GAC 10/10
En conclusion, je dirais que Bayonetta Origins: Cereza and the Lost Demon n’a pas seulement un énorme charme visuel, mais aussi une jouabilité géniale qui est très unique. Outre, quelques dizaines de minutes d’intro un peu lentes, j’ai vraiment adoré mon aventure dans la forêt d’Avalon. C’est un dérivé de la série principale très original qui fonctionne parfaitement et qui amène un renouveau bien exécuté. En plus, ça peut aussi facilement être un point d’entrée à l’ensemble de l’œuvre. Vous aviez peut-être, comme moi, l’impression que ce serait une petite aventure séparée de moindre envergure, mais c’est loin d’être le cas. C’est un excellent jeu qui mérite votre pleine attention.
Je n’ai pas donné de 10/10 à un jeu vidéo depuis très longtemps et celui-ci le mérite sans équivoque. Même après deux semaines en ma possession, je n’ai pas envie de le déposer. Je pense que ça va être une des grandes surprises de 2023 et les amateurs d’Okami devraient être aux premières loges de ce jeu.
JDG 10/10
Bayonetta Origins : Cereza and the Lost Demon s'impose comme un immanquable de la Switch. Tout est maîtrisé à la perfection pour un véritable sans-faute. On se laisse facilement happer par cette histoire magique et fantastique qui comblera fans de la première heure comme nouveaux venus. PlatinumGames réalise un tour de force avec ce spin-off qui arrive même à surclasser la licence originale. L'industrie du jeu vidéo mérite plus de surprises comme celle-ci.
BetaTesteur 9,2/10
Bien qu’il semble être un mignon petit conte de fées, Bayonetta Origins: Cereza and the Lost Demon est loin d’être un simple petit jeu de puzzles et ce n’est pas parce que la caméra n’est pas dynamique que vous ne vivrez pas de moments intenses dans votre quête de pouvoir au côté de ce démon arrogant qu’est Chouchou. Que vous jouiez seul ou avec un partenaire, l’aventure sera énormément plaisante et, sachez-le, PlatinumGames a prouvé encore une fois qu’ils avaient tout ce qu’il fallait pour rendre un jeu à la fois bizarre, intrigant et excitant. Il est lent au départ et donne l’impression qu’il ne se passer pas grand chose mais, bien au contraire, ce sera une très belle expérience entourée de toutes ces foutues fées qui veulent votre mort!
Bayonetta Origins est un superbe spinoff qui rend hommage à notre sorcière de l’Umbra et qui nous permet de mieux comprendre l’évolution de celle-ci, le tout placé dans un jeu fabuleux à la direction artistique époustouflante.
Ne vous laissez pas berné par son aspect enfantin, ce jeu a tout pour plaire autant aux audacieux qu’aux gens un brin moins expérimentés.
IGNFrance 9/10
Bayonetta Origins : Cereza and the Lost Demon prend à contrepied tous les codes de sa série d’origine. Un choix fort de Platinum Games qui joue la carte de l’originalité, quitte à prendre le risque de déstabiliser les fans de la licence. Mais un choix admirable tant il démontre la volonté de proposer une expérience cohérente : nous découvrons le passé de Cereza encore adolescente en pleine construction de soi et tous les aspects du jeu ont été pensés pour illustrer sa condition de jeune sorcière encore inexpérimentée. On pense à la direction artistique basée sur la thématique du conte et fortement liée à l’enfance, au gameplay axé exploration faisant écho à Cereza qui découvre le monde, à Cereza qui est accompagnée de Chouchou car elle ne peut pas se défendre seule, aux combats qui demandent prudence et stratégie. On retrouve ce même niveau de soin et d’attention dans chaque composante du jeu. La direction artistique est grandiose en tous points et nous transporte dans un véritable conte de fées. La proposition de gameplay est riche. Centrée sur l’exploration, elle est rythmée par de nombreuses énigmes efficaces, des combats mêlant stratégie et dynamisme, et d’autres phases inattendues allant de la course poursuite à de l’infiltration. Que vous soyez joueurs ou non de Bayonneta, ce spin-off pourrait bien vous convenir. Les nouveaux joueurs pourront y trouver une porte d’entrée dans l’univers de la série avec une expérience très chouette et accessible. Les habitués de la série quant à eux auront l’occasion d’approfondir le lore de la licence en découvrant la genèse de Cereza, à condition d’être ouvert à un nouveau style de jeu.
GameWave 17/20
Avec un démarrage tout en douceur, la force de Bayonetta Origins réside grandement dans son histoire tout aussi prenante que captivante, à condition de s'imposer une certaine rigueur de progression. Une fois familiarisé à l'environnement atypique, aux combats qui demandent une certaine synchronisation et à l'évolution personnelle de notre adolescente en quête de maturité, Bayonnetta Origin offre une expérience qui ne vous laissera pas de marbre. En prime, nous saluons l'association scénaristique et musicale qui propose un ensemble entraînant.
La difficulté du titre reste à l'appréciation de chacun et ne se corse réellement que lors des derniers chapitres. Toutefois, pour les moins téméraires ou simplement amoureux de la narration et souhaitant une évolution aussi douce qu'adaptée, le titre propose des alternatives en mesure de simplifier l'aventure.
Finalement, il n'est pas obligatoire d'avoir joué aux anciens opus de Bayonnetta pour apprécier le jeu, bien que de nombreux clins d'œil semblent être présents tout au long de l'épopée de Cereza.
JVC 16/20
Avec Bayonetta Origins, Platinum Games sort de sa zone de confort pour proposer une expérience plus posée, et c'est réussi. Grâce à sa sublime direction artistique colorée, la première aventure de Cereza s'inspire des livres de contes pour offrir un rendu visuel qui conserve son charme jusqu'au bout. Manette en main, le titre reprend des éléments de Bayonetta 3 en nous faisant contrôler deux personnages simultanément pour une approche aussi originale que déroutante au premier abord. Finalement, c'est surtout par sa progression bien rythmée que l'expérience captive le joueur, alternant combats et énigmes avec une grande fluidité, même si on a tendance à voir la structure se répéter en fin de jeu. Pour toutes ces raisons, Bayonetta Origins est une aventure aussi sympathique que charmante qui s'offre une place de choix parmi les exclusivités de la Nintendo Switch.
Gamergen 15/20
PlatinumGames prend des risques avec Bayonetta Origins: Cereza and the Lost Demon, en proposant aux aficionados un titre totalement différent de la franchise Bayonetta. Il est clair que cette production ne va pas plaire à tout le monde et qu’il faut un temps d’adaptation pour comprendre les subtilités du gameplay. Mais ce conte tient en haleine et la progression, malgré sa répétitivité, a un bon rythme. En d’autres termes, il s’agit d’un jeu sympathique à faire exclusivement sur Nintendo Switch.
PS : Je rajouterais des tests au fur et à mesure.
Je testerais la demo pour voir si il me plaît.
Impressionant ce Bayo Origin, je n'aurai pas parié sur d'aussi bon notes, peut-être me laisserai-je tenter
nicolasgourry Pourquoi sur Switch 2 ? Sur les autres supports actuels, tout simplement !
Tous les model 3D de Metroid Prime ont été refait, ils n'ont plus rien à voir avec les models GC, franchement a l'œil le jeu est plus beau plus fluide, la raison c'est secondaire.
Justement Bayo 3 c'est un jeu Switch uniquement, pas de travail de portage, pas besoin d'adaptation, bref, ça devrait tourner au poil comme un Mario Odyssey, mais c'est pas le cas, j'ai été tout de même assez déçu de ce Bayo 3 que je considère comme le moins bon de la série, certes, Jeanne et Violet y sont pour quelque chose aussi :P
Le jeu ultime est sorti il y a moins de 6 mois, et on nous balance un side-project qui lui fait déjà de l'ombre.
J'ai trouvé la démo longuette.
Mais ça à l'air sympa
forte sauf que le remaster ne tournerait pas sur GC. Le jeu de base vient de la GC mais le jeu switch est bien un jeu fait pour la dernière console de Nintendo avec des nouvelles textures, modélisation refaite, nouvel éclairage, etc.
Ce n'est pas un portage avec une résolution plus haute comme la compile Mario que tout le monde annonce comme un remaster sauf Nintendo.
Tu me fais penser à des mecs que je connaissais, ils m'expliquaient que si j'aimais Dead Or Alive 2, c'est par ce que les personnages féminins avec des gros seins...si j'ai beaucoup aimé Dead Or Alive 2 à sa sortie, c'était pour le dynamisme des combats (la fluidité était top), les animations étaient top, le mode : Tag Team a lui seul faisait de ce jeu, une référence, a l'époque, ils étaient dans le haut du panier grâce à ça.
Comme dirait l'adage "quand le sage montre la Lune, l’idiot regarde le doigt" pour toi c'est "quand le sage montre le mode Teag team, l'idiot regarde la taille des poitrines".