description : C'est un groupe avec des vidéos d'analyse (exemple : Exitium Film, Game Next Door, La chaîne de P.A.U.L, Bolchegeek, Meeea, Calmos, NostalGeek, Very Own Sun ect) sur les jeux vidéo et le cinéma, principalement, mais aussi d'autres sujets qui pourrait nourrir des réflexions qui entourent "les jeux vidéo" avec une approche "fun".
AUCUNE vidéo (la partie texte en italique inclus) n'est faite par les membres de ce groupe.
00:00 - Notre façon de jouer a changé
00:55 - La PUISSANCE des démos
03:10 - Pourquoi les démos ont disparu ?
09:13 - Les démo coutent trop cher à produire ?
11:48 - Un problème culturel ?
14:23 - Un monde parfait ?
J'étais un gosse quand j'ai eu mon premier jeu vidéo, c'était pas les testes papiers qui dictaient les achats.
C'est vraiment à partir de la gen PS3/X360 et où je me suis ouvert à autre chose que Nintendo que j'ai commencé à me soucier de la qualité des jeux, qui au même moment commençais à baisser. Les demo étaient bienvenu mais pareil que les testes de journalistes, ce n'influençaient pas un achat en ce qui me concerne, et aujourd'hui ça n'influence toujours pas.
Pas vraiment besoin de tester dans le fond. Un mauvais jeu, comme tout média audio-visuel, ça se voit avant tout. Ça se voit aux vidéos de présentations. Ça se voit aussi sur la communication des développeurs et/ou éditeurs.
Clairement la démo ça influençait mon achat, souvent en non achat du coup, car plusieurs fois le gameplay ou la physique du jeu une fois en mains ne me convennait pas. C'est tout bénef pour les devs de ne pas en faire, ça évite d'allouer des ressources pour potentiellement perdre des ventes. En tout cas l'investissement monétaire dans le dev d'une démo comparé aux ventes qu'elles peut rapporter est clairement en leur défaveur, ça pourrait expliquer leurs disparition.
J'achète un jeu qui me donne envie globalement en éspérant qu'il soit aussi bon que je ne l'éspérais. Je suis rarement déçu par les jeux que je fais car je prends les jeux qui me donnent très envie... mais je me rend seulement compte que certains jeux sont décevant après les avoir finis (Spider-man 2, FF16 par exemple)
masharu
Avant y'avait les magazines. Quand, jeune adolescent, j'avais pas internet, ça me servait beaucoup pour savoir ce qui était annoncé, ce qui allez sortir (chez nous, aussi et surtout) et les test à cette époque, tout au moins le magazine Rôle Playing Game, jouissait de rédacteurs et passionnés qui écrivaient de vrais test parlant du jeu, de sorte qu'en les lisant, on savait si c'était un jeu qui nous plairait ou non, en plus de nous donner envie, vraiment. Le jeu, le jeu, le jeu, rien d'autres, pas d'humour, pas de ceci ou de cela, le jeu, le jeu, le jeu, tout pour le jeu, rien que le jeu. Les tests, aujourd'hui, n'ont plus la même valeur en soi, à mon sens. Il m'arrive d'en lire ici et là, mais définitivement, rien ne remplacera ce professionnalisme que l'on a connu...
« Un mauvais jeu, comme tout média audio-visuel, ça se voit avant tout. »
Très d'accord avec ça.
aros J'ai pas la même culture. J'ai encore aujourd'hui mes Nintendo Magazine et Console+ (et à l'époque j'avais même déchiré les pages afin d'avoir toute la soluce d'un jeu réuni dans un classeur haha), mais jamais j'ai été influencé par les tests en fait.
fritesmayo76
La démo, c'est un gros sujet. À l'époque, sur PS2, on avait les disques de démo qu'on avait offert avec des magazines, et étant gosse, combien de temps ai-je passé sur la démo du premier Ratchet & Clank - ou autre -, sans jamais l'avoir acheté.
De même, une démo permet autant de rassurer les joueurs qui attendent le jeu, que les prévenir de ne pas l'acheter car en fait, on a pu se rendre compte qu'il ne nous convenait pas. Ce fut mon cas, par exemple, pour Lies of P. La démo était parue, et celle-ci n'a fait que me rassurer, car en y jouant, je trouvais le jeu meilleur encore que l'idée que je m'en été faite. Quant à la même époque, je présentais, au regard d'un trailer, le jeu ne pas être celui que j'attendais, les vidéos de présentation postées peu avant la sortie du jeu me confirmant la déception que je me figurais alors.
Après, « récemment », en 2023, y'a eu la démo de Wo Long : Fallen Dynastie qui était sortie, peut-être une semaine avant la sortie officielle du jeu, bah au préalable, je m'étais pas spécialement intéressé au jeu (au point de ne rien en savoir) et de savoir quelques jours auparavant qu'une démo sortait (et parce que c'était mon genre de jeu), bah je l'ai prise et la démo m'a vendu le jeu, littéralement - quand bien même il sortait sur le Xbox Games Pass.
Enfin bon, tout ça pour dire que la sortie d'une démo est toujours une bonne chose, excepté pour l'éditeur/développeur qui aura même, sûrement, dépensé de l'argent pour la produire.
masharu
Ah, les Nintendo Magazine, ça c'était mon grand frère qui les achetaient. Il allait pas jusqu'à déchirer ses magazines, mais les soluces des Golden Sun pour obtenir tous les djinns et pour transférer ses djinns du premier au second opus, de même que pour vérifier le cheminement parfois difficile des Zelda Oracle of Season & Time, etc., oui, ça l'aidait parfois. Quant aux codes de triches, sur certains jeux, y'avait des choses intéressantes à faire.
«J'ai pas la même culture. »
Oui, la culture de la soluce ; moi pas, personnellement. Avant les soluces avaient un intérêt en revanche - ce qui n'est plus vraiment le cas aujourd'hui.
« [...] mais jamais j'ai été influencé par les tests en fait. »
Certes. Encore qu'aujourd'hui, on peut s'en réjouir vu la piètre qualité de ceux-ci.
Et puis... c'est surtout qu'aujourd'hui, à l'heure des sorties mondiales devenue chose courante, on ne lit plus un test pour mieux attendre le jeu en question qui nous faisait de l’œil dans les précédents numéro lorsqu'une annonce avait eue lieu ou qu'une news avait été écrite à son sujet, sinon qu'une image avait été dévoilée, mais plutôt pour se donner des raisons de l'acheter ou de ne pas l'acheter, d'ici une poignée de jours, le temps qu'il sorte « enfin ».
Tout ça pour dire que c'est plus vraiment la même chose de lire des tests aujourd'hui, qu'à l'époque où je lisais mon Rôle Playing Games (magazine dédié aux j-rpg).
C'est vraiment à partir de la gen PS3/X360 et où je me suis ouvert à autre chose que Nintendo que j'ai commencé à me soucier de la qualité des jeux, qui au même moment commençais à baisser. Les demo étaient bienvenu mais pareil que les testes de journalistes, ce n'influençaient pas un achat en ce qui me concerne, et aujourd'hui ça n'influence toujours pas.
Pas vraiment besoin de tester dans le fond. Un mauvais jeu, comme tout média audio-visuel, ça se voit avant tout. Ça se voit aux vidéos de présentations. Ça se voit aussi sur la communication des développeurs et/ou éditeurs.
Avant y'avait les magazines. Quand, jeune adolescent, j'avais pas internet, ça me servait beaucoup pour savoir ce qui était annoncé, ce qui allez sortir (chez nous, aussi et surtout) et les test à cette époque, tout au moins le magazine Rôle Playing Game, jouissait de rédacteurs et passionnés qui écrivaient de vrais test parlant du jeu, de sorte qu'en les lisant, on savait si c'était un jeu qui nous plairait ou non, en plus de nous donner envie, vraiment. Le jeu, le jeu, le jeu, rien d'autres, pas d'humour, pas de ceci ou de cela, le jeu, le jeu, le jeu, tout pour le jeu, rien que le jeu. Les tests, aujourd'hui, n'ont plus la même valeur en soi, à mon sens. Il m'arrive d'en lire ici et là, mais définitivement, rien ne remplacera ce professionnalisme que l'on a connu...
« Un mauvais jeu, comme tout média audio-visuel, ça se voit avant tout. »
Très d'accord avec ça.
Le gamepass permet de faire du Day one....
Les jeux baisse vite donc...
Sauf quelque rare éditeur qui fait que attendre sert pas a grand chose....
La démo, c'est un gros sujet. À l'époque, sur PS2, on avait les disques de démo qu'on avait offert avec des magazines, et étant gosse, combien de temps ai-je passé sur la démo du premier Ratchet & Clank - ou autre -, sans jamais l'avoir acheté.
De même, une démo permet autant de rassurer les joueurs qui attendent le jeu, que les prévenir de ne pas l'acheter car en fait, on a pu se rendre compte qu'il ne nous convenait pas. Ce fut mon cas, par exemple, pour Lies of P. La démo était parue, et celle-ci n'a fait que me rassurer, car en y jouant, je trouvais le jeu meilleur encore que l'idée que je m'en été faite. Quant à la même époque, je présentais, au regard d'un trailer, le jeu ne pas être celui que j'attendais, les vidéos de présentation postées peu avant la sortie du jeu me confirmant la déception que je me figurais alors.
Après, « récemment », en 2023, y'a eu la démo de Wo Long : Fallen Dynastie qui était sortie, peut-être une semaine avant la sortie officielle du jeu, bah au préalable, je m'étais pas spécialement intéressé au jeu (au point de ne rien en savoir) et de savoir quelques jours auparavant qu'une démo sortait (et parce que c'était mon genre de jeu), bah je l'ai prise et la démo m'a vendu le jeu, littéralement - quand bien même il sortait sur le Xbox Games Pass.
Enfin bon, tout ça pour dire que la sortie d'une démo est toujours une bonne chose, excepté pour l'éditeur/développeur qui aura même, sûrement, dépensé de l'argent pour la produire.
masharu
Ah, les Nintendo Magazine, ça c'était mon grand frère qui les achetaient. Il allait pas jusqu'à déchirer ses magazines, mais les soluces des Golden Sun pour obtenir tous les djinns et pour transférer ses djinns du premier au second opus, de même que pour vérifier le cheminement parfois difficile des Zelda Oracle of Season & Time, etc., oui, ça l'aidait parfois. Quant aux codes de triches, sur certains jeux, y'avait des choses intéressantes à faire.
«J'ai pas la même culture. »
Oui, la culture de la soluce ; moi pas, personnellement. Avant les soluces avaient un intérêt en revanche - ce qui n'est plus vraiment le cas aujourd'hui.
« [...] mais jamais j'ai été influencé par les tests en fait. »
Certes. Encore qu'aujourd'hui, on peut s'en réjouir vu la piètre qualité de ceux-ci.
Et puis... c'est surtout qu'aujourd'hui, à l'heure des sorties mondiales devenue chose courante, on ne lit plus un test pour mieux attendre le jeu en question qui nous faisait de l’œil dans les précédents numéro lorsqu'une annonce avait eue lieu ou qu'une news avait été écrite à son sujet, sinon qu'une image avait été dévoilée, mais plutôt pour se donner des raisons de l'acheter ou de ne pas l'acheter, d'ici une poignée de jours, le temps qu'il sorte « enfin ».
Tout ça pour dire que c'est plus vraiment la même chose de lire des tests aujourd'hui, qu'à l'époque où je lisais mon Rôle Playing Games (magazine dédié aux j-rpg).