Il y a des héros comme ça que l'on ne peut point oublier... plus ou moins disparu de l'univers du jeu vidéo mais bien présent dans le coeur d'une armée de fans. Alors que la plupart s'adonnent aux brûlages de cierge ainsi qu'aux sacrifices de jeunes vierges en invoquant le ciel de bien vouloir exaucer leurs plus profonds souhaits en faisant revenir l'idole bafouée, le jeu dont il est question dans l'article possède lui aussi un personnage principal qui fût à son époque un pilier du jeu vidéo. Même si ce dernier n'a pas été totalement mis au placard par son créateur, on peut dire qu'il est techniquement négligé. Tout le monde connaît l'histoire de ce petit robot (non pas Astro l'autre!) revêtu de son armure toute colorée de bleu, couleur symbolisant la pureté et la paix intérieur. Même s'il on peut compter beaucoup d'aventures à son actif, mon modeste article parlera de sa première apparition et de son combat face à un génie du mal reconnu mondialement. Comme vous l'aurez donc deviner, je parle bien évidemment de Megaman...
---------- Bonsoir Gamekyo ----------
~~ ROCKMAN ~~
~~ ロックマン ~~
Développeur:
Editeur:
Genre: ACTION/PLATE-FORME
Support:
Date de sortie: 17/12/1987 (JAP) 13/12/1988 (EU)
SYNOPSIS: Rebellion robotique..
Nous sommes au 21ème siècle, le domaine scientifique est en pleine expansion et le monde progresse en vue d'un futur plus serein pour ses habitants. Le docteur Light, chercheur spécialisé dans le milieu de la robotique, est sur le point de révolutionner la surface du globe avec ses recherches. Appuyé par son assistant le
docteur Wily, Light va se lancer dans la création d'une poignée de robots avec pour directive d'aider l'espèce humaine dans ses taches quotidiennes. Mais c'est sans compter sur la jalousie de Wily qui va s'empresser de dérober les robots et les reprogrammer afin de pouvoir lancer son projet de conquête du monde. Alors que tout espoir semble perdu, deux de ces humanoides se prénommant respectivement Rock et Roll ont pus échapper miraculeusement à la reprogrammation du vil docteur. Avec l'aide du professeur Light et le soutien de sa soeur, Rock se porte volontaire pour être changer en robot de combat pour stopper l'ennemi dans sa course effrénée vers la destruction totale de toutes formes de vies humaines. Notre courageux robot se voit équiper d'une armure bleue ainsi qu'un canon au bras... et devient ce héros que l'on appellera par la suite MEGAMAN!!
"Nos deux cerveaux scientifiques... Light & Wily!!"
PERSONNAGES: Les Good-guys..
Rock (DLN.001):
Robot domestique à la base, il se fera équiper d'un arsenal pour affronter les forces du mal
Roll (DLN.002):
La soeur de Rock, quoique non combattante elle l'aidera moralement dans les coups durs
Dr. Thomas Light:
Le créateur de Megaman et de tout les robots masters, il oeuvre pour la paix dans le monde
PERSONNAGES: Les Bad-guys..
Dr. Albert W.Wily:
Celui qui trahit Light et volé ses robots afin de contrôler le monde, le génie maléfique en personne
Elecman (DLN.008 ):
A la base conçu pour gérer les centrales électriques, il expulse de puissantes décharges par ses mains
Cutman (DLN.003):
Créer pour déboiser les forêts, il tranche de ses lames tout sur son passage
Bombman (DLN.006):
Ses bombes été à la base prévues pour le travail de chantier, elles deviennent maintenant meurtrières pour notre héros
Gutsman (DLN.004):
Prévu pour les lourdes tâches, ce robot est extrémement fort et résistant
Iceman (DLN.005):
Un robot conçu pour l'exploration polaire d'où sa grande résistance au froid, il peut propulser des vagues glaciales
Fireman (DLN.007):
Assigné au poste de destructeur de déchets, il est équipé d'un puissant lance-flammes
Gameplay: Voleur de pouvoirs..
Entrons tout de suite dans le vif du sujet une fois l'écran titre passer, la première chose qui nous choque est la sélection des niveaux, on peut choisir par quel niveau on va débuté l'aventure.. mais c'est carrément génial!! alors que vous allez vous pavaner en passant une case à l'autre en vous demandant quel robot vous allez attaquez en premier, votre choix se pose dans 90% des cas sur ce petit esquimau tout mignon et semblant inoffensif aux premiers abords, portant le doux nom de Iceman.. grave erreur mes amis!! Une petite intro présentant notre adversaire se lance accompagnée d'un petit jingle assez sympathique qui deviendra une norme dans la série. Le niveau prend forme et Megaman est dans la place, comme c'est la première fois que j'y joue je regarde mon pad en me disant que ça doit pas être très compliqué vu le peu de boutons sur le pavé. Je bouge ma croix directionnelle et le perso peut marcher de droite à gauche, j'appuie sur un bouton et mon héros saute... magnifique!! En avançant je remarque que le sol glisse un peu et me dis que c'est normal vu que le robot master de la zone est de type glace (NdD: Oui c'est Iceman--> Ice = Glace ) donc pour le moment rien d'anormal et j'applaudis le fait que les devs ont pensés à faire le sol glissant, au moins c'est plus réaliste!! Encore quelques pas et j'aperçois mon premier ennemi à l'écran.. que faire? Je remarque donc un autre bouton inconnu sur lequel je n'avais pas encore appuyé, prenant mon courage à deux mains je me met à presser cette touche et là magie notre robot bleu peut tirer des projectiles.. plus rien ne peut m'empêcher d'avancer!! Ben pas totalement car malgré mon artillerie, le stage se révèle assez complexe et pervers à certains moments, je franchis les obstacles tant bien que mal jusqu'à arriver à une grande porte et je la traverse (en même temps j'ai pas trop le choix) s'ensuit un couloir avec plus loin une autre porte identique à la première. Derrière celle-ci notre ennemi principal nous attend, après une pose d'avant combat et l'apparition de sa barre de vie , un combat titanesque débute et après quelques échanges de Buster/Glaces, notre petit glaçon explose de milles feux laissant derrière lui une sphère d'énergie que je m'empresse de déguster, allez plus que cinq à battre.. de retour à l'écran de sélection, la case du petit esquimau est devenue toute sombre symbolisant sa défaite face à mon champion cobalt. Comme vous pouvez le remarquer c'est assez basique mais bon à l'époque c'était super mais alors que possède de si particulier ce jeu??
"Megaman avant et après..."
Mis à part le fait de pouvoir choisir son niveau, ce jeu possède une innovation de taille.. disons qu'à chaque fois que vous allez détruire l'un des six maîtres robots, Megaman va pouvoir utiliser l'arme du boss en personne via une barre de même type que celle représentant l'énergie de notre boîte de conserve. Attention car chaque boss ne va pas se laisser absorber son pouvoir si facilement, certains sont assez retords. La bonne nouvelle c'est qu'en plus de voler leurs armes, les robots masters sont plutôt sensibles à certaines attaques ce qui va grandement vous faciliter la tâche.. au temps dire que c'est à vous de choper le plus faible pour lui piquer son pouvoir afin de détruire le suivant avec ce même pouvoir et ainsi de suite, ça va vous demander de la patience et par la même occasion gonfler la durée de vie lors de vos premières parties. Quand tout les pasbeaux masters seront morts, la voie vers la forteresse du sombre docteur Wily s'ouvrira à vous afin de l'arrêter définitivement. S'ensuit une série de niveau avec de nouveaux ennemis et aussi des anciens, même les robots en chef reviendront une dernière fois pour des combats plus faciles (bah oui vous
avez déjà tout les pouvoirs ahah) enfin il faudra en affronter plusieurs à la suite c'est déjà moins sympa!! Arrivé au dernier niveau du jeu, botter le c*l de Wily est devenue une priorité mais c'est sans compter sur sa fourberie, le poussant à vous combattre dans immense machine. Mais bon rien de problématique pour notre héros en herbe qui enverra paître le vieux Wily et son attirail, vous suppliant de le laisser en vie.. enfin ça c'est la version rapide dans le sens où cela ne sera pas aussi simple car le jeu ne possède aucun système de sauvegarde, ni password et pas un seul conteneur d'énergie, features qui apparaîtront plus tard dans la série mais vous pourrez quand même compter sur des items jonchés sur le sol des stages pour vous aider un petit peu en cas de pépin (vie, ampoule d'énergie et d'autres) Une fois n'est pas coutume le soft inclus une système de score, abandonné par la suite.
Donc résumons.. Megaman cours, saute, tire et grimpe aux échelles, toutes ces actions ne seront pas de trop car les dangers qui vous attendent sont pour la plupart retords et vicieux à certain moment. Car en plus des ennemis robotiques sur la route qui tenteront de vous envoyer à la décharge la plus proche, Rock devra éviter des pointes, mortelles pour sa personne ainsi que sautiller sur des plate-formes mobiles avec le vide juste en dessous, gambader sur des blocs farceurs sans compter sur les éléments de chaque stage qui se déchaîneront sur vous (électricité, feu, boule de neige,...) mais courage rien d'insurmontable!
"Voilà vous vous êtes débarrassés des projets de ce vieux fou mégalomane"
Graphismes: Un univers futuriste..
Vous voilà donc plonger en plein dans le futur, vous allez visiter divers endroits à la recherche du vil robot master protégeant chaque zone. Notre humanoide préféré traversera une ville à la technologie avancée, un espèce d'entrepôt, une tour électrifié, le pôle Nord (enfin je pense!), un chantier et une usine de destruction des déchets pour enfin arriver à la forteresse de cette enflure de Wily. Même s'il n'est pas évident de reconnaître les lieux au premier coup d'oeil, cela reste acceptable pour cette vieille Famicom, par contre les niveaux sont bien construits dans l'ensemble, on y avance progressivement. On peut dire que les premiers écrans de chaque stage sont en quelque sorte de la rigolade histoire de vous mettre das l'ambiance et ne pas choquer le joueur. Les couleurs quand à elles sont efficaces dans le sens où l'on identifie bien le ciel du sol ainsi que le décor, pas de confusion contrairement à certains jeux. Les animations sont bien fichues et assez plaisantes, les arcs électriques du niveau d'Elecman et les flammes du stage de Fireman par exemple donnent de la vie en plus d'être d'une dangereusement beaux, le stage de la neige n'est pas en reste non plus et la carte de la forteresse est sympathique aussi. Niveau ennemis on passe de sprites normaux à d'autres plus grands et travaillés, voir les boss des derniers niveaux ainsi que le combat final et bien sûr le bien connu Yellow Devil assez tenace mais plutôt jouissif à affronter (j'avoue pas toujours ^^) avec sa décomposition type puzzle
du plus bel effet, donc de ce côté si on compare à la concurrence de jadis, Megaman n'avait pas du tout à rougir... good job!
"Le futur... réjouissant n'est ce pas!"
Bande-son: imprégnée à vie..
je ne ferais pas de long discours sur cette bande-son ce n'est pas nécessaire, je dirais juste que Capcom a su offrir aux joueurs des thèmes fortement marquants qui nous trotteront dans la tête pour le restant de nos jours. Les compositions ne sont pas très fouillées comparer à celles des épisodes qui suivront mais elles
ont l'avantage de proposer un cachet unique qui plaît dés la première écoute. Aussi loin que je me souvienne dans mon jeune âge, j'ai toujours trouvé que la série Megaman avait l'une des plus belles OST tout épisodes confondus, des musiques entraînantes et des sons assez électriques.. le premier opus est du même cru! En même temps il faut
rendre à César ce qui appartient à César, la composition est assurée par Manami Matsumae (créditée comme Chanchacorin Manami) et Yoshihiro Sakaguchi (crédité comme Yuukichan's Papa) parmi leurs oeuvres on peut compter les OST de U.N. Squadron, Adventures of Lolo, Street Fighter et Final Fight, c'est pour dire comme le talent de ces deux-là n'est plus à prouver.
"Le thème de Cutman... culte!!"
"Un bien joli thème de fin"
Valeur nostalgique: 91%
Les plus du jeu:
- Un héros charismatique
- Choix ordre des niveaux
- Utilisation des armes ennemies
- Cheminement des stages bien penser
- OST de bonne facture
Les moins du jeu:
- Simplicité des robots masters avec l'arme adéquate
- Difficulté de certains passages
Mon avis:
Malgré que ce jeu soit la première aventure du petit robot bleu, il reste néanmoins une valeur sûre de la console de Nintendo. Bien sûr les autres épisodes sont plus aboutis que ce dernier avec des ajouts qui viendront se greffer à la licence par la suite mais ce Megaman premier du nom est très attachant dans le fond
et dans la forme, Pour tout ceux n'ayant jamais fait la série et qui voudrait s'y atteler je conseille vivement cet opus même si le deuxième est mieux, et puis ce sera bête de commencer cette sublime série sans passer par la genèse du titre. Même si quelques passages vous arracheront les cheveux et que le jeu soit plus difficile que les suivants, il reste faisable pour le commun des mortels avec un peu (beaucoup?) de pratique. Vous l'aurez donc compris ce jeu est une bombe vidéoludique avec un gameplay au petit oignon, chose rare pour un jeu Nes de l'époque (Capcom s'avait y faire) tout possesseur de la NES se doit de posséder dans sa collection son exemplaire du premier Megaman... le jeu a vieilli mais on prend toujours autant de plaisir à y revenir.
Cauchemar... voilà l'un des mots qui peut vous venir à l'esprit rien qu'à la prononciation de son nom. Adulé par les gros hardcores gamers sado-masochistes en manque de sang et fuis par les joueurs plus fleur bleue qui auront vite faits de le ranger au placard à triple tour, on peut dire sans crainte que ce titre en aura fait couler des larmes et sueurs froides (ou autre chose une fois arrivé à la fin) Ce jeu a marqué toute une génération de joueur, certains ont un avis positif, d'autres plutôt négatif... et il y a ceux qui n'en sont toujours pas revenus, leurs âmes s'étant noyés dans les limbes de ce soft.
Mais ce qui est certain c'est que quelle que soit votre opinion, jamais vous n'oublierez ce jeu vidéo. Vous allez comprendre le sens des mots: Terreur, Peine, Douleur, Résignation, Colère... tellement ce jeu va vous en faire voir des vertes et des pas mûres, vos nerfs seront mis à rude épreuve à chaque étape.
Maintenant éteignez la lumière, enveloppez-vous dans votre couette porte-bonheur et entrez dans un monde où le diable règne en maître, là où personne n'entendra vos cris, où vous n'aurez comme seule compagnie durant ce voyage que vos peurs les plus profondes... AMEN
GHOSTS'N GOBLINS
MAKAIMURA
Développeur: Capcom
Editeur: Capcom
Genre: Action/Plate-forme
Support: NES
Date de sortie: 13/06/1986 (JAP) 23/03/1989 (EU)
SYNOPSIS
Ce jeu vous conte l'histoire du chevalier Arthur et sa belle princesse (tiens ça me rappelle une histoire?). Alors qu'ils se prélassent (ou autre chose?) dans l'herbe fraîche de la plaine, un éclair illumine l'écran d'où surgit un horrible démon au poil roux. Fonçant vers nos deux tourtereaux, il arrache la belle à son doux chevalier avant de disparaître dans la nuit
sombre. Le speech n'a rien de transcendant je le conçois mais bon à l'époque c'était de la balle. Donc notre guerrier n'a donc plus qu'une solution, retrouver sa bien-aimée et la sauvée des griffes des perfides créatures puantes qui vont se dresser sur sa route. Après un petit aperçu de votre compteur de vie, retour dans la zone où comme par enchantement des zombies sortent du sol comme des champignons à bonne saison et vous attaquent avec hargne (bah oui quelle idée de pique-niquer dans un cimetière aussi!!). Accrochez-vous à votre fauteuil... votre aventure commence maintenant!!
"2 secondes avant le drame!!!"
Dés le commencement du jeu, les ennemis sont immédiatement sur votre dos comme des mouches sur de la m... un gâteau et ne vous donnent aucun répit... ça pullule de partout tels des pustules sur la face d'un ado pré-pubère, vous n'avez qu'une seule chose à faire "avancer", toujours avancer en martelant le bouton d'attaque de votre pad en priant d'atteindre le
check-point qui vous donnera un immense bonheur à chaque fois qu'un seul sera franchi, comme une jouissance extrême les soirs de solitude. Je vais vous présentez l'image qui sera votre meilleure et fidèle amie durant tout le jeu, vous verrez plus cette illustration que les membres de votre famille sur la journée, vous la connaîtrez dans ses moindres détails,
vos yeux ensanglantés et elle ne feront qu'un et votre cerveau deviendra une imprimante propulsant des copies de cette fresque 8 bits maudite... il s'agit bien évidemment de cette foutue carte défilante!!
"J'suis la carte, j'suis la carte... j'suis la caaaaaaaarrrrttttttte!!"
Même si elle ne sert strictement à rien pour vous repérer dans le jeu, cette carte défilera à chaque mort de votre personnage comme un vieux disque rayé et je vous jure que pour défiler, elle va défiler la bougre... je ne sais pas qui a eu l'idée chez Capcom de mettre ce système que l'on retrouvera bien évidement dans tout les épisodes futurs de la licence et si son but était de transformer nos neurones en confettis mais le gars a bien réussi son coup, j'entends par là que la première fois ça va, on trouve même le principe génial en tant que jeune puceau vidéoludique mais au bout de la centième fois, là on commence à vouloir envoyer sa console dans le mur... bien sûr accompagnée d'un petit arrangement sonore made in NES, cuit aux petits oignons, qui aura le don de vous foutre en boule, de quoi déjà bien vous mettre la pression pour la prochaine vie de notre cher Arthur, il va falloir faire preuve de sang froid les amis... heureusement les manettes NES étaient solides à l'époque.
Personnages
Arthur notre héros:
"Un chevalier sans peur et sans reproche... quoique un peu barbu"
Le personnage principal de l'aventure, celui que le joueur contrôlera, inspiré de la célèbre légende du roi Arthur, ce petit chevalier n'aura de cesse de combattre les hordes qui viendront s'abattre sur lui afin de retrouver sa moitié. Equiper de son armure et caleçon fétiche, il brandit les armes pour sauver sa chère et tendre.
j'avoue il n'est pas très charismatique dans ce premier opus sur console et fait triste mine avec son armure en papier mâché mais bon comme c'est le seul héros dans les parages, on s'en contentera bien.
La princesse Prin Prin:
"La quenelle épaulée c'est moi!!"
Cette jeune demoiselle aux cheveux bleus est en quelque sorte la potiche de service, c'est un peu la Peach de Ghosts'n Goblins... Son but est d'attendre que son héros vienne la sauvée en tricotant 2 ou 3 caleçons de laine, rien d'excitant en soit. Par contre cette princesse a instaurée l'une des premières quenelles vidéoludiques. Je me rappelle de la frustration et des larmes de sang lorsque vous l'avez sauvée la première fois, j'avais presque envie de la laissée dans sa merde pour lui faire les pieds. mais bon je ne dis rien, faites le jeu!!!
Astaroth et ses démons:
"Devil Daddy!!"
Comme vous vous doutez les méchants de l'histoire sont les démons, plus vous avancerez et plus ils seront moches et dangereux, ils vont vous faire suer de l'urine de phoque comme jamais, surtout un en particulier plutôt agaçant, le genre de démon qu'on aimerait pas croisé au coin d'une rue un soir de pleine lune. Une fois les niveaux terminés et votre mental
complètement dans les toilettes, Astaroth le boss final se dressera devant vous pour un ultime affrontement dantesque ... non je déconne il est nul à chier (à condition d'être bien équiper), un comble après avoir traverser l'anti-chambre de l'enfer!!
Gameplay
Nous nous retrouvons devant un jeu de plate-forme/Action 2D tout ce qu'il y a de plus classique, la croix directionnelle sert à déplacer votre personnage de gauche à droite, la légende dit même qu'il peut s'abaisser. Vous avez 2 boutons, un pour sauter comme un lapin plein d'arthrite et l'autre pour envoyer des projectiles qui s'écraseront gentiment sur la
tronche des vilains pas beaux d'en face. Le personnage se déplace relativement facilement, par contre pas de barre d'énergie c'est limite du One-shot, j'entends par là que si vous frôlez d'un orteil un ennemi votre armure éclatera en milles morceaux, vous laissant en caleçon royale et que si vous avez le malheur de vous faire toucher lors de votre promenade en sous-vêtements, notre héros se transformera automatiquement en squelette, et là vous serez mort pour de bon, on peut dire que cela ne laisse pas beaucoup de place aux erreurs.
Attaquez les ennemis c'est bien... mais avec quoi??
Le beau Arthur commencera son périple avec une lance, arme de base possédant une bonne portée, oui car notre Arthur national n'utilise que des armes de distance, pas d'arme de mêlée pour le sieur enfin c'est mieux qu'un bête couteau suisse. Mais ce n'est
pas tout, des armes joncheront sur le sol au fur et à mesure que vous exterminerez des monstres, heureusement leurs nombres sont infinis. Les différentes armes sont:
La lance: Comme dit plus haut c'est votre arme de base, elle offre un bon compromis pour les débutants. Le poignard: Pour moi la meilleure de toutes les armes, tranchante et meurtrière à la fois. Un conseil: quand vous l'avez, ne la lâchez pas. La hache: Elle dessine des arcs de cercle tout en détruisant les ennemis, utile pour en tuer plusieurs en même temps. La torche: Arme fort puissante mais qui nécessite un temps d'adaptation tellement son utilisation est compliquée, recommandés aux joueurs expérimentés car une mauvaise manoeuvre peut vous coûter la vie. Le bouclier: Même puissance que la lance sauf que la portée est plus courte, contrairement aux autres celle-ci bloque les projectiles ennemis... ah oui dernier détail, le boss final n'est sensible qu'à cette arme.
Background
Les lieux visités dans le jeu sont plutôt classiques, le jeu commence bien dans le cimetière avec une patte graphique pas trop vilaine pour l'époque suivi d'une sombre forêt, ensuite vient un village qui regorgent de monstres assez fourbes jusque là tout va bien mais après il faut l'avouer ça devient un peu du n'importe quoi, à partir du niveau 3 les devs se sont plus trop pris la tête (à croire que Capcom aura jamais cru que quelqu'un irait aussi loin!!) des grottes assez simplistes limite avec 2 couleurs à l'écran pour ensuite atteindre des pans de mur bleus qui chatouille un peu la rétine, profitez-en pour régler votre téléviseur. On enchaîne avec une petite séance de plate-formes mouvantes, assez jouissive vu le boulet que l'on trimbale depuis le début, tout ça pour finir sur un pont avec en dessous de la lave, attention aux colonnes de magma. Enfin
se pointe à l'horizon le dernier donjon qui est sensé représenté un château démoniaque mais bon encore une fois les devs se sont pas foulés le poignet, arrivé à ce point la difficulté est à son paroxysme et les monstres sont prêts à tout pour vous faire manger les pissenlits par la racine. Les niveaux sont plutôt courts dans l'ensemble, finir le jeu serait simple si
malheureusement notre cher Arthur ne mourrait pas tout les 2 secondes, du coup il peut arriver que vous galériez pendant 3 heures a essayé de passer un morceau de stage ne faisant que quelques screens de long.
"Atteindre le sommet relève du sado-masochisme!!!"
Parlons-en des ennemis... le bestiaire n'est pas très varié, disons que vous allez rencontré souvent les mêmes ennemis, même s'ils sont assez efficaces. vous allez retrouvés des zombies qui vous fonceront dessus comme des teubés, pas très dangereux sauf
certaines fois quand ils sont en groupe, tout type de volatiles, des démons qui joueront avec vos nerfs, des fantômes insistants prêts à vous transpercer de leurs fourches et tutti quanti... après vous avez les boss pas très malins mais quand même agressifs, de ce côté aussi c'est pas franchement original, on affronte une espèce d'ogre à une corne qui fait des aller-retour à l'écran en tentant de vous écrabouiller au passage dans le premier niveau et au suivant on en combat deux en même temps. Je pense qu'il devait être très (trop?) tard dans la journée quand l'équipe en charge du développement bossé sur la conception des boss de fin de niveau.
Capcom boss:Pas mal les gars votre premier boss du jeu. Capcom dev.1:Oui patron.. mais hélas on a pas d'idée pour le second niveau. Capcom boss:............ DAMN IT!!! Capcom dev.2:... Ce qu'il faudrait patron, c'est faire un boss 2x plus dur que le précédent... mais que faire? .. .... ...... Capcom boss:C'est simple... foutez en deux!!! Capcom dev.1 & dev.2:GENIUS IDEA SPOTTED!!!
Ensuite un nouveau boss et on recommence le principe de duplication... pas que je sois contre cette idée mais comme vous allez déjà en chier pour battre certains boss, je trouve assez sadique de nous en jeter deux dans les pattes, surtout que la plupart du temps ça partira en gangbang, vous me direz quand on aime on ne compte mais bon quand même... donc un conseil: quand vous tuez un boss pas-beau avec douleur, faîtes vos prières à l'avance pour le suivant.
Bande-son
Niveau sonore, je retiens surtout le thème du premier niveau, archi-connu qui est un peu la marque de fabrique de la série, aussi non le reste est assez basique. Pas de quoi fouetter un chat avec les mélodies proposées... pas qu'elles soient mauvaises, cela reste écoutable sans problème mais il manque un petit quelque chose je trouve, mais bon je vais pas tapé avec un bâton sur la NES car pour l'époque c'était assez convenable. On a droit à des musiques lugubres qui, malgré la qualité, s'intègrent parfaitement avec l'ambiance générale, disons que l'OST reste dans le ton du jeu, stressant à mort et irritant dans les
moments délicats et à partir de ce moment.. que demander de plus?
Petite mention au thème de la carte qui lui va être complètement intégré dans votre mémoire durant des mois, peut-être même des années ou jusqu'à votre vie prochaine qui sait.
La musique est composée par la belle Ayako Mori à qui l'on doit d'autres titres connus comme la bande-son de 1942, Gunsmoke et Trojan pour ne citer qu'eux, elle a travaillé surtout sur les versions arcade et NES de ces différentes sagas.
Voici le soundtrack complet... de quoi vous faire un avis:
Valeur nostalgique: 85%
Les plus du jeu:
- Un univers glauque sympa
- Durée de vie magistrale
- Les diverses armes
Les moins du jeu:
- La difficulté poussée
- La couleur de certains décors
- Les sauts
- dépendance aux médicaments
Mon avis:
Même si la difficulté du soft ne m'a pas empêché de le finir ni de l'apprécier, je la classe dans les points négatifs car je peux comprendre qu'elle peut irriter plus d'un joueur. Elle est limite à certains points du jeu et exécrable à d'autres, les joueurs lambdas rageront à fond et stopperont immédiatement le supplice, car plus vous allez vous énervez et moins vous irez loin dans les niveaux, c'est mathématique.
Mais j'en rassure certains, le plaisir de jeu est bien là malgré l'avalanche de game over. Ghosts'n goblins c'est du pur jeu d'arcade, cela ne sert à rien de réfléchir pendant des heures à la façon dont vous allez arpentés une zone, il faut juste avancer, avancer et avancer comme-ci vous aviez le diable aux fesses. Je pense que chaque joueur doit au moins testé ce titre une fois dans sa vie pour se faire un avis. Ce jeu est un incontournable de la console et n'a pas volé sa réputation d'un des jeux les plus dures de tout les temps.
Aah Zelda... un prénom qui n'est pas inconnu pour une majorité de joueurs, Zelda est une princesse très célèbre à l'instar de l'autre avec un sobriquet de fruit.
Mais c'est aussi le petit nom d'une des meilleures licences de la société Nintendo. Mon article va traité d'un épisode de cette franchise.
Non pas le première opus mais le second, pourquoi me direz vous??
Juste parce que ce jeu fût le premier Zelda que mon petit coeur de gamer découvrit (Eh oui à l'époque je croyais que Zelda c'était des jeux en 2D!!!), mes premiers pas dans le monde magnifique d'Hyrule... à peine arriver et déjà une princesse à sauver.
Au passage petite anecdote, j'ai longtemps cru étant jeune que Zelda était le nom du héros (Truestory), par contre j'ai jamais compris pourquoi il s'appelait "Adventure of Link" dans le sens où chaque Zelda est une aventure de Link!!!
Mais trêve de bavardages, j'insère la belle cartouche dorée dans la console et l'aventure commence...
ZELDA 2- THE ADVENTURE OF LINK
ZELDA NO DENSETSU- LINK NO BOUKEN
Développeur: Nintendo
Editeur: Nintendo
Genre: Action/aventure
Support: NES
Date de sortie: 14/01/1987 (JAP) 26/09/1988 (EU)
"Tout comme le premier, la cartouche était de toute beauté"
SYNOPSIS
Voilà donc apparemment le jeu débute là où l'épisode précédent c'était terminé, c'est à dire Link détruisant Ganon, n'aillant pas fait l'autre à l'époque je vous dis pas dans quel merdier je me suis retrouvé au niveau compréhension du scénario, j'était un peu le cheveu tombant dans la soupe mais bon passons. Alors que Ganon vient d'être fraîchement annihilé, ses sbires sont à la recherche de Link (ou Gérard... suivant le nom que vous avez entrés au début du jeu) car il semblerait que son sang, versé sur les cendres de Ganon, puisse rendre la vie à ce dernier.
Alors que Link est un jeune garçon qui va avoir à peine 16 ans, une étrange marque apparaît sur le dos de sa main, c'est le symbole du royaume d'Hyrule. Voyant cela, Link prend peur et va de ce pas voir Impa, la gouvernante de la princesse Zelda.
Considérant ce miracle comme un présage, Impa l'emmena jusqu'au château où Link découvrit un autel, sur cet autel gisait le corps endormi d'une jeune fille, c'était la princesse Zelda.
Impa narra l'histoire de la légende de Zelda à Link, lui parlant par la même occasion de la triforce, et lui donna six cristaux ainsi qu'un parchemin. Le but est simple (enfin façon de parler) Link doit retrouver la triforce du courage cachée dans le grand palais qui se trouve dans la vallée de la mort... mais (oui bien sûr il y a un mais sinon ça aurait été trop simple) le grand palais est protégée par un sceau magique, qui ne disparaîtra que lorsque que Link aura placé les six cristaux dans d'autres palais, protéger bien sûr par de féroces gardiens et monstres en tout genre.
Seulement à ce moment-là Link pourra pénétré dans le dernier donjon, vaincre le dernier gardien et récupérer la triforce du courage.
Je vous le cache pas cela annonce de sombres jours pour notre petit héros à la capuche verte.
Armé de son épée et de son bouclier, Link part dés à présent en quête de la précieuse triforce...
Personnages principaux
Link
Même si vous ne parieriez pas un copec sur lui au premier abord, Link est un héros très courageux que rien n'arrête, il va découvrir au fil de l'aventure des objets qui l'aideront grandement dans sa lourde tâche, ainsi que la connaissance de la magie et de quelques techniques d'attaque, dommage que le garçon soit si peu loquace.
"Non je n'ai pas fabriqué mon costume moi-même!!"
La princesse Zelda
C'est le personnage déclencheur qui entraîne notre héros dans cette histoire, elle dort sur l'autel en attendant que quelqu'un vienne la secourir, un boulot de princesse quoi.
Si je me souviens bien, vous ne verrez la gente dame que 2 fois dans le jeu, au début et à la fin... une honte pour un jeu qui porte son nom.
"J'ai été grassement payée pour ce rôle, une place en or"
Ganon
Ah le voici, celui qui même après sa mort, sème encore le chaos dans le royaume, C'est le méchant même si vous le verrez pas une seule fois durant tout votre périple, il attend juste que ses hommes lui ramène votre sang pour pouvoir revenir d'entre les morts tout en riant diaboliquement (véridique... voir Game over)
"Crevez et vous me verrez!!!"
Gameplay
Le mot qui pourrait le mieux définir ce second opus est "Changement", car même si le premier de la saga a eu un bon succès, Nintendo a su remanié la formule pour pondre un jeu qui va beaucoup s'éloigner de son aîné, premièrement la carte existe toujours car que serait un Zelda sans sa petite map, mais ce n'est plus là que se passe les scènes d'action, tout ce qui touche à l'exploration niveau découverte d'objet ou autre énigme se passera sur un plan 2D, et oui vous avez bien entendu sur un plan 2D!!!
Fini le jeu où vous contrôliez votre nabot préféré en vue du dessus, tout en esquintant la faune et la
flore de la région à grand coup d'épée. Pour les combats c'est la même chose je m'explique, vous allez vous balader jusqu'à ce qu'apparaissent sur l'écran des espèces de petits monstres noirs qui au contact vont vous transportez dans une zone où vous attendent des ennemis, prêts à se faire dérouiller, après le combat vous pouvez sortir de cette scène pour retourner sur la carte, au début vous ne risquerez rien car la route vous protégera pour le peu que vous la suiviez mais plus vous allez avancés dans le jeu moins il y aura de routes sur votre chemin et vous devrez subir de plus en plus d'affrontements, il existe plusieurs terrains qui s'adapteront lors des combats aussi (Forêt, marais, désert,...) un point positif est que vous pouvez quitter les combats en sortant de la zone sans pour autant tuer les monstres qui s'y trouvent.
Les palais se dérouleront de la même façon, c'est à dire en 2D, vous allez explorés un dédale de couloirs qui vous mèneront jusqu'au seigneur du donjon, même si au début on s'y retrouve assez vite, cela devient vachement coton quand on arbore les derniers niveaux, tellement les décors se ressemblent, vous ajoutez à cela des ennemis tenaces qui vous poursuivrons dans les moindres recoins.
Parlons de ce brave Link, Malgré la nouvelle orientation du soft, Link se déplace très bien, Il saute, attaque avec la fougue d'un jeune premier, le gameplay a aussi évolué, vous avez maintenant une attaque normale et une autre qui permet de frapper les adversaires dans les... jambes, certains chevaliers vont vous rendre fous, bien sûr il y a toujours le bon vieux bouclier, mais ce n'est pas tout.
Au fur et à mesure de l'exploration, vous aurez la possibilité d'apprendre de nouvelles techniques comme des attaques d'épée vers le haut ou vers le bas, des sorts qui vous aideront énormément comme le fait de balancer des boules de feu...
Mais où va t-on trouver tout ça??
Dans les villages pardi!! Link va fouiller plusieurs villages durant le jeu, parler à des PNJs plus ou moins intéressants (I am Error... Wut??) par contre certains sont tout bonnement essentiels pour pouvoir avancer dans le jeu, en particulier les mages qui vous apprendront les sorts magiques et les maîtres qui vous enseigneront les bases du combat, mais ne croyez pas qu'ils vous attendront bien sagement au coin du feu, il faudra chercher minutieusement pour trouver certains d'entre eux.
Bien sûr tout ceci ne sera pas gratuit, certains vous demanderont des services si vous voulez touchés au précieux (Bah vous croyez quoi!!) Ce petit vent de fraîcheur donne au jeu un aspect plus RPG, exploration et compétences en témoignent, mais la cerise sur le gâteau c'est que notre petit elfe va aussi évolué au fil du jeu, prendre un peu de maturité quoi.
Comment? en gagnant des points d'expérience à chaque monstre scalpé. vous verrez votre niveau de vie et de magie augmentés à force de bourriner du gnome et autres bestiaux. Ce qui renforce encore plus l'aspect RPG du titre.
Par ailleurs ce ne sera pas du luxe dans le sens où le jeu est très difficile... mais pas impossible évidement.
La bande-son
Que dire là-dessus, la musique est composée par Akito Nakatsuka, même si j'ai un vague souvenir de ce point, je dois dire que le jeu m'avait laissé un bon souvenir à ce niveau-là, c'est sûr rien de transcendant malgré la qualité indéniable de la bande-son mais bon n'oublions pas c'est de la Nes, et pour une ancienne console, elle s'en sort très bien, on est très loin de la bouillie de sons que nous infligez d'autres titres de la même époque, encore à ce jour ça se laisse écouter sans trop de problèmes, pour le peu que l'on aime les musiques oldies.
Vous allez aimer le thème d'ouverture ainsi que celui des palais, celle du dernier donjon est différente et vraiment sublime, dommage que ces musiques ne soient pas plus utilisées dans la franchise (Je pense que la musique des palais est reprise dans Smash Bros mais je suis pas sûr)
Valeur nostalgique: 90%
Les plus du jeu:
- Fraîcheur par rapport au premier
- Aspect RPG qui donne une autre dimension au jeu
- Les musiques
- La maniabilité pour l'époque
Les moins du jeu:
- La difficulté
- La difficulté
- I am Error!!!
Mon avis:
Ce jeu est injustement sous-estimé par les fans de la saga, certains le considèrent comme l'un plus mauvais épisodes de la série, le petit canard boiteux de la famille en quelque sorte... il n'en ai rien!!!
Ce jeu est excellent, que ce soit dans ses mécaniques ou dans l'aventure qui se profile à l'horizon. Vous allez voyager dans un monde fantastique, peuplés de créatures uniques, affrontés des hordes d'ennemis assoiffées de sang. Ne boudez pas ce jeu, il ne le mérite pas. Bravo à Nintendo d'avoir su réinventer la sauce Zelda sans tomber dans la facilité de la bête suite, et de nous avoir offerts ce superbe opus. J'ai fait le premier quelques temps après ce "Adventure of Link" et sans vouloir dénigrer son illustre grand frère, je lui préfère ce deuxième sans sourciller.