Réalisé par Bong Joon Ho : Memories of Murder / The Host / Mother / Snowpiercer, Le Transperceneige / Okja / Parasite
Synopsis : Mickey7 est un individu envoyé coloniser une planète gelée. A chaque fois qu'il meurt, ses souvenirs sont implantés dans un nouveau corps et sa mission reprend. Après être mort à six reprises, Mickey7 commence à comprendre le but réel de sa mission...
Après une terrible tragédie, la famille Deetz revient à Winter River. Toujours hantée par le souvenir de Beetlejuice, Lydia voit sa vie bouleversée lorsque sa fille Astrid, adolescente rebelle, ouvre accidentellement un portail vers l’Au-delà. Alors que le chaos plane sur les deux mondes, ce n’est qu’une question de temps avant que quelqu’un ne prononce le nom de Beetlejuice trois fois et que ce démon farceur ne revienne semer la pagaille…
20 Minutes 4/5
Tim Burton donne une suite savoureuse à son classique de 1988.
Dernières Nouvelles d'Alsace 4/5
Le scénario fragmenté évoque un jeu de cadavre exquis géant, où l’imaginaire de Tim Burton s’exprime sans limite, comme un rêve fébrile.
Franceinfo Culture 4/5
Une mise en scène tourbillonnante, un casting de luxe, une bande originale qui participe au rythme et à la drôlerie, des décors et des costumes chamarrés… [...] Tim Burton a mis le paquet dans ce "Beetlejuice" au carré, qui ne décevra pas les fans si toutefois leur attente n'excède pas une envie de petite piqûre de rappel nostalgique fortement dosée.
IGN France 4/5
Tant suite que soft reboot, Beetlejuice Beetlejuice porte l'amour du réalisateur pour ses acteurs et son univers, ainsi que les maladresses et incohérences dues aux 36 ans d'écart entre les deux films.
La Voix du Nord 4/5
Tim Burton renoue avec sa légendaire malice de sale gosse en reconvoquant Beetlejuice, le fantôme fantoche (Michael Keaton). Il réussit la suite de son deuxième long-métrage, film de 1988 devenu culte.
Le Dauphiné Libéré 4/5
L’extravagant M. Burton revient d’entre les créateurs hantés, avec une merveille majeure, macabre et sentimentale.
Le Parisien 4/5
Pour le reste, Burton fait merveille à la mise en scène, favorisant les effets spéciaux à l’ancienne, divertit et fait beaucoup rire – il ose même refaire danser Jenna Ortega de façon délirante comme dans la série « Mercredi » - tout en se montrant audacieux et en mettant en avant son amour des personnages abîmés ou fêlés : une suite très réussie.
Le Point 4/5
Les amateurs de Brian De Palma et de son mythique Carrie vont tomber de leur chaise en découvrant l'hommage délirant et hilarant que lui rend Burton dans le dernier virage du film. Bref, un feu d'artifice de création tous azimuts.
Ouest France 4/5
Tim Burton est bel et bien de retour.
Paris Match 4/5
Avec cette suite sortie de son cerveau délirant Tim Burton ne révolutionne pas le cinéma fantastique. Mais il ne s’interdit rien : gags ubuesques, personnages sans tête, explosions de sang sont génialement au menu.
Première 4/5
C’est Beetlejuice revivifié par Mercredi (les dialogues écrits par les deux showrunners de la série Netflix sont souvent drôles), Tim Burton au sommet de son art auto-référentiel, avec un grand sourire aux lèvres et en tapant du pied – une humeur disco-soul a remplacé Belafonte dans la B.O., et le film ne déçoit pas sur le plan des séquences musicales endiablées, ce qui n’est pas rien.
Ecran Large 3/5
"Beetlejuice Beetlejuice" est pétri des défauts qui vont avec l’imaginaire foutraque du réalisateur, mais devant son humour au poil et sa créativité débordante, on l’accepte et on applaudit ce retour timide mais indéniable du réalisateur qu’on aimait.
La Croix 3/5
Le scénario part un peu dans tous les sens, mais cet esprit foutraque contribue à la réussite du film. Les personnages sont cartoonesques en diable, aussi délirants que ceux de Tex Avery. Le grand talent de Tim Burton est de faire émerger de cette pochade une touche de poésie tendre, permettant aux proches d’une même famille de se retrouver, par-delà la vie et la mort.
Le Figaro 3/5
Trente-six ans plus tard, le principe est le même mais l'intrigue est aussi paresseuse qu'alambiquée. Winona Ryder n'est plus une ado en pleine crise mais la mère de Jena Ortega, étudiante sans relief. Burton préfère toujours les monstres aux humains et confie à sa girlfriend Monica Bellucci un rôle de revenante recousue prête à en découdre avec son ex-mari, Beetlejuice.
Le Monde 3/5
Les mille péripéties du film auraient pu former un opéra de morts vivants, mais le cinéaste a une fâcheuse tendance à bâcler le récit, dénouant les imbroglios dans un rythme effréné qui donne le tournis. De fait, le scénario est plus que rempli (...).
Les Fiches du Cinéma 3/5
D’abord fort timide et performative, cette suite ne trouve son ton, fantasque, que dans sa dernière demi-heure.
Les Inrockuptibles 3/5
La suite du film culte de 1988 aurait pu n’être qu’une basse opération commerciale mais accouche étonnamment d’un film habité, et même plutôt tordu.
Libération 3/5
Un retour séduisant, mais en petite forme, où la vie après la mort et son cirque kitsch sont prétextes à une introspection mélancolique.
Sud Ouest 3/5
À partir de cette intrigue, souvent confuse en raison d’une profusion d’aventures secondaires, Tim Burton accouche d’un de ces cabinets de curiosités dont il a le secret, visuellement abouti et marqué par la poésie gothique qui le caractérise depuis ses débuts.
Télérama 3/5
Une comédie macabre menée tambour battant.
L'Obs 2/5
Tout se passe comme si le film, basé sur un mince livret plutôt que sur un scénario, nourrissait la secrète tentation d’être une comédie musicale, sans jamais passer à l’acte.
Premières images
(Scarlett Johansson et Jonathan Bailey / Mahershala Ali)
Réalisé par Gareth Edwards : The Creator / Rogue One : A Star Wars Story / Godzilla / Monsters.
Scénario de David Koepp : L'Impasse / Snake Eyes / Hypnose / Panic Room / Spider-Man
et surtout le co-scénariste de Jurassic Park et scénariste de Le Monde perdu : Jurassic Park.
Avec : Scarlett Johansson / Mahershala Ali / Jonathan Bailey
Synopsis : Cinq ans après les événements de Jurassic World Dominion, l'écologie de la planète s'est révélée largement inhospitalière pour les dinosaures. Ceux qui restent vivent dans des environnements équatoriaux isolés dont le climat ressemble à celui dans lequel ils prospéraient autrefois. Les trois créatures les plus colossales de cette biosphère tropicale détiennent la clé d'un médicament qui sauvera miraculeusement la vie de l'humanité.
Réalisé par Kenji Kamiyama : Hirune Hime, Rêves éveillés
Date : 11 Décembre 2024
Film d'animation qui se concentrera sur le puissant roi de Rohan, Helm Hammerhand, et sur une bataille légendaire qui a contribué à façonner la Terre du Milieu.
L'action se déroulera environ 250 ans avant la trilogie du Seigneur des Anneaux de Peter Jackson.
Dans les années 80, le seul endroit de Hong Kong où la Loi Britannique ne s’appliquait pas était la redoutable Citadelle de Kowloon, une enclave livrée aux gangs et trafics en tous genres.
Fuyant le puissant boss des Triades Mr. Big, le migrant clandestin Chan Lok-kwun se réfugie à Kowloon où il est pris sous la protection de Cyclone, chef de la Citadelle. Avec les autres proscrits de son clan, ils devront faire face à l'invasion du gang de Mr. Big et protéger le refuge qu'est devenue pour eux la cité fortifiée.
Les Inrockuptibles 5/5
Le nouveau film de Soi Cheang sidère par sa direction artistique vertigineuse et ses scènes de combats dantesques. L’une des meilleures adaptations de manga jamais produites.
Ecran Large 4/5
Non content d’être un film d’action virtuose, City of Darkness symbolise par ses acteurs et son décor la fin d’une époque, à la manière d’un chant du cygne politique et mélancolique sur le cinéma de Hong Kong.
L'Obs 4/5
Un divertissement généreux digne de l’âge d’or du cinéma de Hongkong.
La Voix du Nord 4/5
Explosif et épique.
Le Dauphiné Libéré 4/5
Un film d’arts martiaux à voir.
Le Figaro 4/5
On ne se risquera pas à résumer la suite de l'intrigue, riche en trahisons, extravagances et retournements improbables. L'essentiel est ailleurs. Il se situe dans le kung-fu, fondu dans des chorégraphies spectaculaires filmées dans une citadelle labyrinthique.
Le Parisien 4/5
Le réalisateur, Soi Cheang, se fait un plaisir de faire circuler sa caméra partout dans ce fouillis de câbles, de dalles de béton, de murs, d’escaliers brinquebalants, où grouille une population qui vit au jour le jour. Et il y imagine des combats d’autant plus spectaculaires que les protagonistes doivent intégrer cette topographie pour le moins inhabituelle dans leurs pugilats.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Soi Cheang s’amuse avec ce western urbain joyeusement alambiqué, explosif et entraînant.
Libération 4/5
Avec ce film électrisant où marginaux et mafieux honkgongais se castagnent dans une tour de Babel décrépite, le prolifique Soi Cheang s’impose pour de bon en maître de l’action.
Mad Movies 4/5
(...) une narration erratique où l'effroi, l'émotion et le décalage comique tentent chacun de surnager au milieu du chaos ambiant.
Ouest France 4/5
Un régal de mise en scène.
Première 4/5
Le purgatoire de Limbo s'est ordonné (et légèrement coloré), pour devenir bien plus que le décor de beat them all de borne d'arcade : un nouvel horizon de cinéma pour Soi Cheang. Fight !
Télérama 4/5
Une ode à la ville, à ses dédales et à ses laissés-pour-compte.
Cahiers du Cinéma 3/5
City of Darkness dévie de sa guirlande de pugilats par essence programmatiques (un com-bat est toujours une chorégraphie, donc un programme millimétré) pour explorer la cité disparue de Kowloon, chargée d’histoire et de symboles
L'Humanité 3/5
Un coup de nostalgie sur une époque glorieusement libre du cinéma hongkongais (incarnée aussi par la présence du légendaire Sammo Hung au casting), dont on ne pourrait que reconstituer les ruines.
Le Monde 3/5
Si le film s’enferre ensuite dans les clichés de la guerre des gangs, Soi Cheang n’a rien perdu de ses talents de géomètre de l’action.
Allociné
PS : Il est sortie dans très peu de salle (donc surtout les grosses villes)
Réalisé par J.C. Chandor : Margin Call / All Is Lost / A Most Violent Year
Date : 18 Décembre 2024
Kraven the Hunter raconte la genèse sanglante de l'un des super-vilains les plus iconiques de l'univers Marvel avant sa fameuse vendetta contre Spider-Man.