Un mystérieux mafieux et ses 7 fils adoptifs manipulent et ridiculisent la police en piratant le système de surveillance ultramoderne de la ville, dans le but de récupérer une fortune en crypto-monnaie. La police devenue impuissante doit faire appel à un ancien expert qui va s’associer avec une jeune policière à laquelle il est lié par un secret qu’elle ignore. Une partie d’échec commence alors, où les cerveaux et la loyauté seront mis à l’épreuve.
Le Figaro 4/5
The Shadow’s Edge, véritable pépite d’action hongkongaise, doit sans aucun doute être l’un de ses meilleurs films depuis longtemps.
Le Parisien 4/5
Le héros de « Police story », « Rush hour » et « Karaté Kid » est à la fois drôle et impressionnant (lorsqu’il effectue des cascades) dans ce long-métrage très divertissant, bourré de scènes d’action et de bagarres, mais aussi traversé par des notes d’humour et des séquences émotion.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Jackie Chan fait un retour flamboyant dans ce film d’action nerveux, qui mêle espionnage moderne et âpres bastons dignes du meilleur cinéma hongkongais des années 1990. Une petite pépite du genre, mise en scène avec brio et montée avec dextérité.
Libération 4/5
Le cinéaste chinois Larry Yang nous permet de renouer avec le plaisir des films d’action et le talent de l’acteur de 71 ans pour la baston.
Mad Movies 4/5
Carton monumental en Chine, The Shadow’s Edge est passionnant à plus d'un titre.
Le Dauphiné Libéré 3/5
Si, de prime abord, The Shadow’s Edge a tous les atouts d’un polar hongkongais classique, il est très tentant d’y voir un commentaire sur l’état du cinéma d’action de ce pays.
Les Inrockuptibles 3/5
The Shadow’s Edge arrive chez nous auréolé d’une promesse : celle d’un Jackie Chan de 71 ans retrouvant enfin un rôle à sa mesure. Et le film de Larry Yang tient en partie parole.
Les Inrockuptibles 3/5
The Shadow’s Edge arrive chez nous auréolé d’une promesse : celle d’un Jackie Chan de 71 ans retrouvant enfin un rôle à sa mesure. Et le film de Larry Yang tient en partie parole.
Première 3/5
Le film ne cherche donc jamais à inventer la poudre, il préfère la mettre aux mains de son casting de luxe, quitte à empêcher une nouvelle génération d’acteurs (et surtout, d’actrices) d’advenir. Mais par des séquences qui jouent (un peu trop) sur la durée, il multiplie les malins dispositifs pour faire monter la tension (...).
Le Monde 2/5
La réalisation peut souvent confondre l’accélération et le stroboscope. Seul Chan parvient parfois à le compenser dans les scènes de combat. On retrouve là un peu des danses rigoureuses d’antan, qui savaient transmuer n’importe quoi en arme et méthodiquement pulvériser le décor environnant.
Mais c'est Jackie Chan.