Réalisé par David Leitch : Deadpool 2 / Bullet Train
C'est l’histoire d’un cascadeur, et comme tous les cascadeurs, il se fait tirer dessus, exploser, écraser, jeter par les fenêtres et tombe toujours de plus en plus haut… pour le plus grand plaisir du public. Après un accident qui a failli mettre fin à sa carrière, ce héros anonyme du cinéma va devoir retrouver une star portée disparue, déjouer un complot et tenter de reconquérir la femme de sa vie tout en bravant la mort tous les jours sur les plateaux. Que pourrait-il lui arriver de pire ?
Le Parisien 4/5
Le duo mène une romance mouvementée dans ce long-métrage sans temps mort, où l’on rit beaucoup, et souvent lors des scènes de cascade.
Mad Movies 4/5
The Fall Guy est un divertissement qui remplit son office.
Cahier du Cinéma 3/5
Au-delà de la parodie, grâce à sa foi vitaliste dans la prouesse physique, The Fall Guy est intensément joueur comme Ryan Gosling et candide comme seuls les Américains osent l’être.
L'Obs 3/5
Du fun sous stéroïdes qui confirme le virage comique et décomplexé pris par Ryan Gosling avec « Barbie » : il fait le film.
Marianne 3/5
Les supporters (supportrices) de Ryan Gosling sont convoqués dans les multiplexes pour admirer l’acteur dans ses œuvres musclées. Peut-être ronronneront-ils de plaisir. Ou pas.
Première 3/5
The Fall Guy reste un crowd pleaser euphorisant, où Ryan Gosling rappelle l’étendue de son timing comique entre deux scènes d’action spectaculaires.
Sud Ouest 3/5
L’intrigue n’a pas de grand intérêt: dans « The Fall Guy », c’est surtout l’humour et la dérision qui tombent à pic. Après « Barbie », Ryan Gosling excelle à nouveau à introduire des étincelles de fantaisie dans la mécanique des blockbusters.
Télérama 3/5
Le film aurait, de toute évidence, gagné à être resserré, mais l’époque est trop radine en comédies américaines pour bouder son (petit) plaisir.
Libération 2/5
Débordant de vannes, d’actions et de pantalonnades, l’adaptation de la série eighties «l’Homme qui tombe à pic», avec Ryan Gosling et Emily Blunt, épuise à trop en faire, sans jamais trouver son axe.
Synopsis : Mufasa : Le Roi Lion met à contribution Rafiki, qui va transmettre la légende de Mufasa à la jeune lioncelle Kiara, fille de Simba et Nala, avec Timon et Pumbaa y allant de leur numéro. Racontée sous forme de flashbacks, l'histoire présente Mufasa comme un petit orphelin, perdu et seul jusqu'à ce qu'il rencontre un lion sympathique nommé Taka, l'héritier d'une lignée royale. Cette rencontre fortuite déclenche le vaste voyage d'un groupe extraordinaire de marginaux à la recherche de leur destin. Leurs liens seront mis à l'épreuve alors qu'ils travaillent ensemble pour échapper à un ennemi menaçant et mortel.
2123. Dans un futur où la sécheresse a ravagé la Terre, l’humanité est contrainte de sacrifier une partie de la population : toute personne de plus de 50 ans sera transformée en arbre. La société est régie par des règles impitoyables. Le jour où Stefan voit sa femme condamnée prématurément par le système, il décide de prendre les plus grands risques pour changer son destin.
L’Écran Fantastique 5/5
Un film bouleversant qui nous projette un siècle en avant dans un futur que la science-fiction a prédit maintes fois, simplement en observant le pire dont on sait l’Homme capable.
Franceinfo Culture 4/5
Tout en répondant habilement aux codes des récits post-apocalyptiques, Sky Dome 2123 déplace les attentes et pose un autre regard sur l'avenir. Et si le nouveau monde se faisait sans les hommes ?
Le Dauphiné Libéré 4/5
Sky Dome 2123 soulève des questions profondes sur la valeur de la vie humaine et les sacrifices nécessaires pour préserver la planète.
Le Figaro 4/5
Dans un monde ravagé par une crise climatique, une bouleversante histoire d’amour post-apocalyptique. Entre récit d’aventures et dystopie écologique.
Le Parisien 4/5
Une jolie petite surprise qui a fait sensation dans les festivals où elle a été présentée.
Télérama 4/5
L’échappée belle – et désespérée – qui s’ensuit offre bien des trésors. Poignante histoire d’amour, fable pessimiste sur l’incurie et l’avidité de notre espèce autant que sur ses folles illusions d’éternité, le film est aussi un extraordinaire voyage visuel dans les vestiges de nos civilisations, que Stefan et Nora traversent au cours de leur fuite.
Les fiches du Cinéma 3/5
Habillée par la rotoscopie, cette épopée intime et post-apocalyptique embrasse, non sans ambition, des thématiques environnementales et éthiques.
Les Inrockuptibles 3/5
Sky Dome 2123 pose esthétiquement la question de l’hybridité pour l’avenir.
Mad Movies 3/5
Malgré cela, quelques tableaux franchement réussis marquent durablement l'esprit.
Paris Match 3/5
Le film d’animation le plus surprenant de ce début d’année nous vient de Hongrie. Sur des thématiques proches de « Blade Runner » et de « Soleil Vert », le duo Tibor Bánóczki et Sarolta Szabó imaginent une dystopie angoissante mais finalement très réaliste.
Le Monde 2/5
L’intrigue – resserrée sur le couple (les acteurs ayant été filmés en prises réelles puis redessinés à la main) durant leur longue traversée des paysages désertiques, les ruines de villes abandonnées étant travaillées en 3D – peine à convaincre et à émouvoir.
Libération 2/5
Projet au long cours qui s’est étendu sur sept années, le film souffre – triste ironie – de trop s’en remettre à la technologie pour créer du spectaculaire quand sa 3D souffre de paraître trop souvent dépassée, évoquant plutôt le jeu vidéo fauché que le cinéma.
Première 2/5
Et jamais Sky Dome 2123 ne parviendra à se déjouer de l’influence évidente du Mamoru Oshii de Ghost in the Shell -et donc du Tarkovski de Stalker et Solaris- convoquée dès son démarrage et qui écrase tout le reste du film, gentiment planant mais pas assez fou ni fort pour s’en libérer.
Réalisé et écrit par Ishana Night Shyamalan.
Produit par M. Night Shyamalan (le papa de Ishana Night Shyamalan).
Date : 12 Juin 2024
Synopsis : Perdue dans une forêt, Mina trouve refuge dans une maison déjà occupée par trois personnes. Elle va alors découvrir les règles de ce lieu très secret : chaque nuit, les habitants doivent se laisser observer par les mystérieux occupants de cette forêt. Ils ne peuvent pas les voir, mais eux regardent tout.
Réalisé par Shawn Levy : Trilogie La nuit au musée / Free Guy
Date : 24 Juillet 2024
Synopsis : Deadpool est retrouvé dans son univers par le Tribunal des Variations Anachroniques (TVA), une organisation dont la mission est de surveiller les différentes réalités du multivers et tenter de maintenir les interférences temporelles. L'agent M. Paradox lui propose l'opportunité de devenir un véritable héros parmi ceux du MCU. Dans son périple, il croise la route de l'indomptable mutant Wolverine…
Synopsis : Le premier film d'animation Transformers depuis l'original de 1986. Ce film se déroule entièrement sur Cybertron et raconte comment deux frères d’armes, Optimus Prime et Megatron, sont devenus ennemis jurés, menant au plus grand des combats entre les Autobots et les Decepticons.
Loid est un espion. Yor, une tueuse à gages. Ensemble, ils mènent une double vie en jouant le rôle du père et de la mère d'une famille parfaite. Ce qu'ils ignorent, c'est que leur fille adoptive, Anya, connaît leurs secrets grâce à son don de télépathie. Un beau jour d'hiver, Loid se sert de sa couverture pour partir en week-end avec sa famille et prendre part en parallèle à une mission liée à l'opération Strix. Malheureusement, Anya se retrouve mêlée par erreur à cette dernière et devient l'élément déclencheur d'un conflit qui menace la paix dans le monde !
IGNFrance 4/5
Un divertissement sans conséquences pour les fans de la licence, avec une ou deux séquences épiques, et beaucoup d'Anya faces inédites.
Le Journal du Geek 4/5
Scénarisé par Ichirō Ōkouchi et produit par les studios CloverWorks et Wit Studio, Spy x Family Code : White apporte une dimension nouvelle et rafraichissante aux récits d’espionnage.
Première 3/5
En moins de deux heures, le film raconte une intrigue complètement délirante (à base de concours de cuisine, de la recette d’un dessert mythique et de guerre entre deux nations) avec des passages très drôles et spectaculaires, d’autres moins inspirés, et ça finit sur un tunnel scato assez surprenant. C’est difficile à résumer, tout ça, mais plutôt très sympathique à regarder.
Télérama 3/5
D’une insouciance épatante, le film trouve de fait la juste mesure entre un humour bon enfant, destiné aux plus jeunes, et des questionnements passionnants sur l’adultère et la parentalité. Dommage que sa dernière partie, truffée d’explosions à gogo et de combats survitaminés, vienne alourdir un peu l’ensemble.
Une course effrénée à travers une Amérique fracturée qui, dans un futur proche, est plus que jamais sur le fil du rasoir.
Franceinfo Culture 5/5
Un grand film, dans la lignée de ce que donnait le meilleur du cinéma politique américain des années 1970, avec la touche d'un metteur en scène exigeant dans ses sujets et dans leur traitement.
Le Point 5/5
C'est osé, puissant, terrifiant.
Première 5/5
Si ces vignettes remplie de fureur et de chaos sonnent si justes, c’est parce que Civil War a été véritablement conçu comme une sorte de blockbuster pour adultes et qu’il réactive un format de production hollywoodienne à la saveur oubliée, et qu’on pourrait appeler « film du milieu ».
Ecran Large 4/5
Sur fond de thriller d'action explosif, Civil War s'interroge avant tout sur le sens de l'information, le pouvoir de l'image et l'absolue nécessité de préserver un journalisme de terrain tentant de capturer le réel, exposer la vérité. Passionnant de bout en bout.
L'Humanité 4/5
D’emblée, on comprend qu’Alex Garland, le réalisateur et scénariste, nous a floués. Et c’est tant mieux. « Civil War » n’est pas un film de guerre, mais un film sur la couverture des conflits. Il n’y est pas question de soldats, mais de reporters.
La voix du Nord 4/5
Le miroir tendu est si peu déformant. Civil War fait le grand écart entre le drame psychologique et le thriller horrifique, bousculant en parallèle la neutralité du regard, celui de journalistes rendant compte de l’histoire en train de s’écrire chez eux, très loin des contrées en feu qu’ils avaient l’habitude d’immortaliser.
Le Dauphiné Libéré 4/5
Quant à la morale de son histoire, Civil War préfère la faire chercher aux spectateurs plutôt que l'expliquer. Ce qui, au delà d'un très bon casting ou de scènes de guerre redoutables, constitue sa vraie force.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Moins violent qu’Immaculée, qui repose sur les mêmes ressorts, cette préquelle de La Malédiction, qui nous entraîne dans l’Italie des années 1970, se révèle néanmoins très divertissante, et parvient à surprendre.
Le Parisien 4/5
D’un réalisme sidérant et percutant dans les scènes de combat, le film se garde de choisir son camp, préférant s’intéresser à ses héros, des journalistes confrontés à l’absurdité du conflit et de leur métier.
Libération 4/5
Là, Civil War, film magnétique mais assez creux, s’emplit de politique et d’effroi.
Rolling Stone 4/5
Un scénario catastrophe qui saisit.
Sud Ouest 4/5
À l’approche des élections présidentielles américaines, la dystopie d’Alex Garland s’impose comme une œuvre profondément actuelle, mettant en scène face à face le pouvoir et les journalistes.
L'Obs 3/5
Alex Garland a le sens de l’atmosphère, de l’image forte et symbolique, ici porté par une mise en scène immersive qui mêle l’influence du clip et du film de guerre, mais pèche par une approche froide, une écriture qui manque de chair.
Le Monde 3/5
Civil War se fixe ainsi ses propres limites, celles d’une succession d’aventures fantaisistes nourrie habilement de situations convenues et dopée par un savoir-faire et une indiscutable manière de tenir, durant deux heures, le spectateur en tension.
Les fiches du Cinéma 3/5
Loin du pamphlet sauvage, Garland ébauche plutôt une réflexion pétrie de contradictions.
Télérama 3/5
Film de guerre et film d’horreur, ce blockbuster efficace s’avère très réaliste.
Cahier du Cinéma 2/5
En retournant la violence à l’intérieur de son propre pays, Garland ne questionne ni la violence ni son pays (pour cela, même n’importe quel volet d’American Nightmare fait mieux l’affaire). Il propose une vague virée critique où notre voyeurisme se projette dans celui des protagonistes journalistes, construits selon les pires clichés sur le photojournalisme de guerre façon Hollywood.
La Croix 2/5
Malgré sa force d’évocation, Civil War manque cruellement d’un point de vue politique sur son sujet.
Le Figaro 2/5
Totalement inoffensif et souvent ennuyeux.
James Watkins le réalisateur de : Eden Lake / La dame en noir
Date : 18 Septembre 2024
Synopsis : Une famille américaine passe le week-end dans la propriété de rêve d'une charmante famille britannique rencontrée en vacances. Mais ce séjour qui s’annonçait idyllique se transforme rapidement en atroce cauchemar.