Il y a pas très longtemps
Sur un site pourri, très pourri ...
Game Wars Episode 69 : le modo fantôme !
Gamekyo est en pleine ébullition. La nomination de nouveaux modérateurs afin de lutter contre les forces du mal provoque la discorde !
Pour régler la question, le terrifiant gang des troll pro-''quelque chose'' et ses redoutables commentaires de merde impose un bombardement quotidien et infernal sur le pauvre site communautaire.
Face à ce dangereux engrenage, alors que le comité de modération de Gamekyo s'enlise dans des débats sans fin, le Modérateur Suprême charge un Chevalier Modérateur, gardien de la paix et de la justice de résoudre le conflit en écrivant des articles rétro gaming...
Et qu'est-ce que des articles retro gaming peuvent faire contre une armée de troll, on en sait foutrement rien, mais bon, soit.
Star Wars. Star Wars ! Bon, je vais pas m'étaler sur le sujet, je pense qu'on a tous lu suffisamment de dossier et vu de reportage dans toutes les langues possibles pour s'informer sur le phénomène intemporel La Guerre des Étoiles. Depuis le temps, vous devez aussi savoir que c'est, peut-être même avant le jeu vidéo, ma passion number one. Pi bon, vous êtes aussi au courant (si jamais vous avez au moins l'électricité chez vous) que le 16 décembre prochain (demain donc, suivez un peu putain ), Star Wars revient au cinéma, ce qui est probablement la plus grosse polémique du cinéma moderne entre savoir si cela est de bon aloi ou au contraire complètement foireux. Surtout lorsqu'on y ajoute dans l'équation que Tonton Lucas qui s'est tiré du projet (on a beau dire qu'il a lui-même détruit Star Wars, va falloir vous y faire, c'est lui qui détient la vision originale de Star Wars. Avant de dire que ''les épisodes I-II-III n'ont pas l'esprit Star Wars'', comprenez que c'est lui le créateur de la chose et qu'il ne sert à rien de prétendre mieux que lui ce qui est du bon Star Wars ou pas, quoi de plus logique bordel de Bantha), que c'est Disney qui a repris les rennes et qu'en sus, c'est J.J. Abrams, déjà relativement connu pour avoir dégueulassé l'esprit de la saga Star Trek quelques années auparavant qui s'occupe du nouveau long-métrage à venir.
Quand j'y pense, la situation que nous vivons en cette fin d'année 2015 a déjà été vécu par les fans les plus anciens de Star Wars, en 1999 pour être exact avec l'arrivée d'une nouvelle trilogie cinématographique. Seize ans après le Retour du Jedi, les réactions avaient été les mêmes que pour Le Réveil de la Force. Bon nombre d'aficionados étaient plus que partagés à l'idée de relancer Star Wars, craignant que le digne patrimoine de leur série favorite ne soit insulté et gâché par l’appât du gain hollywoodien.
Bref, faisons fi de tout cela, de toute façon, on aura sûrement l'occasion d'en reparler abondamment plus tard. Et attardons nous sur le jeu dont il est question aujourd'hui, à savoir l'adaptation vidéoludique de l’Épisode I : La Menace Fantôme sur Playstation. Sortie un peu avant le film en version française, le jeu nous propose ni plus ni moins que de reprendre la trame originale sans que grand chose ne soit changé. Ainsi, nous incarnons quatre personnages emblématiques (ou pas, pour au moins l'un d'eux) à travers 11 niveaux de taille et d'intérêt variable. Obi-Wan Kenobi, le valeureux Padawan qui deviendra plus tard le Maître Jedi le plus reconnu de la galaxie (avec Yoda, certes) ; Qui-Gon Jinn, l'intraitable et rebelle Maître de Kenobi précité dont le charisme et la prestance a de quoi faire fermer la bouche à plus d'un troll ; la Reine Amidala elle-même, belle mais forte et déterminée à libérer son peuple du joug oppresseur de la cupide Fédération du Commerce ; et enfin, le capitaine Panaka (c'est lui le personnage pas emblématique), chef du service de sécurité de la reine.
Pour tout ceux qui ont vus le film, aucune surprise, on commence par le vaisseau de la Fédération du Commerce où Kenobi et Jinn sont envoyés en tant que diplomate pour négocier la cessation du blocus exercé sur la petite planète de Naboo. Mais les Neimoidien (une race cupide et lâche) ne l'entendent pas de cette oreille et poussés par un étrange émissaire qui garde son identité secrète, tentent d'assassiner les Jedi. Le jeu commence, dés la première minute, nous devons brandir notre sabre-laser et défourailler face à des troupes entières de droïdes de combat. Un bouton pour sauter, un autre pour utiliser une vague de Force afin de repousser ou faire chuter ses adversaires en arrière (voir dans le vide, à certaines occasions), un autre pour utiliser son arme (sabre, pistolet blaster, détonateur thermique, lance-roquette...) et enfin des gâchettes qui servent à switcher entre votre équipement. C'est simple, c'est rapide à prendre en main.
Qui dit sabre-laser dit, comme dans les films pouvoir de repousser les tirs de blaster vers son envoyeur. Et c'est, en tant que Jedi le principal atout que vous aurez pour faire face aux ennemis très souvent en supériorité numérique. Le barrage de feu qui vous sera opposé sera tel qu'il faudra bien souvent rester patient, tenir la position pendant plusieurs secondes tout en levant son sabre devant son nez afin d'essayer de repousser une paire de trait d’énergie dans le but de détruire quelques droïdes. Une fois que l'attroupement sera plus léger, vous pourrez vous permettre de foncer dans le tas, donner quelque coup de sabre bien placés pour finir le travail et accélérer le rythme.
Au départ c'est franchement cool, voir jouissif, on s'y croit, les bruitages typiques de l'univers cinématographique aidant pour beaucoup. Et parfois on se rend compte que c'est pas toujours aisé, même quand on est un Jedi, comme quand on affronte trop de droïdes à la fois et que plusieurs de leurs tirs passent à travers notre défense ; ou quand on combat un droïdekas (droïde destroyer) dont la puissance et la cadence de feu infernale transforma votre Obi-Wan Kenobi en passoire interstellaire.
Puis au bout de quelques niveaux, ça devient lassant, le fait que la direction dans laquelle on repousse le tirs de blaster ne peut être contrôlée et le fait qu'on ne dispose pas de plus de pouvoir de Force fait que les joutes contre de vulgaires droïdes fantassins peuvent durer dramatiquement longtemps et se faire très ennuyeuses. Dommage, aussi, qu'on ne dispose pas de véritable enchainement de coup à faire au sabre-laser, on se contente de cogner comme un sourd sur la moindre carcasse métallique avec son bâton bleu (ou vert, selon le personnage) sans pouvoir reproduire un tant soit peu les fabuleux mouvements acrobatiques aperçus dans le film. Pourtant, quand on voit les Soul Edge et autre Jedi Knight (certes sur PC, mais sorti deux ans auparavant), on se dit que c'est parfaitement faisable de faire exécuter un petit kata à son combattant !
En découle un autre problème dont je ne trouve pas vraiment la nature: moi, ou le jeu bancal. C'est le combat final contre le terrible Dark Maul (Darth, pour les puristes). Si dans le film, c'est un modèle absolu du genre, chorégraphié à l'extrême, précis, haletant, dynamique, dans le jeu, c'est fichtrement bordélique. On dirait deux pingouins trisomiques qui se frittent à coup d'illumination de Noël. J'ai finis le jeu cinq ou six fois, et jamais je n'ai réussi à vaincre Maul de façon propre et classe. Ses redoutables éclairs de Force et son double sabre-laser rouge carbonisent votre barre de vie à la vitesse de la lumière. Si bien qu'on est contraint de se planquer tant bien que mal, courir comme un fou à travers la zone en espérant choper un item de soin quand cela est nécessaire, et surtout ne jamais tenter le corps à corps. Dés qu'on trouve une planque à peu prêt convenable, on abuse de l'IA formidablement débile (parce que Maul n'est pas capable de faire trois pas de côté pour s'engouffrer à son tour dans votre cachette) et on lui balance à la figure tout ce qu'on a eu la présence d'esprit d'économiser comme arme autre que le sabre-laser durant les dix niveaux précédents : détonateurs thermiques et roquettes en priorité. Mais même avec un max d'outils de destruction massive, vous ne parviendrez pas à le vaincre, tout au plus vous diviserez sa vitalité par deux. Reste plus qu'à prier la Force et à se jeter comme un Rancor, sabre au clair vers le boss.
Navrant...
Qu'à cela ne tienne, il n'y a pas que les combats dans le jeu Star Wars Épisode I (lors de son processus de développement, nommé sobrement Star Wars Adventure pour faire le parallèle avec un autre jeu Star Wars sorti la même année : Racer sur Nintendo 64), il y a aussi l'aventure et la résolution d'énigme ! Mais là encore, nous obtenons un constat mitigé. On sens le potentiel d'une partie aventure, surtout dans un univers aussi fantasque que Star Wars, où des centaines de races différentes se côtoient sur autant de planètes. D'ailleurs, les niveaux où l'ont dirige Qui-Gon Jinn, sur Tatooine, à la recherche d'Anakin Skywalker et où on négocie, farfouille, troc et échange un tas d'infos et de matos pour aider l'enfant à se fabriquer son podracer est très sympathique. Si on se débrouille bien, il est possible de boucler cette affaire sans même brandir son sabre-laser, uniquement en sélectionnant les bonnes réponses lors des dialogues à choix multiples, tel un véritable chef de la négoce. Une ambiance particulière se dégage des niveaux 6 et 7 (tout comme des niveaux 4 et 5 qui se passe dans Theed, la magnifique capitale de Naboo aux fortes inspirations italiennes, occupée par les armées droïdes), on se sent vraiment comme un étranger qui ne serait pas le bienvenue dans un monde régi par ses propres règles et où même l'autorité d'un Jedi n'a que peu de valeur.
Malheureusement, si on creuse un peu plus, on s’aperçoit bien vite que les dialogues à choix multiples nous ramènent vers une seule et même issue, presque tout n'est qu'illusion, rarement il vous sera proposé une véritable alternative. Les énigmes sont quant à elles simples, elles consistes en général à appuyer sur une série interrupteur comme il faut pour déverrouiller une porte, ou user de la Force pour activer une manivelle autrement hors de portée. Parfois, il s'agit de pousser ou tirer des caisses ou des plates-formes pour là encore créer un nouveau passage, mais rien de plus. C'est pauvre, et c'est franchement dommage, cela aurait put d'avantage créer une bouffer d'air rafraichissant entre plusieurs combats fastidieux face aux droïdes.
Cela aurait été relativement simple à mettre en place d'autant que s'il y a bien une chose qu'on ne peut reprocher aux films, et à fortiori à ce jeu, c'est la variété des décors. En l'espace de onze niveaux, on découvre les entrailles froides et grises d'un vaisseau spatial, des marécages proposant un dégradé de couleur allant du vert au marron en passant par le bleu, des landes désertiques à la population hétéroclites ; des rues et jardins de ville aux murs de mosaïques colorées et aux monuments de pierre soigneusement taillée ou les bas-fonds rouillés et dégoutants d'une mégalopole galactique à la dimension devenue inhumaine avec le temps.
Qu'à cela ne tienne, encore une fois, Star Wars est connu pour ses effets spéciaux révolutionnaires et sa direction artistique sensationnelle, alors le jeu doit être beau à voir, n'est-ce pas ? Quoi ?! C'est là où il est le plus mauvais, hé merdeuh !
Et malheureusement , oui, la version PC qui pour une fois n'a rien de plus que la version console (ici, la Playstation) est très moyenne graphiquement. Certain jeu de couleur type pastel, comme pour les jardins de la ville de Theed ont de quoi charmer et les personnages sont tous reconnaissables (ce serait un comble) mais la modélisation 3D est si cubique qu'on se croirait retourné sur Die Hard Trilogy, en 1996. La caméra est une garce qui ne s'intéresse qu'au sol sur lequel vous marchez, visiblement, et qui ne daignera que très rarement vous montrer ce qui se passe à plus de trois mètres devant votre nez. Très ennuyeux pour prévoir un minimum comment se défendre. Et frustrant quand on voit arriver une paire de droidekas, redoutables, et qui nous pulvérisent aussi sec parce qu'on a pas eu le temps d'aller se cacher.
Les textures naviguent entre le gros dégueulasse et le tout juste correct et la pixelisation outrancière complète ce tableau très peu reluisant. Mais le pire, ce qui nous fait dire que bordel, LucasArts a bel et bien cédé aux sirènes du marketing pourri, c'est les bugs outrageux qui ont envahis tout les compartiments du jeu ! Disparitions de personnages comme par enchantement, quand ceux-ci ne passent pas tout simplement à travers les murs et sols, bugs de dialogue qui rendent les voix inaudibles ou encore le bon vieux coup du personnage qui se coince dans un élément du décors pour ne plus jamais en bouger avant que vous n'appuyez sur le reset de la console. Heureusement, les bugs, bien que d'une variété tout à fait épatante (rien que pour ça, on a bien envie de féliciter les développeurs, tiens) reste assez peu fréquent, mais toujours très embêtant.
C'est bête parce qu'en plus, tout n'est pas forcément à jeter. Les effets de lumières sont bien fichus, notamment avec le doux halo de votre sabre-laser qui se répercute sur les décors un peu ombragés ; ou les effets d'explosions diverses (droïdes, vaisseaux, détonateurs...) qui eux, étrangement, ne pixelisent pas plus que cela. Sans parler des scènes cinématiques en CG qui entrecoupent les niveaux et qui forcent le respect.
C'est net, LucasArts, après nous avoir fourni bon nombre de jeux de qualité exploitant l'univers Star Wars (X-Wing, Dark Forces, Super Star Wars, Shadow of the Empire...) commence à abuser de sa licence fétiche. L'adaptation vidéoludique de l’Épisode I n'est qu'un parmi d'autres jeux à la qualité douteuse et au degrés de finition quasi nul. En vrac, on peut citer Yoda's Stories sur Gameboy Color ou Masters of Teräs Käsi sur Playstation qui sont parut, coïncidence ou pas, peu ou proue aux alentours de la renaissance de la saga au cinéma. De là à dire qu'ils ont cherché à surfer sur la hype, il n'y a qu'un parsec qu'on a tendance à franchement vouloir franchir d'un coup de saut en vitesse lumière !
Ceci dit, ce constat n'est peut-être pas si vrai que cela puisqu'on peut observer que même après cela, d'autres bons jeux estampillés Star Wars nous sont arrivés, tel que Rogue Squadron II en 2001 ou Jedi Knight II : Jedi Outcast en 2002. Disons qu'avec le regain d'intérêt qu'a Star Wars surtout auprès des plus jeunes, la qualité des productions vidéoludiques qui en découle devient plus hasardeuse que par le passé. Ça devient la loterie, parfois on tombe sur un incontournable absolu, parfois sur un produit marketing éhonté.
Mais alors, pourquoi y jouer ? Pourquoi Anakaris, lui mes-tu une telle note nostalgique ? Et bien justement pour cela, parce que malgré ses lourds défauts qu'on ne peut que reconnaître objectivement, le jeu Star Wars Épisode I a la chance de proposer une étrange et puissante alchimie nostalgique aux joueurs qui l'ont connut à l'époque. L'ambiance a quelque chose de captivant, le film est fidèlement retranscrit (peut-être un peu trop, on aurait probablement apprécié des passages supplémentaires pour éclaircir certaines zones d'ombre du scénario original). Les voix françaises sont un brin robotiques mais confèrent au soft une personnalité propre et malgré la liste de défaut évoquée plus haut, l'aventure se laisse vivre sans grand soucis.
Est-ce que cela suffit pour que le jeu mérite qu'on s'y attarde encore, même au titre de la passion du retro gaming ? Pas sur, en tout cas moi, j'ai indéniablement été attiré par le jeu même encore en 2015, mais après tout, vous savez qu'en ce qui concerne Star Wars, je ne suis plus du tout objectif.
Attention, les gros bugs d'affichage qui surviennent dans ces vidéos de gameplay ne proviennent pas du jeu, mais de l'émulateur que le Youtubeur utilise, le jeu est buggué mais pas tant que ça tout de même
La tronche du jeu sur PSone
Dans mes souvenirs il n'était pas aussi moche sur PC.
A l'époque j'avais contacté la rédaction de joypad par minitel pour demander si il y aurait une suite.
Il était plutôt affligeant, avec le recul j'ai de la peine pour mes parents qui nous l'ont achetés. Bref, il est loin des Shadow of the empire, Racer, Jedi knight ou Rogue squadron de la même génération.
neoaxle oué enfin JDG a sorti sa vidéo quand ? Y'a une semaine à tout péter, tu comprend bien que j'écris ce test depuis des lustres... Et puis évidemment, le nouveau film est sorti aujourd'hui, alors je vais parler de Star Wars comme le 3/4 des testeurs amateurs sur le net.
On va pas m'accuser d'avoir copié sur JDG quand même ?
Anakaris Je ne faisais que souligner la coïncidence justement parce que vous lui reprochez les mêmes choses et que le 7è film est sorti. Je ne t'ai pas accusé...... Si même les modos s'y mettent je crois vraiment que je ne vais plus poster aucun coms ici moi.....
neoaxle oh hé, genre, relax, ça va hein, j't'ai pas violé non plus, comment tu joue la victime
D'autant que JDG est un beau con sur sa dernière vidéo, on le savait mauvais joueur et hypocrite, mais là c'est le summum de la mauvaise foi. Un moment, il parle d'un labyrinthe dans ce jeu en montrant un passage du 1er niveau. Or, le dit labyrinthe est constitué de 4 couloirs et 3 portes. J'ai vu pire comme labyrinthe. C'est d'une facilité enfantine de s'y retrouver et les énigmes sont toutes très faciles à appréhender.
C'est juste qu'il a voulu forcer le trait pour taper un peu plus que de raison sur le jeu dans son émission, après tout, c'est son fond de commerce, c'est comme ça qu'il fait marrer les gens ...
Anakaris Rohlala, c'est le concept même du JDG mais bon pas grave. Ok ok je ne joue pas la victime, c'est juste que j'ai ressenti un peu d'agressivité dans ton com et j'ai réagi en conséquence. Mais bon on s'est tous les deux trompés
Dans mes souvenirs il n'était pas aussi moche sur PC.
A l'époque j'avais contacté la rédaction de joypad par minitel pour demander si il y aurait une suite.
blindzorro Ah ben voilà...
Il était plutôt affligeant, avec le recul j'ai de la peine pour mes parents qui nous l'ont achetés. Bref, il est loin des Shadow of the empire, Racer, Jedi knight ou Rogue squadron de la même génération.
On va pas m'accuser d'avoir copié sur JDG quand même ?
D'autant que JDG est un beau con sur sa dernière vidéo, on le savait mauvais joueur et hypocrite, mais là c'est le summum de la mauvaise foi. Un moment, il parle d'un labyrinthe dans ce jeu en montrant un passage du 1er niveau. Or, le dit labyrinthe est constitué de 4 couloirs et 3 portes. J'ai vu pire comme labyrinthe. C'est d'une facilité enfantine de s'y retrouver et les énigmes sont toutes très faciles à appréhender.
C'est juste qu'il a voulu forcer le trait pour taper un peu plus que de raison sur le jeu dans son émission, après tout, c'est son fond de commerce, c'est comme ça qu'il fait marrer les gens ...