucoup de réaction à sa sortie car il prenait à contre-pied les attentes des fans.
En effet, Nintendo lors des premières présentations de la GameCube, fit la démonstration d’un combat entre Link (le héros des Zelda) et Ganondorf (le méchant) d’une qualité graphique impressionnante. La légende allait renaitre et dans le plus beau des écrins.
Quelques mois plus tard était dévoilé ce qui allait devenir le premier Zelda sur Nintendo GameCube. Et là quelle surprise, ce fut de voir un Zelda au graphisme enfantin, utilisant la technique du cell shading, alors que les deux derniers épisodes tendaient vers le réalisme !! Passée cette première déconvenue, on découvre un jeu magnifique tant au niveau graphique, qu’au niveau du Gameplay ou de l’histoire.
Donc comme je le disais plus haut ce Zelda a surpris, et a donc entrainé des réactions sauvages de la part de personnes ayant joué aux épisodes sur N64. Mais il faut rappeler qu’à la base les Zelda sont des jeux en 2D, dans un univers coloré et assez enfantin. Le style graphique de cet épisode n’est donc pas une trahison mais plutôt un retour aux sources. Quel plaisir de pouvoir jouer à un en 3D mais donnant l’illusion d’une 2D. Le style graphique n’est pas un simple cell-shading mais un véritable concept à lui tout seul. J’en veux pour preuve les expressions des personnages ou les effets de flammes, sans compter cet étrange effet d’abstraction graphique qui donne de la profondeur et de la cohérence à ce monde fait de pixels.
Un autre point qui a décontenancé les fans ( ou pseudo fans) est l’univers aquatique du titre. Pour la première fois un Zelda quittait la terre ferme pour s’installer dans l’océan. Ce choix de la part des développeurs permet d’avoir une air de jeu gigantesque mais par la même de ralentir le rythme du jeu. Pour ma part, je n’ai pas ressenti ce choix comme une contrainte mais plutôt commeune ode à l’aventure. Le plaisir de chasser les trésors submergés est un luxe que vous ne trouverez nulle part ailleurs. Les discutions avec les poissons sont amusantes et les centaines de petites îles promettent des découvertes toutes plus intéressantes les unes que les autres.
Maintenant passons au Gameplay du jeu qui est une évolution en douceur de celui qu’on trouvait sur Nintendo 64, c'est-à-dire une merveille. Une jouabilité exceptionnelle qui permet de prendre du plaisir à tout moment dans ce jeu qui réclame quand même une bonne dose de reflexes.
La trame de l’aventure se déroule classiquement avec des donjons à visiter pour obtenir des objets utiles par la suite, de ce point de vue là ce Zelda n’évolue pas trop sauf dans la dernière partie de l’aventure qui oblige à parcourir l’océan.
Au final, je dirai que si j’avais dû m’acheter une seule console de la génération des 128 bits pour un seul jeu, ce serait la Gamecube avec Zelda. Une aventure magnifique, des personnages interessants, un gameplay proche de la perfection et des scènes cultes (voir la scène en noir et blanc) font de ce jeu, une merveille, un joyau à posséder pour tous ceux qui disent aimer les jeux d’Action / Aventure.
posted the 04/06/2006 at 03:45 PM by
moacmoii