Un chat se réveille dans un univers envahi par l’eau où toute vie humaine semble avoir disparu. Il trouve refuge sur un bateau avec un groupe d’autres animaux. Mais s’entendre avec eux s’avère un défi encore plus grand que de surmonter sa peur de l'eau ! Tous devront désormais apprendre à surmonter leurs différences et à s’adapter au nouveau monde qui s’impose à eux.
Le Dauphiné Libéré 5/5
Une odyssée hypnotique et envoûtante, enchanteresse et mystérieuse.
Le Parisien 5/5
Un film choc sans personnages humains et sans dialogues : du jamais-vu.
Les Echos 5/5
Le cinéaste letton signe un film d'animation virtuose et, à travers des bêtes, un portrait de notre humanité.
Marianne 5/5
Un film d’animation sublime.
Ouest France 5/5
Un film d'animation sans dialogue, d'une puissance visuelle inouïe.
Télérama 5/5
Un choc esthétique et une ode hypnotique à la nature.
Cahiers du Cinéma 4/5
Au-delà du défi technique et de la pirouette économique, Flow, paradoxalement élaboré avec une véritable équipe artistique, hérite ainsi d’un monde dont les humains semblent avoir disparu.
L'Obs 4/5
Une fresque majestueuse et épique.
Le Figaro 4/5
Onirique, imaginatif, toujours en mouvement, voici un film d’animation d’un nouveau genre. Flow s’apparente en effet à une expérience sensorielle inédite. Comment ne pas s’émerveiller devant le second film d’animation du jeune Letton Gints Zilbalodis (Ailleurs) ?
Les Echos 4/5
Le réalisateur Chris Sanders adapte un livre pour la jeunesse dans un film d'animation aux paysages merveilleux et qui invite à la réflexion.
Le Monde 4/5
Le film crée sa magie à partir de l’observation et de la reproduction minutieuses des comportements de chacune des espèces. Comme si l’usage du dessin et de la 3D, à la pointe du réalisme, apportait une nouvelle acuité à notre regard.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Le coréalisateur de Lilo & Stitch signe une nouvelle réflexion autour du concept de famille. Visuellement captivant, Le Robot sauvage perd en émotion en raison d’un déroulement assez attendu.
Le Point 4/5
Le résultat est une épopée bluffante qui méritait amplement sa sélection au dernier Festival de Cannes, dans la sélection Un certain regard.
Libération 4/5
Si l’animation en 3D est stupéfiante de réalisme en ce qui concerne les animaux et nous plonge dans un univers visuel fabuleux (des ruines émergeant des eaux, des colonnes de pierres vertigineuses, une forêt qui revit), le trait narratif est elliptique et convoque une ambiance planante, calquée sur un rythme et une logique de vie qui nous est totalement étrangère.
Mad Movies 4/5
Un exercice sensoriel digne de ses grandes ambitions, qui culmine avec un dernier acte cathartique plaçant les animaux, par l'entremise d'un miroir d'eau, face à leur propre conscience.
Première 4/5
Constamment immersif, le film joue de notre biais anthropomorphique sans jamais se départir d’un regard à hauteur de chat. Une fable, une grande, émouvante et sincère, sur le pouvoir du collectif. Et certainement un peu sur l’inutilité de notre espèce, voire sa responsabilité dans l’effondrement du monde. Le règne animal commence ici.
Les Inrockuptibles 3/5
(...) c’est un peu de lui-même qu’épie le jeune cinéaste letton connu pour sa solitude créatrice précoce et abondante. L’intime mise en abyme du film permet de rendre l’expérience de la marge et de la solitude, bientôt rompue, tangible et donc partageable.
Le Robot Sauvage suit l’incroyable épopée d'un robot – l'unité ROZZUM 7134 alias “Roz” – qui après avoir fait naufrage sur une île déserte doit apprendre à s'adapter à un environnement hostile en nouant petit à petit des relations avec les animaux de l'île. Elle finit par adopter le petit d’une oie, un oison, qui se retrouve orphelin.
Ouest France 5/5
Un bijou de film d'animation.
Dernières Nouvelles d'Alsace 4/5
Le Robot sauvage conjugue technologie et nature dans un film d’animation d’une grande beauté.
IGN France 4/5
Habité par son excellente technique et une mise en scène mature, Le Robot Sauvage demeure ravissant d'un bout à l'autre.
L'Humanité 4/5
Chris Sanders et les studios DreamWorks magnifient cette famille recomposée dans un film d’animation touchant et visuellement épatant.
La Voix du Nord 4/5
Encore un coup de maître pour les studios Dreamworks (Shrek, Dragons) qui propose une fable écolo n’éludant ni les cycles de vie, ni les lois de la vie sauvage, parfois rudes. Animation splendide qui fait la part belle à un burlesque digne d’un cartoon.
Le Figaro 4/5
Une splendide fable écologique qui ravira petits et grands.
Le Parisien 4/5
Prodigieux graphiquement, mené à 100 à l’heure et cumulant d’incessants rebondissements, pourvu d’un humour désopilant, « Le Robot sauvage », qui pourra charmer de 7 à 97 ans, se distingue par la générosité de son propos et la grande originalité de son scénario.
Le Point 4/5
La plupart des blagues reposent sur l'omniprésence de la mort dans cet environnement hostile, pas banal dans un film pour enfants ! Les parents s'y retrouvent aussi avec un émouvant discours sur la filiation et la transmission. Superbe.
Les Echos 4/5
Le réalisateur Chris Sanders adapte un livre pour la jeunesse dans un film d'animation aux paysages merveilleux et qui invite à la réflexion.
Le Monde 3/5
La belle idée du réalisateur Chris Sanders (L’Appel de la forêt, Dragons) consiste à créer de l’émotion à partir de la batterie, figurée par des traits lumineux qui semblent couler comme le sang dans les veines. De ce motif récurrent procède un récit d’urgence – l’épuisement de la charge – où l’indépendance sensible de Roz s’avère être un moyen de survie.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Le coréalisateur de Lilo & Stitch signe une nouvelle réflexion autour du concept de famille. Visuellement captivant, Le Robot sauvage perd en émotion en raison d’un déroulement assez attendu.
Première 3/5
A travers sa galerie de personnages aussi drôles qu’attachants, comme ce renard taquin, ou encore ces malicieux opossums, le très poétique Le Robot Sauvage émeut sans pour autant tomber dans le pathos.
Cahiers du Cinéma 2/5
Il aurait été original de tenir jusqu’au bout la promesse d’une rencontre entre ces deux autres de l’Homme, en s’attachant à faire éprouver durablement, loin de la mièvrerie, leur irréductible étrangeté.[/g]
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A quelques jours de son procès pour les crimes commis sous les traits du Joker, Arthur Fleck rencontre le grand amour et se trouve entraîné dans une folie à deux.
Dernières Nouvelles d'Alsace 5/5
Lady Gaga et Joaquin Phoenix, deux archanges dans l’univers de DC et dans une subversion de la figure du vilain en amoureux rayonnant, dans la comédie musicale la plus dingue de l’année.
Le Dauphiné Libéré 5/5
Joaquin Phoenix est sublime, presque irréel, corps décharné, squelettique, ne laissant que l’essence brute de lui-même.
Le Parisien 5/5
À l’arrivée, c’est beau, grand, musical, sombre, violent, émouvant et romantique à la fois : du grand art.
20 Minutes 4/5
Le duo formé par Lady Gaga et Joaquin Phoenix fait des étincelles.
Cahiers du Cinéma 4/5
Le lecteur aura compris que ce très étrange film a les défauts de ses qualités : déstructuré et sans ancrage, ne trouvant jamais tout à fait son souffle ni son élan, tantôt horripilant tantôt fascinant, ce collage surchargé parvient à être aussi aberrant et dément que son personnage.
L'humanité 4/5
La force du film, comme sa faiblesse, réside finalement dans sa richesse, et dans la capacité du spectateur à y piocher ce qu’il souhaite, eu égard à sa propre moralité.
La Voix du Nord 4/5
Abouti… et déroutant.
Le Monde 4/5
Dans ce deuxième volet bien barré des aventures du sociopathe écorché vif, le réalisateur Todd Phillips orchestre la rencontre explosive et musicale entre deux suppôts de l’enfer.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Todd Phillips déconstruit son personnage - tout autant que son Joker - avec cette suite musicale et radicale, tout sauf superflue.
Ecran Large 3/5
Joker : Folie à deux a trois fois plus de moyens pour ne rien raconter de plus, mais avec un emballage chic et toc de comédie musicale. Résultat : un film qui semble constamment courir après son sujet, sans jamais le trouver.
Franceinfo Culture 3/5
Et le charme opère, même si la chanteuse s'est efforcée de ne pas être toujours très juste, pour être raccord avec son comparse. Mais les scènes de procès prennent beaucoup de place, trop sans doute, et elles s'enchaînent après une mise en place de l'intrigue déjà un peu longue.
L'Obs 3/5
Belle idée que de prendre le contre-pied du premier, hommage aux thrillers urbains des 1970’s et parabole post-Trump, à travers un huis clos carcéral et judiciaire, quasi introspectif, dont on ne s’échappe que par le biais de séquences chantées, reprises de standards jazz-pop des 1960’s, fantasmées par les deux tourtereaux. Hélas, la romance pénitentiaire redonde (2h19 !) et les apartés musicaux, qui circonscrivent l’aliénation de Fleck, manquent de folie.
La Croix 3/5
Du premier film, Todd Phillips semble prendre le contre-pied en dézinguant à tout va l’icône politique créée, malgré lui, par ceux qui voulaient lui donner du sens. Que les fans se consolent : il leur reste Joaquin Phoenix, qui à lui seul vaut le déplacement.
Les Inrockuptibles 3/5
Après le hit de 2019, Todd Phillips se détourne avec audace et intelligence des attentes pour livrer un film musical incandescent, mû par une volonté profonde de résister aux injonctions hollywoodiennes.
Télérama 3/5
Une suite rythmée, qui mêle mélo, récit de procès et comédie musicale.
Les Echos 2/5
Film de procès, comédie musicale, critique de la société du spectacle… Le film finit par s'enliser dans ses ambitions louables.
La Voix du Nord 1/5
Joker : folie à deux ne raconte pas grand-chose et son épilogue nous fait regretter que l’épisode 1, drame nihiliste qui captait quelque chose de l’air du temps, ne soit pas resté un one-shot, comme une claque cinglante nous laissant dans un état de sidération.
Le Figaro 1/5
On dirait la version carcérale et cafardeuse de La La land, les compositions de Justin Hurwitz et l'allant de Damien Chazelle en moins. Au passage, la vision de la maladie mentale est au-delà de la caricature.
Le Point 1/5
Malgré la présence de Lady Gaga, cette pénible suite musicale du nihiliste « Joker » nous fait davantage broyer du noir que voir la vie en rose.
Libération 1/5
A deux doigts du saccage, Joker : Folie à deux est un petit film malade qui en dit long sur le trouble qui ronge Hollywood et qui pousse à tirer sur la corde, encore et encore, même quand elle est attachée à une potence.
Ouest France 1/5
Un cas d'école de ratage à quasiment tous les étages.
Première 1/5
Cette suite de Joker, sous forme de musical dépressif, est tellement morne et inefficace qu’elle ressemble presque à un sabordage en règle de la part de Todd Phillips et Joaquin Phoenix.
Réalisé par Clint Eastwood : Bird / Impitoyable / Un monde parfait / Jugé coupable / Space Cowboys / Mystic River / Million Dollar Baby / L'Echange / Mémoires de nos pères / Lettres d'Iwo Jima / Gran Torino / Invictus / La Mule.
Synopsis : Un père de famille ordinaire, qui se retrouve juré dans un procès
pour meurtre très médiatisé. Alors qu'il est confronté à un dilemme moral déchirant, Justin réalise qu'il détient le pouvoir d'influencer le verdict du jury, ce qui pourrait soit condamner, soit libérer l'accusé.
Réalisé par Robert Zemeckis : Retour vers le futur / Qui veut la peau de Roger Rabbit / Forrest Gump / Seul au monde.
Le scénariste Eric Roth de : Forrest Gump / L'Étrange Histoire de Benjamin Button
Synopsis : L’histoire de familles dont les peines, les joies et les moments de doutes se font écho à travers les générations.
Megalopolis est une épopée romaine dans une Amérique moderne imaginaire en pleine décadence. La ville de New Rome doit absolument changer, ce qui crée un conflit majeur entre César Catilina, artiste de génie ayant le pouvoir d’arrêter le temps, et le maire archi-conservateur Franklyn Cicero. Le premier rêve d’un avenir utopique idéal alors que le second reste très attaché à un statu quo régressif protecteur de la cupidité, des privilèges et des milices privées. La fille du maire et jet-setteuse Julia Cicero, amoureuse de César Catilina, est tiraillée entre les deux hommes et devra découvrir ce qui lui semble le meilleur pour l’avenir de l’humanité.
Dernières Nouvelles d'Alsace 5/5
Une fresque visionnaire, dans laquelle Coppola, cinéaste hors norme, tente une dernière fois de réinventer le monde à travers l’écran, avec l’ambition, quasi divine, de réordonner l’univers.
L'humanité 5/5
Un testament cinématographique et philosophique mais optimiste. Magistral.
Le Dauphiné Libéré 5/5
Un film grandiose, chaotique, d’une stupéfiante modernité.
Les Fiches du Cinéma 5/5
Expérimental, déceptif et sublime tout en même temps, "Megalopolis" entre dans la légende : non pas par la porte du chef-d’œuvre, mais par celle du manifeste. Le film laisse pantois et perplexe. Le geste, lui, est enthousiasmant de bout en bout.
Mad Movies 5/5
Plutôt que de sombrer dans un discours passéiste et réactionnaire, "Megalopolis" appelle au contraire à redonner son importance au geste créatif novateur, en particulier lorsque celui-ci soutient une vision utopique du monde.
Cahiers du Cinéma 4/5
Peut-être n’engendre-t-il [Megalopolis] qu’un gigantesque cahier d’esquisses, parfois feuilleté trop vite et qui contient sa part de croûtes, mais ce qu’il nous en reste est souvent immense et inédit.
Le Figaro 4/5
Conteur baroque d'un récit impur, marionnettiste ivre de sa puissance fictionnelle, Coppola s'emmêle parfois les fils. La marque d'un jeune réalisateur de 85 ans qui considère le cinématographe comme un vertige et non un vestige.
Le Monde 4/5
Le résultat est une fantasmagorie politique dont les références (de Suétone à Harold Lloyd, en passant par Shakespeare et Fellini) et les registres (uchronie-tragédie-comédie) fusent en un pétaradant feu d’artifice.
Le Point 4/5
Spectaculaire, enchanteur, musical, intimiste, drôle, émouvant, grandiloquent, visuellement toujours surprenant… Megalopolis est un geste de cinéma d'une audace dingue, en roue libre mais le plus souvent sur le bon chemin, celui d'une philanthropie réjouissante en ces temps démagogiques où les oiseaux de malheur tiennent le haut du pavé politique.
Les Inrockuptibles 4/5
C’est l’œuvre-monde de son créateur, un péplum rétrofuturiste pétri de citations cinéphiles, en gestation depuis quarante ans. Une chimère à la mesure de la liberté folle que le réalisateur s’est octroyée.
Libération 4/5
"Megalopolis", que tout annonçait comme pompeux, lévite insolemment, malgré la quantité de ses intrigues et de ses personnages, en dépit du poids écrasant de chacune de ses séquences, de chacun de ses plans, au-dessus du désastre qu’il aurait pu être, constamment bizarre, outré, trivial, étonnant, un peu Matrix, un peu King Vidor, foisonnant effectivement d’un siècle d’images et de langage de cinéma mondial, donnant effectivement à voir une masse critique d’images ahurissantes, à un débit qui dépasse l’entendement.
La Voix du Nord 3/5
Un récit boursouflé et confus mais étonnamment optimiste et parsemé de réelles fulgurances visuelles.
Les Echos 3/5
Attendu depuis des années, le nouveau Francis Ford Coppola est un monument incernable, désarçonnant, à la fois difforme et unique en son genre. A voir… pour pouvoir en parler.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
L'Obs 2/5
Opéra bouffi, néopéplum pseudo-philosophique, farce pontifiante : on pourrait résumer le ratage en formules lapidaires. On préférera se souvenir de ses quelques visions inspirées, du désir intact de l’immense metteur en scène d’« Apocalypse Now » d’expérimenter. De son indéfectible croyance en un art qu’il ne maîtrise plus tout à fait.
La Croix 2/5
Avec cette fable en forme de péplum sur la fin de l’empire américain et la possibilité d’une nouvelle utopie, le réalisateur du Parrain signe une œuvre démesurée et déconcertante.
Le Parisien 2/5
Très attendu, le nouveau film du maître Francis Ford Coppola, qui nous a tant habitués à des œuvres relevant du génie, tient davantage du gros gâteau de mauvais goût et lourd à digérer.
Sud Ouest 2/5
Une fresque hallucinante et confuse.
Télérama 2/5
De son projet plein de panache, le réalisateur tire une fable rétrofuturiste outrancière et étouffante.
Marianne 1/5
Démesure, histoire emberlificotée, dépourvu de sens, esthétique kitsch et pompière… Une résurrection très attendue et prometteuse sur le papier, mais décevante.
Ouest France 1/5
La charge contre l'époque s'égare dans un univers où le baroque côtoie le bouffon, où la tragédie grecque s'enlise parfois dans une démonstration outrancière.
Première 1/5
Le démiurge s’est donné pour mission de repousser les limites de la forme au cinéma, mais ses expérimentations visuelles et narratives ne parviennent jamais à masquer un propos d’une naïveté confondante, opposant l’imagination des artistes à la tiédeur d’hommes incapables de rêver assez grand pour sauver l’humanité. Un discours manichéen rabâché ad nauseam, qui entraîne le film vers sa propre chute.