Tokyo, début des années 1940. Tetsuko, que tout le monde appelle Totto-Chan, est une petite fille pleine de vie qui mène la vie dure à son institutrice, qui finit par la renvoyer. Ses parents décident de l’inscrire à Tomoe, une école pas comme les autres où de vieux wagons font office de salles de classe. Son directeur y met l'accent sur l'indépendance et la créativité des enfants. Tandis que la Japon s'enfonce dans la guerre, Totto-Chan va découvrir que les petites expériences de la vie sont plus importantes que les leçons.
L'Obs 4/5
Dans cette ode à l’indépendance et à l’espièglerie, la beauté faussement naturaliste du dessin évoque avec justesse la perte tragique de l’innocence. Superbe.
Le Parisien 4/5
Au final, ce mélange fait mouche et sert un bien joli récit pour les plus jeunes…
Le Point 4/5
Une merveille, à savourer à partir de 9 ans.
Les Echos 4/5
Un récit sensible sur la force de l'éducation positive dans un écrin classique mais terriblement efficace.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Un récit initiatique plein de tendresse, qui, sans éluder la violence, demeure résolument tourné vers l’espoir.
Libération 4/5
Audacieux film d’animation qui ose approcher le quotidien durant la Seconde Guerre mondiale en prenant le contrepied du Tombeau des lucioles.
Ouest France 4/5
Adapté d’un best-seller de la Japonaise Tetsuko Kuroyanagi, « Totto-Chan, la petite fille à la fenêtre », de Shinnosuke Yakuwa, est un plaidoyer pour la paix et la tolérance qui séduira petits et grands.
Première 4/5
Armé d’une animation canon (les mimiques de Totto, sans cesse en mouvement, sont irrésistibles), le film profite de ses envolées les plus lyriques pour vous confronter comme son héroïne à l’expérience du deuil avec une franchise désarmante.
Télérama 4/5
Ni comédie, ni mélo, mais un peu des deux à la fois, cette tendre ode à la différence reconstitue aussi avec minutie et sensibilité les difficultés du quotidien en temps de guerre.
Le Monde 3/5
Loin de négliger le caractère distrayant qu’assurent, de fait, les facéties de l’héroïne, le cinéaste construit avec finesse un récit initiatique au caractère doux-amer, bousculé par les soubresauts de l’histoire.