Pour la 7ème fois d'affilé, j’ai pu visiter le Paris Games Week toute la journée duSamedi 29 Octobre avec un groupe d'amis. Un des plus gros salons du Jeu Vidéo en Europe derrière la Gamescom en Allemagne. Et toujours logé au Parc des Expositions Porte de Versailles depuis sa toute première édition en 2010. Plus d'un mois et demi après les festivités, voici mon récit à froid avec des avis sur les jeux testés, d'une édition aussi chargée que frustrante.
Square Enix est dans la place
Après avoir traversé tous les Pavillons du salon jusqu'à atteindre le Hall 1, nous nous sommes dirigés sans détour vers la zone de Square Enix. L'éditeur avait vu les choses en grand cette année avec une flopée de titres plus ou moins inédits, dont Rise Of The Tomb Raider 20th anniversary, le dernier HITMAN, Dragon Quest Builders, World Of Final Fantasy, Kingdom Hearts 2.8, Deus Ex : Mankind Divided...
Petite erreur sur la date
...Et sans oublier une des grandes stars du salon. Attendu depuis bien trop longtemps et que tout Gamekyo a déjà fini n'est-ce pas ? Je parle bien évidement de Final Fantasy XV. Premier jeu qu'on aura testé durant à peu près 20 min, sur quelques unes des 50 bornes de test mises à disposition. Rien que ça.
Aperçu de FF XV
Vu que des tests sont dispos un peu partout sur le net, je ne rentrerai pas trop dans les détails. Et je précise aussi que je n'avais jamais touché à un jeu de l'univers FF avant cette session de jeu.
Après une courte file d'attente, je m'installe et déjà les déboires commencencaient. J'ai rapidement constaté un problème au niveau du son de mon casque. Souci par la suite corrigé par un des membres du staff, qui à simplement débranché la prise jack de la TV pour la rebrancher sur la Dualshock 4. Si j'avais su...
La démo démarre avec la fameuse séquence où Noctis et son crew font "pousse-pousse". Séquence qui s'est terminée par une reprise que je trouve fort jolie du morceau "Stand by me" par Florence + The Machine.
Changement d'acte, et là je peux réellement constater le travail fait sur l'aspect visuel. Graphiquement le jeu s'en sort très bien au niveau des décors et avec une très grande distance d'affichage, de la modélisation globale et des animations. Il demeure fluide en toutes circonstances, mais j'ai tout de même relevé de l'aliasing (surtout sur les cheveux). Globalement c'est au dessus de la moyenne de ce qui se fait actuellement.
Le Gameplay est vraiment intéressant et laisse entrevoir d'innombrables possibilités. Entre les combos qu'on peut effectuer aussi bien sur la terre ferme qu'en l'air. Les personnages autonomes en plein affrontement, interchangeables, et qui ont chacun leurs propres techniques, dont "l'éclipse tactique" de Noctis redoutable en hauteur.
Le tout est regroupé dans un arbre de compétences (un pour chaque perso) assez costaud. Un système de combat en temps réel qui me rappelle les derniers Xenoblade, mais à un tout autre niveau. Par contre j'ai eu un peu du mal avec la caméra durant la démo. Dans des endroits cloisonnés où s'y trouve beaucoup d'obstacles, soit elle manque de stabilité, soit elle occulte complètement l'action.
En tout cas pour quelqu’un comme moi qui ne connais rien à la saga, ça m'a donné envie. Je le prendrai très certainement sur une PS4 que je n'ai pas encore à l'heure actuelle.
Y a du mieux, mais...
Après cette séance, j’ai entamé ma petite ballade en observant de loin ce que le salon proposait, et aussi constater les évolutions (ou régressions) par rapport aux années passées.
Et premier constat. Enfin on commence à avoir un peu d’espace pour nous ! Un des soucis récurrents du PGW concernait la répartition des très nombreux visiteurs (plus de 307.000 l’année dernière) dans une surface trop petite pour que ça en devienne vivable. Mais cette année, c’était bien la première fois depuis très longtemps que j’ai eu aussi peu de mal à me déplacer.
Il faut dire que ce ne sont pas moins de 4 Halls, qui auront été mis à disposition pour une surface totale de 80.000m². Soit 30% de plus qu'en 2015. D'ailleurs, le Hall 3 fut entièrement dédié aux championnats eSport avec l'ESCW(CS GO, Clash Royale, Just Dance, FIFA 17) et l'ESL(RS Siege, LoL). Je n'y ait pas assisté, mais l'ambiance devait être démente entre les champions et les Youtubers qui faisaient le show sur la scène principale.
De l'espace partout sauf bien sur dans le “couloir de la mort”, où se côtoyaient les plus gros stands du salon. Toujours noir de monde et à un niveau sonore tellement élevé qu'il pourrait faire exploser les tympans d’un sourd.
À ce sujet, j'ai eu vent d'une “battle” entre les stands de PlayStation et Bandai Namco ce Samedi là afin de déterminer qui des deux avait la plus grosse en termes de décibels. Ce qui est à la fois puéril et irrespectueux envers les visiteursET les autres exposants.
Constat amer cette fois, les files d'attente interminables. Et ça ne date pas d’hier. Que ce soit autour des stands de casques VR (ce que je peux comprendre) et de jeux AAAprêts à sortir ou déjà sortis pour beaucoup (ce que je n'ai jamais compris). À l’image de l'éternel engouement pour les annuels jeux de tir à la première personne sortant en Octobre-Novembre pour ne pas citer de noms. Dont l'attente peut durer plusieurs heures. Où l’art de flinguer (et c’est le cas de le dire) une demi-journée entière...
Et le pire, c'est que la quasi totalité des jeux étaient déjà sortis au moment du salon. À l'exception de Dishonored 2, Watch Dogs 2 (sortant chacun 2 semaines après) Steep (en Décembre), For Honor (Février 2017) et une autre dont j'en parlerais plus bas et qui a mis nos nerfs à rude épreuve.
Liste bien évidemment non exhaustive car j'ai surement du en louper pas mal d'autres moins mis en avant. Mais ça n'enlève rien à la violence du ratio entre les jeux dispo en magasin, et ceux à venir. Raison pour laquelle je teste de moins en moins de jeux au fil des ans, et qui m'a amené à me poser la question suivante.
Pourquoi perdre du temps dans un salon pour tester un jeu déjà dans notre liste d'achats, alors qu'on peut simplement attendre qu'une démo soit disponible ou de l'avoir entre nos mains à sa sortie ?
Après chacun fait comme il le souhaite. Mais je trouve ça regrettable de gâcher autant de temps pour ça alors que le salon a tellement plus à offrir.
Et le grand absent du salon est...
Paris Games Week 2012
Nintendo! Qui a surpris tout le monde en annonçant début Octobre sa non-présencecette année à la PGW. Absence expliquée par la firme par le communiqué qui suit :
"Chaque année, Nintendo cherche les meilleurs moyens et les meilleurs moments pour permettre à ses fans d’avoir accès à ses jeux. Cette année, Nintendo a décidé de ne pas participer à la Paris Games Week, car elle ne s’insérait pas dans le plan annuel. Nous souhaitons à tous les participants et aux organisateurs un très bel événement."
En gros ce que la firme sous-entendait mais ne disait pas, c'est qu'ils étaient en pleine préparation de la comm' autour de sa future console qu'on appelait encore "NX" à cette période là. Et que tout le monde connait aujourd'hui sous le nom de Nintendo Switch. Mais cela justifiait il pour autant de faire l'impasse à un des plus gros salons JV de la période ?
C'est incompréhensible. En quoi cela aurait perturbé leur organisation dans le salon ? Parce que malgré le peu de nouveautés qu'il auraient pu présenter (The Legend Of Zelda : Breath of the Wild, Pokemon Soleil & Lune), rien ne leur aurait empêché d'organiser des multiples tournois comme ils l'ont toujours fait. Rien qu'avec Splatoon, Mario Kart 7 et 8, Smah Bros 3DS & Wii U, les Pokemonet consorts, y a largement de quoi remplir un stand à ras-bord. Et le plus étrange, c'est que c'est exactement ce qu'ils ont fait à la Japan Expo 2016.
C'est vraiment dommage, car les stands Nintendo que ce soit à la Japan, PGWet ailleurs, sont à l'image de la firme et transpirent le fun et la convivialité. Après, ça n'est que mon ressenti, sachant que mon cotéN-Sex joue pas mal aussi.
Pendant ce temps, dans les Halls 2 et 3
Retour au Hall 2.2, où j'ai pu tester le jeu mobileCelsius Heroes. Un RPG plus ambitieux qui ne le laisse paraître et dont le but est de réaliser des quêtes éparpillées un peu partout dans le Comté d’Acilion. Il sera question de résoudre des puzzles-game, avec la possibilité d'améliorer son équipement et de jouer avec des amis.
Dans le Hall 3 cette fois, j'ai pu me rendre au stand du constructeur NVIDIA.. Où on m'a présenté le bluffant système audio 3D de [i]Nahimic compatible avec les cartes MSIet délivrant un son virtuel en 7.1 très immersif.
PlayStation VR - Round 2
La 1ère (et seule fois) fois de ma vie que j'avais testé un casque de réalité virtuelle, c'était à la PGW 15 avec le PS VR sur RIGS : Mechanized Combat League, en étant assis. Une bien chouette expérience que j'ai réitérée cette année mais dans des conditions un peu différentes d'antan.
Cette année, bien que j'ai pu réserver mon créneau à l'avance via le site trypsvr.com, on ne m'a pas laissé le choix du jeu à tester... La seule place vacante étant pour Batman Arkham VR, déjà sorti lui aussi. Alors que j'étais beaucoup plus hypé par Farpoint. Un FPS futuriste et annoncé pour 2017 qui avait l'air d'envoyer du lourd, surtout en VR.
Et ce sera également le seul casque que j'aurais testé dans le salon. Alors que cette technologie était assez répandue cette année comme en atteste la présence de HTC, Oculus, SamsungetOrange.
Aperçu Batman Arkham VR
Bien que l'expérience fut trop courtepour ce que j'en ai fait, je pourrais au moins me dire que j'aurais été le Batman durant 20 min. Et ce n'est pas rien.
Débout, les casques VR et audio enfilés, les PS Move en main, la démo débute dans le manoir Wayne. Où s'y trouve la Batcave dont on déverrouille l'entrée en mimant les gestes pour "jouer" les notes sur le Piano.
Suite à ça, la plateforme à mes pieds commence à descendre dans les profondeurs. Moment assez déstabilisant car j'avais pour le coup réellement l'impression d'être dans un ascenseur. La sensation de chute en moins. Ce qui me laisse le temps d'observer les décors de cette cave, et de constater que cette version est assez loinvisuellement de ses homologues sur consoles de salon. Mais bon, c'est un jeu VR en début de vie. On lui pardonnera ce détail.
Arrivé en bas, je commence à me familiariser avec les mécaniques de jeu, les interactions avec l'environnement, et l'utilisation des différents gadgets très "téléguidés" tels que grappin, le batarang et l'outil de scan.
Et c'est tout ! La démo s'arrête net au moment où on arrive sur le poste de contrôle. Au final je n'ai même pas bougé. Énorme déception car j'aurais aimé pouvoir explorer Gotham.
Mais en tout cas le jeu était fluide, encore heureux quand on parle de VR. Et pas de nausées non plus à signaler de mon coté.
Aperçu de Horizon Zero Dawn
Certainement un des jeux que j'attends le plus en 2017. Ses multiples séquences de Gameplay vus aux derniers E3 m'avaient déjà quasiment convaincu. Il me restait juste à juger manette en mains afin de m'en faire un avis définitif.
On y incarne donc Aloy, dans un monde ouvert où des Robots Dinosaures trônent au sommet de la chaîne alimentaire. Créatures qui ont une assez bonne vue et qui pour les plus craintifs n’hésiteront pas à déguerpir, ou pour les plus affamés à se jeter sur nous en meute dès qu'on sera dans leur ligne de mire.
On a le choix soit de les abattre, soit de fuir, ou soit de les apprivoiser afin d'en faire une monture pour qu'ils se battent à nos cotés. D'ailleurs j'ai mis toute la durée de la démo pour comprendre comment dominer un TauRobot (désolé) à la toute fin.
Niveau aptitudes, on pouvait scanner la zone afin de déceler leur points faibles, et faire usage de l'inventaire comportant un arc avec différents types de munitions (feu, glace), et qu'on pouvait combiner avec une corde/grappin pour immobiliser les créatures.
Une 20aine de bornes étaient prêtes à l'emploi
Le Gameplay est dynamique et prône l'esquive, indispensable face à eux. Ca me rappelle les derniers Tomb Raider. Très orientés cotés survie, chasse et exploration, mais en bien plus sauvage.
Un truc qui m'a pas mal perturbé, et que paradoxalement je trouve excellent, c'est l'absence totale d'informations à l'écran dans cette démo. Pas de carte, pas de radar, pas de barre de vie ou munitions restantes, rien ! Le genre de jeu qui te lâche en pleine nature en mode "démerde toi !"
En bref, [g]j'ai encore plus envie de me le prendre. Mais malheureusement, l'expérience à été quelque peu gâché en amont à cause d'une inexplicable, et inter-minable file d'attente de 3h10 (chronomètre en main).
En ce qui me concerne, c'est un (triste) recordpersonnel que j’aurais aimé ne pas battre à nouveau. La dernière fois que j'ai poireauté aussi longtemps, c'était en 2011. Où j'avais encore la foi d'attendre 3h pour tester la fraîchement dévoilée PS VITA...
On pouvait mater des PS4 Pro en attendant...
Conséquence, j'ai du volontairement zapper des activités. Comme essayer d'autres casques VR, ou jeux que j'avais initialement prévu de tester. Depuis, certains sont déjà entre mes mains en ce moment. Steepdont j'ai pu tester la bêta, et Dishonored 2 que je viens de finir sur PC (et qui est une tuerie). Les autres softs en plus de rassembler beaucoup trop de monde ne m’intéressaient pas.
Mais heureusement, j'ai croisé à la sortie du stand un superbe Cosplay officiel du jeu en guise de lot de consolation, que l'on doit à liliDinCosplay.
Aperçu Gravity Rush 2
Alors que je filais tout droit vers une zone de rassemblement spéciale, je me suis arrêté en chemin à deux pas de là pour tester sur des bornes libres d’accès, Gravity Rush 2. Qui fait suite à l'opus originel sorti en 2012 sur VITA, et en 2016 en tant que Remastered sur PS4.
Et c'est très certainement mon coup de du salon. Rien qu'au niveau de la direction artistique ça envoyait du pâté. Le Cel Shading couplé à des couleurs chatoyantes confère au jeu un aspect poétique et féerique. En un mot comme en dix, magnifique !
Le Gameplay n'est pas en reste avec l'aptitude qui fait office de titre au jeu. À savoir le fait de pouvoir contrôler sa propre gravité, et de choisir en plein état d'apesanteurd’atterrir où bon nous semble à condition d'avoir bien visé au préalable la zone atterrissage, ou l'ennemi choisis. Le tout se fait en un simple coup de gâchette.
Ce jeu est doté d'un certain sens de l'humour. Que l'ont doit aussi bien à des dialogues savoureux à la tournure improbable, qu'aux personnages aux caractères...spéciaux.
Mon seul regret est de ne pas avoir pu profiter de l'ambiance sonore du jeu. Le bruit de fond du salon et l'absence de casques à disposition m'en ont empêché. Mais c'est à coup sur une saga que j'entamerai sur PS4.
Le plus grand rassemblement de Cosplays Tomb Raider
À 16h environ, j'ai pu arriver à temps pour assister au climax d'un rassemblement sans précédent. Ce ne sont pas moins de 270 CosplayeursetCosplayeuses de Lara Croftvenus du monde entier qui auront été comptabilisés ce 29 Octobre 2016.
Un record absolu donc, validé par le Guiness Book himself. Et un superbe cadeau d'anniversaire à l'occasion des 20 ans de Tomb Raider.
Conclusion
Malgré l'absence de Nintendo, le peu de casques VR et de jeux testés (j'ai quasiment joué qu'à la PS4), cette édition fut rassurante et bien plus intéressante que celle de 2015. Rien qu'au niveau de l'organisation générale des efforts ont été faits et ça se sent. Et le salon était enfin à peu près praticable.
Mais beaucoup de progrès reste encore à faire au niveau des mêmes points qui posent toujours problèmes 7 ans après. À savoir les files d'attentes à n'en plus voir la fin, le bruit ambiant, l’hygiène, et des jeux presque tous déjà sortis au moment du salon et qui sont juste là pour attirer du monde. Il est temps que ça change, même si de mon coté je me fait plus trop d'illusions...
En tout cas j'y reviendrai probablement en 2017. Et merci de m'avoir lu.
Du 21 au 23 Octobre 2016 à eu lieu la 7ème édition de la Comic Con en France, et la 2ème à Paris au Grande Halle de la Villette. Une entité majeure dédiée à la Pop Culture et déclinée dans le monde entier. Paris n’étant qu’une des nombreuses villes l’hébergeant. J’en ai profité pour m’y rendre une nouvelle (et dernière ?) fois le Samedi 22, et ainsi vous conter ma courte journée en solo dans ce salon.
Intro
C'était ma première venue à la Comic Con depuis son installation à la Villetteen 2015. Mais en réalité, j'ai connu ce salon bien plus tôt en 2011. Du temps où il partageait les mêmes locaux que la Japan Expo au Parc des Expositions de Villepinte jusqu'en 2013. Ce n'est qu'en 2015 qu'il reviendra sous la forme qu'on lui connait, mais avec des avis très négatifs selon les retours de l'époque.
Du coup, j'ai voulu tenter cette année sachant que dans le même thème, j'avais déjà exploré la Paris Comics Expo au Parc Floral de Vincennes6 mois plus tôt (et qui ne reviendra pas avant 2018). Et très sincèrement, j'ai préféré cette dernière. La raison sera justifiée par une gueulante en fin d'article.
Super Héros Expo
Une fois passé la laborieuse file d'attente en 3 étapes (fouille du sac, fouille corporelle et validation du billet d'entrée) vigipirate oblige, et qui m'aura coûté ma bouteille d'eau de 75cl, je me glisse enfin à nouveau au cœur de l'univers des Comics. Représenté par les 2 piliers du genre que sont DC Comics, et celui qui m'a semblé être le plus mis en avant ici, Marvel.
Des statues à l'effigie de nos super héros, aux costumesofficiels sortis tout droit de leurs séries TV respectives (The Flash, Arrow, Supergirl), il ne manque de rien. Même de nombreux acteurs ont répondu à l'appel. Comme entre-autres l'acteur Mike Colter, qui incarne Luke Cage dans la série TV éponyme. Ou Benedict Cumberbatch qui joue le rôle principal dans le fraîchement sorti Doctor Strange. Présent lors d'une projection inédite du film, mais au-quelle je n'ai pas assisté.
Et afin de se glisser encore plus dans la peau de l'un des leurs, Playstation avait son petit stand prêt à accueillir les visiteurs les plus patients pour tester la réalité virtuelle avec Batman Arkham VR, déjà sorti sur PS4 le 13 Octobre dernier.
Le retour des sorciers
À l'occasion de la sortie le 16 Novembre 2016 au cinéma, de la pré-quelle de la saga Harry Potter intitulée Les Animaux fantastiques ("Fantastic Beasts and Where to Find Them" en VO), réalisée par David Yates (qui s'était occupé des 4 derniers films) et scénarisé par l'auteure J. K. Rowling en personne, une petite vitrine était à la disposition des visiteurs afin de contempler quelques uns des véritables objets ayant servis dans les anciens films tout comme celui à venir.
Caricature à prix d'or
À la CC, les visiteurs avaient la possibilité de se faire littéralement refaire le portrait. De nombreux artistesaméricains étaient présents au stand Fusion Designs afin de réinterpréter à leur manière, le faciès des intéressés. Dans un style "caricatural" très proche des comics bien évidement.
Je me suis moi même laissé tenter par l'expérience. Sachant que le tarif variait (beaucoup) selon la demande. On avait le choix de se faire dessiner soit que la tête, jusqu'au buste, ou le corps entier. Et en plus de cela d'y ajouter de la couleur (brush) ou non. Pour le mien j'ai choisi que le visage (10€), avec le logo de l'expo (5€) et enfin le cylindreen carton pour le rangement (5€). C'est pas donné, mais ça valait franchement le coût/coup au vu du résultat.
Ressemblant non ?
Cosplays
Il est inenvisageable d'avoir une convention dédiée à la pop-culture, aux mangas, aux jeux vidéos et j'en passe, sans leurs éternels Cosplays. Et même si j'en ai pris très peu en photos cette année, je vais tout de même leur rendre hommage avec une galerie rien que pour eux. D'ailleurs un cosplay improbable se trouve dans cette galerie. Saurez-vous le retrouver ?
Mais je ne pouvais pas finir sans mentionner le meilleur Cosplay de tout le salon...
Maître Windu-64 !
Bon ok, je vous ait un peu survendu le truc, mais "force" est de reconnaître que la gestuelle est là, non ? Plus sérieusement, c'est le stand de Planète Star Wars situé dans les hauteurs du salon, qui proposait aux visiteurs de se faire immortaliser en tant qu'apprenti Jedi, et avec la bonne compagnie de BB-8. Et le tout gratuitement, je tiens à le préciser.
Je me souviendrai de ce shooting comme étant ma toute première tentative dans le Cosplay. Seul l'avenir me dira si je me décide un jour de me lancer dedans ou non.
"La nuit est sombre et pleine de terreurs"
Ceux qui ont reconnu cette citation savent surement de qui je vais parler ici. On la doit au personnage de Melisandre. la fameuse sorcière rouge dans la série Game Of Thrones jouée par Carice Van Houten. Et si j'en parle ici, c'est parce que cette actrice et chanteuse d'origine néerlandaise faisait partie des nombreux invités prestigieux que la Comic Con a accueilli cette année.
J'ai pu la voir de loin le Samedi, donnant de 15h à 16h une conférence assez drôle où elle livrait quelques anecdotes sur sa carrière en tant que comédienne, et dans la série qui l'a fait connaitre avec une séance questions/réponses avec le public. Et le tout sans spoilers
Marée humaine...
Et je vais finir sur le point qui m'a le plus posé de problèmes. À ce jour, j'ai fait 8 Japan Expo d'affilés, 7 Paris Games Week d'affilés, et une seule PCEet Paris Manga. Je peux donc légitimement me considérer en tant que vétérandes conventions. Mais aucune d'entre elles ne m'a autant mis sur les nerfs que cette CC 2016. Et pour une raison toute simple...
Je pense que la photo du dessus parle d'elle même. D'expérience, je n’ai jamais, au grand jamais, vu une telle concentration d’individus au m² que pour ce genre d'événement auparavant. Le fait que j'y sois allé en Week-End, qui est par définition une période à très forte affluence, n'a clairement pas arrangé la chose.
Mais bon, dans le fond je m'y attendais. Et les multiples files d'attente vertigineuses à l'extérieur qui devaient faire à vu d’œil, au moins 100m de long chacun, annonçaient déjà la couleur. Files qui ont en revanche, duré moins longtemps que je l'imaginais car j'ai pu pénétrer dans l'enceinte du salon au bout de 30-40min (ce qui n'est pas rien).
Sans exagérer, j'ai du passer autant de temps en étant immobile qu'en étant en mouvement. Même pour aller au WC il fallait faire une queue monstrueuse. Mais le plus dur ça devait être quand même pour les Cosplayers. Soit ils crèvent de chaud selon le costume porté, soit ils prennent le risque de se le faire endommager par des visiteurs peu attentifs. Mais la plupart du temps, ils avaient assez d'espace autour d'eux et les gens les laissaient passer.
En tout cas pour la prochaine édition faudra prévoir beaucoup plus d'espace pour que ça devienne respirable. Parce que 26.000m² ça ne suffira plus pour un événement de cet ampleur à l'avenir. Alors soit ils installent une partie des stands à l'extérieur du salon à l'image des bonnes vielles brocantes locales, soit carrément changer d'emplacement.
Conclusion
Sincèrement, je ne regrette pas d'être venu à cette Comic Con Paris 2016. Mais si ils ne changent rien d'ici l'année prochaine concernant l'affluence monstre, je n'y reviendrai pas. C'est dommage que ça ait gâché mon expérience parce qu'à coté, ils ont quand même mis le paquet. Que ce soit au niveau de l'organisation, des activités, des invités, et des Cosplay. En tout cas je me serais bien amusé, et c'est le plus important.
Samedi 7 Mai 2016. Ultime journée passée en Floride, et étape finale avant le départ des USA le lendemain. Un périple qu'on a choisi de conclure en beauté avec la visite du complexe Universal Orlando Resort. Deux parcs à thèmes regroupant une multitude d'univers différents issus de la “Pop Culture”, que sont Universal Studios Florida et celui qu'on aura visité, Universal's Islands of Adventure.
Avec la voiture louée la veille, il nous aura fallu 4h de route pour effectuer le trajet (plutôt fluide) de Miami vers Orlando. Ça équivaut à peu près à un Paris -> Poitiers (presque 400km). Un état que je n'aurais pas cru si vaste, et dont on n'aura parcouru que la moitié...On arrivera finalement sur place dans les coups de midi heure locale.
Le Parc
On pourrait l'apparenter à nôtre Disney Paris avec d'un coté le coin plus traditionnel avec ses attractions phares, et de l'autre la partie Studios avec des attractions plus modernes et d'intérieur pour la plupart. Sauf qu'au lieu de un, ce sont pas moins de 3 univers différents qui sont représentés là bas. Rien que ça.
D'abord le Marvel District, fidèle à l'esprit des Comics et où on peux y croiser ses Avengersfavoris. D'ailleurs, une grande montagne russe était dédiée à Hulk, mais hélas fermée ce jour-là.
Le parc à également reproduit très fidèlement le quartier Pré au Lard et le Château de Poudlard(qu'on a pas pu visiter) tous deux issus de l'univers de Harry Potter. L'homme que je suis et ayant passé une bonne partie de sonadolescence avec cette saga à beaucoup apprécié.
Et enfin, le véritable Jurassic Park ! Presque aussi dangereux que dans les films avec des dinosaures presque en chair et presque en os. Des créatures animatroniques pour être plus précis, et bougeant de manière assez réaliste.
Même le resto où on se sera posé, et nous ayant offert la superbe vue ci-dessous, était dans le thème. Vous vous souvenez du lieu de la scène finale du premier Jurassik Parkde 1993 ? Les décors ont été reproduits à la brique près.
Ce parc en définitive, c'est un rêve de gosse devenu réalité. Le jour où j'en aurai un, je l'emmènerai la bas à coup sûr.
Attractions
Jurassic Park River Adventure
Prenez le Grand Splash du Parc Astérix. Remixez le à la sauce Jurassic Park en y ajoutant pleins de dinos dedans, et vous obtiendrez l'attraction Jurassic Park: The Ride. Un parcours aquatique dans une jungle recréant le décor du film, et qui se termine par l'inévitable "chute" du haut de la cascade face à ce bon vieux T-Rex. Ça mouillait pas mal, mais y avait pire...
The Amazing Adventures of Spider-Man
Attraction dynamique et ultra immersive. Dont sa technologie m'a rappelé celle du Futuroscopeà Poitiers que j'ai visité l'année passée. Grâce à des lunettes 3D, on parcourt depuis la voiture, la ville de New York en compagnie de l'homme araignée, tout en évitant les divers obstacles et les antagonistes de Peter Parker se dressant face à lui. Par moments, on avait vraiment l'impression de s'envoler, chuter où même manquer de peu de finir brûlés. C'était grisant.
Dragon's Challenge
A 2 pas du château, deux montagnes russes inversés se faisaient face. Elles avaient pour thème les dragons de feu et de glace. D'ailleurs, l'attraction a été conçue de manière à ce que ces dragons s'entrecroisent de temps à autre. C'était assez drôle de frôler de si près, les occupants de l'autre parcours. Pour ma part, j'ai trouvé ça sympa mais très court. Pour le moment ma montagne russe préférée reste toujours le Ozirisdu Parc Astérix.
Poseidon's Fury
Au sein du continent perdu, dessiné par de nombreuses ruines ayant pour thème la mythologie grecque, s'y trouvait l'ancien temple du Dieu des mers Poséidon. Au programme, une bataille épique entre dieux sous un déluge d'effets aquatiques et pyrotechniques. Le tout saupoudrée d'une touche d'humour que l'on doit aux showmans.
Dudley Do-Right's Ripsaw Falls
Et enfin le dernier lieu visité du parc, Toon Lagoon. Où on peut y croiser de célèbres personnages issus des Comics Strips tels que Betty Boop et Popeyepour ne citer qu'eux. Le paradis des attractions qui "mouillent". Avec notamment celle qu'on a testé en tout dernier qui est une rivière rapide se terminant par une chute (celle que vous voyez au fond de la photo au dessus) aussi vertigineusequ'humide.
Un superbe Parc, qui n'a rien de comparable aux nôtres rien que par les moyens mis en œuvre. Puis c'est aussi ça les USA. Champions du monde de la démesure.
Jour 10 - Retour au bercail
Le soir même, on s'est préparés à quitter le sol américain en passant par un Aéroport International de Orlando plutôt classe. Suite à ça, 7h de vol (comprenez par là 7h de sommeil ) nous ont attendu au sein de la très chouette Norwegian Airlines. Bye bye America !
Retour sur le continent européen à 11h20 à l'aéroport de Gatwicken Grande Bretagne. Escale finale avant l'atterrissage en France. Avec encore un autre retard, de 1h30 cette fois-ci, que l'on devait à la compagnie Britannique Easyjet. Encore aujourd'hui j'en connais même pas la raison...
Finalement, notre aventure prend fin à l'aéroport de Roissy Charles de Gaulle dans les coups de 18h. Ce fut un des voyages les plus marquants de mon existence.
Conclusion
Pactole final !
J'aurais passé une incroyable semaine en compagnie de ma grande sœur et mon beau frère, que je remercie chaleureusement. J'ai pu découvrir un pays dont je rêvais de fouler le sol depuis tout petit, et je ne pouvais pas ne pas vous partager ce que j'avais vécu là bas. J'y retournerai, ça c'est certain.
Vue de l’appart-hôtel depuis la station de métro la plus proche
Mercredi 4 Mai, nous quittions la tête pleine de souvenirs (nos valises aussi) notre appart-hôtel du Queens direction l'Aéroport international de Newark-Liberty. Sauf qu’on était loin de s’imaginer qu’une très mauvaise surprise nous attendrait là bas.
Notre vol en direction de l'Aéroport international de Fort Lauderdale-Hollywood en Floride près de Miami fut retardé de 3h30 à cause d'intempéries ravageant le couloir aérien...
Finalement, on a tous embarqué pour un vol de plus de 3h direction la pointe Sud de l'état de la Floride. Vol qui n’a pas manqué de turbulences malgré tout. Comme quoi ça aurait pu être bien pire si on était partis plus tôt.
21h heure locale, nous sommes finalement parvenus à atterrir, mais sous une pluie diluvienne et à 25°C...Sur place, on choppa un Uber qui ne mettra que quelques minutes à arriver, et qui nous déposera enfin à l’appart (toujours sous la pluie) dans la soirée.
Jour 7
Welcome to Miami ! Comme dirait ce bon vieux Will. Sauf que dans notre cas, c’était South Beach. Un quartier à l'est du centre ville et donnant directement sur l'atlantique. Fini les gratte ciel anormalement hauts et trop nombreux pour être répertoriés. Place aux villas, hôtels et voitures de luxe ou autres signes de richesse (trop) évidents.
Les fanas de caisses seront aux anges là bas. Presque tout le monde là bas roule dans des bolides hors de prix (Porsche, Chevrolet, Buggati, Cadillac et j'en passe...).
Y avait aussi quelques modèles plus extravagants comme celle que j'ai baptisé de mini "Batmobile". Et une voiture de flic toute droite sortie de la saga Need For speed.
South Beach, c’est l’équivalent de Cannes en Côte d’Azur, mais à un tout autre niveau. Et avec beaucoup plus d’ambiance. Là bas, les gens peuvent faire la fête toute la nuit, mettre la sono à fond sur la plage ou dans la rue, ca ne dérangera personne, ou presque. À part peut être les touristes et les moins habitués. Une différence de culture que j’apprécie, et assez dépaysante.
Parfois, j’avais l’impression d’être dans un de ces clips américains qui passent à la télé. Après faut pas se voiler la face. Tout est très “superficiel”. L’apparence et le faire paraître priment sur le reste. D’où les “signes de richesse” évoqués plus haut.
Dans la soirée, on aura bu un cocktail sur Collins Avenue. Le quartier "chic" de la ville, et aussi le plus animé, surtout de nuit. Sans exagérer, il doit y avoir facile au moins une boite de nuit par rue.
Jour 8
Deuxième et dernière journée à Miami Beach. Qu'on aura pu explorer davantage avec notre voiture louée dans une agence Sixtce jour-là. Par chance, la gérante parlait aussi le Français. Ce qui facilita grandement la tâche.
Journée terminée en beauté (à un coucher de Soleil près) au South Pointe Park, peuplé de Yoguistes et situé à la pointe sud de la ville. Lieu nous offrant une vue imprenable sur l'océan et le centre ville. Ce "Miami Sunset" aura été l'une des plus belles choses que j'aurais vu durant ce voyage au USA.
Article un poil plus court que les autres, mais mes activités là bas furent moindres qu'à N.Y. Dernier acte demain, Universal Orlando et retour à Paris.
Ultime journée passée à NY avant le départ pour la Floride le lendemain, et avant dernière cartouche utilisée du Citypass. Celle du Museum Américain d'Histoire Naturelle, où on aura passé le plus clair de la matinée.
Il fut inauguré il y a presque 140 ans et regroupe une collection hallucinante de spécimens et d’objets par millions. Même son homologue Parisien que j’ai déjà visité y a une quinzaine d’années avec mon école primaire ne fait clairement pas le poids à coté.
Ce musée regroupe tout ce qui touche de près ou de loin aux sciences naturelles (faune & flore, minéralogie, anatomie, etc...), la culture des civilisations humaines, la paléontologie, et l’astronomie. Cette dernière faisant partie du magnifique cube de verre (celui de la première photo) englobant le Rose Center for Earth and Space.
D’ailleurs concernant cette dernière catégorie, on a débuté l’exploration spatiale par une projection spéciale sur les origines du Cosmos, au sein du Hayden Planetarium. Une salle à écran hémisphérique du même acabit que la Géode de la Cité des Sciences à Paris, ou celles du Futuroscope de Poitiers. Le plafond faisait office de voûte céleste et diffusait de splendides effets spéciaux illustrant l’univers. L’expression “avoir la tête dans les étoiles” a pris tout son sens. Et le passionné d’astronomie que je suis en a eu plein les mirettes.
On s’est dirigés par la suite dans ce qui m’avait l’air d’être la plus grande salle de tout le musée, à contempler des animaux figés dans un simili environnement naturel. J’ignore s’ils sont empaillés ou non mais l’impression d’être au zoo n’était pas loin.
Suite à ca, on a commencé à remonter le temps dans le passé en contemplant en vitrine des objets, armes et divers ayant de quelques siècles à plusieurs millénaires d’ancienneté pour certains. Comme cet attirail de samouraï ci dessus datant du Japon médiéval.
Beaucoup d’objets datant carrément de l’époque préhistorique y furent exposés. Avec parmi eux les tous premiers outils utilisés par nos lointains ancêtres (bifaces, silex, etc..), et une Vénus paléolithique(en haut à gauche de la 1ere image du dessus), statuette féminine datant de -200.000 ans avant nôtre ère pour les plus anciennes.
Puis vient l’objet même de notre venue, que sont les Dinosaures ! Ou plutôt leur fossiles dans le cas présent. Mais pas d’inquiétude, on reparlera dinos (presque) en chair et (presque) en os plus tard dans un prochain article…
Bon ok, j’avoue. Le "classique" qu'est Jurassic Park de 1993 a UN PEU joué sur ma fascination pour ces créatures d’un autre temps. Et qui ont foulé notre Terre durant plus de 160 millions d’années (au moins 50x plus longtemps que l’homme). Les derniers ayant disparus 65 millions d’années avant nôtre ère. Vraisemblablement suite à l’impact d’une gigantesque météorite.
J’ai eu sous les yeux, et souvent (largement) au dessus de ma tête, des ossements quasi complets de quelques uns des plus grands dinosaures ayant existé, et des plus connus aussi. Diplodocus, Stégosaure, Tricératops et bien sur Tyrannosaure. Y avait aussi d’autres créatures d’une époque un peu plus proche comme cette tortue ci-dessous, aussi grande qu'un homme, ou d'autres visibles dans une vidéo que j'ai filmés plus bas.
Parfois je me dis que si ces immenses créatures n’avaient pas disparus, “on” (j’entends par là l’espèce humaine) ne serait sûrement pas là pour en témoigner…
Retour au Rockfeller Plaza, avec un passage rapide dans la boutique LEGO, étonnamment petite dans le genre. Quand en comparaison, t’as le M&M’s World à T.S et le Nintendo NY Store à 2 pas de là, comptant 2-3 étages chacun contre un seul étage sur une surface pas immense ici, ç'est déroutant.
M’enfin bon, y avait quelques créations sympathiques. Comme une reproduction du Comcast Building, et le Dragon Shenron de Dragon Ballimpossible à louper et visible même depuis l’extérieur de la boutique.
Notre dernière nuit à NY s’est conclu par un retour au Macy’s, et l'ascension de l’Empire State Building plus loin dans l’avenue. Et franchement, si ce n’était pas pour utiliser une dernière fois le Citypass, j’y serais jamais allé. En tout cas pas cette nuit là. J’aurais déjà du m’y attendre avec cette jolie photo ci-dessous, mais la désillusion fut absolue 381m plus haut.
On se croirait dans un jeu où quelque chose de terrible nous attend là haut
Quand je vous disais dans mon 2ème article que j’étais chanceux d’avoir eu un Samedi ensoleillé pour contempler NY de jour depuis le “Top of the rock”, c’était surtout pour vous parler du fait que je n’ai rien vu du tout ce Mardi soir en haut de ce building des années 30.
Une brume tellement épaisse qu’on n’y voyait rien à 20m. Et c’est à peine si on distinguait l’antenne de là haut. Même King Kong lui-même aurait du mal à y voir quoi que ce soit...Puis bon, quand on prépare un voyage pareil plus de 6 mois à l’avance, y a parfois des imprévus (bons ou mauvais) auquel on ne peux rien y faire.
Après faut voir aussi le bon coté des choses. On a eu aucune file d’attente, j’ai pu admirer les jolis décors d’intérieur d’époque du style “Art Déco”, et on est arrivés au sommet d’un des buildings les plus iconiques de la ville. Mais ma frustration fut trop grande pour le réaliser à ce moment là.
Et c’est ainsi que notre séjour à NY s'est terminé. Une sacrée aventure que je referais à coup sûr, dans un futur proche je l'espère. La seule chose que je regrette étant le fait que nous n'ayons pas pu rester plus longtemps afin de profiter au mieux de tout ce que la ville proposait. Car sans compter le vol d'arrivée du 29 Avril et le départ du 4 Mai, on aura passé 4 jours complets à arpenter cette ville. Dit comme ça c'est pas énorme, mais ca nous aura pas empêché de voir énormément de choses comme vous avez pu le voir sur ces 5 premiers articles. Puis depuis le temps que je rêvais de poser le pied là bas, au moins ça sera fait. Bye Bye New York !