Du 12 au 16 Février 2020 au sein de l'Espace Léon Cœur Marais s'est tenue une expo interactive gratuite et ouverte à tous, dédiée au jeu Dreams sorti surPS4 le 14 Février. Voici mon mini Reportage de mon passage le Dimanche et ce que j'en ai retenu.
Une douzaine de créations (dont certaines que vous connaissez sûrement déjà) étaient exposées au sein d'un espace d'environ 100m² en plein cœur de Paris. Comme dans un musée d'art moderne, avec même des cadres propres à chaque jeu en guise de bordures.
Et aux genres variés puisqu'on y retrouvait des jeux de plateforme comme PIP Gemwalker, de rythme comme Player Piano Player, d'exploration comme Haus of Bevis et bien plus encore qui sont répertoriés sur le site indreams.me.
Sans plus attendre, voici les 5 titres des joueurs, ou plutôt des Dreamers, qui ont le plus retenu mon attention.
Sous ses faux airs de shoot 'em up se cache en réalité un jeu musical qui repose sur le principe des rythmes euclidiens. Une manière de créer de la musique en s'aidant d'outils mathématiques. Et c'est exactement ce qu'ont fait SlurmMacKenzie pour le jeu en lui-même, et The Toxic Avenger pour la musique. Il faudra tirer sur des planètes pour modifier le tempo et d'autres paramètres sonores. Un jeu qui plaira aux plus créatifs et aux musiciens en herbe.
Certainement mon coup de cœur de l'expo par notre cher Gauffreman. On y incarne l'alter ego masqué du musicien Piano Novel, qui aura pour but de recomposer la douce mélodie d'un monde sans vie, mais pas sans âme. Je suis tombé sous le charme de sa direction artistique et de son magnifique ciel en peinture. Le tout sous une ambiance onirique et assez mélancolique. De l'art tout simplement.
Une autre création d'un Gauffreman décidément bien inspiré, et l'une des plus impressionnantes de l'expo. C'est ni plus ni plus ni moins qu'un Wipeout recrée de toutes pièces. Tout y est, le gameplay nerveux, la jauge de vie, le tracé avec des virages serrés, les boosts, la sensation de vitesse, et la bande son électro.
Le défouloir par excellence qui aura amusé petits et grands sur place. On y incarne Ruckus un simili Godzilla (en plus mignon) qui sèmera le chaos au sein d'une ville presque entièrement destructible. Coups de griffes, coup de queue, ou rayon laser, tous les moyens sont bons pour faire un maximum de dégâts et taper le meilleur score possible durant le temps imparti. Le tout sous les yeux des journaux télévisés qui de temps à autre filmeront l'action de leur point de vue afin de renforcer l'aspect apocalyptique mais tellement fun de la chose.
Un "jeu de mots" sans mauvais jeux de mots. Je ne pourrais pas mieux résumer cette dernière création de ma liste. Imaginée par Oskunk, désigné et composée par Orioto, et conçue par Unmecrandom. On y incarne le petit Caps qui devra atteindre le "sommet du monde" en passant par des chemins tapissés de mots, icônes et autres rendant hommage à la marque PlayStation. Même si j'ai trouvé que les phases de plateforme étaient parfois tendues. Une mauvaise chute étant vite arrivée.
Conclusion
Une expo vidéoludique bien sympathique qui m'aura permis de voir de près le talent et l'imagination sans limite des Dreamers. Dont j'ai hâte de voir ce qu'ils vont nous proposer d'ici là sachant qu'il y a déjà du très lourd en ce moment. Merci à PlayStation d'avoir mis tout ça en place et un grand bravo aux artistes qui y ont contribué.
Y en a parmi vous qui y ont été ou qui ont le jeu ?
Cela fait 9 ans que la Paris Games Week existe, et 10 éditions où je m'y rends sans interruption. 3 semaines après l'évènement, Voici mes photos du salon que j'ai visité durant la soirée avant-première du Mardi 29 Octobre, le Vendredi 1er Novembre, et le Samedi 2 Novembre. Et autant vous dire d'emblée que cette édition ne fut pas ma préférée...
L'Esport dans le Hall 3 avec la scène ESWC et Farming Simulator League.
Le EVA (Esports Virtual Arenas). 1000m² de Réalité Virtuelle que j'ai pas pu tester à cause du monde présent
Le Hall 1 qui nous aura épargné de la présence de PUBG et Fortnite cette année.
Chez les Jeux "Made in France", Greedfall. Unruly Heroes, As Far As The Eye, Kingdom of Rhea, Vectronom, Wildrun et beaucoup d'autres.
Le sympathique (et inquiétant) décor dans le thème de A Plague Tale: Innocence.
Pour les jeux tirés de mangas / animes chez Bandai, DBZ Kakarot (17/01/2020), One Punch Man : A Hero Nobody Knows (22/02/2020), et d’autres prévus pour courant 2020 comme One Piece : Pirate Warriors 4, et My Hero : One’s Justice 2. Ainsi que le JRPG de Fairy Tail chez Koei.
Un bar complètement useless pour Cyberpunk à gauche. Et à droite le stand du jeu qui n'était pas jouable sur place mais présenté en Francais. La VF de Keanu Reeves aka Johnny Silverhand sera de la partie.
Le "Cyclone" armé jusqu'aux dents de Borderlands 3.
Les masques de Watch Dogs Legion.
Le Nexus de League of Legends à l'occasion des 10 ans du jeu.
L'espace PlayStation VR avec le seul jeu PSVR de jouable cette année qu'était Marvel's Iron Man.
Les tenues des Avengers dont celle de Kamala Khan.
Chez Final Fantasy, le Remake du 7 était jouable. J'ai pas testé le jeu car trop de monde, mais j'ai pu faire joujou avec l'épée de Cloud.
Les autres jeux de la zone étaient Dreams, Concrete Genie, Medievil, Nioh 2 (13/03/2020), Predator : Hunting Grounds (2020), et Death Stranding qui à défaut d’être jouable, était présenté dans une « salle de cinéma » dédiée.
Chez (le "X" de) Xbox, Ori and the Will of the Wisps (11/02/2020) et Sea of Thieves.
Une McLaren Senna de Forza Horizon 4: LEGO Speed Champions assemblée avec 400.000 briques.
Parmi les jeux jouables, Battletoads (fin 2019), Bleeding Edge (24/04/2020), Minecraft Dungeons (2020), Gears 5, et Doom Eternal (20/03/2020).
Les jeux phares chez Nintendo étaient Luigi’s Mansion 3, Pokémon Épée / Bouclier, et Zelda Link’s Awakening.
Mais aussi les versions Switch de Overwatch. De L’Aventure Layton : Katrielle et la conspiration des millionnaires initialement sorti sur 3DS et auquel j’ai pu jouer. Astérix & Obélix XXL3 : Le Menhir de Cristal auquel j’ai pu rejouer mais avec un framerate à la ramasse sur cette version.
RingFit était testable lui aussi. J'en ai profité pour me faire filmer en train d'achever mes bras
Pour mon pactole, un big poster de Doom Eternal et un recto-verso de FF7 Remake. Un Tshirt de Life is Strange 2, 2-3 trucs récupérés chez PlayStation, et une médaille des 10ans de la PGW.
Ma Conclusion
Pour avoir fait toutes les PGW avant celle-ci, c'était franchement décevant. Cette année encore plus qu'avant, j'ai trouvé que les grosses surprises et exclusivités en termes de jeux se faisaient rares. Car tout était soit déjà connu de nom, soit sorti, soit sur le point de sortir. Ajouté au fait que j'avais déjà vu la plupart d'entre eux à l'E3, la Japan Expo, et la Gamescom de cette année. Autant vous dire que j'ai clairement ressenti une certaine redondance.
De plus, j’ai trouvé cette édition assez étouffante avec sensiblement plus de monde qu’auparavant. En particulier le Vendredi férié où c'était blindé de partout même dans le Hall 2 hébergeant la partie Junior. Et je ne parle même pas du boulevard de la mort entre les stands de PlayStation, Ubisoft et Bandai. Qui malgré sa largeur, était tout bonnement impraticable. Il serait peut-être temps d'agrandir encore le salon avec un Hall supplémentaire je pense.
Néanmoins, j'étais content d'avoir pu être présent avec mon badge Blogueur (la principale raison de ma venue je ne vous le cache pas ) et durant la soirée avant-première. D'ailleurs à l'image du salon allemand, il faudrait non pas une “soirée” presse (qui n'a de presse que le nom) mais une journée entière réservée aux accrédités, journalistes, VIP et toute autre personne qui à sa place dans ce type d'évènements. Surtout que les activités furent assez limités durant cette soirée car même les jeux n'étaient pas tous testables.
En tout cas si j'y retourne, j’espère que le 10ème anniversaire l’année prochaine du 23 au 27 octobre 2020 sera plus marquant. Y en a parmi vous qui y ont été cette année ?
Seconde et dernière partie de ma visite à la Gamescom 2019. Avec mes photos restantes des Halls avec Nintendo, Square Enix, Netflix, beaucoup de jeux indés, et la zone Business.
À quelques détails près, le joli "Battle Stage" de Nintendo à la Gamescom avait la même apparence qu'en 2018. Avec en bonus un sympathique petit décor dans le thème de la firme au plombier.
J'ai pu voir de près la Switch Lite qui sort la semaine prochaine. Non testable sur place mais exposée en vitrine à la vue de tous.
Les gros titres Switch dont la sortie est de plus en plus proche que sont Mario & Sonic aux JO de Tokyo 2020 (8/11/19), The Legend of Zelda: Link's Awakening (20/09/19) et Luigi's Mansion 3 (31/10/19) étaient tous les 3 jouables aux prix d'une attente pouvant durer plusieurs heures.
Ainsi que Super Smash Bros Ultmate, Marvel Ultimate Alliance 3 : The Black Order, et Daemon X Machina (13/09/19). Quelques jeux indépendants comme Trine 4 (8/10/19), Mosaic(2019) et Hollow Knight: Silksong (2020). Les versions Switch de Trials of Mana (24/04/20), Panzer Dragoon pour la fin d'année, Final Fantasy VIII Remastered et Dragon Quest XI tous deux sortis la semaine passée.
En plus d'être testable chez PlayStation, le Remake de Final Fantasy VII était également jouable chez Square Enix sur pas moins de 72 stations de jeu.
On reste sur du FF avec le MMO Final Fantasy XIV, et Kingdom Hearts 3.
Et Marvel's Avengers (15/05/20) dont j'ai déjà écrit une Preview sur GK.
S'il y en a bien un que je ne m'attendais pas à voir là-bas, c'est Netflix. Et pourtant, ils ont érigé un espace conséquent en hommage à leurs séries phares.
Comme La Casa del Papel, Stranger Things qui avait même droit à sa propre borne d'arcade, The Dark Crystal, et Love, Death and Robots pour ceux que j'ai repéré.
Le Google Stadia était testable, avec un toboggan sur son stand. Pourquoi pas...
Le stand de SEGA, sa Megadrive Mini, et sa manette géante visible au fond de la photo.
Le décor de Wasteland 3 (2020) et ses cosplayers.
Contra Rogue Corps (24/09/19), Humankind (2020), Hunt Showdown, et eFootball PES2020 qui vient de sortir.
Quand le passé (Bomberman à gauche) côtoie le présent (Smash Ultimate à droite) avec les jeux de la zone rétro de l'étage supérieur de l'éclectique Hall 10.
De très nombreuses vitrinesprésentes dont une sur Dragon Quest. Des bornes d'arcade de chez Arcade 1up. Le stand USK (pour Unterhaltungssoftware Selbstkontroll) qui est l'équivalent allemand de notre PEGI. Et la cosplayeuse Luka Costume Artist en guest chez Trust Gaming.
L'indie village, ou l'Eldorado des jeux indépendants à la Gamescom. Et qu'il faudrait au moins une demi-journée pour tout tester vu leur nombre.
Des jeux allemands, ou d'autres comme Lamplight City sorti en 2018, le jeu de plateforme rogue-lite bien nerveux Scourge Bringer, Growbot et Space Scavenger.
D'autres jeux déjà sortis comme le JRPG Francais qu'est Edge of Eternity, Piffle et Necrobarista. Ceux de 2020 comme Ring of Pain, Heavenly Bodies et Recompile.
Fromto, un jeu de courses "bac à sable" où on peut créer ses propres circuits. Cathedral qui sort cet automne. Et Between Realms.
The Cycle, un shooter disponible en Free to Play depuis le 19 Aout sur l’Epic Games Store, réalisé par les mêmes derrière Spec Ops: The Line. Et qui est selon leurs dires, n’est pas qu’un énième Battle Royale mais un mélange entre PvE et PvP. Un "Quest Shooter Compétitif PvEvP". Pour les curieux, je vous invite à jeter un œil à la vidéo de gameplay du jeu qui ne manque pas d’autodérision.
Et pour finir avec cette liste non exhaustive des jeux indés que j’ai vus, le space opéraEverspace 2 dont la campagne Kickstarter débutera en Octobre. Et qu’on ne verra pas avant 2021 si la campagne de financement s’avère concluante.
Hall 11.2
Pas grand-chose à voir de mon côté à la Gamescom Event Arena. Ouverte à partir de midi pour le public et regroupant les zones de dédicaces.
Hall 5
La zone marchande était certainement la plus densément peuplée de toute la Gamescom les jours d'ouverture au public. La photo de droite ci-dessous qui est la seule du Hall que j'ai prise le 21 Août en donne un aperçu.
À l'entrée du Hall trônait la même D.Va / Mecha en LEGO que celle présente à la Japan Expo 2019.
Kojima Productions avait pour la première fois dans un salon (à ma connaissance) sa propre boutique avec des tshirts, sweats, casquettes et autres arborant le logo du studio et de Death Stranding.
Des fringues, mugs et goodies en tout genre de chez Activision, Capcom, Bethesda et ailleurs.
Et aussi énormément de figurines dont vous avez un infime aperçu ici avec Spidey, le duo Atlas & P-Body de Portal 2, Joker de Persona 5 et Vash Stampede du manga Trigun.
Business Area(Halls 1,2,3,4)
Avant de conclure, voici mes photos de la Business Area réservée aux journalistes ou détenteurs d'un badge Presse, et que j'ai pu visiter pour la toute première fois. C'est un salon complètement à part dans la Gamescom tellement l'ambiance qui y règne est différente. Un havre de paix en comparaison du tumulte des autres Halls.
Hall 1
Tout le Hall 1 était réservé à EA. Qui n'était accessible qu'à ceux munis d'une invitation spécifique fournie par l’éditeur.
Hall 2
Dedans on pouvait y trouver la boutique Pyramid International. Les fabricants de steelbookNovobox. Et des jeux italiens et espagnols.
Hall 3.2
C'est dans ce Hall que j'ai pris mon unique rdv de cette Gamescom avec Microids pour tester Astérix & Obélix XXL3 et dont j'ai écrit une preview.
Ici, Cyberpunk 2077 avait la côte chez les journalistes.
Des professionnels du jeux vidéo venus d'Europe, Asie, Indonésie, bref du monde entier ou presque.
Hall 4.2
Et ici, Ubisoft, Xbox et Nintendo pour ne citer qu'eux.
Mon pactole de la Gamescom 2019
Ca sera tout. Une Gamescom symphatique mais loin d'être memorable pour moi en termes de jeux dans sa globalité. En espérant que vous avez apprécié cette galerie
C'était ma 3ème visite d’affilée au sein du « Heart of Gaming » qu'est la Gamescom à Cologne. Voici mon Reportage sur l'édition 2019 que j'ai pu faire les 20 et 21 Aout 2019. Avec cette première partie retraçant ce que j'ai vu dans les Halls 6, 7 et 8. Et qui abritaient respectivement Ubisoft, PlayStation et Xbox pour les plus grandes zones.
Cette année, la Gamescom a accueilli près de 373.000 visiteurs (dont 31,300professionnels), et 1153 entreprises issus d'au moins 100 pays dans le monde. Le tout sur une surface de 218.000m² (8% de plus qu'en 2018). Des chiffres parmi d'autres qui prouvent que ce salon porte bien son statut de "Heart of Gaming". Aucun autre salon de jeu vidéo dans le monde ne peut se permettre de rassembler autant de personnes sur une surface aussi grande. Pas même l'E3 que j'ai pu faire cette année mais qui lui, garde toujours une longueur d'avance au niveau des annonces.
Hall 6
Comme l'année dernière et l'année d'avant, les gros éditeurs / développeurs sont situés dans les mêmes Halls. À quelques "disparitions" près.
Take Two y a élu domicile avec son Borderlands 3 dont la sortie est imminente.
CD Projekt et le très (très) attendu Cyberpunk 2077 pour le 16 avril 2020.
Le énième jeu de combat sur DragonBall Zavec l'opus Kararot annoncé pour 2020.
À deux pas du titre précédemment cité, toute une zone dédiée au manga d'Akira Toriyama que j'ai trouvé superbement bien décorée. Avec d'autres jeux de la licence, des figurines, et des photobooth dédiés.
Un petit peu d'horreur et d’angoisse avec le récemment sorti The Dark Pictures Anthology : Man of Medan, et une des annonces surprises du salon Little Nightmares 2 pour 2020.
La zone Electronics Arts avec Apex Legends, et FIFA20 qui sort ce mois-ci.
Et une des grosses exclusivités du salon, le retour de la saga Need For Speed avec l'opus Heat qui arrive le 8 Novembre prochain et que j'ai pu tester. Résultat des (deux) courses, c'est mitigé...
Pour les bons côtés, le retour des courses-poursuites à l'ancienne contre les flics, et la personnalisation assez poussée du bolide. Roues, carrosserie et même le bruit des pots d'échappement, on peut presque tout tuner (ou "pimper" pour ceux qui préfèrent). Même si j'aurais aimé qu'on nous impose moins de temps dessus durant la démo de la Gamescom. Mais que ce soit techniquement parlant et au niveau des sensations de jeu, c'est pas vraiment ça.
J'ai eu beaucoup de mal à manier la caisse et à faire des dérapages contrôlés sans que je me prenne systématiquement un mur. Et je sais que je ne suis pas le seul dans ce cas. Pour un saga de jeux de course qui se veut "Arcade" et donc par définition facile à prendre en main, c'est quand même un comble. Et la Nitro ne sert pas à grand-chose tant il est difficile de dépasser les concurrents même avec ça. En espérant que le jeu soit amélioré d'ici sa sortie dans 2 mois même si j'en doute fortement.
Pour les autres jeux de baston du Hall qui sortiront tous deux en 2020, One Piece Pirate Warriors 4 et le tout premier jeu console sur One Punch Man. Intitulé A Hero Nobody Knows et auquel j'ai pu jouer.
Et pour finir avec ce Hall, la zoneUbisoft avec sa scène et Just Dance 2020 annoncé pour le 5 Novembre.
Les jeux estampillés Tom Clancy's que sont Ghost Recon Breakpoint (jouable actuellement en Bêta du 5 au 9 Septembre) et Rainbow Six Siege. Ainsi que Roller Champions et Watch Dogs Legion dont j'ai déjà écrit une Preview dédié.
Grand absent de ce Hall et de cette Gamescom, Blizzard Entertainment. Eux qui avaient un des plus grands espaces en 2018 et ayant fait le show avec le concours cosplay de la même année. Aucun jeu de chez eux n'était testable cette année, pas même le WoW Classicsorti juste après ce salon.
Cette place vacante a été comblée entre-autres par le site IGN.
Et le studio Frontier Developments. Connu pour ses jeux de gestion et qui cette année avait une grande zone consacrée à Planet Zoo sortant le 5 Novembre 2019. Et qui pour le coup ressemblait réellement à un zoo, la faune en moins.
Le stand de Monster Hunter Iceborne et ses cosplays. Extension disponible aujourd'hui même.
La zonePlayStation qui fut bien plus intéressante que l'année dernière, et qui aura au moins eu le mérite d'être présente contrairement à l'E3 2019. Avec une surprenantefresque reproduisant les touches d'action de la Dualshock, avec des manettes Dualshock...
Parmi les jeux jouables, le tout juste sorti Control, Final Fantasy VII Remake (3/03/20), le Remake de Medievil (25/10/19) et Iron Man VR pour cette année.
Mais la grande « star » du stand, c'était Death Stranding. Avec un stand exposant de sympathiques goodies en vitrine et ayant rameuté beaucoup (trop) de monde. Par curiosité, je voulais voir de mes propres yeux comment rendait le jeu (et éventuellement récupérer des goodies mais en vain) durant la présentation privée. Et je peux vous dire que j'ai clairement perdu mon temps.
Que le jeu ne soit pas jouable sur place ni par nous, ni par les développeurs, je peux éventuellement comprendre. Mais s'être contenté de faire défiler les 3 vidéos de gameplay (dont une inédite avec les personnages de Amelie et Die-Hardman) qui ont été révélés durant la soirée Opening Night Live le Lundi 19 Aout, c'est clairement du foutage de gueule. Et là j'ai une pensée à tous ces gens qui ont attendu plusieurs heures pour voir un contenu qui était déjà visible à 75% sur le net. En ce qui me concerne, je m'y suis pris suffisamment tôt le matin pour ne pas avoir à attendre. Et heureusement...
Le 20 Août sur la scène PlayStation, Hideo Kojima tenait une séance de dédicaces de 15h à 16h limité aux 200 premiers venus. J'ai dû m'y prendre une heure et demi à l'avance pour avoir cette chance qui n'est pas prête de se reproduire de sitôt.
Mon meilleur souvenir de cette Gamescom 2019
Hall 8
Autre grand absent de ce salon, Fortnite qui pour des raisons que j'ignore, a rendu son "mini parc d'attractions" de la précédente édition.
On y retrouvait World of Tanks, Windows Gaming, l'étonnant stand de McDo X Big Bang Theory, Doom Eternal (22/11/2019).
Le stand de FordZilla, la division eSport de Ford nouvellement crée.
Le constructeur Omen et ses attractions.
THQ Nordic, et ses cosplays de l'univers Darksiders.
Le Remake de Bob l'Éponge : Bataille pour Bikini Bottom dont j'ai aussi écrit une Preview, et le stand de Biomutant.
Et pour terminer avec ce premier article, la zone Xbox toujours plus attrayante d'année en année avec un sacré paquet de jeux jouables.
En particulier chez les jeux indésID@Xbox dont vous avez un petit échantillon ci-dessus.
Le Cloud Gaming à la Microsoft qu'est le projet xCloud était présent. Ainsi qu'une roulette"Game Pass" qui donnaient des goodies en présentant une carte avec les jeux Xbox joués sur le stand.
Le très atypique stand de Battletoads, qui devrait sortir cette année.
Et Gears 5déjà jouable pour certains et dont j'ai pu tester le mode Horde qui est dans la pure lignée des anciens volets. Avec en plus la possibilité de jouer la Sarah Connor de Terminator Dark Fate qui sort en salles le 23 Octobre prochain.
Dans la file d'attente étaient exposés en vitrine la manette Xbox et la console aux couleurs du jeu. Ainsi qu'une imposante figurine de Kaith.
À suivre dans la seconde partie, les halls avec entre-autres Nintendo, Square Enix, Netflix et la zone Business de la Gamescom.
Suite et fin de ma virée à l’E3 2019 en Juin dernier. Au programme de ce dernier article, du Microsoft, un petit peu de cosplay, du retrogaming, et ma conclusion générale.
Un peu en marge du Convention Center et juste derrière le Staples Center se trouvait le Xbox Theater. Qui comme l'année passée, était le lieu dédié à la firme de Redmond aussi bien en termes de jeux présentés que des conférences E3 de Microsoft ayant lieu là-bas.
Dedans on y trouvait la boutique officielle Xbox Gear avec notamment leur manette dernier cri Xbox Elite 2.
J'accède ensuite dans la fameuse salle de conférence du Microsoft Theater comportant plus de 7000 places assises. Et laissez-moi vous dire que c'est beaucoup plus impressionnant et grand que ces photos ci-dessus ne le laissent paraitre. Par contre faut aimer le vert car y en a partout. Qu'il s'agisse des lumières et des stands qui sont tous aux couleurs de la marque. J'espère un jour pouvoir assister à une conférence E3 en ces lieux rien que pour l'ambiance.
Quoi de mieux pour faire la promo de l'extension Lego Forza Horizon 4 que d'exposer une voiture entièrement faite de Lego ? Une McLaren Senna grandeur nature réalisée à partir de plus de 400.000 briques.
Et le plus impressionnant dans tout ça, c'est qu'elle est entièrement fonctionnelle et pourrait même rouler en conditions réelles. Raison pour laquelle les roues et le volant sont authentiques. En tout cas, je pense avoir trouvé ma future voiture.
Parmi les jeux jouables, des excluesXbox comme Sea of Thieves, et quelques jeux multiplateformes tels que Doom Eternal et Borderlands 3 pour ne citer que ceux-là.
Et le jeu phare Gears 5 dont on pouvait jouer au mode Escape que je n'ai pas trouvé incroyable. Même si moi et mon partenaire de jeu on s'en est bien tiré durant la session. Je préfère encore le mode Horde que j'ai pu tester à la Gamescom 2019. Et j'ai manqué de peu de me fritter contre un monstre de ce Gears en sortant du stand.
Vous avez probablement déjà entendu parler du Hollywood Walk of Fame. Le fameux trottoir où demeure inscrit sur des plaques à même le sol, le nom de plus de 2600 célébrités à ce jour. Il semblerait que Microsoft s'en soit inspiré au Xbox Plaza avec des plaques rendant hommage non pas à des stars, mais à des machines, jeux et autresévènements liés à Xbox. Je n'ai pas pu tous les prendre en photo mais vous en avez un aperçu.
Cosplay
Pour les cosplays de l'E3, j'ai pu apercevoir un duo Cloud & Tifa par Iwood et Stephanie Stone, et une Aerith. Altaïr incarné par RBF-Productions-NL. Germia en Fury de Darksiders III. Crash Bandicoot et un personnage du jeu mobile chinoisEastward Legend: The Empyrean.
Bornes d'arcade
On va terminer ce voyage à l'E3 en remontant dans temps. En commençant par une galerie de bornes d'arcades en pagaille et de toutes tailles. Dont la borne gigantesque de chez Arcade 1up, et les autres chez My Arcade.
Consoles rétro
Et pour finir, un musée dédié aux consoles rétro le National Video Game Museum. Qui a exposé une quantité hallucinante d'antiquités vidéoludiques plus ou moins connues.
Comme la Vectrex, Iltellivision, ColecoVision, NES, Master System, Atari XEGS, TurboGrafx, Sega Genesis, Fairchild et tellement d'autres.
Conclusion
Rien que pour avoir enfin pu fouler le sol d'un salon que je rêvais de faire depuis tout petit, je garderais un souvenir impérissable de ces 3 jours passés à l'E3 2019 à Los Angeles en solitaire. Et qui malgré l'absence de PlayStation cette année, est le meilleur salon du Jeu Vidéo que j'ai pu faire avec la Gamescom en Allemagne. Cette dernière ayant l'avantage d'être plus grande, et sensiblement plus proche de chez moi.
Ceci dit, c'est un salon qui ne vaut le coup que si on y est accrédité comme j'ai pu l'être. Les simples visiteurs ont trop de contraintes comme le prix du billet qui est exorbitant, et devant pénétrer dans l'enceinte du salon plus tardivement que les Medias / Journalistes.
En tout cas, j'espère pouvoir y retourner en 2020 dans les mêmes conditions. Ça risque d'être une année monumentale avec la next-gen qui est plus proche que jamais. Merci d'avoir lu le récit de mes aventures au pays de l'Oncle Sam, et croyez en vos rêves.