Après «X-Men: Days of Future Past», qui sortira cet été, Bryan Singer planchera sur la suite de la franchise, intitulée «X-Men: Apocalypse». Le cinéaste a fait savoir que le prochain film sera dans le même esprit que les précédents, c’est-à-dire qu’il poursuivra l’histoire de nos jours, tout en incluant un voyage dans le temps.

Si «X-Men: le Commencement» a exploré le début des années 1960 et ‘Future Past’ le début des années 1970, ‘Apocalypse’ fera plutôt la part belle aux années 1980. Bryan Singer explique au micro de Heat Vision que «X-Men: Apocalypse» «montrera plus de destructions massives que les films X-Men précédents. Il y a maintenant un personnage et une histoire qui permettent de faire ce genre de démonstration.»

Il a ajouté que ‘Apocalypse’ va traiter de la notion d’anciens mutants et introduira «des personnages familiers dans leur plus jeune âge.» Bryan Singer a aussi ajouté qu’il espère poursuivre la franchise après ‘Apocalypse’, étant donné que ces préquelles lui donne «l’opportunité d’explorer des idées que j’ai eues il y a plus d’une décennie.»

«X-Men: Days of Future Past» sortira le 21 mai.

Un reboot du film d’horreur surnaturel de Takashi Shimizu sorti en 2004, qui s’intitule «The Grudge», est en gestation chez Ghost House Pictures et Good Universe.

Jeff Buhler (“Midnight Meat Train”) écrira le scénario. Notons que «The Grudge» est déjà l’adaptation cinématographique de la série de films «Ju-On», mise en scène par le même réalisateur.

Sarah Michelle Gellar était à l’affiche de la version américaine, sortie en 2004. Elle a campé une étudiante boursière qui déménage à Tokyo et se retrouve tourmentée par les esprits des morts. L’actrice a repris son rôle dans la suite du film, sortie directement en vidéo en 2006. «Ju-on: The Beginning of the End», le septième volet de la franchise japonaise, sortira cette année.

La nouvelle version de «The Grudge» sera produite par Doug Davison, Joe Drake, Taka Ichise, Roy Lee, Sam Raimi et Rob Tapert, avec Nathan Kahane, le producteur exécutif.

Il y a un mois, Sony reformait le trio de l'excellent The Social Network dans le cadre de son biopic consacré à Steve Jobs, l'illustre fondateur d'Apple. Aaron Sorkin à l'écriture, David Fincher à la réalisation et Scott Rudin à la production, voilà qui donne d'emblée une idée de l'ambition affichée par le studio pour son nouveau film.

Un biopic qui pourrait devenir encore plus prometteur selon The Wrap. Le site américain avance en effet que le metteur en scène de Fight Club aurait posé une condition sine qua non à sa participation: que Steve Jobs soit interprété par Christian Bale. L'idée est évidemment séduisante et la pression et donc désormais sur Sony qui va devoir se charger de contacter l'acteur et de négocier sa venue. Cela ne relève à priori pas du domaine de l'impossible puisque la firme japonaise a participé à la distribution d'American Bluff, le dernier film en date de l'acteur... Pour rappel, le film sera adapté de la biographie de Steve Jobs écrite par Walter Isaacson en 2011.

Un film live-action adapté de la série animée et collection de jouets «Jem et les Hologrammes» est au programme. Jon M. Chu, le réalisateur de «G.I. Joe : Conspiration» le mettra en scène.

Chu collaborera avec Jason Blum de chez Blumhouse Productions (“Insidious”, “American Nightmare”) et le magnat de la musique, Scooter Braun, qui se chargent de la production. Les trois hommes ont annoncé la nouvelle dans une vidéo. Ils cherchent actuellement des idées pour le casting, le costume et la musique. Ils veulent être impliqués dans le processus à tous les stades.

Le film sera actualisé pour s’adapter à notre époque. Néanmoins, l’histoire est la même que celle du dessin animé de Hasbro, diffusé dans les années 80, mais sera revisitée. Créé par Christy Marx, «Jem et les Hologrammes» était le fruit de la collaboration entre Marvel et Sunbow Productions. Sa diffusion a commencé en 1985, la série animée a eu trois saisons.

L’histoire est axée sur les aventure du rôle-titre, Jem, une grande star qui est l’alter-ego d’une jeune fille du nom de Jerrica Benton. Avec l’aide d’un ordinateur holographique baptisé Synergy, Jerrica était en mesure de donner des concerts de rock clandestinement avec ses amis.