Par le réalisateur de : Eternal Sunshine of the Spotless Mind / Soyez sympas, rembobinez / The Green Hornet
Date : 2 Octobre 2024
Synopsis : Maya et son papa vivent dans deux pays différents. Pour maintenir le lien avec sa fille et continuer à lui raconter des histoires, son papa lui demande chaque soir « Maya, donne-moi un titre ». À partir de ce titre, il lui fabrique alors un dessin animé dont elle est l’héroïne.
Bienvenue à Nyallywood, la Mecque du cinéma où Pompo est la reine des films commerciaux à succès. Le jour où elle décide de produire un film d'auteur plus personnel, elle en confie la réalisation à son assistant Gene. Lui qui en rêvait secrètement sera-t-il à la hauteur ?
Franceinfo Culture 4/5
Une jolie surprise, originale et entraînante, comme c'est souvent le cas de l'animation japonaise.
Le Monde 4/5
Mêlant par instants le réalisme figuratif et une forme d’abstraction, le film témoigne d’une dimension didactique plutôt réussie, apte à passionner tout en instruisant un public jeune.
Le Parisien 4/5
Un humour à plusieurs degrés, avec des répliques et situations clairement destinées aux adultes qui électrisent ce tableau onirique mû par l’amour du cinéma…
Les Echos 4/5
Pompo The Cinephile tient à la fois de l'hommage au grand cinéma américain et de la satire amusé.
Les Fiches du Cinema 4/5
Takayuki Hirao se lâche avec un film bourré d’idées qui raconte le tournage d’un premier film. Épique et trivial, déjanté, mais au service d’une vraie réflexion sur le cinéma, Pompo the Cinephile pourrait séduire un public bien au-delà des fans d’anime japonais.
Mad Movies 4/5
Les trois actes du récit respectent intelligemment la chronologie créative d'un film (...), en donnant au spectateur novice les armes pour comprendre les enjeux de chaque étape. Mais en plus de cela, le dernier tiers, voyant le héros rechercher à tout prix un point de vue, une thématique et une signification profonde dans la montagne de rushes qu'il a accumulée, suffit à propulser Pompo The Cinephile au-dessus de la mêlée des comédies dramatiques méta.
Première 4/5
Le film va s'engager dans une ode affolante à la création et la bidouille en mode shonen, en s'interrogeant au passage sur la notion même de film — ou même d'œuvre d'art en général, tiens.
L'Obs 3/5
Un animé baroque, inspiré, démesuré, mais un peu criard, en hommage (pointu) au septième art et à la cinéphilie.
Le Point 3/5
Le résultat est une friandise acidulée et réconfortante, un plaisir loin d'être négligeable par les temps qui courent.
Télérama 3/5
Pompo the Cinephile est une véritable plongée dans les rouages de la fabrication d’un film, et notamment le montage. Mieux vaut, toutefois, avoir des affinités avec la culture et l’esthétique du manga pour pleinement apprécier cette œuvre hybride, entre pédagogie et divertissement.
Dernières Nouvelles d'Alsace 2/5
Takayuki Hirao assume pleinement son ton résolument sentimental et naïf dans sa célébration du septième art. Il en ressort une légèreté qui se dissipera en souvenir fugace.
Le Dauphiné Libéré 2/5
Le réalisateur entend exalter la joie et l’euphorie qui accompagnent la création collective d’un film.
Fraichement diplômée, Riley est désormais une adolescente, ce qui n’est pas sans déclencher un chamboulement majeur au sein du quartier général qui doit faire face à quelque chose d’inattendu : l’arrivée de nouvelles émotions ! Joie, Tristesse, Colère, Peur et Dégoût - qui ont longtemps fonctionné avec succès - ne savent pas trop comment réagir lorsqu’Anxiété débarque. Et il semble qu'elle ne soit pas la seule...
20 Minutes 4/5
L’univers créé par les magiciens de Pixar est d’une telle richesse qu’on pourrait revoir Vice-Versa 2 plusieurs fois sans en épuiser les découvertes.
La Croix 4/5
Le film étonne également par sa volonté de creuser la question des croyances, ces idées nées de l’expérience vécue qui forgent l’identité à un âge déterminant.
Le Figaro 4/5
Un film sur la puberté, intelligent et sensible.
Le Journal du Geek 4/5
Beau, amusant, attendrissant mais aussi frappant de réalisme : le petit dernier du studio Pixar est une réussite en tous points. La Walt Disney Company laisse les difficultés derrière elle et se relève de plus belle. Dans Vice Versa 2, toutes les émotions ont leur place. Mais une fois encore, Pixar nous laisse sortir de la salle le sourire aux lèvres et une larme sur la joue.
Le Parisien 4/5
Si Vice-versa 2 est si réussi, c’est en parvenant à renouveler l’exploit du film original : placer le spectateur en situation d’identification, qui va se reconnaître, ou faire la comparaison avec des proches, dans cette bataille d’émotions contrariées qui habitent la jeune fille. Épatant !
Le Point 4/5
Au-delà des séquences d'animation virtuoses et de cette plongée à l'intérieur des émotions qui s'apparente à un jeu pointe la philosophie de la pensée positive, un message tout simple pour un film d'animation empreint de poésie et de fantaisie.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Une suite brillante, qui encore une fois nous cueille dans un final époustouflant.
Les Inrockuptibles 4/5
Le génie du film est, à l’instar de son premier volet, de nous donner l’impression de se dérouler dans notre tête, et de nous inciter à prendre conscience de nos opérations mentales à l’aide de son propre système allégorique.
Libération 4/5
Déroulé, comme le premier volet, au gré d’une quête dont l’objet sera d’aboutir à une concorde d’émotions contradictoires, le récit est moins poignant, mais presque aussi ingénieux.
Ouest France 4/5
Si Vice Versa 2 ne révolutionne pas le genre, il constitue un bon divertissement familial qui permettra peut-être à quelques parents de mieux comprendre ce qui se passe dans la tête de leurs ados.
Télérama 4/5
Difficile de ne pas verser une larme face à ce beau récit d’apprentissage : le studio n’a rien perdu de sa maestria pour créer des œuvres universelles.
L'Obs 3/5
Très juste sur le fond, trop sage sur la forme, Vice-Versa 2 transforme un prototype génial en tout-venant efficace.
La Voix du Nord 3/5
Comme élément symptomatique de la puberté, on a connu mieux, ne serait-ce que dans Alerte rouge (2022), issu des mêmes studios. Heureusement, on a évacué Rancune de notre cerveau !
Le Monde 3/5
Une créativité tous azimuts qui dissimule pourtant mal un problème de fond qui, peu à peu, nous envahit : si la virtuosité est toujours au rendez-vous, le vertige émotionnel se fait attendre. La préado s’avère sans aspérités, générique, sans désir autre que social, évoluant dans un safe space exclusivement féminin et multiculturel, subtilement puritain.
Première 3/5
Alors que Disney dévisse en salles et a loupé le come-back post-covid, Vice-Versa 2 s’envisage plus sereinement en tant que suite absolument roublarde (Giacchino n’est même plus à la BO), faite pour remplir les salles et ce n’est pas si grave, à condition de ne pas trop regarder dans la chambre forte à souvenirs refoulés.
Sud Ouest 3/5
(...) Une impression de déjà-vu, y compris au niveau technique. C’est beau, très propre, mais on ne sent jamais l’envie des créateurs de franchir un nouveau "gap" en matière d’animation.
Synopsis : À l’aube d’une nouvelle tournée mondiale, la star de la pop Skye Riley se met à vivre des événements aussi terrifiants qu’inexplicables. Submergée par la pression de la célébrité et devant un quotidien qui bascule de plus en plus dans l’horreur, Skye est forcée de se confronter à son passé obscur pour tenter de reprendre le contrôle de sa vie avant qu’il ne soit trop tard.
Synopsis : La trop confiante Fujino et la renfermée Kyomoto ne pourraient pas être plus différentes. Leur passion pour le dessin de manga est la seule chose qui lie ces deux filles que tout oppose. Cependant, un jour, quelque chose survient et fait tout éclater. Une histoire déchirante et marquante sur le fait de grandir.
Synopsis : Creation of the Gods est l'adaptation d'une des plus grandes légendes chinoises. Le Prince Yin Shou tente de monter sur le trône du royaume des Shang dans le sang avec l’aide de sa maîtresse Su Daji elle-même sous l'emprise du Démon Renard. Le sage taoïste Jiang Ziya descendu du Mont sacré Kunlun et Ji Fa, jeune guerrier élevé par Yin Shou, s’allient pour combattre le tyran.