Après avoir échoué à rejoindre l’équipe des Avengers, Wade Wilson passe d’un petit boulot à un autre sans vraiment trouver sa voie. Jusqu’au jour où un haut gradé du Tribunal des Variations Anachroniques lui propose une mission digne de lui… à condition de voir son monde et tous ceux qu’il aime être anéantis.
Refusant catégoriquement, Wade endosse de nouveau le costume de Deadpool et tente de convaincre Wolverine de l’aider à sauver son univers…
20 Minutes 4/5
Le film de Shawn Levy fait passer un excellent moment avec deux stars complices, Ryan Reynolds et Hugh Jackman.
Dernières Nouvelles d'Alsace 4/5
Deadpool & Wolverine ne révolutionne en rien le genre du super-héros. Il est en revanche une belle tournée d’adieu à tout un pan de l’univers Marvel et de ses films.
Le Parisien 4/5
Un humour à plusieurs degrés, avec des répliques et situations clairement destinées aux adultes qui électrisent ce tableau onirique mû par l’amour du cinéma…
FilmActu 4/5
Bourré de fan-service jusqu’à la moelle, extrêmement bourrin, gore, vulgaire et irrévérencieux, ce nouvel épisode des aventures de Wade Wilson reprend la recette qui a fait le succès des deux précédents opus, tout en poussant les curseurs au maximum.
Le Dauphiné Libéré 4/5
En tant qu’adieux, autant à des personnages qu’à certaines figures narratives du genre du super-héros, Deadpool & Wolverine trouve sa raison d’être.
Le Journal du Geek 4/5
Un film dont on pourrait noter les imperfections s'il semblait lui-même en avoir quelque chose à faire. Non, il préfère s'amuser avec ses acteurs, avec sa mythologie, et surtout avec le spectateur. Le gosse en nous a déjà envie de le revoir.
Le Parisien 4/5
Rencontre au sommet (...) avec le superhéros le plus trash de l’univers Marvel qui s’associe à son compère poilu et violent pour deux heures d’action et d’humour non-stop.
Le Point 4/5
Méta et barré, le blockbuster mené par Hugh Jackman et Ryan Reynolds joue avec les travers du studio pour livrer un divertissement efficace, devant lequel on rit beaucoup.
Première 4/5
Vulgaire, trash mais jamais incorrect, le "Marvel Jesus" est exactement ce qu’on attendait de lui.
Écran Large 3/5
Derrière l’opportunisme de ce rapatriement chez Marvel, Deadpool & Wolverine surprend par son regard tendre sur la fin d’une époque (celle de la 20th Century Fox), qui sonde les tréfonds d’un coffre à jouets poussiéreux pour donner à ses figurines cassées un ultime tour de piste.
L'Obs 3/5
Avec son lot de gros mots, caméos et hémoglobines à gogo, Deadpool & Wolverine (...) est un bol d’air frais après les récents échecs de la franchise Marvel.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Shawn Levy retrouve Ryan Reynolds dans ce cross-over qui imagine la rencontre explosive entre deux solitaires des studios Marvel, l’excentrique Deadpool et le misanthrope Wolverine. Un film dans l’esprit des précédents, à la fois dispensable et très drôle.
Les Echos 3/5
Faute de grands moments de mise en scène et de surprises, en guise de rebondissements, Deadpool et Wolverine déborde de blagues, références et apparitions de personnages secondaires destinées à ravir les fans. Le film s'adresse à eux en priorité.
Les Inrockuptibles 2/5
L’inoffensive aventure ne permet jamais de s’extirper de la torpeur dans laquelle la machine s’est enlisée, et où le désir de subversion maquille bien mal l’inconsistance de son opportunisme.
Libération 2/5
Fatigant et faussement subversif, le dernier volet des studios Marvel, réalisé par Shawn Levy, évoque un clip d’auto-promotion qui tourne à vide.
Télérama 1/5
Dans ce troisième opus de la franchise Deadpool, le protagoniste ne cesse d’énumérer les défauts des autres productions Marvel… Mais saute à pieds joints dans tout ce qu’il dénonce.
Réalisé par Tim Burton : Pee-Wee Big Adventure / Beetlejuice / Batman / Edward aux mains d'argent / Batman : Le Défi / Ed Wood / Mars Attacks! / Sleepy Hollow / Big Fish / Charlie et la Chocolaterie / Sweeney Todd / Alice au pays des merveilles / Big Eyes / Miss Peregrine et les Enfants particuliers / Dumbo
Date : 11 Septembre 2024
Après une terrible tragédie, la famille Deetz revient à Winter River. Toujours hantée par le souvenir de Beetlejuice, Lydia voit sa vie bouleversée lorsque sa fille Astrid, adolescente rebelle, ouvre accidentellement un portail menant à l’Après-vie. Alors que le chaos plane sur les deux mondes, ce n’est qu’une question de temps avant que quelqu’un ne prononce le nom de Beetlejuice trois fois et que ce démon farceur ne revienne semer la pagaille…
Réalisé par le co-scénariste de The Creator, Rogue One et Fourmiz.
Date de sortie : 28 Aout 2024
Synospis : Curtis et sa famille sont sélectionnés pour tester un nouvel appareil révolutionnaire : un assistant familial numérique appelé AIA. Rapidement le robot apprend les comportements de la famille et commence à anticiper leurs besoins. Il souhaite s'assurer que rien - ni personne - ne se met en travers du chemin de la famille.
Par le réalisateur de : Alien / Blade Runner / Black Rain / Thelma et Louise / 1492 : Christophe Colomb / Gladiator / Kingdom of Heaven / American Gangster / Mensonges d'État / Prometheus / Exodus : Gods And Kings / Seul sur Mars / Alien : Covenant / Le Dernier Duel.
Date : 13 Novembre 2024
Synopsis : L'histoire de Lucius, le fils de Lucilla et neveu de Commode. Lucius est très admiratif du parcours de Maximus et devrait suivre ses traces.
Par le réalisateur de : Eternal Sunshine of the Spotless Mind / Soyez sympas, rembobinez / The Green Hornet
Date : 2 Octobre 2024
Synopsis : Maya et son papa vivent dans deux pays différents. Pour maintenir le lien avec sa fille et continuer à lui raconter des histoires, son papa lui demande chaque soir « Maya, donne-moi un titre ». À partir de ce titre, il lui fabrique alors un dessin animé dont elle est l’héroïne.
Bienvenue à Nyallywood, la Mecque du cinéma où Pompo est la reine des films commerciaux à succès. Le jour où elle décide de produire un film d'auteur plus personnel, elle en confie la réalisation à son assistant Gene. Lui qui en rêvait secrètement sera-t-il à la hauteur ?
Franceinfo Culture 4/5
Une jolie surprise, originale et entraînante, comme c'est souvent le cas de l'animation japonaise.
Le Monde 4/5
Mêlant par instants le réalisme figuratif et une forme d’abstraction, le film témoigne d’une dimension didactique plutôt réussie, apte à passionner tout en instruisant un public jeune.
Le Parisien 4/5
Un humour à plusieurs degrés, avec des répliques et situations clairement destinées aux adultes qui électrisent ce tableau onirique mû par l’amour du cinéma…
Les Echos 4/5
Pompo The Cinephile tient à la fois de l'hommage au grand cinéma américain et de la satire amusé.
Les Fiches du Cinema 4/5
Takayuki Hirao se lâche avec un film bourré d’idées qui raconte le tournage d’un premier film. Épique et trivial, déjanté, mais au service d’une vraie réflexion sur le cinéma, Pompo the Cinephile pourrait séduire un public bien au-delà des fans d’anime japonais.
Mad Movies 4/5
Les trois actes du récit respectent intelligemment la chronologie créative d'un film (...), en donnant au spectateur novice les armes pour comprendre les enjeux de chaque étape. Mais en plus de cela, le dernier tiers, voyant le héros rechercher à tout prix un point de vue, une thématique et une signification profonde dans la montagne de rushes qu'il a accumulée, suffit à propulser Pompo The Cinephile au-dessus de la mêlée des comédies dramatiques méta.
Première 4/5
Le film va s'engager dans une ode affolante à la création et la bidouille en mode shonen, en s'interrogeant au passage sur la notion même de film — ou même d'œuvre d'art en général, tiens.
L'Obs 3/5
Un animé baroque, inspiré, démesuré, mais un peu criard, en hommage (pointu) au septième art et à la cinéphilie.
Le Point 3/5
Le résultat est une friandise acidulée et réconfortante, un plaisir loin d'être négligeable par les temps qui courent.
Télérama 3/5
Pompo the Cinephile est une véritable plongée dans les rouages de la fabrication d’un film, et notamment le montage. Mieux vaut, toutefois, avoir des affinités avec la culture et l’esthétique du manga pour pleinement apprécier cette œuvre hybride, entre pédagogie et divertissement.
Dernières Nouvelles d'Alsace 2/5
Takayuki Hirao assume pleinement son ton résolument sentimental et naïf dans sa célébration du septième art. Il en ressort une légèreté qui se dissipera en souvenir fugace.
Le Dauphiné Libéré 2/5
Le réalisateur entend exalter la joie et l’euphorie qui accompagnent la création collective d’un film.