Fraichement diplômée, Riley est désormais une adolescente, ce qui n’est pas sans déclencher un chamboulement majeur au sein du quartier général qui doit faire face à quelque chose d’inattendu : l’arrivée de nouvelles émotions ! Joie, Tristesse, Colère, Peur et Dégoût - qui ont longtemps fonctionné avec succès - ne savent pas trop comment réagir lorsqu’Anxiété débarque. Et il semble qu'elle ne soit pas la seule...
20 Minutes 4/5
L’univers créé par les magiciens de Pixar est d’une telle richesse qu’on pourrait revoir Vice-Versa 2 plusieurs fois sans en épuiser les découvertes.
La Croix 4/5
Le film étonne également par sa volonté de creuser la question des croyances, ces idées nées de l’expérience vécue qui forgent l’identité à un âge déterminant.
Le Figaro 4/5
Un film sur la puberté, intelligent et sensible.
Le Journal du Geek 4/5
Beau, amusant, attendrissant mais aussi frappant de réalisme : le petit dernier du studio Pixar est une réussite en tous points. La Walt Disney Company laisse les difficultés derrière elle et se relève de plus belle. Dans Vice Versa 2, toutes les émotions ont leur place. Mais une fois encore, Pixar nous laisse sortir de la salle le sourire aux lèvres et une larme sur la joue.
Le Parisien 4/5
Si Vice-versa 2 est si réussi, c’est en parvenant à renouveler l’exploit du film original : placer le spectateur en situation d’identification, qui va se reconnaître, ou faire la comparaison avec des proches, dans cette bataille d’émotions contrariées qui habitent la jeune fille. Épatant !
Le Point 4/5
Au-delà des séquences d'animation virtuoses et de cette plongée à l'intérieur des émotions qui s'apparente à un jeu pointe la philosophie de la pensée positive, un message tout simple pour un film d'animation empreint de poésie et de fantaisie.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Une suite brillante, qui encore une fois nous cueille dans un final époustouflant.
Les Inrockuptibles 4/5
Le génie du film est, à l’instar de son premier volet, de nous donner l’impression de se dérouler dans notre tête, et de nous inciter à prendre conscience de nos opérations mentales à l’aide de son propre système allégorique.
Libération 4/5
Déroulé, comme le premier volet, au gré d’une quête dont l’objet sera d’aboutir à une concorde d’émotions contradictoires, le récit est moins poignant, mais presque aussi ingénieux.
Ouest France 4/5
Si Vice Versa 2 ne révolutionne pas le genre, il constitue un bon divertissement familial qui permettra peut-être à quelques parents de mieux comprendre ce qui se passe dans la tête de leurs ados.
Télérama 4/5
Difficile de ne pas verser une larme face à ce beau récit d’apprentissage : le studio n’a rien perdu de sa maestria pour créer des œuvres universelles.
L'Obs 3/5
Très juste sur le fond, trop sage sur la forme, Vice-Versa 2 transforme un prototype génial en tout-venant efficace.
La Voix du Nord 3/5
Comme élément symptomatique de la puberté, on a connu mieux, ne serait-ce que dans Alerte rouge (2022), issu des mêmes studios. Heureusement, on a évacué Rancune de notre cerveau !
Le Monde 3/5
Une créativité tous azimuts qui dissimule pourtant mal un problème de fond qui, peu à peu, nous envahit : si la virtuosité est toujours au rendez-vous, le vertige émotionnel se fait attendre. La préado s’avère sans aspérités, générique, sans désir autre que social, évoluant dans un safe space exclusivement féminin et multiculturel, subtilement puritain.
Première 3/5
Alors que Disney dévisse en salles et a loupé le come-back post-covid, Vice-Versa 2 s’envisage plus sereinement en tant que suite absolument roublarde (Giacchino n’est même plus à la BO), faite pour remplir les salles et ce n’est pas si grave, à condition de ne pas trop regarder dans la chambre forte à souvenirs refoulés.
Sud Ouest 3/5
(...) Une impression de déjà-vu, y compris au niveau technique. C’est beau, très propre, mais on ne sent jamais l’envie des créateurs de franchir un nouveau "gap" en matière d’animation.
Synopsis : À l’aube d’une nouvelle tournée mondiale, la star de la pop Skye Riley se met à vivre des événements aussi terrifiants qu’inexplicables. Submergée par la pression de la célébrité et devant un quotidien qui bascule de plus en plus dans l’horreur, Skye est forcée de se confronter à son passé obscur pour tenter de reprendre le contrôle de sa vie avant qu’il ne soit trop tard.
Synopsis : La trop confiante Fujino et la renfermée Kyomoto ne pourraient pas être plus différentes. Leur passion pour le dessin de manga est la seule chose qui lie ces deux filles que tout oppose. Cependant, un jour, quelque chose survient et fait tout éclater. Une histoire déchirante et marquante sur le fait de grandir.
Synopsis : Creation of the Gods est l'adaptation d'une des plus grandes légendes chinoises. Le Prince Yin Shou tente de monter sur le trône du royaume des Shang dans le sang avec l’aide de sa maîtresse Su Daji elle-même sous l'emprise du Démon Renard. Le sage taoïste Jiang Ziya descendu du Mont sacré Kunlun et Ji Fa, jeune guerrier élevé par Yin Shou, s’allient pour combattre le tyran.
Selon une légende urbaine, trouver et traverser le mystérieux tunnel d’Urashima offre à celui qui ose s’y aventurer ce qu’il désire de plus cher mais à un prix qui rend l’expérience périlleuse : quelques secondes en son sein se transforment en plusieurs heures dans la vraie vie ! Kaoru, un jeune lycéen, qui a du mal à se remettre de la disparition de sa petite sœur va faire équipe avec Anzu, une jeune fille énigmatique qui lui propose son aide pour tenter l’aventure. Mais qu’attend-elle de lui en échange ? Et que lui restera-t-il, une fois qu'il aura traversé le tunnel ?
L'Ecran Fantastique 5/5
Tomohisa Taguchi, dont c’est la première adaptation d’un roman illustré, signe avec Tunnel to Summer un grand film romantique.
Franceinfo Culture 4/5
Tunnel to Summer est un bijou minimaliste. L’art graphique japonais n’est qu’épure. Le trait, comme en calligraphie, en est l’âme. Avec ses rails, ses bois de traverses, son trou noir dans lequel s’enfoncent les personnages, se joue la vie de deux adolescents.
IGNFrance 4/5
Pour un premier film d'amour, Taguchi parle d'adolescence avec un regard bienveillant, ses personnages sont touchants, loin des clichés qu'on peut s'en faire et il est possible que ce soit une expérience qu'il veuille réitérer un jour prochain. On ne dira pas non !
L'Humanité 5/5
Un anime romantique sur la relation à rebondissements de deux lycéens qui découvrent un tunnel permettant de réaliser un rêve apparemment impossible. Aussi classique qu’émouvant.
Le Parisien 4/5
Si la réussite du film est totale, c’est parce que son réalisateur en met plein les yeux sur le plan graphique. Privilégiant un déluge de couleurs et des contrastes appuyés dans le tunnel surnaturel, il ose le pastel et les camaïeux de gris dans le monde réel, se risquant, lors des gros plans sur les personnages, à des cadrages impossibles. Magique…
Les Echos 4/5
Deux adolescents, la naissance du sentiment amoureux et un tunnel merveilleux. Un film d'animation japonais sensuel et élégant.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Ce film d’animation de facture classique, primé à Annecy, brille par ses héros et son univers mélancoliques brillamment dessinés.
Ouest France 4/5
Un passionnant voyage dans l'espace-temps.
L'Obs 3/5
Une fable mélancolique et fantastique, au scénario inventif et à la mise en scène onirique.
Mad Movies 3/5
La dimension "tranche de vie" de l'animé est subtile et demeure en fait le grand point fort du film - on pense par moment aux premiers travaux de Makoto Shinkai. On regrette toutefois que la composante fantastique du film ne trouve pas un ancrage visuel plus fort.
Première 3/5
Poétique, sensible, mais jamais larmoyant, Tunnel to summer parle avec la même superbe des cœurs qui s’emballent pour la première fois que de deuil et de la difficulté à se séparer de l’être cher.
Télérama 3/5
Fable tendre et délicate sur le deuil, les amours adolescentes et la difficulté de grandir, ce joli dessin animé bénéficie d’une esthétique lumineuse, classique, mais soignée, et de deux attachants personnages principaux.
Libération 2/5
Deux ados tristes découvrent une caverne magique dans un film d’animation japonais lacrymal qui n’ose rien.
Par le réalisateur de : Evil Dead (2013) / Don't Breathe
Date : 14 Aout 2024
Synopsis : Dans cette neuvième aventure, un groupe de jeunes gens vivant dans un monde lointain se retrouvera confronté à la forme de vie la plus terrifiante de l'univers.
"C'est relou..." est la sempiternelle rengaine de Seishirô Nagi, élève de première qui se complait dans la mollesse. Sa vie connaît un tournant radical quand il fait la rencontre de Reo Mikage. Beau, intelligent, sportif et héritier d'une imposante entreprise, Reo a tout pour lui, mais n'a qu'une seule envie : devenir champion du monde de football. Pour y parvenir, il décide d'embrigader le paresseux Nagi dans son club de football après avoir été témoin des dons naturels de ce dernier, capable des prouesses techniques les plus incroyables... sans effort. Dotés de capacités exceptionnelles, le duo ne va pas tarder à se faire remarquer. Notamment par un programme très spécial destiné aux meilleurs attaquants... le Blue Lock !