Héros malgré lui, Mickey Barnes se tue à la tâche… littéralement ! Car c’est ce qu’exige de lui son entreprise : mourir régulièrement pour gagner sa vie.
Ouest France 5/5
Une fable de science-fiction aussi spectaculaire que virtuose.
20 Minutes 4/5
Cette fable aussi drôle que cruelle amuse tout en faisant réfléchir.
Ecran Large 4/5
Ce n’est clairement pas le chef-d’œuvre de Bong Joon-ho, mais si tous les cinéastes pouvaient faire en sorte que leurs moins bons films ressemblent à ça, le monde se porterait mieux.
Franceinfo Culture 4/5
Même si Bong Joon Ho se complaît quelque peu dans la richesse visuelle de l'univers de "Mickey 17", ce qui rallonge quelque peu la durée de son film (2h17), c'est un bonheur de voir une œuvre de science-fiction aussi aboutie.
L'Humanité 4/5
Après le succès de Parasite, Bong Joon-ho signe une fable drôle et glaçante sur le fascisme et le transhumanisme.
La Voix du Nord 4/5
Le miroir avec le monde d’aujourd’hui n’est même pas déformant. Et quel plaisir de voir le réellement formidable Robert Pattinson (The Batman) élargir sa palette artistique et se débattre dans une critique acerbe de cette curieuse époque qui est bel et bien la nôtre.
Le Dauphiné Libéré 4/5
Farfelu, féroce, fabuleux : le maître du cinéma coréen prend de la hauteur dans une folle farce extraterrestre.
Le Figaro 4/5
Comédie de science-fiction politique, Mickey 17 explore avec une bonne dose de cynisme et d’humour noir la déshumanisation des humains dépassés par leur condition.
Le Monde 4/5
Pas mal de pistes à suivre, donc, et autant de plaisir à s’y perdre. Les prestations d’acteurs – particulièrement dans le registre de la bêtise universelle – n’y sont pas pour rien.
Libération 4/5
Trop gentil pour être méchant (à la Starship Troopers de Verhoeven), trop méchant pour être gentil (à la Elysium de Blomkamp), puisqu’il est comme son héros, à la fois 17 et 18, le film de Bong exprime surtout la situation difficile, schizo, de la fiction sous le régime de l’anticipation mortifère.
Nice-Matin 4/5
Inventif et engagé, « Mickey 17 » s’inscrit dans la veine des précédents travaux du réalisateur. Au point qu’il fait généralement penser à un best of, en reprenant certains motifs vus dans « Okja », « The Host » ou « Snowpiercer », pour ne citer qu’eux.
Première 4/5
En embrassant les codes du blockbuster hollywoodien tout en les subvertissant de l'intérieur, il signe peut-être son œuvre la plus ambitieuse à ce jour. Une réussite d'autant plus remarquable qu'elle s'inscrit dans le système même qu'elle critique, prouvant qu'il est encore possible de faire un cinéma de résistance au cœur de la machine hollywoodienne.
Cahiers du Cinéma 3/5
Deux Pattinson pour le prix d’un, dans le même champ : vieux comme les tout premiers VFX, le tour de force est aujourd’hui banal. La vraie prouesse, c’est donc de trouver une âme et une raison d’être valable à ce kamikaze doublonnant.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Bong Joon Ho pousse la satire à l’extrême, dans un récit facétieux mais trop foisonnant pour son propre bien.
Télérama 3/5
Un film politique un peu foutraque, mais réjouissant.
L'Obs 2/5
On était en droit d’attendre bien mieux de Bong Joon-ho, auteur immense de « Memories of Murder » et de « Parasite », que cette fable SF malade et contrastée, qui recycle avidement ses thèmes de prédilection (anti-impérialisme, mélancolie du monstre, lutte des classes) sans parvenir à installer le moindre enjeu d’envergure.
Le Point 2/5
Malgré la maestria formelle de l'attachant cinéaste coréen, nous n'avons, hélas, pas été transportés au septième ciel par cette envolée cosmique, parasitée par les grimaces d'un Ruffalo cabotinant à mort en simili-Trump/Musk du futur.
Meilleur film / Meilleur réalisateur / Meilleure actrice / Meilleur scénario original / Meilleur montage
Meilleur acteur / Meilleure photographie / Meilleure musique de film
Meilleur son / Meilleurs effets visuels
Meilleurs costumes / Meilleurs décors
Meilleure actrice dans un second rôle / Meilleure chanson originale
Meilleur acteur dans un second rôle : A Real Pain - Kieran Culkin pour le rôle de Benji Kaplan
Meilleurs maquillages et coiffures : The Substance – Pierre-Oliver Persin, Stéphanie Guillon et Marilyne Scarselli
Meilleur scénario adapté Conclave – Peter Straughan, adapté du roman Conclave de Robert Harris
Meilleur film international Je suis toujours là de Walter Salles – Brésil
Meilleur film d'animation Flow – Gints Zilbalodis et Matīss Kaža
Meilleur film documentaire No Other Land – Basel Adra, Rachel Szor Hamdan Ballal, et Yuval Abraham
Meilleur court métrage documentaire The Only Girl in the Orchestra – Molly O'Brien et Lisa Remington
Meilleur court métrage : I'm Not a Robot – Victoria Warmerdam et Trent
Meilleur court métrage d'animation : In the Shadow of the Cypress – Shirin Sohani et Hossein Molayemi
Par le co-réalisateur, Duke Johnson de Anomalisa.
Produit par Charlie Kaufman qui est le scénariste de Dans la peau de John Malkovich / Anomalisa et co-scénariste de Eternal Sunshine of the Spotless Mind.
Synopsis : Paul Cole se retrouve bloqué dans une petite ville mystérieuse où il a oublié son identité et les raisons de sa présence. Sans identité ni but, il commence à zéro et entame une relation avec la costumière du coin, Edna. Tandis que des fragments de son passé émergent peu à peu, il tente de retrouver la voie du retour, mais le temps est trompeur, les apparences sont trompeuses et il est difficile de savoir laquelle de ses identités est réelle.
L’un des plus grands duos comiques de l’Histoire, Daffy Duck et Porky Pig, fait son grand retour au cinéma dans une nouvelle comédie déjantée. Enchaînant les gags et les catastrophes dont seuls les Toons sont capables, Daffy Duck, Porky Pig et une nouvelle venue prénommée Petunia Pig vont tenter de sauver le monde d’une terrible menace.
Le Monde 4/5
Enjoué et drôle.
Le Parisien 4/5
Bourré de gags visuels et de jeux de mots rigolos sur les cochons qu’on charcute et les canards qui se font « coin-coin »-cer, ce film amuse et son intrigue ne cesse de rebondir.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Revoilà le canard le plus gaffeur de toute l’Histoire du dessin animé : Daffy Duck, flanqué de son acolyte Porky Pig, est la star de ce récit animé très familial, surprenant souvent, qui projette les Looney Tunes dans le XXIe siècle sans trahir leur essence.
Mad Movies 4/5
Si le rythme ne convainc pas totalement sur une heure trente, difficile de rester insensible à la cinéphilie déployée par "The Day the Earth Blew Up" (génial titre original cachant un hommage scénaristique central au classique de Robert Wise) : Browngardt cite ainsi ouvertement "Mars Attacks!" ou les diverses itérations du "Blob" et de "L'Invasion des profanateurs de sépultures".
Télérama 4/5
Jouant avec la nostalgie, servie par une animation toute en lignes de fuite, perspective démesurée et angles bizarroïdes, cette nouvelle aventure se déguste à tout âge.
L'Ecran Fantastique 3/5
Certes, "Looney Tunes: Daffy et Porky" sauvent le monde est un immense bazar à grande vitesse qui nécessite de débrancher son cerveau. À voir si c'est là un défaut ou sa plus grande qualité.
L'Obs 3/5
Avec sa quinzaine de scénaristes, le film manque peut-être de personnalité, pas de savoir-faire ni de folie : cela part dans tous les sens, sans message ou arrière-pensée, dans une esthétique et une ambiance très années 1950 qui rappellent l’excellent « Géant de fer », le génie de Brad Bird en moins.
Première 3/5
Bourré de gags tordants où le quatrième mur est mis en pièces, ce film d’animation en 2D - incroyablement sophistiquée - transpire l’amour immodéré pour la franchise. Et si le film n’évite pas tout à fait l’épuisement psychologique, il prouve joyeusement l’intemporalité de ces personnages.
Réalisé par Christopher Landon : Happy Birthdead / Happy Birthdead 2 You
Synopsis : Violet, une jeune veuve qui pour son premier rendez-vous depuis des années, se rend dans un restaurant très chic où celui qu’elle doit y retrouver, Henry, est encore plus charmant que séduisant. Mais leur alchimie naissante va vite être gâchée quand Violet se voit harcelée puis terrorisée par une série de messages anonymes sur son téléphone. Contrainte au silence, elle doit suivre les instructions qu’elle reçoit, sous peine que la silhouette encapuchonnée des caméras de sécurité de sa propre maison ne tue son jeune fils gardé par sa tante, la sœur de Violet. Si elle ne fait pas exactement ce qui lui est ordonné, ceux qu'elle aime le plus mourront.
Réalisé par David Yarovesky : Brightburn - L'enfant du mal
Synopsis : Un voleur s'introduit dans une voiture de luxe et se retrouve piégé à l'intérieur. Il découvre que son énigmatique propriétaire en a le contrôle total et qu’il va exercer sur lui une vengeance diabolique.
Réalisé par Joseph Kosinski : Top Gun : Maverick / Oblivion
Synopsis : Brad Pitt dans la peau d’un ancien pilote faisant son grand retour sur les circuits. Aux côtés de son coéquipier (Damson Idris) au sein de l’écurie fictive APXGP, ils nous plongent au cœur de la course dans une immersion totale, le film ayant été filmé lors de véritables compétitions de Grand Prix, face aux titans de ce sport
Réalisé par Gareth Edwards : The Creator / Rogue One : A Star Wars Story / Godzilla / Monsters.
Scénario de David Koepp : L'Impasse / Snake Eyes / Hypnose / Panic Room / Spider-Man
et surtout le co-scénariste de Jurassic Park et scénariste de Le Monde perdu : Jurassic Park.
Avec : Scarlett Johansson / Mahershala Ali / Jonathan Bailey
Synopsis : Cinq ans après les événements de Jurassic World Dominion, l'écologie de la planète s'est révélée largement inhospitalière pour les dinosaures. Ceux qui restent vivent dans des environnements équatoriaux isolés dont le climat ressemble à celui dans lequel ils prospéraient autrefois. Les trois créatures les plus colossales de cette biosphère tropicale détiennent la clé d'un médicament qui sauvera miraculeusement la vie de l'humanité.
Une famille emménage dans une nouvelle maison, où une mystérieuse présence hante les lieux.
Franceinfo Culture 4/5
Dans ce huis clos – on ne sortira jamais de la maison – Steven Soderbergh fait peu à peu monter la tension jusqu'à l'épouvante, avec un scénario plein de surprises servi par une réalisation inventive.
Le Parisien 4/5
(...) une intrigue au départ obscure, mais qui prend ensuite une tournure insoupçonnée, devient subitement raccord avec l’actualité, avant de finir sur une conclusion aussi brutale que logique.
Les Inrockuptibles 4/5
Deux personnages discutent dans une pièce. Qui est ce troisième terme, également “présent”, et qui nous permet miraculeusement de les regarder ? Le processus d’enregistrement a-t-il un pouls ?
Libération 4/5
La question même de la mise en scène de cinéma en général, la tension au cœur du médium, devient le sujet d’un film, sous la forme de l’épouvante.
Télérama 4/5
Une prouesse de cinéma et un film captivant.
Le Monde 3/5
La caméra spectrale ne renouvelle pas grand-chose, mais applique un vernis moderniste sur une histoire bien essorée. La peur en est absente, car décentrée, et Soderbergh contraint d’appuyer sur les effets sonores comme sur les coupes arbitraires, pour instiller un peu d’incertitude. Une maison hantée a plus besoin d’ombre et de brume que de ce regard clinique et fouineur pour lequel rien ne demeure caché.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Une famille emménage dans une maison hantée... Filmé intégralement du point de vue de la “présence”, le nouveau Soderbergh peine à orchestrer le mariage de la carpe et du lapin : un scénario très (trop ?) classique et un dispositif (relativement) expérimental.
Première 3/5
La vive tension découle également du scénario de David Koepp (auteur de L’Impasse, Snake Eyes ou Panic Room), qui multiplie les pistes thématiques et déploie un malicieux labyrinthe d’insécurités contemporaines. Au-delà du coup de maître esthétique, Presence tend au final un éprouvant et fascinant miroir à l’Amérique de 2025.
Rolling Stone 3/5
C’est de Steven Soderbergh dont il est question ici, passé maître dans l’art de se jouer de la forme et du fond. Usant (abusant ?) du grand-angle, sa caméra-présence peut dès lors se muer en témoin privilégié des fêlures et craquelures au sein de cette famille comme de ceux qui vont s’y frotter, quand elle ne va pas les creuser ou les provoquer. Angoissant, mais pas forcément au sens où on l’entend…
Cahiers du Cinéma 2/5
À l’opposé de toute inquiétude métaphysique, la caméra fantôme n’est qu’un prétexte pour déployer un regard omniscient, bien plus satirique que fantastique, qui sonde les rapports de force au sein de la famille.
Dernières Nouvelles d'Alsace 2/5
Un huis clos où la maison elle-même semble respirer, témoin muet de la désagrégation des liens familiaux.
L'Obs 2/5
Huis clos conceptuel, donc, écrit par le scénariste David Koepp (« Panic Room »), dont on se demande ce que Soderbergh cherche à faire. Une satire familiale ? Amusante. Un thriller surnaturel ? Raté. Un drame de la soumission chimique ? Un peu court.
Le Point 1/5
Presence est un drame familial original et distingué avec une pointe de surnaturel, mais il n'est à aucun moment la proposition de renouvellement du genre épouvante que laissait envisager (sciemment) sa bande-annonce. De là à parler d'escroquerie…
Le Figaro 1/5
La grande idée de Soderbergh est de tout filmer en caméra subjective, à travers le regard de la « présence », entité invisible et inodore nichée dans tous les recoins de la maison ou dans les placards, à la fois menaçante et protectrice. (...) Le dispositif lasse rapidement.
Synopsis : Stefani, 18 ans, fait d’affreux cauchemars. Dans ceux-ci, elle voit sa grand-mère échapper à la mort dans un accident qui aurait dû la tuer il y a 50 ans. Son ancêtre a réussi alors à esquiver le décès jusqu’à l’âge de 80 ans ou elle meurt de façon naturelle. À cause de ce miracle, toute sa descendance doit quelque chose à la mort.
(C'est le sixième volet de la franchise Destination finale.)