Le Robot Sauvage suit l’incroyable épopée d'un robot – l'unité ROZZUM 7134 alias “Roz” – qui après avoir fait naufrage sur une île déserte doit apprendre à s'adapter à un environnement hostile en nouant petit à petit des relations avec les animaux de l'île. Elle finit par adopter le petit d’une oie, un oison, qui se retrouve orphelin.
Ouest France 5/5
Un bijou de film d'animation.
Dernières Nouvelles d'Alsace 4/5
Le Robot sauvage conjugue technologie et nature dans un film d’animation d’une grande beauté.
IGN France 4/5
Habité par son excellente technique et une mise en scène mature, Le Robot Sauvage demeure ravissant d'un bout à l'autre.
L'Humanité 4/5
Chris Sanders et les studios DreamWorks magnifient cette famille recomposée dans un film d’animation touchant et visuellement épatant.
La Voix du Nord 4/5
Encore un coup de maître pour les studios Dreamworks (Shrek, Dragons) qui propose une fable écolo n’éludant ni les cycles de vie, ni les lois de la vie sauvage, parfois rudes. Animation splendide qui fait la part belle à un burlesque digne d’un cartoon.
Le Figaro 4/5
Une splendide fable écologique qui ravira petits et grands.
Le Parisien 4/5
Prodigieux graphiquement, mené à 100 à l’heure et cumulant d’incessants rebondissements, pourvu d’un humour désopilant, « Le Robot sauvage », qui pourra charmer de 7 à 97 ans, se distingue par la générosité de son propos et la grande originalité de son scénario.
Le Point 4/5
La plupart des blagues reposent sur l'omniprésence de la mort dans cet environnement hostile, pas banal dans un film pour enfants ! Les parents s'y retrouvent aussi avec un émouvant discours sur la filiation et la transmission. Superbe.
Les Echos 4/5
Le réalisateur Chris Sanders adapte un livre pour la jeunesse dans un film d'animation aux paysages merveilleux et qui invite à la réflexion.
Le Monde 3/5
La belle idée du réalisateur Chris Sanders (L’Appel de la forêt, Dragons) consiste à créer de l’émotion à partir de la batterie, figurée par des traits lumineux qui semblent couler comme le sang dans les veines. De ce motif récurrent procède un récit d’urgence – l’épuisement de la charge – où l’indépendance sensible de Roz s’avère être un moyen de survie.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Le coréalisateur de Lilo & Stitch signe une nouvelle réflexion autour du concept de famille. Visuellement captivant, Le Robot sauvage perd en émotion en raison d’un déroulement assez attendu.
Première 3/5
A travers sa galerie de personnages aussi drôles qu’attachants, comme ce renard taquin, ou encore ces malicieux opossums, le très poétique Le Robot Sauvage émeut sans pour autant tomber dans le pathos.
Cahiers du Cinéma 2/5
Il aurait été original de tenir jusqu’au bout la promesse d’une rencontre entre ces deux autres de l’Homme, en s’attachant à faire éprouver durablement, loin de la mièvrerie, leur irréductible étrangeté.[/g]
Très tiraillé à l'idée d'aller voir ce film ou non. J'ai l'impression d'avoir déjà vu des histoires comme celle ci des milliers de fois, et pour la DA, c'est une digestion de multiples références qui sont bien trop visibles à mon goût (Chateau dans le ciel, Wall-e, Le Géant de fer, ...)
Et pourtant visiblement il a été fait avec le coeur par une équipe de passionné.
Le robot me fait penser au Chateau dans le ciel
me suis fait la remarque pour Gladiator 2 le prochain film de Ridley Scott, le trailer montre tout, j’ai stop à 20%..
Jamais compris pourquoi ils font ca
tokito en meme temps chateau dans le ciel il a influencé tellement d’oeuvres ^^, je vois bien en tout cas je suis d’accord
Et pourtant visiblement il a été fait avec le coeur par une équipe de passionné.