Réalisé par Jonathan Eusebio : Il était jusqu’à présent coordinateur des combats et chef cascadeur
(Matrix Resurrections / John Wick Parabellum / John Wick 2 / John Wick)
Marvin Gable, est un agent immobilier de la banlieue de Milwaukee, où les panneaux ‘‘à vendre’’ prospèrent. Jusqu’à ce qu’il reçoive une enveloppe rouge signée Rose, une ancienne collaboratrice qu'il avait laissée pour morte il y a bien longtemps.
Marvin est alors rattrapé par un monde où règne la trahison, rempli de tueurs à gages impitoyables.Traqué par son frère Knuckles, un criminel de haut vol totalement instable, Marvin doit affronter les choix qu’il a fait et son histoire qu'il n'a jamais vraiment enterrée.
Réalisé par Michel Hazanavicius : OSS 117, Le Caire nid d'espions / OSS 117 : Rio ne répond plus / The Artist
Il était une fois, dans un grand bois, un pauvre bûcheron et une pauvre bûcheronne.
Le froid, la faim, la misère, et partout autour d´eux la guerre, leur rendaient la vie bien difficile.
Un jour, pauvre bûcheronne recueille un bébé. Un bébé jeté d’un des nombreux trains qui traversent sans cesse leur bois.
Protégée quoi qu’il en coûte, ce bébé, cette petite marchandise va bouleverser la vie de cette femme, de son mari , et de tous ceux qui vont croiser son destin, jusqu’à l’homme qui l’a jeté du train.
Leur histoire va révéler le pire comme le meilleur du cœur des hommes.
20 Minutes 5/5
Un conte bouleversant et intensément beau.
La Voix du Nord 5/5
En adaptant en film d’animation un conte de Jean-Claude Grumberg, Michel Hazanavicius réussit l’exploit de raconter une histoire belle, humaniste et universelle sans éluder les horreurs de la Shoah.
Le Parisien 5/5
Un chef-d’œuvre animé.
Les Echos 5/5
Par le chemin du conte, l'auteur de « The Artist » reconstitue les années 1940 et la déportation. Son premier film d'animation est aussi son plus beau film.
Ouest France 5/5
Un bijou de film d'animation.
Télérama 5/5
Adaptée du roman de Jean-Claude Grumberg, cette fable délicate est un petit bijou d’animation.
Franceinfo Culture 4/5
Un film important et beau.
L'Obs 4/5
Oui, les sans-cœur ont un cœur, la bûcheronne et le bûcheron sont des Justes et ce film intemporel, narré par la voix enveloppante d’un Jean-Louis Trintignant à l’hiver de sa vie, est bouleversant de grâce et de pudeur.
La Croix 4/5
Un film puissant.
Le Figaro 4/5
Un film grave et poétique.
Le Monde 4/5
Le cinéaste adapte avec sobriété, sensibilité et talent, le récit de Jean-Claude Grumberg sur la déportation vers les camps nazis.
Le Point 4/5
Une bouleversante ode universelle au courage et à l’humanisme, indispensable par les temps qui courent.
Marianne 4/5
Le cinéaste français inclassable adapte un récit de Jean-Claude Grumberg et s’essaie à un nouveau genre : le film d’animation. Ce conte en images évoquant la Seconde Guerre mondiale et la Shoah confirme l’audace du réalisateur.
Sud Ouest 4/5
Proche de la gravure, le dessin chemine avec intégrité entre esthétisme et réalisme. Jamais Michel Hazanavicius ne fait de l’épate avec son sujet. Pour autant, il n’escamote rien de ce qui a été vécu, et qui est effroyable.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Hazanavicius fait un pas de côté en livrant un film d’animation sur fond de Seconde Guerre mondiale. Une œuvre mémorielle élégante mais très sage.
Libération 3/5
Le film d’animation du réalisateur oscarisé, sur un bébé rescapé de la Shoah, se laisse dépasser.
Première 3/5
Hazanavicius prouve une fois encore sa capacité à ne jamais s’enfermer dans une quelconque de zone confort.
Cahiers du Cinéma 2/5
Abandonnant la suggestion, il [Michel Hazanavicius] fait alors le pari que l’animation a le pouvoir, par rapport au texte et à la prise de vues réelles, de montrer sans obscénité des corps décharnés et des visages statufiés par l’effroi.
Les Inrockuptibles 2/5
Pour ce nouveau long métrage, Michel Hazanavicius adapte le conte de Jean-Claude Grumberg. Malgré la force du sujet et la beauté du trait, il échoue pourtant à hisser son film d’animation à la hauteur de son sujet.
Tokyo, début des années 1940. Tetsuko, que tout le monde appelle Totto-Chan, est une petite fille pleine de vie qui mène la vie dure à son institutrice, qui finit par la renvoyer. Ses parents décident de l’inscrire à Tomoe, une école pas comme les autres où de vieux wagons font office de salles de classe. Son directeur y met l'accent sur l'indépendance et la créativité des enfants. Tandis que la Japon s'enfonce dans la guerre, Totto-Chan va découvrir que les petites expériences de la vie sont plus importantes que les leçons.
Synopsis : Charlie Heller, un cryptographe de la CIA aussi brillant qu’introverti, voit son existence basculer lorsque sa femme décède durant une attaque terroriste perpétrée à Londres. Déplorant l’inaction de sa hiérarchie, il prend alors l’affaire en mains et se met à la recherche des assassins, embarquant pour un dangereux voyage partout à travers le monde pour assouvir sa vengeance.
L’histoire de familles dont les peines, les joies et les moments de doutes se font écho à travers les générations.
Les Inrockuptibles 5/5
Il faut surtout attendre la dernière ligne droite pour saisir la puissance du dispositif qui, loin d’être un gimmick, s’avère être une leçon phénoménologique sur ce que peut le cinéma lorsqu’il s’abreuve à la source du temps : le fixer pour l’éternité.
Ecran Large 4/5
"Here" pourra rebuter par son dispositif, proche d’une installation d’art contemporain. Mais Robert Zemeckis en tire une œuvre bouleversante et vertigineuse sur le temps qui passe et s’efface. Non content de signer l’un de ses projets les plus expérimentaux, le réalisateur vient d’offrir l’un de ses plus beaux films.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Les constantes de la vie/l’amour/la mort perçues dans un unique lieu, au fil du temps. La prouesse technique est indéniable, la promesse d’un chef-d’œuvre conceptuel est presque tenue, malgré un romanesque un peu trop convenu et une émotion qui tarde à venir.
Libération 4/5
"Here" oscille entre l’embarras et le bouleversement. Zemeckis a toujours eu un certain sens du sacrifice par le mauvais goût, osant des expérimentations révolutionnaires que leur rendu imparfait promettait à l’oubli gêné [...]. Il n’en demeure pas moins une des choses les plus novatrices et les plus déchirantes vues cette année [...].
Franceinfo Culture 2/5
"Here" raconte l'histoire d'un lieu et de ses habitants depuis la nuit des temps : beau sujet ambitieu
La Croix 2/5
propose un dispositif original pour livrer une réflexion hélas peu convaincante sur le temps qui passe.
Télérama 2/5
Trente ans après, Robert Zemeckis convoque à nouveau Tom Hanks et Robin Wright pour adapter un roman graphique primé à Angoulême. Mais, cette fois, la mayonnaise ne prend pas.
Avez-vous déjà rêvé d’une meilleure version de vous-même ? Vous devriez essayer ce nouveau produit : THE SUBSTANCEIl a changé ma vie. Il permet de générer une autre version de vous-même, plus jeune, plus belle, plus parfaite.
Franceinfo Culture 5/5
Avec ses décors superbes, son interprétation remarquable, sa photo et ses effets spéciaux de grande classe, "The Substance" réunit tous les atouts pour séduire les amateurs du film de genre.
Le Parisien 5/5
Avec ce film très drôle, jouissif et à la réalisation léchée, Coralie Fargeat porte aussi un discours percutant sur la quête de l’éternelle jeunesse. On adore sa folie et celle de Demi Moore, qui a accepté ce rôle avec panache.
Ecran Large 4/5
Coralie Fargeat devient la nouvelle reine de l’horreur avec "The Substance", où la quête effrénée de la beauté éternelle amène à un cauchemar de body horror sans limites incroyablement porté par le duo Demi Moore-Margaret Qualley.
La Voix du Nord 4/5
C’est là qu’il faut aussi rendre hommage à Demi Moore, 61 ans, sex-symbol des années 90 (Ghost, Proposition indécente, Harcèlement, Striptease…). Quasiment dans son propre rôle, offerte comme jamais dans ce qui restera le rôle de sa vie, elle livre une prestation hallucinante de force et d’engagement. Come-back monstrueux !
Ouest France 4/5
Héritière de Cronenberg, Coralie Fargeat met un coup de pied dans le cinéma de genre (...).
Première 4/5
Coralie Fargeat appuie sur toutes les touches d’un bestiaire cinéphile identifié (au choix : Cronenberg, Carpenter, Verhoeven, de Palma, Peter Jackson première manière...), pour les greffer à sa propre vision d’auteure. Une vision qui l’emmène très loin, jusqu’au bout d’une route sans retour.
Télérama 4/5
S’il n’y a qu’une idée à l’œuvre, Coralie Fargeat l’exploite jusqu’à la moelle et en tire des visions insensées, d’une indéniable puissance plastique.
Cahiers du Cinéma 3/5
The Substance, prix de scénario à Cannes, c’est un Faust qui s’est ouvert le dos. Dans un placenta aux nuances de Baby Jane et de Fedora, il accouche d’un bébé sanglant abreuvé par le body horror, exposant sa carcasse à la lumière amère d’Andersen et de Dorian Gray.
Le Figaro 3/5
Coralie Fargeat, qui s'était déjà illustrée dans le brutal avec Revenge, repousse les limites du grand-guignol avec un élan assez communicatif. Elle ne lésine pas sur l'audace et l'hémoglobine. Elles coulent à flots.
Le Monde 3/5
Sous son art de la surface un peu clinquant, The Substance fait spectacle d’une angoisse profonde et intimement féminine : la hantise de l’informe, à travers la lutte muette entre la chair des deux actrices : l’une qui se défait, l’autre qui triomphe – et la remplace.
Le Point 3/5
Fargeat pousse tous les potards à fond, sature à mort la bande-son et, si vous êtes prêts et consentants à trente minutes ultimes dans le tambour de la machine à laver, le dernier virage vous électrisera autant qu'un tour de grand huit sous amphétamines. Dans le cas où, au contraire, vous seriez plutôt d'humeur Downton Abbey, un seul conseil : fuyez, pauvres fous !
Les Echos 3/5
Dans son second long-métrage, Coralie Fargeat invente une relecture moderne des mythes de Dorian Gray et du Docteur Jekyll. Un spectacle sauvage, intense mais surchargé.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Trop à plus d’un titre (trop long, trop gore, trop bas du front, trop vulgaire et grotesque), "The Substance" est aussi un petit brûlot marrant, planté droit dans ses bottes et sa mauvaise humeur, déclinant sans chichis une équation simple et cohérente.
Mad Movies 3/5
POUR : Beaucoup trop long et maladroit, mais difficile de ne pas saluer une telle volonté d'aller à l'extrême.
Libération 2/5
Film «body horror» où Demi Moore incarne un ex-sex symbol droguée à un sérum de jouvence, le second long de la Française Coralie Fargeat sur le vieillissement féminin se révèle laid et anxiogène.
Les Inrockuptibles 1/5
Misant sur un principe d’efficacité et de gradation dans l’horreur, le film se délecte de la cruauté de son jeu de massacre (...). Comment faire avec le temps qui passe ? Voilà une question à laquelle "The Substance" ne songe jamais.
Mad Movies 1/5
CONTRE : On sentait venir l'entourloupe, mais à l'arrivée, The Substance est encore pire que prévu en matière de pétard mouillé.
Alors qu'un homme se retrouve juré d'un procès pour meurtre, il découvre qu'il est à l'origine de cet acte criminel. Il se retrouve face à un dilemme moral entre se protéger ou se livrer.
Le Point 5/5
En ces temps de binarité mortifère nourrie par les réseaux sociaux, parasitant toute nuance et vérité dans le rendu de la justice, la démonstration paisible mais ferme de Juré n° 2 fait un bien fou. Et se clôt sur un plan d'une force dévastatrice que l'on n'est pas près d'oublier. À voir de toute urgence.
Cahiers du Cinéma 4/5
Sous ses allures de téléfilm apollinien, (...) le film navigue dans des eaux à la complexité extrême, avec une forme d’épure, à faire pâlir les dernières œuvres à trois chiffres de vétérans hollywoodiens (Killers of the Flower Moon, Megalopolis).
Franceinfo Culture 4/5
À 94 ans, Clint Eastwood n'a rien perdu de sa dextérité à renouveler le beau classicisme qui nourrit sa riche filmographie. Il dépasse avec "Juré n°2" les formes attendues du film de procès [...].
L'Obs 4/5
Car « Juré n°2 » raconte plus que tout le malaise généré par les Blancs privilégiés au sein d’une Amérique plurielle dont les institutions sont pensées pour eux seuls. Est-ce à dire que Clint Eastwood a viré woke à 94 ans ? Sans aller jusque-là, son film déconstruit un monceau de présupposés et se délecte à jeter le trouble dans tout ce qui ressemble de près ou de loin à un semblant d’ordre établi.
La Voix du Nord 4/5
À quelques nuances près (notamment le personnage de Kiefer Sutherland, sorte de confesseur de Kemp, inutile), Eastwood déroule un fascinant récit, aussi vertigineux que limpide (un modèle de montage), jouant en permanence avec les ambiguïtés morales.
Le Figaro 4/5
Pour son 42e film, le réalisateur américain, âgé de 94 ans, plonge dans le film de procès. Un huis clos qui lui réussit parfaitement.
Le Monde 4/5
A 94 ans, le réalisateur américain livre un film de procès complexe, au scénario retors, dans une filiation assumée avec « Douze hommes en colère », de Sidney Lumet.
Le Parisien 4/5
L’intrigue génère un suspense qui va crescendo, et met sous tension le spectateur qui se demande bien où le maître de cérémonie va l’emmener.
Les Echos 4/5
Une ultime réussite.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Avec cette solide fable morale, Eastwood livre une réflexion sur la justice et la vérité qui ne manque pas d’incarnation.
Les Inrockuptibles 4/5
Si "Cry Macho" était le chant du cygne d’un cavalier solitaire, un langoureux document sur la vieillesse et la dégénérescence d’un corps, "Juré n°2" est un film qui respire l’extrême vitalité. Conduit dans un appareillage brillamment dosé entre vitesse, concision et limpidité, le nouveau Eastwood exalte à chaque plan de son élégant classicisme que sur le terrain du cinéma, il n’a pas pris une ride.
Marianne 4/5
À l’âge vénérable de 94 ans, Clint Eastwood met en scène un nouveau film, son quarantième, où il interroge la fragilité de la justice et le redoutable « concept » de présomption de culpabilité. Même si elle n’atteint pas le niveau de ses plus belles réussites, cette fiction confirme la stupéfiante créativité de son auteur.
Télérama 4/5
À travers l’histoire captivante d’un juré qui découvre sa responsabilité dans la mort de la victime, Clint Eastwood traite magistralement de la justice.
L'Humanité 3/5
Un film de procès implacable et imparfait.
Libération 3/5
Le cinéaste signe un film old school au scénario improbable, avec un Nicholas Hoult juré de tribunal en proie à un dilemme moral.
Première 3/5
Et si c’était le dernier ? Quoiqu’il en soit, ce film de procès a encore de quoi ravir les fans de Clint Eastwood.
Sud Ouest 3/5
Loin de tout effet de mode, fidèle à sa rigueur, Clint Eastwood en dit long sur un système qui vacille, ayant parfois tendance à juger des êtres plutôt que des faits.
Un chat se réveille dans un univers envahi par l’eau où toute vie humaine semble avoir disparu. Il trouve refuge sur un bateau avec un groupe d’autres animaux. Mais s’entendre avec eux s’avère un défi encore plus grand que de surmonter sa peur de l'eau ! Tous devront désormais apprendre à surmonter leurs différences et à s’adapter au nouveau monde qui s’impose à eux.
Le Dauphiné Libéré 5/5
Une odyssée hypnotique et envoûtante, enchanteresse et mystérieuse.
Le Parisien 5/5
Un film choc sans personnages humains et sans dialogues : du jamais-vu.
Les Echos 5/5
Le cinéaste letton signe un film d'animation virtuose et, à travers des bêtes, un portrait de notre humanité.
Marianne 5/5
Un film d’animation sublime.
Ouest France 5/5
Un film d'animation sans dialogue, d'une puissance visuelle inouïe.
Télérama 5/5
Un choc esthétique et une ode hypnotique à la nature.
Cahiers du Cinéma 4/5
Au-delà du défi technique et de la pirouette économique, Flow, paradoxalement élaboré avec une véritable équipe artistique, hérite ainsi d’un monde dont les humains semblent avoir disparu.
L'Obs 4/5
Une fresque majestueuse et épique.
Le Figaro 4/5
Onirique, imaginatif, toujours en mouvement, voici un film d’animation d’un nouveau genre. Flow s’apparente en effet à une expérience sensorielle inédite. Comment ne pas s’émerveiller devant le second film d’animation du jeune Letton Gints Zilbalodis (Ailleurs) ?
Les Echos 4/5
Le réalisateur Chris Sanders adapte un livre pour la jeunesse dans un film d'animation aux paysages merveilleux et qui invite à la réflexion.
Le Monde 4/5
Le film crée sa magie à partir de l’observation et de la reproduction minutieuses des comportements de chacune des espèces. Comme si l’usage du dessin et de la 3D, à la pointe du réalisme, apportait une nouvelle acuité à notre regard.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Le coréalisateur de Lilo & Stitch signe une nouvelle réflexion autour du concept de famille. Visuellement captivant, Le Robot sauvage perd en émotion en raison d’un déroulement assez attendu.
Le Point 4/5
Le résultat est une épopée bluffante qui méritait amplement sa sélection au dernier Festival de Cannes, dans la sélection Un certain regard.
Libération 4/5
Si l’animation en 3D est stupéfiante de réalisme en ce qui concerne les animaux et nous plonge dans un univers visuel fabuleux (des ruines émergeant des eaux, des colonnes de pierres vertigineuses, une forêt qui revit), le trait narratif est elliptique et convoque une ambiance planante, calquée sur un rythme et une logique de vie qui nous est totalement étrangère.
Mad Movies 4/5
Un exercice sensoriel digne de ses grandes ambitions, qui culmine avec un dernier acte cathartique plaçant les animaux, par l'entremise d'un miroir d'eau, face à leur propre conscience.
Première 4/5
Constamment immersif, le film joue de notre biais anthropomorphique sans jamais se départir d’un regard à hauteur de chat. Une fable, une grande, émouvante et sincère, sur le pouvoir du collectif. Et certainement un peu sur l’inutilité de notre espèce, voire sa responsabilité dans l’effondrement du monde. Le règne animal commence ici.
Les Inrockuptibles 3/5
(...) c’est un peu de lui-même qu’épie le jeune cinéaste letton connu pour sa solitude créatrice précoce et abondante. L’intime mise en abyme du film permet de rendre l’expérience de la marge et de la solitude, bientôt rompue, tangible et donc partageable.