Réalisé par Shawn Levy : Trilogie La nuit au musée / Free Guy
Date : 24 Juillet 2024
Synopsis : Deadpool est retrouvé dans son univers par le Tribunal des Variations Anachroniques (TVA), une organisation dont la mission est de surveiller les différentes réalités du multivers et tenter de maintenir les interférences temporelles. L'agent M. Paradox lui propose l'opportunité de devenir un véritable héros parmi ceux du MCU. Dans son périple, il croise la route de l'indomptable mutant Wolverine…
Synopsis : Le premier film d'animation Transformers depuis l'original de 1986. Ce film se déroule entièrement sur Cybertron et raconte comment deux frères d’armes, Optimus Prime et Megatron, sont devenus ennemis jurés, menant au plus grand des combats entre les Autobots et les Decepticons.
Loid est un espion. Yor, une tueuse à gages. Ensemble, ils mènent une double vie en jouant le rôle du père et de la mère d'une famille parfaite. Ce qu'ils ignorent, c'est que leur fille adoptive, Anya, connaît leurs secrets grâce à son don de télépathie. Un beau jour d'hiver, Loid se sert de sa couverture pour partir en week-end avec sa famille et prendre part en parallèle à une mission liée à l'opération Strix. Malheureusement, Anya se retrouve mêlée par erreur à cette dernière et devient l'élément déclencheur d'un conflit qui menace la paix dans le monde !
IGNFrance 4/5
Un divertissement sans conséquences pour les fans de la licence, avec une ou deux séquences épiques, et beaucoup d'Anya faces inédites.
Le Journal du Geek 4/5
Scénarisé par Ichirō Ōkouchi et produit par les studios CloverWorks et Wit Studio, Spy x Family Code : White apporte une dimension nouvelle et rafraichissante aux récits d’espionnage.
Première 3/5
En moins de deux heures, le film raconte une intrigue complètement délirante (à base de concours de cuisine, de la recette d’un dessert mythique et de guerre entre deux nations) avec des passages très drôles et spectaculaires, d’autres moins inspirés, et ça finit sur un tunnel scato assez surprenant. C’est difficile à résumer, tout ça, mais plutôt très sympathique à regarder.
Télérama 3/5
D’une insouciance épatante, le film trouve de fait la juste mesure entre un humour bon enfant, destiné aux plus jeunes, et des questionnements passionnants sur l’adultère et la parentalité. Dommage que sa dernière partie, truffée d’explosions à gogo et de combats survitaminés, vienne alourdir un peu l’ensemble.
Une course effrénée à travers une Amérique fracturée qui, dans un futur proche, est plus que jamais sur le fil du rasoir.
Franceinfo Culture 5/5
Un grand film, dans la lignée de ce que donnait le meilleur du cinéma politique américain des années 1970, avec la touche d'un metteur en scène exigeant dans ses sujets et dans leur traitement.
Le Point 5/5
C'est osé, puissant, terrifiant.
Première 5/5
Si ces vignettes remplie de fureur et de chaos sonnent si justes, c’est parce que Civil War a été véritablement conçu comme une sorte de blockbuster pour adultes et qu’il réactive un format de production hollywoodienne à la saveur oubliée, et qu’on pourrait appeler « film du milieu ».
Ecran Large 4/5
Sur fond de thriller d'action explosif, Civil War s'interroge avant tout sur le sens de l'information, le pouvoir de l'image et l'absolue nécessité de préserver un journalisme de terrain tentant de capturer le réel, exposer la vérité. Passionnant de bout en bout.
L'Humanité 4/5
D’emblée, on comprend qu’Alex Garland, le réalisateur et scénariste, nous a floués. Et c’est tant mieux. « Civil War » n’est pas un film de guerre, mais un film sur la couverture des conflits. Il n’y est pas question de soldats, mais de reporters.
La voix du Nord 4/5
Le miroir tendu est si peu déformant. Civil War fait le grand écart entre le drame psychologique et le thriller horrifique, bousculant en parallèle la neutralité du regard, celui de journalistes rendant compte de l’histoire en train de s’écrire chez eux, très loin des contrées en feu qu’ils avaient l’habitude d’immortaliser.
Le Dauphiné Libéré 4/5
Quant à la morale de son histoire, Civil War préfère la faire chercher aux spectateurs plutôt que l'expliquer. Ce qui, au delà d'un très bon casting ou de scènes de guerre redoutables, constitue sa vraie force.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Moins violent qu’Immaculée, qui repose sur les mêmes ressorts, cette préquelle de La Malédiction, qui nous entraîne dans l’Italie des années 1970, se révèle néanmoins très divertissante, et parvient à surprendre.
Le Parisien 4/5
D’un réalisme sidérant et percutant dans les scènes de combat, le film se garde de choisir son camp, préférant s’intéresser à ses héros, des journalistes confrontés à l’absurdité du conflit et de leur métier.
Libération 4/5
Là, Civil War, film magnétique mais assez creux, s’emplit de politique et d’effroi.
Rolling Stone 4/5
Un scénario catastrophe qui saisit.
Sud Ouest 4/5
À l’approche des élections présidentielles américaines, la dystopie d’Alex Garland s’impose comme une œuvre profondément actuelle, mettant en scène face à face le pouvoir et les journalistes.
L'Obs 3/5
Alex Garland a le sens de l’atmosphère, de l’image forte et symbolique, ici porté par une mise en scène immersive qui mêle l’influence du clip et du film de guerre, mais pèche par une approche froide, une écriture qui manque de chair.
Le Monde 3/5
Civil War se fixe ainsi ses propres limites, celles d’une succession d’aventures fantaisistes nourrie habilement de situations convenues et dopée par un savoir-faire et une indiscutable manière de tenir, durant deux heures, le spectateur en tension.
Les fiches du Cinéma 3/5
Loin du pamphlet sauvage, Garland ébauche plutôt une réflexion pétrie de contradictions.
Télérama 3/5
Film de guerre et film d’horreur, ce blockbuster efficace s’avère très réaliste.
Cahier du Cinéma 2/5
En retournant la violence à l’intérieur de son propre pays, Garland ne questionne ni la violence ni son pays (pour cela, même n’importe quel volet d’American Nightmare fait mieux l’affaire). Il propose une vague virée critique où notre voyeurisme se projette dans celui des protagonistes journalistes, construits selon les pires clichés sur le photojournalisme de guerre façon Hollywood.
La Croix 2/5
Malgré sa force d’évocation, Civil War manque cruellement d’un point de vue politique sur son sujet.
Le Figaro 2/5
Totalement inoffensif et souvent ennuyeux.
James Watkins le réalisateur de : Eden Lake / La dame en noir
Date : 18 Septembre 2024
Synopsis : Une famille américaine passe le week-end dans la propriété de rêve d'une charmante famille britannique rencontrée en vacances. Mais ce séjour qui s’annonçait idyllique se transforme rapidement en atroce cauchemar.
Yorgos Lanthimos le réalisateur de : The Lobster / La Favorite / Pauvres Créatures
Date : Prochainement
Synopsis : KINDS OF KINDNESS est une fable en tryptique qui suit : un homme sans choix qui tente de prendre le contrôle de sa propre vie ; un policier inquiet parce que sa femme disparue en mer est de retour et qu’elle semble une personne différente ; et une femme déterminée à trouver une personne bien précise dotée d’un pouvoir spécial, destinée à devenir un chef spirituel prodigieux.
En 1971, Margaret, une jeune Américaine, est envoyée à Rome pour entrer au service de l'Église.
Elle se retrouve bientôt confrontée à des forces obscures qui l'amènent à remettre en question sa propre foi et à lever le voile sur une terrifiante conspiration qui entend donner naissance à l’incarnation du Mal…
Dernières Nouvelles d'Alsace 4/5
Le récit des origines de Damien et du complot visant à concevoir l'Antéchrist n'est pas un recyclage, mais un film de genre soigné.
Le Dauphiné Libéré 4/5
Arkasha Stevenson explore l'horreur corporelle, les transformations et les mutations, comme dans les créations monstrueuses du cinéma de la métamorphose de David Cronenberg.
Le Monde 4/5
La Malédiction. L’origine subvertit les règles et l’idéologie d’un cinéma d’horreur souvent engourdi par sa vision conformiste de la société et par ses mécanismes trop éprouvés.
Le Parisien 4/5
Comme souvent de nos jours, cette nouvelle déclinaison ne se réfère qu’à l’opus originel, dont elle raconte tout ce qui se passe juste avant, même si elle peut être vue de manière indépendante. (...) Le scénario, au départ très prévisible, finit donc sur une conclusion inattendue (...).
Les Fiches du Cinéma 4/5
Moins violent qu’Immaculée, qui repose sur les mêmes ressorts, cette préquelle de La Malédiction, qui nous entraîne dans l’Italie des années 1970, se révèle néanmoins très divertissante, et parvient à surprendre.
Première 3/5
C’est parfois très efficace mais souvent prévisible, sans exploiter les moments les plus troubles que capte la réalisatrice Arkasha Stevenson (par exemple l’attirance soudaine de l’héroïne pour sa coloc’) dont c’est le premier film.
Les Inrockuptibles 2/5
Un film d’horreur convenu mais qui a le mérite d’aborder l’avortement.
Télérama 2/5
Il y a un peu de Dario Argento et beaucoup de Rosemary’s Baby dans ce premier long métrage qui peine à développer sa propre sensibilité. La réalisatrice tente, en vain, de glisser un embryon d’idée au sein d’un film lourd, inutilement violent, qui peine à réanimer la saga.
Après trois aventures dans lesquelles le guerrier dragon Po a combattu les maîtres du mal les plus redoutables grâce à un courage et des compétences en arts martiaux inégalés, le destin va de nouveau frapper à sa porte pour … l’inviter à enfin se reposer. Plus précisément, pour être nommé chef spirituel de la vallée de la Paix. Cela pose quelques problèmes évidents. Premièrement, Po maîtrise aussi bien le leadership spirituel que les régimes, et deuxièmement, il doit rapidement trouver et entraîner un nouveau guerrier dragon avant de pouvoir profiter des avantages de sa prestigieuse promotion. Pire encore, il est question de l’apparition récente d’une sorcière aussi mal intentionnée que puissante, Caméléone, une lézarde minuscule qui peut se métamorphoser en n'importe quelle créature, et ce sans distinction de taille. Or Caméléone lorgne de ses petits yeux avides et perçants sur le bâton de sagesse de Po, à l’aide duquel elle espère bien pouvoir réinvoquer du royaume des esprits tous les maîtres maléfiques que notre guerrier dragon a vaincu. Po va devoir trouver de l’aide. Il va en trouver (ou pas ?) auprès de Zhen, une renarde corsac, voleuse aussi rusée que vive d'esprit, qui a le don d’irriter Po mais dont les compétences vont s’avérer précieuses. Afin de réussir à protéger la Vallée de la Paix des griffes reptiliennes de Caméléone, ce drôle de duo va devoir trouver un terrain d’entente. Ce sera l’occasion pour Po de découvrir que les héros ne sont pas toujours là où on les attend.
Dernières Nouvelles d'Alsace 4/5
Les créateurs de DreamWorks Animation ont de la suite dans les idées et des idées dans la suite des aventures de Po.
L'humanité 4/5
Huit ans après le troisième volet, les studios DreamWorks livrent un quatrième opus vitaminé de Kung Fu Panda où Po, escorté par une renarde ambiguë, combat une ennemie protéiforme. Une réussite.
Le Dauphiné Libéré 4/5
Le maître kung-fu le plus invraisemblable au monde ne s'épuise pas : toujours aussi toujours aussi farfelu, frénétique, fulgurant.
Le Parisien 4/5
Dans ce « Kung Fu Panda 4 », il y a des paysages magnifiques, des personnages savoureux, une jolie morale, beaucoup de scènes de kung-fu et de l’humour. Bref, ce nouvel opus très réussi cogne fort.
La Croix 3/5
Le célèbre panda, au coup de pied aussi robuste que le coup de fourchette, revient pour un quatrième volet sympathique d’une saga trop lucrative pour s’arrêter.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Fidèle aux premiers films, "Kung Fu Panda 4" développe un scénario plutôt convaincant, porté par une animation enthousiasmante.
Libération 3/5
Le film s’avère complètement monté sous cocaïne dans la crainte éperdue que le public gavé au pop-corn décroche, pas déplaisant mais ayant quand même perdu au fil du temps le charme de son personnage dysfonctionnel, de plus en plus normé en héros de baston.
Première 3/5
La série des Kung Fu Panda n’aura peut-être pas engendré de très grands films, mais force est d’admettre qu’à force de persévérance, Po a gagné ses galons de vrai héros de cinéma.
Télérama 3/5
Un épisode sans grande originalité, mais débordant d’humour.
Écran Large 2/5
Si on a naïvement cru à un renouveau artistique chez DreamWorks après "Les Bad Guys" et "Le Chat Potté 2", "Kung Fu Panda 4" continue la descente aux enfers de DreamWorks, qui pourra malgré tout se consoler avec le box-office du film.
L'Obs 2/5
Sympatoche mais ça sent la recette.
Le Point 2/5
Les rares bonnes idées, elles, sont cantonnées aux combats, inventifs et cartoonesques à souhait. Parmi eux, un affrontement dans une taverne en équilibre sur une falaise, oscillant au gré des mouvements de nos deux héros.
Les Inrockuptibles 2/5
Un gros panda, des acrobaties, des blagues de cour de récré : on prend les mêmes, on dépense 85 millions de dollars, on recommence.
Le Figaro 1/5
Ce quatrième volet de la franchise Dreamworks ressemble à un Zootopie sans génie. Les moins de dix ans trouveront sans doute divertissante les acrobaties martiales. Les plus de dix ans pourront s'assoupir tranquillement, bercés par la voix de Dustin Hoffman. À condition de voir le film en VOST.