Réalisé par Sylvain Chomet : Les Triplettes de Belleville / L'Illusionniste
Synopsis : A l’apogée de sa gloire, Marcel Pagnol reçoit la commande d’une rédactrice en chef d’un grand magazine féminin pour l’écriture d’un feuilleton littéraire, dans lequel il pourra raconter son enfance, sa Provence, ses premières amours... En rédigeant les premiers feuillets, l’enfant qu’il a été autrefois, le petit Marcel, lui apparaît soudain. Ainsi, ses souvenirs ressurgissent au fil des mots : l’arrivée du cinéma parlant, le premier grand studio de cinéma, son attachement aux acteurs, l'expérience de l’écriture. Le plus grand conteur de tous les temps devient alors le héros de sa propre histoire.
Zephyr, une surfeuse intrépide au tempérament libre est kidnappée par un tueur en série obsédé par les requins. Séquestrée sur son bateau et confrontée à la folie de son ravisseur, elle va devoir se battre pour survivre face à tous les prédateurs…
Ouest France 5/5
Dangerous animals est le parfait divertissement d’après plage, dont on se souvient longtemps après le générique final. Le film de l’été ?
L'Humanité 4/5
Un vrai bonbon estival, trempé dans l'hémoglobine.
La Voix du Nord 4/5
Les 50 ans des Dents de la mer ne pouvaient être mieux célébrés. Même si ça n’est pas (seulement) du requin que vous devez ici avoir peur.
Le Dauphiné Libéré 4/5
Hilarant et terrifiant.
Le Figaro 4/5
Le film de l’Australien Sean Byrne croise habilement film de tueur en série et de requins.
Le Parisien 4/5
Offrant un original mélange des genres, ce film de requins, en salles ce mercredi, sort du lot et distille même un message environnemental fort. Étonnant !
Libération 4/5
Dans le genre train fantôme sur rails de grand huit, le film est effectivement très bon, mille miles en avance sur les séries B high-concept qui pullulent sur les plateformes.
Cahiers du Cinéma 3/5
Filon malfamé du direct-to-video, le film de requin est-il appelé à se gentrifier ? Si c’est le cas, cela ne passera pas par Dangerous Animals de Sean Byrne. Sa sélection à la Quinzaine des cinéastes de Cannes semble moins tenir à un quelconque auteurisme elevated qu’au contraire : une manière d’assumer jusqu’au bout le programme festif du genre.
L'Ecran Fantastique 3/5
Audacieux et original.
L'Obs 3/5
Personnage intéressant que ce quadra volubile et faussement cool, précipité d’aigreur d’une génération X rarement portraiturée de la sorte, nourrissant une détestation farouche à l’égard des jeunes connectés d’aujourd’hui, martyrisés selon un rituel sadique.
Le Monde 3/5
Cette amusante mise en abyme constitue tout à la fois le prix et les limites du film de Sean Byrne. Dangerous Animals fonctionne sur la réactivation, plus humoristique que parodique, de formes désormais essorées dont il tire, comme une ultime mais inspirée tentative, la matière à un spectacle enfantin et jouissif.
Le Point 3/5
Un thriller rafraîchissant.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Avec Dangerous Animals, Sean Byrne se positionne comme l’héritier subversif de Steven Spielberg et William Friedkin. Le cinéaste australien livre un thriller d’horreur aquatique à la fois brutal, ironique et profondément sensoriel.
Mad Movies 3/5
Pourtant, si les squales sont rassasiés, nous sommes un peu restés sur notre faim. En particulier, la partition des acteurs et le dessin des personnages demeurent prisonniers des conventions.
Première 3/5
On sent constamment l’amour du genre (les passages comico-gores, entièrement dédiées au plaisir du spectateur), mais tout est savamment pensé pour élever le film au niveau supérieur. Sans doute la séance la plus cool de votre été.
Télérama 3/5
Voilà une bonne surprise qui rafraîchit le genre avec du sang bien dosé dans les embruns.
Réalisé par Jan Kounen : Dobermann / Blueberry, l'expérience secrète / 99 francs
synopsis : Lors d’une sortie en mer, Paul se retrouve confronté à un étrange phénomène météorologique inexpliqué. Dès lors, Paul rétrécit inexorablement, sans que la science ne puisse lui expliquer pourquoi ni lui être d’aucun secours. Quand, par accident, il se retrouve prisonnier dans sa propre cave, et alors qu’il ne mesure plus que quelques centimètres, il va devoir se battre pour survivre dans cet environnement banal devenu périlleux.
Réalisé par Edgar Wright : Shaun of the Dead / Hot Fuzz / Le Dernier Pub avant la fin du monde / Baby Driver / Last Night in Soho
synopsis : Ben Richards (Glen Powell), ouvrier désespéré prêt à tout pour sauver sa fille gravement malade, accepte l’impensable : participer à ce show mortel, poussé par Dan Killian (Josh Brolin), son producteur aussi charismatique que cruel. Mais personne n’avait prévu que Ben, par sa rage de vivre, son instinct et sa détermination, devienne un véritable héros du peuple… et une menace pour tout le système.
Alors que les audiences explosent, le danger monte d’un cran. Ben devra affronter bien plus que les Hunters : il devra faire face à un pays entier accro à le voir tomber.
Incendies / Prisoners / Enemy / Sicario / Blade Runner 2049 / Dune / Dune : Part Two
Il a déclaré :
"Certains de mes premiers souvenirs de cinéma sont liés à 007"
et
"J'ai grandi en regardant les films de James Bond avec mon père, depuis Dr. No avec Sean Connery. Je suis un fan inconditionnel de Bond. Pour moi, il s'agit d'un territoire sacré. J'ai l'intention d'honorer la tradition et d'ouvrir la voie à de nombreuses nouvelles missions à venir. Il s'agit d'une énorme responsabilité, mais aussi d'une expérience incroyablement excitante pour moi et d'un immense honneur."
Le patron de Prime Video et Amazon MGM Studios, Mike Hopkins, a qualifié Villeneuve de "maître du cinéma, dont la filmographie parle d'elle-même" et rajouté "James Bond est entre les mains de l'un des plus grands cinéastes d'aujourd'hui et nous sommes impatients de commencer la prochaine aventure de 007"
Sonny Hayes était le prodige de la F1 des années 90 jusqu’à son terrible accident. Trente ans plus tard, devenu un pilote indépendant, il est contacté par Ruben Cervantes, patron d’une écurie en faillite qui le convainc de revenir pour sauver l’équipe et prouver qu’il est toujours le meilleur. Aux côtés de Joshua Pearce, diamant brut prêt à devenir le numéro 1, Sonny réalise vite qu'en F1, son coéquipier est aussi son plus grand rival, que le danger est partout et qu'il risque de tout perdre.
Dernières Nouvelles d'Alsace 4/5
Joseph Kosinski et Ehren Kruger visaient le grand spectacle hollywoodien : pari gagné. Leur filmage en Imax XXL immersif est bluffant. Caméras embarquées dans le cockpit, sensations d’adrénaline à fleur de peau : on est dans le baquet, pilote à vif.
Franceinfo Culture 4/5
Au total, on file certes la métaphore du vieux sage expérimenté versus un jeunot arrogant, mais les situations que l'on imagine restent subtiles et inattendues.
Le Dauphiné Libéré 4/5
Brad Pitt en fou du volant ultra-cool et ultra-sexy, dans un film de course auto qui se place en pole position du spectacle de la vitesse au cinéma, grâce au pilotage cinétique de la réalisation de Joseph Kosinski, aux images qui dépotent.
Le Figaro 4/5
On se dit alors que ce blockbuster estival « old school » (le producteur Jerry Bruckheimer ne doit pas y être pour rien) a bien des atouts pour délivrer sa dose de divertissement et de souffle épique. Même si l’intrigue semble parfois cousue de fil blanc, il serait malvenu de bouder son vrombissant plaisir.
Le Parisien 4/5
Dans la grande tradition des films de sport automobile, « F 1 le film », mené à 300 à l’heure et tourné par Joseph Kosinski lors de vrais week-ends de grands prix, électrise avec ses séquences de course filmées à hauteur de casque de pilote, qui mettent littéralement le spectateur au volant.
Le Point 4/5
En coulisses de cette superproduction high-tech financée par Apple, une mécanique bien huilée, avec une courroie de transmission liant comme jamais auparavant Hollywood et la planète F1.
Sud Ouest 4/5
De quoi ravir les fans de la discipline, sans décevoir les novices. Ces derniers profiteront de l’aspect drama calibré et du suspense entourant chaque Grand-Prix. L’implication de Lewis Hamilton, producteur, renforce la crédibilité du film.
Ecran Large 3/5
Après Top Gun : Maverick, il est assez logique de voir Joseph Kosinski faire son propre Jours de tonnerre, pour le meilleur et pour le pire. Si le scénario déçoit avec ses gros sabots, F1 reste une proposition esthétique foisonnante, qui entérine un peu plus le style de son réalisateur.
La Croix 3/5
Le scénario, bourré de testostérone, se rééquilibre un peu avec deux personnages féminins un peu clichés mais intéressantes, néanmoins, il exclut totalement la question de l’impact écologique du sport.
Les Echos 3/5
Blockbuster né du mariage des studios et des sports mécaniques, « F1 » ouvre l'été hollywoodien. Avec un scénario sans surprise, des scènes de course virtuoses et un Brad Pitt qui cavale contre les années qui filent.
Les Inrockuptibles 3/5
Il est rare qu’un film de sport laisse ainsi sa part à la dimension fondamentalement frustrante de la compétition, à la quasi impossibilité de l’épiphanie victorieuse. Une image, peut-être, de sa propre position à Hollywood : à la fois au-dessus du commun, et curieusement oubliable.
Ouest France 3/5
Brad Pitt incarne une ex-gloire de la formule 1 de retour au volant pour sauver l’écurie d’un de ses meilleurs potes dans un film incroyablement spectaculaire en dépit d’un scénario famélique.
Première 3/5
Brad Pitt y exploite à fond son côté terrien, costaud, yankee nourri au grain, un peu macho sur les bords – très Steve McQueen. Et si on pardonne beaucoup de choses à ce film, c’est aussi grâce à lui.
20 Minutes 2/5
Les scènes de Formule 1 sont efficaces mais cela ne suffit pas pour compenser un scénario vieillot.
L'Obs 2/5
Il faut voir ses interactions forcées avec son coéquipier et rival, un jeunot doué mais mal dégrossi (version fictionnelle du vrai pilote Lewis Hamilton, l’autre coproducteur) pour constater combien ce film supposé limpide, frontal, se cogne sans cesse aux contraintes du compromis et de la politique.
La Voix du Nord 2/5
Si on est indifférent aux dilemmes en temps réel (gommes tendres ou dures ?), le temps défile moins vite que les bolides. Rien à voir avec Top Gun : Maverick du même Joseph Kosinski, véritable feu d’artifice qui, en dehors de séquences d’action sidérantes, donnait un souffle à son récit et portait un vrai regard sur son héros vieillissant.
Le Monde 2/5
A l’heure où les studios, dans l’ombre du second mandat de Trump, mettent en veilleuse leur politique « woke », ce film célèbre en fanfare le retour du vieil homme blanc à la virilité charmeuse.
Libération 2/5
Accordons à F1 de ne pas récupérer le mauvais goût dans le bon, et de témoigner du dernier degré de décadence de civilisation sur fond de libations à Vegas ou Abou Dhabi. Dans cette fanfare, plutôt que la revanche sur la vie d’une vieille gloire oubliée, on aurait bien aimé un vrai film d’amitié.
Télérama 1/5
Un ancien prodige de la F1 revient dans la course… Une caricature de success story cousue de fil blanc, avec Brad Pitt en autopromo.
Réalisé et écrit par Zach Cregger : Barbare
(C'est le réalisateur du prochain Resident Evil)
synopsis : Lorsque tous les enfants d’une même classe, à l’exception d’un, disparaissent mystérieusement la
même nuit, à la même heure, la ville entière cherche à découvrir qui — ou quoi — est à l’origine de
ce phénomène inexpliqué.