Après les chroniques de Riddick, les développeurs de StarBreeze nous gratifie de leur nouvel FPS, j’ai nommé The Darkness. Annoncé il y a maintenant plusieurs années, ce jeu a toujours été attendu et surtout depuis la sortie de leur jeu précédent. Alors, grand jeu ou pétard mouillé ?
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Le jeu vous met dans la peau de Jackie Estacado, tueur à gage de son état et au service de son oncle Paulie, le Don de la mafia locale. Le jeu se passe dans les rues de New York. Donc le jeu débute le jour de vos 21 ans et par un cadeau très spécial de votre oncle Paulie qui pour votre majorité a décidé de vous éliminez. Heureusement ou malheureusement, vous êtes sauvé par une entité maléfique « The Darkness ».
Celle-ci vous confère différent pouvoir, comme une résistance accrue, la possibilité d’invoquer de petites créatures sadiques et très portées sur le shopping (les darklings), des armes utilisant le pouvoir du darkness ou encore différents pouvoir utilisant les tentacules de votre « ami ».
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L’une des premières forces du jeu est son histoire. Assez classique finalement, la manière dont elle comptée fait toute la différence, les scènes cinématique utilisent le moteur du jeu et permettent une immersion accrues. Mais l’un des points forts de la narration est l’utilisation de petite scénettes lors des chargements qui permettent de mieux cerner le personnage principal et surtout de ne pas voir passer les temps de chargement.
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Le moteur du jeu est lui clairement impressionnant surtout dans la gestion des effets lumineux (c’est normal pour un jeu qui s’appelle The Darkness). L’aliasing semble faire parti du passé avec ce jeu, les textures sont impressionnantes mais un poil en dessous d’un Gears of War. Le jeu utilise différents effets pour accompagner les différentes actions du jeu tous très bien insérés dans le jeu.
La gestion du son est elle aussi exemplaire. Les interventions du darkness, bavare dans certains cas, sont impressionnantes. On a vraiment l’impression d’être Jeanne d’Arc.
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D’un point de vue gameplay, le jeu est un mix entre FPS on ne peut plus classique et utilisation des pouvoirs du Darkness. L’une des clés de ce gameplay est l’utilisationdes zones d’ombres dans le jeu. Vous pouvez aussi vous les créer en cassant les sources de lumières. Ces zones d’ombres permettent de recharger l’énergie du darkness. C’est cette énergie qui vous permet d’utiliser les pouvoirs cités plus haut.
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Le jeu est divisé en deux parties, une partie solo et une partie multi-joueur. La partie multi-joueur est malheureusement très (trop) classique mais elle permet de rester dans l’univers du jeu.
La partie solo du titre, elle , ressemble un peu à leur précédent jeu. Le jeu est bien entendu composé d’une histoire principale mais à l’instar des RPG vous pouvez effectuer des quêtes annexes. Cette structure en étoile permet au jeu d’être non linéaire et donc au joueur de bien profiter de l’univers du jeu.
La durée de vie du jeu est elle classique. Comptez une dizaine d’heure de jeu pour finir le jeu la première fois.
Au final, le jeu est encore un coup de maitre par les développeurs de Starbreeze en tout cas sur la partie solo. Vivement leur prochain jeu.
Ma Note : 17/20