Réalisé par Barry Levinson : Le Secret de la pyramide / Good Morning, Vietnam / Rain Man / Des hommes d'influence / Bandits / The Bay
Scénario de Nicholas Pileggi : Les Affranchies / Casino
Synopsis : Vito Genovese et Frank Costello sont deux patrons du crime italo-américains au milieu du XXème siècle. En 1957, Genovese tente d'assassiner Costello mais il échoue. Ce dernier, blessé par l'attaque, essaye de se retirer de la mafia.
Synopsis : Dans un monde dystopique ravagé par des titans mangeurs d’hommes, depuis une centaine d’années, les survivants sont forcés de se barricader dans une cité forteresse. Parmi eux, Eren, qui a vu sa mère dévorée par un titan, rêve d’entrer dans le corps d’élite chargé de découvrir l’origine de ces mutants, et les détruire jusqu’au dernier. L’attaque des titans : La dernière attaque réunit les deux derniers épisodes de la série et propose un climax sur grand écran. Après son enrôlement dans un bataillon d’exploration, Eren fait face à un redoutable adversaire et en retire un pouvoir unique, qui lui révèle la vérité sur le monde. À travers celle-ci, il trouve les raisons de mener à bien un projet destiné à éradiquer toute vie sur Terre. Dans ce long métrage final, une équipe d’anciens amis et ennemis d’Eren se battront pour tenter de mettre un terme à sa funeste entreprise.
Tokyo, début des années 1940. Tetsuko, que tout le monde appelle Totto-Chan, est une petite fille pleine de vie qui mène la vie dure à son institutrice, qui finit par la renvoyer. Ses parents décident de l’inscrire à Tomoe, une école pas comme les autres où de vieux wagons font office de salles de classe. Son directeur y met l'accent sur l'indépendance et la créativité des enfants. Tandis que la Japon s'enfonce dans la guerre, Totto-Chan va découvrir que les petites expériences de la vie sont plus importantes que les leçons.
L'Obs 4/5
Dans cette ode à l’indépendance et à l’espièglerie, la beauté faussement naturaliste du dessin évoque avec justesse la perte tragique de l’innocence. Superbe.
Le Parisien 4/5
Au final, ce mélange fait mouche et sert un bien joli récit pour les plus jeunes…
Le Point 4/5
Une merveille, à savourer à partir de 9 ans.
Les Echos 4/5
Un récit sensible sur la force de l'éducation positive dans un écrin classique mais terriblement efficace.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Un récit initiatique plein de tendresse, qui, sans éluder la violence, demeure résolument tourné vers l’espoir.
Libération 4/5
Audacieux film d’animation qui ose approcher le quotidien durant la Seconde Guerre mondiale en prenant le contrepied du Tombeau des lucioles.
Ouest France 4/5
Adapté d’un best-seller de la Japonaise Tetsuko Kuroyanagi, « Totto-Chan, la petite fille à la fenêtre », de Shinnosuke Yakuwa, est un plaidoyer pour la paix et la tolérance qui séduira petits et grands.
Première 4/5
Armé d’une animation canon (les mimiques de Totto, sans cesse en mouvement, sont irrésistibles), le film profite de ses envolées les plus lyriques pour vous confronter comme son héroïne à l’expérience du deuil avec une franchise désarmante.
Télérama 4/5
Ni comédie, ni mélo, mais un peu des deux à la fois, cette tendre ode à la différence reconstitue aussi avec minutie et sensibilité les difficultés du quotidien en temps de guerre.
Le Monde 3/5
Loin de négliger le caractère distrayant qu’assurent, de fait, les facéties de l’héroïne, le cinéaste construit avec finesse un récit initiatique au caractère doux-amer, bousculé par les soubresauts de l’histoire.
Nosferatu est une fable gothique, l’histoire d’une obsession entre une jeune femme tourmentée et le terrifiant vampire qui s’en est épris, avec toute l’horreur qu’elle va répandre dans son sillage.
Mad Movies 5/5
"Nosferatu" n'est pas seulement un superbe film d'épouvante soutenu par une performance d'actrice sidérante mais aussi l'accomplissement du projet rêvé d'un auteur qu'on croyait avoir perdu avec "The Northman".
Sud Ouest 5/5
Une relecture du mythe inspirée et moderne, signée Robert Eggers.
Ecran Large 4/5
Conscient du poids de ses modèles, Robert Eggers n’arrive pas toujours à s’en démarquer. Cependant, sa vision de "Nosferatu" se révèle passionnante lorsqu’il embrasse sa nature de drame domestique, avec en son centre le regard qu’il porte à la Ellen de Lily-Rose Depp.
Franceinfo Culture 4/5
Le réalisateur américain Robert Eggers s’attaque à un chef-d’œuvre du cinéma avec une distribution remarquable et remporte la mise.
Le Parisien 4/5
Ellen constitue, certes, toujours un personnage central du long-métrage, mais jamais il n’a, dans une des versions précédentes, pris l’ampleur que lui donne une Lily-Rose Depp manifestement très investie dans son rôle. Elle constitue l’un des atouts majeurs de ce dernier film de vampires de l’année.
Le Point 4/5
Robert Eggers réussit à insuffler une nouvelle puissance à des images et des archétypes que l'on croyait usés jusqu'à la corde.
Le Figaro 3/5
Admirateur de Murnau, Robert Eggers tisse un sublime livre d’images gothique qui dépouille le vampire de ses oripeaux romantiques pour revenir à l’épouvante pure. Mais le cinéaste peine à apporter du sang neuf.
Le Monde 3/5
Tout à ses images ultraléchées, Eggers ne laisse pas la place aux vides, aux gouffres, propres à susciter de l'effroi [...].
Libération 3/5
Le vampire putréfié version Robert Eggers, plus barbare que ses précédentes incarnations, est un formidable monstre de cinéma dans un film qui l’est beaucoup moins, débauche de références et de scènes fumeuses.
Télérama 3/5
Une chasse au vampire efficace, qui doit beaucoup à la beauté des images et à Lili-Rose Deep : telle une apparition, elle a l’art de cultiver l’étrange…
Cahiers du Cinéma 2/5
Tout en respectant globalement l’intrigue et son suspense géographique […] le film ne peut s’empêcher de pousser les curseurs de l’angoisse. Il se veut plus ténébreux, plus sale, plus explicitement sexuel, et pioche alors dans les codes les plus impersonnels de l’horreur contemporaine.
L'Obs 2/5
[La] vision [de Robert Eggers] reste à la surface de la légende du célèbre vampire, continuum d’images lisses, souvent superbes, mais toujours corsetées par le poids de l’enjeu (se hisser à la hauteur de Murnau, bigre).
Première 2/5
[...] comme "The Northman" était plus proche de "Conan le destructeur" que de "Andreï Roublev", c’est dans l’ordre de la vision de cinéma d’Eggers que son remake de "Nosferatu", malgré et à cause de tout le sérieux affiché, soit plus proche de "Dracula, mort et heureux de l’être" que de Murnau ou Herzog.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Il en avait rêvé, il l’a fait : Robert Eggers fait enfin son remake du chef-d’œuvre de Murnau. Totalement respectueux de l’œuvre originale, ce "Nosferatu" 2024 est souvent magnifique, mais un peu trop timide et chiche en émotion.
Les Inrockuptibles 1/5
Comme son vampire, son film semble redouter de cramer en plein cagnard, apeuré par le moindre faux pli.
Marianne 1/5
Sommet de grandiloquence et de prétention, "Nosferatu" n’arrive pas à la cheville de ses prédécesseurs. À éviter.
Réalisé par Steven Soderbergh : Erin Brockovich, seule contre tous / Traffic / Ocean's Eleven / Solaris / Ocean's Twelve / The Good German / Ocean's Thirteen / Effets secondaires
Scénario de David Koepp : L'impasse / Snake Eyes / Hypnose / Fenêtre secrète / Jurassic World : Renaissance
L'ascension du célèbre chanteur/compositeur britannique Robbie Williams. Devenu une star avec le Boy Band, Take That, dans les années 1990, ce dernier a peu à peu plongé dans les paradis artificiels avant de retrouver le succès en solo en 1997 avec la chanson "Angels".
Lorsque la fille de ses rêves (Amber Midthunder) est kidnappée, Nate (Jack Quaid), un homme ordinaire, transforme son incapacité à ressentir la douleur en une force inattendue dans son combat pour la retrouver.
Ce nouveau chapitre, situé 183 ans avant la trilogie du SEIGNEUR DES ANNEAUX, explore l'histoire de la Maison de Helm Poing-de-Marteau, roi de Rohan. Face à l'attaque soudaine de Wulf, un seigneur vengeur et cruel, Helm et son peuple se barricadent dans la forteresse de Hornburg, rebaptisée Gouffre de Helm. Dans cette lutte désespérée, Héra, la fille de Helm, doit rassembler le courage nécessaire pour diriger la résistance contre un ennemi déterminé à détruire son peuple.
Le Parisien 4/5
(...) le film, manifestement destiné à un public adolescent et jeune adulte, plaira aussi à ceux qui n’ont pas forcément lu l’œuvre, mais apprécient la fantasy médiévale.
Sud Ouest 4/5
Extrêmement beau, avec une direction artistique d’une rare cohérence, des graphismes regorgeant de détails, « La Guerre des Rohirrim » s’impose comme une aventure palpitante.
Ecran Large 3/5
Une aventure bonus globalement divertissante, mais qui manque cruellement d’identité…
Le Point 3/5
Même le récit multiplie les références plus ou moins appuyées à la trilogie de Peter Jackson, sortie entre 2001 et 2003 au cinéma, La Guerre des Rohirrim s'en sort avec les honneurs et trouve son identité grâce à un souffle épique et tragique porté par une B.O. particulièrement puissante. À découvrir.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Revoilà la Terre du Milieu, avec ses intrigues de pouvoir, ses gros mammouths et ses combats épiques. Ce prequel rend hommage au monde de Tolkien, avec un travail spectaculaire sur l’animation, mais on regrette un scénario un brin paresseux.
Les Inrockuptibles 3/5
La Guerre des Rohirrim ne s’englue pas dans sa propre mythologie : il en fait véritablement quelque chose.
Première 3/5
Une aventure animée sexy et flamboyante dans la Terre du Milieu, mais qui reste trop inféodée à la trilogie de Peter Jackson pour voler de ses propres ailes.
Télérama 3/5
Un film d’animation efficace.
Le Monde 2/5
Quelques passages épiques, un bestiaire limité (un oliphant, une pieuvre, un aigle), des idées peu exploitées (l’escrimeuse en robe de mariée) ne suffisent pas à faire de ce volet autre chose qu’un ersatz.
Réalisé par Danny Boyle : Petits Meurtres entre amis / Trainspotting / 28 Jours plus tard / Shunshine /. Slumdog Millionaire / 127 Heures / T2 Trainspotting
Scénario de Alex Garland : 28 Jours plus tard / Sunshine / Ex machina / Men / Civil War
La Grande-Bretagne vit depuis 28 ans sous le joug d'une terrible épidémie qui infecte les personnes et en fait des humains enragés. Quelques groupes de non infectées subsistent. L'histoire se concentre sur un jeune garçon qui cherche un médecin pour aider sa mère mourante.