Du 26 au 29 septembre 2024, le salon Tokyo Game Show a pris place au sein du Makuhari Messe pour sa 34e édition depuis 1996. Près d’un mois après les festivités, voici mon compte-rendu de mon passage le jour d’ouverture, et de ce qui fut mon premier salon en Asie.
C’était le dernier grand salon de jeux vidéo qu’il me restait à visiter parmi les plus médiatisés. Ayant déjà fait toutes les Paris Games Week depuis 2010 (dont celle en cours). Cinq Gamescom consécutives de 2017 à 2023. Et l’E3 2019 qui fut l’ultime édition en physique après l’annonce de son arrêt définitif l’année passée.
De base, ce n’est pas mon genre de me vanter. Mais je dois faire partie des rares personnes non journalistes de profession en France, à avoir été accrédité pour tous ces événements (dédicace à Suzukube d’Otakugame si tu lis ces lignes). Et de les avoir couverts à travers des articles comme celui-ci.
Y a de quoi être fier. Et surtout reconnaissant. Je reviens de loin..
Quant au TGS (à ne pas confondre avec le salon toulousain), c’est actuellement le plus ancien salon de JV encore en activité depuis 28 ans maintenant. Pendant longtemps, j’ai toujours suivi les annonces qui en émanaient d’un œil lointain. Sans forcément fantasmer sur l’idée qu’il fallait absolument que j’y sois comme pour le salon américain.
L’illustration officielle du TGS 2024
Mais récemment, alors que je planifiais mon premier voyage au Japon pour septembre 2024, je m’étais dit que ça serait intéressant d’inclure ce salon dans le circuit. D’autant plus que ça tombait à une très bonne période en termes de météo. Bien après les typhons, et en plein automne là où les températures sont encore à peu près supportables.
Cependant, il était hors de question pour moi de centrer mon voyage uniquement autour de ce salon. Ce fut mon erreur lors de ma semaine à Los Angeles pour mes 3 jours à l’E3 2019. Ceci faisant que j’avais à peine profité du centre-ville et de ses alentours.
C’est pour ça que je souhaitais faire qu’une seule journée de TGS. Même si avec du recul, j’aurais dû prévoir un deuxième jour. J’ai très nettement sous-estimé la taille et le contenu de ce salon. Ma journée du jeudi 26 fut par conséquent très speed car je tenais à voir un maximum de choses en plus des jeux à tester. Et aussi à cause des horaires d’ouverture et de fermeture disons, « inhabituels » pour des Européens comme nous.
Car au Japon, j’ai découvert que les salons ouvraient plus tard et fermaient bien plus tôt qu’en France. Pour le TGS, l’entrée se fait de 10h (9h30 dimanche) jusqu’à 17h (16h30 dimanche). Alors qu’à PGW par exemple, c’est 9h/19h. Ma théorie qui expliquerait pourquoi les horaires varient autant d’un pays à l’autre, c’est parce que le Soleil se couche très tôt au Japon à cette période (entre 17h et 18h).
Un salon JV d’une grande envergure
Le calme avant la tempête aux alentours de 9h30
Le TGS est un grand salon. Au sens propre comme au figuré. Certes, pas autant que Gamescom, mais davantage que PGW. Avec 11 halls qui cumulés, font 72 000 m². Auxquels s’ajoutent l’International Conference Hall (6846 m²), et le Makuhari Event Hall (9356 m²) où je n’ai pas mis les pieds. Élevant le tout à une surface totale de plus de 88 000 m², et où 985 exposants furent présents.
Photo : Saitō Hiroyuki 齋藤 博之 (28/09/2024)
En termes de visiteurs, cette édition en aura accueilli 274 739 sur les quatre jours. C’est 30 000 de plus qu’en 2023 et un très bon score pour le salon. À seulement 24 000 visiteurs du record absolu de 2018 qui plafonne à 298 690. Des chiffres comparables aux dernières Gamescom en date, et aux PGW d’avant le COVID.
Et histoire d’avoir des éléments de comparaison, voici les chiffres des dernières éditions en date des autres salons JV déjà évoqués :
- Gamescom 2024 : 335 000 visiteurs | 230 000 m² | 1462 exposants
- Paris Games Week 2023 : 180 000 visiteurs | 80 000 m² | 142 exposants
- E3 2019 : 66 100 visiteurs | 67.000 m² | 200 exposants
Photo : Saitō Hiroyuki 齋藤 博之 (28/09/2024)
Et c’est là que je réalise que ce fut une excellente idée d’y aller durant une des deux journées « Busines Day » réservées à la Presse et à ceux ayant obtenu une invitation. Parce qu’en voyant les photos du monde présent le week-end, et en connaissant les chiffres d’affluence du samedi (97 786) et dimanche (89 773), c’est terrifiant..
Pour vous donner un ordre d’idée, les jeudi et vendredi c’était moitié moins à la journée. Respectivement 42 031 et 45 149 visiteurs. Ce qui reste beaucoup, mais supportable.
International Exhibition Hall 1-8
C’est dans ce complexe de 54 000 m² et divisé en 8 pavillons que furent regroupés les gros éditeurs présents à ce TGS. Avec des stands qui ont fière allure en globalité. Et pas mal d’exclusivités en termes de jeux japonais et d’ailleurs. Voici ce que j’y ai vu et testé hall par hall.
Hall 1
Dans le premier pavillon avant l’ouverture à 10h, j’ai pu assister à la cérémonie d’ouverture intégralement en Japonais. Réunissant les personnalités importantes de cet événement, et accompagnés par quelques mascottes.
Le reste des stands du hall constituaient la Game Academy Area avec différentes écoles du milieu.
Hall 2
Dans le second pavillon, j’y ai repéré le stand de Level Infinite que j’ai l’habitude de voir à Gamescom dans des proportions plutôt respectables. Avec Goddess of Victory: NIKKE. Ainsi que Dune: Awakening (2025), et Exoborne (2025) avec son camion.
Chez THQ Nordic, le joli stand d’Epic Mickey: Rebrushed (27/08/2024). Le remake du jeu éponyme sorti en 2010 sur Wii.
Du côté de S-GAME, Phantom Blade Zero (2026) était à l’honneur. J’ai pu le tester sans attente grâce à une invitation fournie par l’éditeur Chinois en amont du TGS. Voici ma preview.
Moi qui m’attendais à quelque chose d’ultra punitif comme c’est le cas pour la plupart des Soulslike auquel il ressemble de loin, je l’ai trouvé plutôt accessible en y regardant de plus près. On est dans un pur jeu d’action-RPG bien dynamique, fluide, agréable à l’œil, et qui laisse assez peu de temps mort. Particulièrement durant les combats de boss pas évidents au premier abord, l’un d’eux peut même nous tuer en un coup. Mais c’est jouable pour peu qu’on arrive à gérer le timing des parades et esquives, adapter son approche avec les différentes armes pour le combat rapproché (katana, double dague) comme à distance (arc, lance-missile). La preuve en est, moi-même j’ai réussi à battre tous les boss de la démo alors que je suis loin d’être un spécialiste du genre.
D’abord Black Myth Wukong qui rafle tout sur son passage. Et maintenant Phantom Blade Zero qui fera certainement un carton lui aussi. La Chine a décidément le vent en poupe côté JV. À surveiller.
Hall 3
Pour Seasun Games, c’était Mecha Break (25/08/2024). Avec un authentique buste de Mecha devant lequel posaient des hôtesses.
Chez Square Enix le jeu phare était Dragon Quest III HD-2D Remake (14/11/2024). Il y avait aussi FANTASIAN Neo Dimension (5/12/2024). Life is Strange: Double Exposure (29/10/2024). Romancing SaGa 2: Revenge of the Seven (24/10/2024). Et d’autres déjà sortis à ce jour.
Titre que je ne m’attendais pas à voir à ce TGS, Skate Story. Édité par Devolver Digital. Développé par l’unique employé du studio Zarvot qu’est Sam Eng. Et qui m’avait intrigué lors de sa première présentation au Summer Game Fest 2022.
Quand on pense à un jeu de Skate, on pense forcément à la saga des Tony Hawk’s qui ont marqué le début des années 2000. Mais ici, on est sur un tout autre registre. Ne serait-ce qu’en termes d’ambiance autant visuelle que sensorielle. Visuelle par cette direction artistique où tout à l’apparence et les propriétés du verre jusqu’à son protagoniste. Ce qui va même influer sur le gameplay car au moindre choc ou ollie mal négocié, notre skateur se brisera en mille morceaux. Et sensorielle avec une musique envoûtante qui nous transporte dans ce monde semblant tout droit sorti d’un rêve, et où l’objectif est presque littéralement de « décrocher la Lune ».
Je sens venir le jeu pas bien long en termes de durée de vie. Mais ça sera sans doute une expérience comme aucune autre à laquelle je ne rechignerais pas à petit prix. Reste plus qu’a confirmer une date de sortie.
Chez Griding Gear Games, un décor de Path of Exile 2 (15/11/2024 en accès anticipé) avec une cosplayeuse.
Du côté de Vic Game Studios, Breakers : Unlock the World (2024 ?) était testable.
Hall 4
SEGA avait mis le paquet sur place en termes de décors et d’animations. À commencer par Like a Dragon: Pirate Yakuza in Hawaii (27/02/2025) avec ses lingots d’or, son jolly roger, et ses cosplays.
Qui dit SEGA, dit forcément un hérisson bleu dans les parages. Il suffisait de passer par le stand très attrayant de Sonic X Shadow Generations (22/10/2024). Où ce cher Sonic est venu accompagné de ses compagnons Knuckles, Tails, Amy, et son rival Shadow.
J’ai pu essayer ce remaster de l’opus de 2011 que je connais déjà très bien au point de l’avoir terminé à 100%. Et qui figure parmi les meilleurs jeux de la franchise pour moi. Le principal intérêt de cette version est l’ajout de contenu lié au hérisson noir. Dont deux niveaux tirés respectivement de Sonic Adventure 2 et Sonic 2006 que sont Space Colony Ark Act.1 et Kingdom Valley Act.1. Et qui rendent sacrément bien visuellement.
Shadow a la possibilité d’user de son pouvoir signature qu’est le Chaos Control pour stopper le temps, mais pas que. Il pourra selon la situation, lancer des attaques à distance, utiliser une sorte de kitesurf, ou se parer d’ailes noires. J’ai apprécié l’expérience même si je suis moins à l’aise avec ce gameplay qu’avec celui de Sonic. Mais je pense que c’est simplement une question d’habitude. Et si cela peut sensiblement enrichir le contenu et la durée de vie du jeu de base, ça me va.
Chez Atlus, on ne pouvait pas échapper à Metaphor : ReFantazio (11/10/2024) avec un décor peu rassurant aux dessus de nos têtes, et des cosplays du jeu. Sans oublier le free to play Persona 5 The Phantom X (12/04/2024) qui a été officialisé au Japon depuis peu.
Hall 5
Bandai a vu grand avec Dragon Ball: Sparking! Zero (7/10/2024). Avec un immense Goku qui pourrait concurrencer sans problème le Luffy géant de Japan ExpoParis.
Chez Level 5, Inazuma Eleven: Victory Road (juin 2025).
Professeur Layton et le Nouveau Monde à vapeur (2025). La suite directe de l’opus Le Destin Perdu sorti en 2008 sur Nintendo DS.
Fantasy Life i: The Girl Who Steals Time (avril 2025).
L’imposant espace de Konami, avec deux remakes côte à côte. Silent Hill 2 (7/10/2024) à gauche, et Metal Gear Solid Delta : Snake Eater à droite (2025 ?) et dont on va parler de suite.
Ce dernier avait sans aucun doute le plus beau stand de tout le salon. Constitué d’une jungle luxuriante à laquelle il ne manquait plus que des marécages et des alligators pour pousser le délire à son paroxysme. Et le souci du détail ne s’arrête pas là. Car en levant les yeux, on pouvait repérer sur une branche la même sacoche que Naked Snake perd lors de son atterrissage.
Pour pouvoir tester ce jeu et d’autres à TGS, il fallait venir avec un ticket numéroté à récupérer dès l’ouverture du salon dans une queue à part non loin du stand. J’avais pu prendre le mien dans les coups de midi pour ensuite revenir à 16h10. Un système plutôt intelligent, car cela évite les files d’attente hors normes de plusieurs heures. Et c’est l’expérience qui parle..
Je croyais être au bout de mes surprises après le décor de la jungle pour le stand. Et voilà qu’on nous amène d’abord dans une reconstitution du cockpit de l’avion-cargo vu durant la (longue) cinématique d’intro qu’on a du tous visionner avant d’aller sur les bornes de jeu. L’impression d’être à la place Snake à écouter le briefing de Major Tom avant son saut de l’ange vers sa " Mission Vertueuse ".
Vous avez sans doute déjà lu plein de previews sur ce jeu, alors j’irais à l’essentiel. Si vous connaissez déjà bien le MGS3 originel, vous ne serez absolument pas dépaysés. C’est exactement le même jeu qu’à l’époque, mais en infiniment plus beau. Que ce soit dans ses cinématiques qui ont été reprises plan par plan, que dans ses mécaniques de jeu. Et c’est peut-être cet aspect qui aurait dû être un peu plus retravaillé. Certes, on peut désormais marcher tout en étant accroupi (ce n’était pas possible dans l’original à ce que je sache) mais, quand on passe du gameplay de MGSV : The Phantom Pain qui n’a pas pris une ride en 9 ans, à ça, on sent que deux décennies se sont écoulées. D’ailleurs, cette version ne bénéficie pas des 60 fps sur consoles contrairement au 5e opus.
En tout cas, on sent le profond respect qu’a ce remake graphique envers l’œuvre d’Hideo Kojima. Ce dernier qui est même cité à de multiples reprises dans les crédits de jeu. Malgré les embrouilles qui ont conduit à son départ de Konami après MGSV. Reste plus qu’à attendre une date de sortie, même si je doute que ça soit pour 2024.
Et Big Boss était physiquement présent en la personne du cosplayer Allemand @maul_cosplay que j’ai revu sur place.
Hall 6
La dernière fois que j’ai vu un stand PlayStation d’une telle prestance remonte à la Gamescom 2019. Avec un paquet de jeux, même si les 3/4 sont testables chez leurs éditeurs respectifs. Les seules exclusivités du stand étant Astrobot (6/09/2024) et son énorme Gachapon. Et Neva (15/10/2024).
Il n’y avait pas que des jeux chez Sony. Leur hardware fut aussi présent, et pas des moindres. À commencer par la PS5 Pro (7/11/2024) aux côtés de la Slim actuelle.
Il y avait aussi les consoles et accessoires édition 30e anniversaire. Mais introuvables aujourd’hui à part chez des revendeurs peu scrupuleux et à des prix déraisonnables.
Chez Netmarble, un petit décor et des cosplays du jeu Shangri La Frontier (2025).
Hall 7
Du côté de Capcom, une scène pour Ace Attorney Investigations Collection (23/08/2024)
L’une des grandes stars du salon, Monster Hunter Wilds (28/02/2025).
Chez SNK, Fatal Fury : City of the Wolves (21/04/2025) difficile à rater.
Une très belle statue pour Dynasty Warriors Origins (17/01/2025).
Shueisha Games, succursale de l’éditeur majeur de mangas au Japon. Proposant des titres indés sur PC / Steam comme Urban Myth Dissolution Center, Schrödinger’s Call, UNYIELDER, et ANTHEM#9.
Warframe et une moto où pose non pas un cosplay, mais une statue d’un personnage du jeu.
Un joli et vaste espace pour Palworld avec une créature que l’on pouvait enfourcher. C’était d’ailleurs assez drôle de le voir à TGS seulement une semaine après qu’on ait appris que Nintendo les attaquait en justice pour violation de brevets. Où l’art de s’en battre les reins.
Hall 8
Le château d’Infinity Nikki dont la bêta fermée vient tout juste de se terminer.
Double Dragon Revive (2025) chez Arc System Works.
On se croirait presque en été avec Faaast Penguin de Historia Inc.
Un autel pour Duet Night Abyss de PAN Studio Hero Games.
Et un autre jeu qui a rameuté beaucoup de monde à TGS, The First Berserker: Khazan.
International Exhibition Hall 9-11
Changement de bâtiment pour cette fois explorer les 18 000 m² des 3 halls restants de l’International Exhibition Hall.
Ici on y trouve essentiellement du merch, des constructeurs de matériel pour PC, et énormément de jeux indépendants.
Pas de jeux testables chez Kojima Productions à ce TGS (c’était peut-être encore trop tôt pour Death Stranding 2). Mais une boutique avec une statue de Sam Porter. Et un store du jeu NIKKE.
Et j’ai fait trois vidéos de la quasi-totalité des jeux indépendants présents dans le hall. Le tout regroupé dans ma playlist YouTube dédiée.
International Conference Hall
Et dernier hall où je n’étais que de passage pour voir à quoi ça ressemblait. La zone business de TGSqui m’a rappelé celle de Gamescom, mais dans des proportions beaucoup plus modestes.
Pactole
Un loot plutôt conséquent pour une seule journée de TGS et avec assez peu de jeux testés. Au moins, je ne serais pas en rade de sacs.
Le livret du salon intégralement en Japonais avec le plan (version en ligne ici).
Une serviette offerte à ceux qui ont joué à Sonic x Shadow Generations.
Pas mal de choses offertes après ma session sur Phantom Blade Zero.
Un dépliant avec une illustration au recto, et les trois boss de la démo au verso qui ont tous été tamponnés par preuve de ma victoire.
Une douzaine de petites cartes dont une avec les commandes du jeu. Les différentes techniques de combat au recto. Et leur description au verso. Quand je disais que ce jeu se voulait vraiment le plus accessible possible.
Mon unique achat du salon, le tshirt officiel de TGS 2024.
Et le meilleur pour la fin, le tshirt de Metal Gear Solid Delta qu’on m’a donné après avoir testé le jeu.
Conclusion
Pour mon premier Tokyo Game Show, je n’ai clairement pas été déçu du voyage. J’ai été impressionné par son envergure avec une dizaine de halls bien remplis et des stands magnifiques. Énormément de jeux AAA et indés à tester, dont pas mal d’exclusivités. Le tout avec une ambiance festive à la japonaise aidée par le personnel et les hôtesses toujours souriants. Ainsi que de beaux cosplays même si j’en ai vu qu’une infime partie.
Mon seul regret est d’y avoir été qu’une journée. Je ne referai pas deux fois la même erreur lors de ma prochaine visite. Un immense merci à l’orga de m’avoir permis de participer aussi loin de chez moi et en tant que média accrédité, à l’un des événements les plus prestigieux du monde du jeu vidéo.
Y avait tellement de monde pour le merch, que ça paraît beaucoup trop vite. Tu as bien senti le truc en y allant sur les jours dédiés à la presse !
Ça fait plaisir en tout cas et bon article
Merci infiniment pour cet article! C'est magnifique de voir tout ça de l'intérieur du salon!
Putain ces décors de fous, au moins encore un salon qui envoi du rêve!!! C'est vrai putain, je me rappel quand on lorgnait la moindre info dans les magazines dans les 90s, et que tu voyais des photos MINUSCULE des décors de fous qu'ils construisaient pour leur stand, et qu'on bavait devant (genre la Jungle avec la maison en bois pour Donkey Kong Country)
Avec la chute de l'E3 et le tout numérique, toute cette magie à pratiquement disparu, sauf à Tokyo semble t'il!
yanssoumarchand2sable Merci marcelpatulacci Merci kevisiano Je crois qu'il y avait déjà des produits sold-out même les jours presse. Mais j'ose même pas imaginer ce que ca devait être le week-end. Et merci l'ami ! fdestroyer Merci ! Il ont mis le paquet à ce TGS j'ai été impressionné. La Gamescom s'en sors bien aussi en termes de stands. Je pense que c'est important de ne pas seulement se concentrer sur la partie "jeu" dans un salon, mais aussi tout le reste
...comment j'te hais mec...comment j'te hais....
Ça fait plaisir en tout cas et bon article
Putain ces décors de fous, au moins encore un salon qui envoi du rêve!!! C'est vrai putain, je me rappel quand on lorgnait la moindre info dans les magazines dans les 90s, et que tu voyais des photos MINUSCULE des décors de fous qu'ils construisaient pour leur stand, et qu'on bavait devant (genre la Jungle avec la maison en bois pour Donkey Kong Country)
Avec la chute de l'E3 et le tout numérique, toute cette magie à pratiquement disparu, sauf à Tokyo semble t'il!
marcelpatulacci Merci
kevisiano Je crois qu'il y avait déjà des produits sold-out même les jours presse. Mais j'ose même pas imaginer ce que ca devait être le week-end. Et merci l'ami !
fdestroyer Merci ! Il ont mis le paquet à ce TGS j'ai été impressionné. La Gamescom s'en sors bien aussi en termes de stands. Je pense que c'est important de ne pas seulement se concentrer sur la partie "jeu" dans un salon, mais aussi tout le reste