Réalisé par Joseph Kosinski : Top Gun : Maverick / Oblivion
Synopsis : Brad Pitt dans la peau d’un ancien pilote faisant son grand retour sur les circuits. Aux côtés de son coéquipier (Damson Idris) au sein de l’écurie fictive APXGP, ils nous plongent au cœur de la course dans une immersion totale, le film ayant été filmé lors de véritables compétitions de Grand Prix, face aux titans de ce sport
Réalisé par Gareth Edwards : The Creator / Rogue One : A Star Wars Story / Godzilla / Monsters.
Scénario de David Koepp : L'Impasse / Snake Eyes / Hypnose / Panic Room / Spider-Man
et surtout le co-scénariste de Jurassic Park et scénariste de Le Monde perdu : Jurassic Park.
Avec : Scarlett Johansson / Mahershala Ali / Jonathan Bailey
Synopsis : Cinq ans après les événements de Jurassic World Dominion, l'écologie de la planète s'est révélée largement inhospitalière pour les dinosaures. Ceux qui restent vivent dans des environnements équatoriaux isolés dont le climat ressemble à celui dans lequel ils prospéraient autrefois. Les trois créatures les plus colossales de cette biosphère tropicale détiennent la clé d'un médicament qui sauvera miraculeusement la vie de l'humanité.
Une famille emménage dans une nouvelle maison, où une mystérieuse présence hante les lieux.
Franceinfo Culture 4/5
Dans ce huis clos – on ne sortira jamais de la maison – Steven Soderbergh fait peu à peu monter la tension jusqu'à l'épouvante, avec un scénario plein de surprises servi par une réalisation inventive.
Le Parisien 4/5
(...) une intrigue au départ obscure, mais qui prend ensuite une tournure insoupçonnée, devient subitement raccord avec l’actualité, avant de finir sur une conclusion aussi brutale que logique.
Les Inrockuptibles 4/5
Deux personnages discutent dans une pièce. Qui est ce troisième terme, également “présent”, et qui nous permet miraculeusement de les regarder ? Le processus d’enregistrement a-t-il un pouls ?
Libération 4/5
La question même de la mise en scène de cinéma en général, la tension au cœur du médium, devient le sujet d’un film, sous la forme de l’épouvante.
Télérama 4/5
Une prouesse de cinéma et un film captivant.
Le Monde 3/5
La caméra spectrale ne renouvelle pas grand-chose, mais applique un vernis moderniste sur une histoire bien essorée. La peur en est absente, car décentrée, et Soderbergh contraint d’appuyer sur les effets sonores comme sur les coupes arbitraires, pour instiller un peu d’incertitude. Une maison hantée a plus besoin d’ombre et de brume que de ce regard clinique et fouineur pour lequel rien ne demeure caché.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Une famille emménage dans une maison hantée... Filmé intégralement du point de vue de la “présence”, le nouveau Soderbergh peine à orchestrer le mariage de la carpe et du lapin : un scénario très (trop ?) classique et un dispositif (relativement) expérimental.
Première 3/5
La vive tension découle également du scénario de David Koepp (auteur de L’Impasse, Snake Eyes ou Panic Room), qui multiplie les pistes thématiques et déploie un malicieux labyrinthe d’insécurités contemporaines. Au-delà du coup de maître esthétique, Presence tend au final un éprouvant et fascinant miroir à l’Amérique de 2025.
Rolling Stone 3/5
C’est de Steven Soderbergh dont il est question ici, passé maître dans l’art de se jouer de la forme et du fond. Usant (abusant ?) du grand-angle, sa caméra-présence peut dès lors se muer en témoin privilégié des fêlures et craquelures au sein de cette famille comme de ceux qui vont s’y frotter, quand elle ne va pas les creuser ou les provoquer. Angoissant, mais pas forcément au sens où on l’entend…
Cahiers du Cinéma 2/5
À l’opposé de toute inquiétude métaphysique, la caméra fantôme n’est qu’un prétexte pour déployer un regard omniscient, bien plus satirique que fantastique, qui sonde les rapports de force au sein de la famille.
Dernières Nouvelles d'Alsace 2/5
Un huis clos où la maison elle-même semble respirer, témoin muet de la désagrégation des liens familiaux.
L'Obs 2/5
Huis clos conceptuel, donc, écrit par le scénariste David Koepp (« Panic Room »), dont on se demande ce que Soderbergh cherche à faire. Une satire familiale ? Amusante. Un thriller surnaturel ? Raté. Un drame de la soumission chimique ? Un peu court.
Le Point 1/5
Presence est un drame familial original et distingué avec une pointe de surnaturel, mais il n'est à aucun moment la proposition de renouvellement du genre épouvante que laissait envisager (sciemment) sa bande-annonce. De là à parler d'escroquerie…
Le Figaro 1/5
La grande idée de Soderbergh est de tout filmer en caméra subjective, à travers le regard de la « présence », entité invisible et inodore nichée dans tous les recoins de la maison ou dans les placards, à la fois menaçante et protectrice. (...) Le dispositif lasse rapidement.
Synopsis : Stefani, 18 ans, fait d’affreux cauchemars. Dans ceux-ci, elle voit sa grand-mère échapper à la mort dans un accident qui aurait dû la tuer il y a 50 ans. Son ancêtre a réussi alors à esquiver le décès jusqu’à l’âge de 80 ans ou elle meurt de façon naturelle. À cause de ce miracle, toute sa descendance doit quelque chose à la mort.
(C'est le sixième volet de la franchise Destination finale.)
New York, 1961. Alors que la scène musicale est en pleine effervescence et que la société est en proie à des bouleversements culturels, un énigmatique jeune homme de 19 ans débarque du Minnesota avec sa guitare et son talent hors normes qui changeront à jamais le cours de la musique américaine. Durant son ascension fulgurante, il noue d’intimes relations avec des musiciens légendaires de Greenwich Village, avec en point d’orgue une performance révolutionnaire et controversée qui créera une onde de choc dans le monde entier…
Le Parisien 5/5
C’est un Timothée Chalamet en état de grâce qui chante et joue de la guitare.
Libération 5/5
"Un parfait inconnu" est le seul film décent qu’il était possible de faire sur Dylan, un film qui mesure l’énormité de son legs et s’interroge sur ce que ça doit faire à un gamin dans sa vingtaine d’avoir ce feu en lui, et au bout des doigts. Un très beau film sur la jeunesse, les pierres qui roulent, inconnues à elles-mêmes, et qui changent le monde au fur et à mesure que défile le bitume sous leurs pas.
Ouest France 5/5
Plus qu’un biopic traditionnel, Un parfait inconnu est un film sur la jeunesse, ses rêves et ses contradictions. Il rend très actuels la musique de Bob Dylan et son message. De quoi réunir aujourd’hui les générations.
Rolling Stone 5/5
James Mangold a eu la sagesse de ne pas s’embarquer dans un biopic hollywoodien standard, et on l’en remercie.
20 Minutes 4/5
Un parfait inconnu se révèle de facture plus classique mais apprend de nombreuses choses sur la star aujourd’hui âgée de 83 ans.
Franceinfo Culture 4/5
La musique de Dylan, ses chansons et ses mots inondent le film, qui restitue avec une justesse saisissante, le processus créatif, la naissance et la construction d'un artiste surdoué, et son chemin pour affirmer sa propre singularité.
L'Obs 4/5
Sans les drogues (c’est une production Disney) mais fidèle à l’énigme Dylan, ce sale type génial, ce troubadour fuyant. Chalamet, très convaincant, cherche moins à l’imiter qu’à en transmettre l’esprit. Tout comme Mangold évite toute psychologie, cette plaie des biopics qui plombait son « Walk The Line » sur Johnny Cash, pour incarner une époque et filmer la jeunesse d’un mystère.
Le Figaro 4/5
James Mangold réussit à cerner la personnalité opaque du musicien tout en lui conservant son charme énigmatique.
Le Point 4/5
Bluffant !
Les Echos 4/5
A travers les premiers pas de Bob Dylan vers la gloire, James Mangold réalise un très beau film sur la création artistique, le renouvellement et la trahison.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Après avoir consacré un film à Johnny Cash (Walk the Line), James Mangold se penche, avec une égale élégance - en dépit de quelques écueils inhérents aux conventions du biopic -, sur une autre figure de la musique populaire états-unienne, l'immense Bob Dylan.
Marianne 4/5
Bob Dylan revisité dans un (bon) biopic.
Nice-Matin 4/5
Moins conventionnel que celui qu’il avait consacré à Johnny Cash dans « Walk the line » et moins audacieux que le « I’m not there » de Todd Haynes qui engageait six acteurs pour interpréter Dylan, ce « Parfait inconnu » se distingue par son habileté à ne pas chercher à cerner le mystère autour de la star.
Première 4/5
Minutieux, pédago, Mangold mélange les anecdotes et privilégie les raccourcis historiques (les geeks dylanophiles tiqueront par endroits) pour raconter, pas tant Dylan lui-même, que l’effet que produit sa musique sur ceux qui l’écoutent et croisent sa route.
Sud Ouest 4/5
En auscultant la psychologie du jeune Bob Dylan au début de sa longue carrière, James Mangold dresse le portrait passionnant d’un artiste en construction. Avec « Un parfait inconnu », Timothée Chalamet endosse pleinement la légende et crève l’écran.
La Voix du Nord 3/5
Bref, un biopic réussi, mais qui semble lui aussi se réfugier derrière des lunettes noires. Comme Bob Dylan.
Le Monde 3/5
Le biopic de James Mangold, bien ficelé, se concentre sur la période cruciale qui voit le musicien passer de la musique folk à l’électrique.
Les Inrockuptibles 3/5
On savoure avec une pointe persistante de culpabilité cette superproduction aussi jouissive que blasphématoire pour le mythe rimbaldien.
Télérama 3/5
Un biopic classique mais soigné et plaisant.
Réalisé par Steven Soderbergh : Erin Brockovich / Traffic / Ocean's Eleven / Solaris / Effets secondaires
Scénario de David Koepp : L'Impasse / Snake Eyes / Hypnose / Panic Room / Spider-Mane et le co-scénariste de Jurassic Park et scénariste de Le Monde perdu : Jurassic Park.
Synopsis : Une famille emménage dans une nouvelle maison, où une mystérieuse présence hante les lieux.
Réalisé par Bong Joon Ho : Memories of Murder / The Host / Mother / Snowpiercer, Le Transperceneige / Okja / Parasite
Synopsis : Mickey7 est un individu envoyé coloniser une planète gelée. A chaque fois qu'il meurt, ses souvenirs sont implantés dans un nouveau corps et sa mission reprend. Après être mort à six reprises, Mickey7 commence à comprendre le but réel de sa mission...
L'ascension du célèbre chanteur/compositeur britannique Robbie Williams. Devenu une star avec le Boy Band, Take That, dans les années 1990, ce dernier a peu à peu plongé dans les paradis artificiels avant de retrouver le succès en solo en 1997 avec la chanson "Angels".
Le Parisien 5/5
Musicalement, le long-métrage fait des étincelles : séquences de concerts qui décoiffent, passages chorégraphiés étincelants sur les grands tubes de Robbie Williams, on en prend plein les yeux et les oreilles, tout en étant très touchés par l’authenticité de ce récit d’une vie hors norme.
L'Obs 4/5
A l’arrivée, un modèle inattendu de biopic musical au style de synthèse criard, assumant sentimentalisme et artificialité pour rendre aux poncifs sur le show-biz et la vie d’artiste leur vérité crue.
La voix du Nord 4/5
Voilà un curieux biopic, à la fois dépressif et funky, épuisant et galvanisant. Plus proche de Rocket Man (Elton John) que du trop sage One Love (Bob Marley). Coup marketing ? Le numéro d’alerte suicide apparaît au générique de fin. C’est quand même l’histoire d’un homme qui s’est pathologiquement détesté. On ne ricane pas de tout, dans Better Man.
Le Figaro 4/5
Un portrait fantasque et émouvant.
Les Inrockuptibles 4/5
Voilà ce que dévoile "Better Man" : dans ces jeux du cirque-là, devenir une star consiste littéralement à singer celles qui ont précédé.
Cahiers du Cinéma 3/5
Autobiographie survoltée et promotionnelle sous forme de comédie musicale, difficilement résistible quoique fatigante.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Après "The Greatest Showman", M. Gracey s’empare d’un autre monstre de scène, Robbie Williams, dont il retrace la carrière avec, dans le premier rôle, un singe en images de synthèse. D’excellentes séquences musicales rattrapent un scénario trop classique.
Première 3/5
Mais ça fonctionne, de la même façon que Rocketman fonctionnait, surtout grâce au capital sympathie working class de la star et à ses tubes entonnés avec entrain. Allons, on est sûrs que vous les connaissez par cœur.
Le Monde 2/5
C’est ce parcours haut en couleur qu’entreprend de raconter le film de Michael Gracey, à cette bizarrerie près de représenter le chanteur sous les traits d’un singe. Ce choix, auquel on finit sans doute par s’habituer, n’en pose pas moins un problème au spectateur.
Libération 2/5
Ce qui empêche "Better Man" de décoller, c’est précisément ce qui fait sa spécificité : ce singe animé, ticket vers le grand spectacle dont les agitations finissent par ressembler à une tentative désespérée d’occuper l’espace.
Et si l’être que vous aimez se transformait en une créature à peine reconnaissable ? Père de famille vivant à San Francisco, Blake hérite de sa maison d’enfance, une vieille ferme située au fin fond de l’Oregon, lorsque son père disparaît et qu’il est considéré comme mort par les autorités. Alors que son couple bat de l’aile, Blake convainc sa femme Charlotte de changer d’air et d’aller vivre dans sa maison de l’Oregon avec leur petite fille Ginger. Mais lorsque Blake, Charlotte et leur fille arrivent près de la ferme, ils sont attaqués, en pleine nuit, par un animal invisible : tentant de prendre la fuite, ils se barricadent à l’intérieur de la maison pour se protéger contre la bête qui rôde, aux aguets. Mais au fil de la nuit, Blake commence à se métamorphoser en une créature méconnaissable…
L'Obs 4/5
Dans cette ode à l’indépendance et à l’espièglerie, la beauté faussement naturaliste du dessin évoque avec justesse la perte tragique de l’innocence. Superbe.
Le Parisien 4/5
Un film de monstres inventif, qui prend rapidement une tournure inattendue et ne lésine pas sur les montées d’adrénaline.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Après l'homme invisible, Leigh Whannell offre une nouvelle incarnation à un autre monstre de cinéma : le loup-garou. S'il n'atteint jamais les hauteurs de "Invisible Man", "Wolf Man" n'en demeure pas moins une relecture honnête, efficace et maîtrisée.
Libération 4/5
Whannell touche au plus beau classicisme, le presque noir et blanc des nuits sont comme les ténèbres des films B des décennies 40 et 50 (on pense à Nicholas Ray, la Maison dans l’ombre). Son économie de moyens est raccord avec sa sobriété magnifique [...].
Mad Movies 4/5
Le cheminement du récit est ainsi d'une limpidité visuelle remarquable, renforçant encore l'impression d'arpenter un microcosme très concret hérité des récits de [Stephen] King.
Le Point 3/5
On peut y lire une métaphore d'un nouveau déboulonnage de la masculinité – exercice lourdement répétitif dans le Hollywood des années post-#MeToo – mais Wolf Man tient tout seul debout grâce à ses qualités formelles, à quelques plans renversants de beauté et au savoir faire de Whaennell pour titiller notre peur primale de l'obscurité.
Ouest France 3/5
On appréciera aussi la lente métamorphose de Christopher Abbott en Loup-garou, une mue en plusieurs étapes, assez saisissante, où éclate le talent des maquilleurs et responsables des effets spéciaux. On aime moins… Son rythme un peu lâche et l’accumulation de péripéties trop convenues.
Télérama 3/5
Le film torture la formule de production Blumhouse, cette horreur conçue à moindre coût, lisse, divertissante et souvent vilaine, pour l’emmener ailleurs. Sur un terrain certes imparfait – c’est, souvent, un peu bébête. Mais dans un genre souvent couard et trop balisé, saluons ce blockbuster à l’os, mal aimable et par endroits dégoûtant.
Première 2/5
L’ambivalence de Invisible Man (la vengeance d’une femme battue envers son agresseur) était nettement plus intéressante, car elle heurtait deux thèmes a priori pas très compatibles (le cinéma bis et les témoignages #MeToo). A côté, Wolf Man n’est pas assez costaud, pas assez velu…