En 1971, Margaret, une jeune Américaine, est envoyée à Rome pour entrer au service de l'Église.
Elle se retrouve bientôt confrontée à des forces obscures qui l'amènent à remettre en question sa propre foi et à lever le voile sur une terrifiante conspiration qui entend donner naissance à l’incarnation du Mal…
Dernières Nouvelles d'Alsace 4/5
Le récit des origines de Damien et du complot visant à concevoir l'Antéchrist n'est pas un recyclage, mais un film de genre soigné.
Le Dauphiné Libéré 4/5
Arkasha Stevenson explore l'horreur corporelle, les transformations et les mutations, comme dans les créations monstrueuses du cinéma de la métamorphose de David Cronenberg.
Le Monde 4/5
La Malédiction. L’origine subvertit les règles et l’idéologie d’un cinéma d’horreur souvent engourdi par sa vision conformiste de la société et par ses mécanismes trop éprouvés.
Le Parisien 4/5
Comme souvent de nos jours, cette nouvelle déclinaison ne se réfère qu’à l’opus originel, dont elle raconte tout ce qui se passe juste avant, même si elle peut être vue de manière indépendante. (...) Le scénario, au départ très prévisible, finit donc sur une conclusion inattendue (...).
Les Fiches du Cinéma 4/5
Moins violent qu’Immaculée, qui repose sur les mêmes ressorts, cette préquelle de La Malédiction, qui nous entraîne dans l’Italie des années 1970, se révèle néanmoins très divertissante, et parvient à surprendre.
Première 3/5
C’est parfois très efficace mais souvent prévisible, sans exploiter les moments les plus troubles que capte la réalisatrice Arkasha Stevenson (par exemple l’attirance soudaine de l’héroïne pour sa coloc’) dont c’est le premier film.
Les Inrockuptibles 2/5
Un film d’horreur convenu mais qui a le mérite d’aborder l’avortement.
Télérama 2/5
Il y a un peu de Dario Argento et beaucoup de Rosemary’s Baby dans ce premier long métrage qui peine à développer sa propre sensibilité. La réalisatrice tente, en vain, de glisser un embryon d’idée au sein d’un film lourd, inutilement violent, qui peine à réanimer la saga.