Réalisé par Francis Lawrence : Je suis une légende / la licence Hunger Games
D'après le roman de Stephen King paru sous le nom de plume de Richard Bachman en 1979.
Synopsis : L’équipage du vaisseau “NEXUS VI” s’est échoué sur une planète sauvage après un combat spatial dantesque. Ébranlés par l’enlèvement du copilote par une mystérieuse secte, ils vont traverser de nombreuses épreuves afin d’aller le sauver.
Lorsque tous les enfants d’une même classe, à l’exception d’un, disparaissent mystérieusement la même nuit, à la même heure, la ville entière cherche à découvrir qui — ou quoi — est à l’origine de ce phénomène inexpliqué.
Le Parisien 5/5
Sans doute un futur classique du thriller.
Le Monde 4/5
Cregger joue magnifiquement des seuils de confusion ou de bascule entre veille et sommeil.
Le Point 4/5
Entre le choral Magnolia, l'irréel Pique-Nique à Hanging Rock et le terrifiant Prisoners, Évanouis risque bien de ne pas s'envoler de nos mémoires avant longtemps.
Les Fiches du Cinema 4/5
Zach Cregger amalgame les peurs contemporaines de contamination et d’évanouissement pour bâtir un récit tout en chausse-trappes narratives. Le film surprend, émeut et réjouit, naviguant entre la farce maximale et l’insondable tristesse intime de son soubassement.
Les Inrockuptibles 4/5
Le changement de registre donne au cinéaste les moyens de peindre une fresque plus large sur l’Amérique d’aujourd’hui, par le moyen d’un récit choral extrêmement maîtrisé, multipliant les sous-intrigues sans perdre de vue la disparition des dix-sept enfants.
Sud Ouest 4/5
Intriguant et rondement mené, avec une interprétation sans faille, ce thriller teinté de sorcellerie dose les jump scares, les passages inquiétants et l’émotion de façon à tenir en haleine le public … en plus de laisser présager le meilleur pour la future adaptation du jeu vidéo Resident Evil sur laquelle planche actuellement Cregger.
Le Figaro 3/5
Zach Cregger a plus que mérité ses galons de nouveau prodige de l’horreur, participant à l’extraordinaire dynamisme du genre. Devenu pourvoyeur majeur de récits originaux dans un Hollywood dominé par les adaptations, les suites et les remakes.
Première 3/5
Mais même dans cette phase déceptive, des éclairs de mise en scène parviennent à ne pas tout gâcher. La marche était peut- être trop haute pour un deuxième film mais on a hâte de voir les suivants !
Télérama 3/5
Cela dit, le dispositif, formellement impeccable, n’en reste pas moins répétitif narrativement. Deux des six segments n’existent que dans le but d’amener le spectateur au niveau d’information attendu pour savourer un finale volontairement loufoque, qui ne jurerait pas dans un dessin animé. Cette pantalonnade ultime est bienvenue : on avait des maxillaires à décrisper.
Réalisé par Sylvain Chomet : Les Triplettes de Belleville / L'Illusionniste
Synopsis : A l’apogée de sa gloire, Marcel Pagnol reçoit la commande d’une rédactrice en chef d’un grand magazine féminin pour l’écriture d’un feuilleton littéraire, dans lequel il pourra raconter son enfance, sa Provence, ses premières amours... En rédigeant les premiers feuillets, l’enfant qu’il a été autrefois, le petit Marcel, lui apparaît soudain. Ainsi, ses souvenirs ressurgissent au fil des mots : l’arrivée du cinéma parlant, le premier grand studio de cinéma, son attachement aux acteurs, l'expérience de l’écriture. Le plus grand conteur de tous les temps devient alors le héros de sa propre histoire.
Zephyr, une surfeuse intrépide au tempérament libre est kidnappée par un tueur en série obsédé par les requins. Séquestrée sur son bateau et confrontée à la folie de son ravisseur, elle va devoir se battre pour survivre face à tous les prédateurs…
Ouest France 5/5
Dangerous animals est le parfait divertissement d’après plage, dont on se souvient longtemps après le générique final. Le film de l’été ?
L'Humanité 4/5
Un vrai bonbon estival, trempé dans l'hémoglobine.
La Voix du Nord 4/5
Les 50 ans des Dents de la mer ne pouvaient être mieux célébrés. Même si ça n’est pas (seulement) du requin que vous devez ici avoir peur.
Le Dauphiné Libéré 4/5
Hilarant et terrifiant.
Le Figaro 4/5
Le film de l’Australien Sean Byrne croise habilement film de tueur en série et de requins.
Le Parisien 4/5
Offrant un original mélange des genres, ce film de requins, en salles ce mercredi, sort du lot et distille même un message environnemental fort. Étonnant !
Libération 4/5
Dans le genre train fantôme sur rails de grand huit, le film est effectivement très bon, mille miles en avance sur les séries B high-concept qui pullulent sur les plateformes.
Cahiers du Cinéma 3/5
Filon malfamé du direct-to-video, le film de requin est-il appelé à se gentrifier ? Si c’est le cas, cela ne passera pas par Dangerous Animals de Sean Byrne. Sa sélection à la Quinzaine des cinéastes de Cannes semble moins tenir à un quelconque auteurisme elevated qu’au contraire : une manière d’assumer jusqu’au bout le programme festif du genre.
L'Ecran Fantastique 3/5
Audacieux et original.
L'Obs 3/5
Personnage intéressant que ce quadra volubile et faussement cool, précipité d’aigreur d’une génération X rarement portraiturée de la sorte, nourrissant une détestation farouche à l’égard des jeunes connectés d’aujourd’hui, martyrisés selon un rituel sadique.
Le Monde 3/5
Cette amusante mise en abyme constitue tout à la fois le prix et les limites du film de Sean Byrne. Dangerous Animals fonctionne sur la réactivation, plus humoristique que parodique, de formes désormais essorées dont il tire, comme une ultime mais inspirée tentative, la matière à un spectacle enfantin et jouissif.
Le Point 3/5
Un thriller rafraîchissant.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Avec Dangerous Animals, Sean Byrne se positionne comme l’héritier subversif de Steven Spielberg et William Friedkin. Le cinéaste australien livre un thriller d’horreur aquatique à la fois brutal, ironique et profondément sensoriel.
Mad Movies 3/5
Pourtant, si les squales sont rassasiés, nous sommes un peu restés sur notre faim. En particulier, la partition des acteurs et le dessin des personnages demeurent prisonniers des conventions.
Première 3/5
On sent constamment l’amour du genre (les passages comico-gores, entièrement dédiées au plaisir du spectateur), mais tout est savamment pensé pour élever le film au niveau supérieur. Sans doute la séance la plus cool de votre été.
Télérama 3/5
Voilà une bonne surprise qui rafraîchit le genre avec du sang bien dosé dans les embruns.
Réalisé par Jan Kounen : Dobermann / Blueberry, l'expérience secrète / 99 francs
synopsis : Lors d’une sortie en mer, Paul se retrouve confronté à un étrange phénomène météorologique inexpliqué. Dès lors, Paul rétrécit inexorablement, sans que la science ne puisse lui expliquer pourquoi ni lui être d’aucun secours. Quand, par accident, il se retrouve prisonnier dans sa propre cave, et alors qu’il ne mesure plus que quelques centimètres, il va devoir se battre pour survivre dans cet environnement banal devenu périlleux.