Synopsis : Les criminels animaliers s'efforcent de se faire à leur nouvelle vie de gentils. Bientôt, ils sont tirés de leur retraite et forcés de faire "un dernier travail" par une équipe entièrement féminine.
Hantée par un cauchemar terrifiant qui revient sans cesse, Stefanie, étudiante à l’université, rentre chez elle pour retrouver la trace de la seule personne susceptible d’enrayer ce cycle infernal et de sauver ses proches du sort funeste qui les attend…
20 Minutes 4/5
La Mort (et les scénaristes) ne manquent ni d’imagination, ni d’idées sadiques.
L'Ecran Fantastique 4/5
"Destination finale : Bloodlines" se révèle donc un des meilleurs films de la série, réussissant à injecter une dose d'humour noir bienvenue, qui n'affaiblit jamais la tension dramatique mais renforce au contraire l'empathie envers les personnages.
Le Parisien 4/5
Après quinze ans d’absence, la saga cinématographique d’horreur la plus mortelle revient avec un nouvel épisode toujours aussi plaisant. De quoi se remémorer quelques-uns des plus beaux trépas présentés lors des cinq volets précédents.
Mad Movies 4/5
Sans atteindre le niveau des "Destination finale" de James Wong, ce "Bloodlines" est donc tout à fait recommandable et remplit parfaitement son rôle de divertissement gentiment gore et bien troussé.
Ouest France 4/5
L’humour noir, autre signature de la saga, irrigue le film avec une jubilation communicative. Bref, Bloodlines s’impose comme une réussite : tendu, inventif et respectueux de l’ADN série B qui a fait le succès de la franchise. La preuve éclatante qu’on peut faire du cinéma de genre sans prétention, mais avec passion et savoir-faire.
Ecran Large 3/5
Une série B dans la moyenne haute des épisodes de la saga, c’est à dire complètement anachronique et délicieusement stupide.
Les Fiches du Cinéma 3/5
La franchise à succès des années 2000, confiée au duo Zach Lipovsky - Adam B. Stein, joue la carte de la nostalgie sans laisser de côté les néophytes. Un thriller horrifique divertissant, dans la lignée des épisodes précédents.
Première 3/5
En jouant finement entre tension, effroi premier degré et humour noir, Bloodlines s’impose comme la belle réussite horreur de ce début 2025.
Télérama 3/5
Pas de réflexions sur la condition humaine ni de véritables frissons : tout est dans l’absurdité des effusions de sang, souvent pour notre plus grand plaisir.
La Voix du Nord 2/5
Bref… Nous, on préfère l’horreur quand elle nous prend aux tripes, sans se contenter de les éparpiller. Destination Finale : Bloodlines se range dans la catégorie des plaisirs funky et coupables pour soirées frissons, généralement entre ados. Attention, interdit aux moins de 12 ans quand même.
Nice-Matin 2/5
En expliquant aux personnages qu’ils peuvent gagner du temps de vie en tuant quelqu’un d’autre, mais en n’osant pas explorer cette voie, pourtant propice à développer des dilemmes moraux, « Bloodlines » rate son coup et se contente d’être un énième slasher, pas honteux, mais qui ne cherche nullement à se distinguer de la masse, assumant le fait d’être un shot qui sera oublié par le public à l’issue de la projection.
Réalisé par Francis Lawrence : Je suis une légende / la licence Hunger Games
D'après le roman de Stephen King paru sous le nom de plume de Richard Bachman en 1979.
Réalisé et écrit par Zach Cregger : Barbare
(C'est le réalisateur du prochain Resident Evil)
synopsis : Lorsque tous les enfants d’une même classe, à l’exception d’un, disparaissent mystérieusement la
même nuit, à la même heure, la ville entière cherche à découvrir qui — ou quoi — est à l’origine de
ce phénomène inexpliqué.
Synopsis : Lorsque cinq amis causent involontairement un accident de voiture mortel, ils décident de dissimuler leur implication et concluent un pacte pour garder le secret plutôt que de faire face aux conséquences de ce terrible évènement. Un an plus tard, leur passé revient les hanter et ils sont confrontés à une terrible vérité : quelqu'un sait ce qu'ils ont fait l'été dernier... et est déterminé à se venger. Traqués un à un par un mystérieux tueur, ils découvrent que cela s'est déjà produit auparavant et se tournent vers deux survivants du terrible Massacre de Southport de 1997 dans l’espoir d’obtenir leur aide.
Réalisé et écrit par Zach Cregger : Barbare
(C'est le réalisateur du prochain Resident Evil)
synopsis : Lorsque tous les enfants d’une même classe, à l’exception d’un, disparaissent mystérieusement la
même nuit, à la même heure, la ville entière cherche à découvrir qui — ou quoi — est à l’origine de
ce phénomène inexpliqué.
Alors qu’ils cherchent à s’affranchir d’un lourd passé, deux frères jumeaux reviennent dans leur ville natale pour repartir à zéro. Mais ils comprennent qu’une puissance maléfique bien plus redoutable guette leur retour avec impatience…
Dernières Nouvelles d'Alsace 5/5
Sinners n’est peut-être pas un film de vampires, au fond ; mais un grandiose film de fantômes, hanté par les spectres des hommes et des âmes noires du sud de l’Amérique.
Le Dauphiné Libéré 5/5
Un grand film viscéral, surnaturel, hallucinant, tenant de l’horreur monstre à la John Carpenter et de la subversion du genre, façon Jordan Peele.
20 Minutes 4/5
Ce film brillant parle de blues, de racisme, d’amour et de fraternité avec un sens de la mise en scène qui laisse bouche bée.
Ecran Large 4/5
Un blockbuster un poil trop théorique pour son propre bien, mais qui comporte des moments de cinéma tels qu’Hollywood a cessé d’en produire depuis belle lurette désormais.
Franceinfo Culture 4/5
La prouesse de Coogler est aussi technique, car le film a été tourné dans tous les formats disponibles aujourd'hui dans les cinémas. Les cinéphiles apprécieront tout comme ils se délecteront d'un film subtil signé par un auteur habité.
Le Figaro 4/5
Ryan Coogler ose un croisement habile entre La Couleur pourpre, de Steven Spielberg, et Une nuit en enfer, de Robert Rodriguez.
Le Parisien 4/5
Les effets spéciaux se révèlent impeccables, et l’intrigue abonde en scènes où les jumeaux interagissent dans le même plan en se parlant ou carrément s’affrontant.
Les Fiches du Cinéma 4/5
À la croisée des genres, Sinners est autant une lettre d’amour à la culture afro-américaine qu’une ode à la communauté - au sens large. Avec ce nouvel essai audacieux et maîtrisé, Ryan Coogler démontre qu’il est bien plus qu’un artisan : il est aussi un auteur.
Nice-Matin 4/5
Drôle et sanglant, le film a cette capacité à n’être jamais gratuit et à être éminemment politique dans son discours contre le racisme et l’oppression des peuples, avec des personnages en quête de liberté.
Sud Ouest 4/5
Dans la forme et le fond, le résultat pourrait se définir comme une rencontre entre Jordan Peele (« Get Out ») pour le versant engagé, avec ici un rappel des horreurs commises par le Ku Klux Klan. À cela s’ajoutent de délicieuses références à John Carpenter (« Vampires », mais pas seulement), Sam Peckinpah et même aux « Incorruptibles » de Brian De Palma, lorsque l’ensemble lorgne du côté film de gangsters.
L'Obs 3/5
Sur l’émancipation des minorités dans un pays fondé par l’immigration où le racisme a d’autant moins de raison d’être, la parabole vampirique se révèle plus pertinente qu’elle n’en a l’air.
Le Monde 3/5
Il faut dire combien « la musique du diable » entretient ici une relation étroite avec le macabre et le surnaturel. A voir.
Télérama 3/5
Une audacieuse ode à la culture afro-américaine.
Le Point 2/5
Tout cela pourrait prêter à sourire si Sinners n'était pas un remix honteux et médiocre d'Une nuit en enfer de Robert Rodriguez (1996) avec George Clooney et Quentin Tarantino, qui avait également écrit le script.
Libération 2/5
Mélangeant sans sourciller action et horreur, blues et basses électroniques dans le Mississippi des années 1920, le film mutant de Ryan Coogler ressemble à un exercice de style daté.
Première 2/5
Malgré l’aura de Michael B. Jordan et quelques belles idées de cinéma, le trip historique et fantastique du réalisateur de Black Panther souffre de son propos confus.
Synopsis : Ce nouveau chapitre, situé 183 ans avant la trilogie du SEIGNEUR DES ANNEAUX, explore l'histoire de la Maison de Helm Poing-de-Marteau, roi de Rohan. Face à l'attaque soudaine de Wulf, un seigneur vengeur et cruel, Helm et son peuple se barricadent dans la forteresse de Hornburg, rebaptisée Gouffre de Helm. Dans cette lutte désespérée, Héra, la fille de Helm, doit rassembler le courage nécessaire pour diriger la résistance contre un ennemi déterminé à détruire son peuple.
Réalisé par Kenji Kamiyama : Hirune Hime, Rêves éveillés