L’un des plus grands duos comiques de l’Histoire, Daffy Duck et Porky Pig, fait son grand retour au cinéma dans une nouvelle comédie déjantée. Enchaînant les gags et les catastrophes dont seuls les Toons sont capables, Daffy Duck, Porky Pig et une nouvelle venue prénommée Petunia Pig vont tenter de sauver le monde d’une terrible menace.
Le Monde 4/5
Enjoué et drôle.
Le Parisien 4/5
Bourré de gags visuels et de jeux de mots rigolos sur les cochons qu’on charcute et les canards qui se font « coin-coin »-cer, ce film amuse et son intrigue ne cesse de rebondir.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Revoilà le canard le plus gaffeur de toute l’Histoire du dessin animé : Daffy Duck, flanqué de son acolyte Porky Pig, est la star de ce récit animé très familial, surprenant souvent, qui projette les Looney Tunes dans le XXIe siècle sans trahir leur essence.
Mad Movies 4/5
Si le rythme ne convainc pas totalement sur une heure trente, difficile de rester insensible à la cinéphilie déployée par "The Day the Earth Blew Up" (génial titre original cachant un hommage scénaristique central au classique de Robert Wise) : Browngardt cite ainsi ouvertement "Mars Attacks!" ou les diverses itérations du "Blob" et de "L'Invasion des profanateurs de sépultures".
Télérama 4/5
Jouant avec la nostalgie, servie par une animation toute en lignes de fuite, perspective démesurée et angles bizarroïdes, cette nouvelle aventure se déguste à tout âge.
L'Ecran Fantastique 3/5
Certes, "Looney Tunes: Daffy et Porky" sauvent le monde est un immense bazar à grande vitesse qui nécessite de débrancher son cerveau. À voir si c'est là un défaut ou sa plus grande qualité.
L'Obs 3/5
Avec sa quinzaine de scénaristes, le film manque peut-être de personnalité, pas de savoir-faire ni de folie : cela part dans tous les sens, sans message ou arrière-pensée, dans une esthétique et une ambiance très années 1950 qui rappellent l’excellent « Géant de fer », le génie de Brad Bird en moins.
Première 3/5
Bourré de gags tordants où le quatrième mur est mis en pièces, ce film d’animation en 2D - incroyablement sophistiquée - transpire l’amour immodéré pour la franchise. Et si le film n’évite pas tout à fait l’épuisement psychologique, il prouve joyeusement l’intemporalité de ces personnages.