Réalisé par Jan Kounen : Dobermann / Blueberry, l'expérience secrète / 99 francs
synopsis : Lors d’une sortie en mer, Paul se retrouve confronté à un étrange phénomène météorologique inexpliqué. Dès lors, Paul rétrécit inexorablement, sans que la science ne puisse lui expliquer pourquoi ni lui être d’aucun secours. Quand, par accident, il se retrouve prisonnier dans sa propre cave, et alors qu’il ne mesure plus que quelques centimètres, il va devoir se battre pour survivre dans cet environnement banal devenu périlleux.
Réalisé par Edgar Wright : Shaun of the Dead / Hot Fuzz / Le Dernier Pub avant la fin du monde / Baby Driver / Last Night in Soho
synopsis : Ben Richards (Glen Powell), ouvrier désespéré prêt à tout pour sauver sa fille gravement malade, accepte l’impensable : participer à ce show mortel, poussé par Dan Killian (Josh Brolin), son producteur aussi charismatique que cruel. Mais personne n’avait prévu que Ben, par sa rage de vivre, son instinct et sa détermination, devienne un véritable héros du peuple… et une menace pour tout le système.
Alors que les audiences explosent, le danger monte d’un cran. Ben devra affronter bien plus que les Hunters : il devra faire face à un pays entier accro à le voir tomber.
Incendies / Prisoners / Enemy / Sicario / Blade Runner 2049 / Dune / Dune : Part Two
Il a déclaré :
"Certains de mes premiers souvenirs de cinéma sont liés à 007"
et
"J'ai grandi en regardant les films de James Bond avec mon père, depuis Dr. No avec Sean Connery. Je suis un fan inconditionnel de Bond. Pour moi, il s'agit d'un territoire sacré. J'ai l'intention d'honorer la tradition et d'ouvrir la voie à de nombreuses nouvelles missions à venir. Il s'agit d'une énorme responsabilité, mais aussi d'une expérience incroyablement excitante pour moi et d'un immense honneur."
Le patron de Prime Video et Amazon MGM Studios, Mike Hopkins, a qualifié Villeneuve de "maître du cinéma, dont la filmographie parle d'elle-même" et rajouté "James Bond est entre les mains de l'un des plus grands cinéastes d'aujourd'hui et nous sommes impatients de commencer la prochaine aventure de 007"
Sonny Hayes était le prodige de la F1 des années 90 jusqu’à son terrible accident. Trente ans plus tard, devenu un pilote indépendant, il est contacté par Ruben Cervantes, patron d’une écurie en faillite qui le convainc de revenir pour sauver l’équipe et prouver qu’il est toujours le meilleur. Aux côtés de Joshua Pearce, diamant brut prêt à devenir le numéro 1, Sonny réalise vite qu'en F1, son coéquipier est aussi son plus grand rival, que le danger est partout et qu'il risque de tout perdre.
Dernières Nouvelles d'Alsace 4/5
Joseph Kosinski et Ehren Kruger visaient le grand spectacle hollywoodien : pari gagné. Leur filmage en Imax XXL immersif est bluffant. Caméras embarquées dans le cockpit, sensations d’adrénaline à fleur de peau : on est dans le baquet, pilote à vif.
Franceinfo Culture 4/5
Au total, on file certes la métaphore du vieux sage expérimenté versus un jeunot arrogant, mais les situations que l'on imagine restent subtiles et inattendues.
Le Dauphiné Libéré 4/5
Brad Pitt en fou du volant ultra-cool et ultra-sexy, dans un film de course auto qui se place en pole position du spectacle de la vitesse au cinéma, grâce au pilotage cinétique de la réalisation de Joseph Kosinski, aux images qui dépotent.
Le Figaro 4/5
On se dit alors que ce blockbuster estival « old school » (le producteur Jerry Bruckheimer ne doit pas y être pour rien) a bien des atouts pour délivrer sa dose de divertissement et de souffle épique. Même si l’intrigue semble parfois cousue de fil blanc, il serait malvenu de bouder son vrombissant plaisir.
Le Parisien 4/5
Dans la grande tradition des films de sport automobile, « F 1 le film », mené à 300 à l’heure et tourné par Joseph Kosinski lors de vrais week-ends de grands prix, électrise avec ses séquences de course filmées à hauteur de casque de pilote, qui mettent littéralement le spectateur au volant.
Le Point 4/5
En coulisses de cette superproduction high-tech financée par Apple, une mécanique bien huilée, avec une courroie de transmission liant comme jamais auparavant Hollywood et la planète F1.
Sud Ouest 4/5
De quoi ravir les fans de la discipline, sans décevoir les novices. Ces derniers profiteront de l’aspect drama calibré et du suspense entourant chaque Grand-Prix. L’implication de Lewis Hamilton, producteur, renforce la crédibilité du film.
Ecran Large 3/5
Après Top Gun : Maverick, il est assez logique de voir Joseph Kosinski faire son propre Jours de tonnerre, pour le meilleur et pour le pire. Si le scénario déçoit avec ses gros sabots, F1 reste une proposition esthétique foisonnante, qui entérine un peu plus le style de son réalisateur.
La Croix 3/5
Le scénario, bourré de testostérone, se rééquilibre un peu avec deux personnages féminins un peu clichés mais intéressantes, néanmoins, il exclut totalement la question de l’impact écologique du sport.
Les Echos 3/5
Blockbuster né du mariage des studios et des sports mécaniques, « F1 » ouvre l'été hollywoodien. Avec un scénario sans surprise, des scènes de course virtuoses et un Brad Pitt qui cavale contre les années qui filent.
Les Inrockuptibles 3/5
Il est rare qu’un film de sport laisse ainsi sa part à la dimension fondamentalement frustrante de la compétition, à la quasi impossibilité de l’épiphanie victorieuse. Une image, peut-être, de sa propre position à Hollywood : à la fois au-dessus du commun, et curieusement oubliable.
Ouest France 3/5
Brad Pitt incarne une ex-gloire de la formule 1 de retour au volant pour sauver l’écurie d’un de ses meilleurs potes dans un film incroyablement spectaculaire en dépit d’un scénario famélique.
Première 3/5
Brad Pitt y exploite à fond son côté terrien, costaud, yankee nourri au grain, un peu macho sur les bords – très Steve McQueen. Et si on pardonne beaucoup de choses à ce film, c’est aussi grâce à lui.
20 Minutes 2/5
Les scènes de Formule 1 sont efficaces mais cela ne suffit pas pour compenser un scénario vieillot.
L'Obs 2/5
Il faut voir ses interactions forcées avec son coéquipier et rival, un jeunot doué mais mal dégrossi (version fictionnelle du vrai pilote Lewis Hamilton, l’autre coproducteur) pour constater combien ce film supposé limpide, frontal, se cogne sans cesse aux contraintes du compromis et de la politique.
La Voix du Nord 2/5
Si on est indifférent aux dilemmes en temps réel (gommes tendres ou dures ?), le temps défile moins vite que les bolides. Rien à voir avec Top Gun : Maverick du même Joseph Kosinski, véritable feu d’artifice qui, en dehors de séquences d’action sidérantes, donnait un souffle à son récit et portait un vrai regard sur son héros vieillissant.
Le Monde 2/5
A l’heure où les studios, dans l’ombre du second mandat de Trump, mettent en veilleuse leur politique « woke », ce film célèbre en fanfare le retour du vieil homme blanc à la virilité charmeuse.
Libération 2/5
Accordons à F1 de ne pas récupérer le mauvais goût dans le bon, et de témoigner du dernier degré de décadence de civilisation sur fond de libations à Vegas ou Abou Dhabi. Dans cette fanfare, plutôt que la revanche sur la vie d’une vieille gloire oubliée, on aurait bien aimé un vrai film d’amitié.
Télérama 1/5
Un ancien prodige de la F1 revient dans la course… Une caricature de success story cousue de fil blanc, avec Brad Pitt en autopromo.
Réalisé et écrit par Zach Cregger : Barbare
(C'est le réalisateur du prochain Resident Evil)
synopsis : Lorsque tous les enfants d’une même classe, à l’exception d’un, disparaissent mystérieusement la
même nuit, à la même heure, la ville entière cherche à découvrir qui — ou quoi — est à l’origine de
ce phénomène inexpliqué.
Depuis toujours, l’humanité lève les yeux vers les étoiles en quête de réponses… et cette fois, l’univers a répondu ! Elio, un garçon de 11 ans rêveur et passionné d’espace, peine à trouver sa place sur Terre. Mais sa vie bascule lorsqu’il est mystérieusement téléporté dans le Communiverse — une organisation intergalactique rassemblant des représentants (aussi étranges que fascinants) de galaxies lointaines. Pris par erreur pour l’ambassadeur officiel de la Terre, il se retrouve propulsé au cœur d’une mission aussi périlleuse qu’extraordinaire. Heureusement, il pourra compter sur Glordon, un extraterrestre aussi loufoque qu’attachant, et sur sa tante Olga, qui veille sur lui depuis la Terre. Au cours de cette aventure hors du commun, Elio devra prouver qu’il est le digne représentant des humains tout en découvrant qui il est vraiment et où se trouve sa place.
Quest France 5/5
Grâce à son animation sans faille et un récit joyeux, drôle et touchant, « Elio » nous transporte dans un univers flamboyant qu’on a bien du mal à quitter.
20 Minutes 4/5
Une émouvante aventure cosmique.
Ecran Large 4/5
Sorte de remix plus ou moins équilibré des codes de Pixar, Elio fait de son aventure de science-fiction le terreau fertile d’un imaginaire à destination des marginaux, où les années-lumière sont nécessaires pour recomposer des familles. Et techniquement, que c’est somptueux !
L'Obs 4/5
Ainsi les plus jeunes n’auront pas de mal à trouver leur bonheur tandis que les grands apprécieront la pique au projet SpaceX d’Elon Musk – ici, on part dans l’espace en quête d’altérité, pas pour le coloniser –, l’amusante critique du clonage et le regard bouleversant sur l’enfance face à la mort.
Le Figaro 4/5
Ambitieux, drôle, tendre et émouvant, Elio est à la fois un film sur la solitude, l’acceptation de la différence et un splendide hymne à l’amitié. Sans doute le meilleur Pixar depuis Vice-Versa...
Le Parisien 4/5
Bourré d’humour, d’émotion, et de poésie, « Elio », nouvelle production des studios Pixar, offre en prime une fascinante conception graphique de l’espace et des univers extraterrestres via notamment une ahurissante galerie d’aliens de toutes tailles, de toutes apparences, et d’inspirations les plus diverses… Merveilleux.
Le Point 4/5
Sans conteste le grand divertissement familial de l'été.
Les Fiches du cinéma 4/5
Un récit initiatique sensible et bienveillant, où l’on retrouve toutes les thématiques chères aux studios Pixar.
La Croix 3/5
Écrit après la crise sanitaire, Elio est une variation amusante, colorée et sensible sur la solitude et les moyens de s’en échapper. Éloge de la coopération, de la tolérance et de l’ouverture d’esprit, ce récit initiatique place aussi tous ses espoirs dans les enfants pour sauver le monde.
Le Dauphiné Libéré 3/5
Un conte spatial à la douce bienveillance
Le Monde 3/5
Une des belles figures d’Elio est cette idée que ce qui nous relie aux autres s’éprouve par le manque. Dommage dès lors que le film, comme souvent chez Pixar, échoue à développer une dimension politique plus en lien avec notre expérience collective.
Sud Ouest 3/5
Le trio de réalisateurs (dont les membres avaient œuvré sur « Alerte Rouge » ou « Coco ») ne cherche pas à multiplier les effets gratuits, mais à aller à l’essentiel. Tout le symbole de ce film d’animation frais, calibré pour dépayser en ce début d’été.
Libération 2/5
A force d’appliquer une formule efficace mais trop rodée, le dernier Disney survole ce qui pourrait nous émerveiller.
Première 2/5
Après l’énorme succès de Vice Versa 2, les studios Disney-Pixar se lancent dans une nouvelle histoire interstellaire qui manque d’originalité et de magie.
Télérama 2/5
La magie Pixar d’antan semble à des années-lumière de ce film sympa, mignon même, mais banal quant à son récit et à son univers graphique.
Synopsis : Lorsque cinq amis causent involontairement un accident de voiture mortel, ils décident de dissimuler leur implication et concluent un pacte pour garder le secret plutôt que de faire face aux conséquences de ce terrible évènement. Un an plus tard, leur passé revient les hanter et ils sont confrontés à une terrible vérité : quelqu'un sait ce qu'ils ont fait l'été dernier... et est déterminé à se venger. Traqués un à un par un mystérieux tueur, ils découvrent que cela s'est déjà produit auparavant et se tournent vers deux survivants du terrible Massacre de Southport de 1997 dans l’espoir d’obtenir leur aide.
La vie extraordinaire d’un homme ordinaire racontée en trois chapitres. Merci Chuck !
Cahiers du Cinéma 5/5
Flanagan atteint paradoxalement ce sentiment de multitude en se détournant de toute sur-dramatisation. Les seules images qui donnent corps à la catastrophe annoncée passent rapidement par la télévision.
L'Ecran Fantastique 5/5
Un chant du cygne bouleversant et magistral.
Le Point 5/5
D'ores et déjà l'un des meilleurs films de 2025 et qui mériterait d'enchanter les Oscars 2026.
Nice-Matin 5/5
Film complexe, sur les rêves et les destins brisés, qui va constamment vers l’inattendu et construit comme un puzzle, le parcours émeut et a cette capacité rare de s’ancrer dans l’esprit du spectateur
Ouest France 5/5
Dans une époque où le cinéma hollywoodien a renoncé à nous émouvoir, Life of Chuck fait figure d’ovni salvateur.
Première 5/5
Avec une grâce et une ambition folles, Flanagan livre ici une version grand public des délires mentaux de Charlie Kaufman ; un La Vie est belle pour temps d'apocalypse. Et dans une période où le cinéma mainstream semble avoir renoncé à nous émouvoir vraiment, Life of Chuck fait figure d'ovni salvateur.
Sud Ouest 5/5
Avec tact et sens du rythme, Mike Flanagan bouleverse.
20 Minutes 4/5
Ce conte cruel et tendre sur un homme mystérieux fascine autant qu’il émeut.
Dernières Nouvelles d'Alsace 4/5
Tom Hiddleston danse sans raison, ou peut-être pour toutes les raisons du monde. Car face à l’inconnu, il y a le mouvement – fragile, inutile, magnifique.
Ecran Large 4/5
Typiquement le genre de film difficile à vendre et dont il est préférable de ne rien savoir avant d’y aller. C’est encore le meilleur moyen d’être emporté par cette vague magique qui commence sur les chapeaux de roue, et qui rappelle le pouvoir du cinéma.
L'Obs 4/5
Ce choix de casting, sous ses faux airs d’attrape-geek, participe de la magie atypique de cette fable serpentine, à la fois surannée et déconstruite. Un pied chez Frank Capra, l’autre chez Jordan Peele (« Nope »).
Le Dauphiné Libéré 4/5
Une œuvre rare, réconfortante, qui invite à regarder en arrière, non pour pleurer ce qui est perdu, mais pour célébrer ce qui a été vécu
Le Figaro 4/5
Présenté en avant-première, en septembre dernier, au Festival de Toronto, Life of Chuck en est reparti avec le prix du public. Difficile effectivement de résister à tant de charme et de délicatesse.
Le Monde 4/5
Au tableau apocalyptique succède un morceau de comédie musicale jubilatoire, puis un récit d’apprentissage bouleversant.
Le Parisien 4/5
Mais ici, pas de créatures fantastiques, de morts-vivants ou de tueurs, mais un récit alambiqué et philosophique, rompant l’ordre chronologique, plein d’émotion et de compassion, et d’un tout petit peu de fantastique, avec de jolis personnages… dont le fameux Chuck. Ce qui n’empêche pas le film d’aligner les séquences mémorables (...).
Les Fiches du Cinéma 4/5
Spécialiste de l’épouvante, Mike Flanagan retrouve le grand écran avec un mélodrame très “feel good”, porté par une écriture et un casting inspirés.
Les Inrockuptibles
On sent bien que ce qui passionne Stephen King et Mike Flanagan n’est pas tant la clé de voûte psychologique de leur protagoniste. Life of Chuck est une célébration du parcours et de ses moments où la vie déraille pour faire (re)naître des mondes, des multitudes.
Mad Movies 4/5
Un film de fin du monde à la naïveté volontariste déconcertante, solaire au point de se poser en véritable test de cynisme pour l'époque.
Rolling Stone 4/5
Car c’est moins la narration qui compte ici que les étapes qui la composent, de l’enfance pesante à l’énigme de l’après. Entre casting au cordeau et flamboyance des intentions – à commencer par cette scène de danse de cinq minutes qui restera longtemps gravée –, cette vie mérite d’être vécue, même par procuration.
La Voix du Nord 3/5
Dans cette fresque intime déséquilibrée, on aurait souhaité que Tom Hiddleston soit davantage présent à l’écran, mais la proposition reste très audacieuse. Peut-être qu’elle vous donnera même envie d’entrer dans la danse.
Libération 3/5
C’est à travers cette noirceur larvée que Life of Chuck, malgré sa naïveté, retrouve un certain souffle. Flanagan réussit moins en exaltant la candeur de la jeunesse qu’en regardant l’abîme, l’horizon amer qui en constitue l’envers.
Télérama 3/5
Partant de la très belle idée que chaque mort est une apocalypse et que toute vie, même la plus ordinaire, est un miracle, ce film original, ambitieux dans sa forme comme dans son propos, parvient à nous faire oublier des moments patauds pour offrir de vraies fulgurances, comme une formidable séquence de danse… Donc, merci Chuck.