Réalisé par Scott Derrickson : Black Phone
Par les mêmes scénaristes de Black Phone
Synopsis : Alors que Finney, maintenant âgé de 17 ans, lutte contre la vie après sa captivité, Gwen, une jeune fille de 15 ans au caractère bien trempé, commence à recevoir dans ses rêves des appels du Black Phone et à avoir des visions troublantes de trois garçons traqués dans un camp d'hiver appelé Alpine Lake.
Déterminée à résoudre le mystère et à mettre fin aux tourments de son frère et d'elle-même, Gwen persuade Finn de se rendre au camp lors d'une tempête hivernale. Là, elle découvre une intersection bouleversante entre The Grabber et l'histoire de sa propre famille. Ensemble, elle et Finney doivent affronter un tueur qui est devenu plus puissant dans la mort et plus important pour eux qu'ils ne pouvaient l'imaginer.
C'est la suite direct de Mission : Impossible - Dead Reckoning. L'intrigue se déroule deux mois après qu'Ethan Hunt a réussi à récupérer une clé cruciforme capable de trouver le code source de l'intelligence artificielle appelée « l'Entité » dans le sous-marin russe le Sebastopol, disparu sous la mer. Alors que son ennemi juré Gabriel fait pression sur lui pour récupérer le matériel lui permettant de contrôler l'Entité et rebâtir le monde à son image, Hunt, accompagné de son équipe de la IMF, se lance dans la mission la plus périlleuse de sa vie qui lui demandera beaucoup de sacrifices.
Ouest France 5/5
Un blockbuster qui repousse les limites du genre. Un scénario aux multiples rebondissements au service de cascades toujours plus folles.
20 Minutes 4/5
Le film offre un grand spectacle avec des cascades spectaculaires réalisées par Cruise lui-même, tout en laissant de la place à ses partenaires et en rendant hommage aux personnages disparus.
Franceinfo Culture 4/5
Dans un long-métrage à la pointe de la technologie, parce que pensé dès le début pour le format Imax, Tom Cruise et Christopher McQuarrie ont joué sur la complicité développée avec les fans depuis trois décennies et misé à fond, presque trop même, sur la patte "Mission: Impossible", à savoir les cascades stupéfiantes et improbables.
L'Humanité 4/5
Le cinéaste Christopher McQuarrie imprime un rythme d’enfer pendant 2 h 49 de pur spectacle. Et interroge les velléités guerrières des différentes nations. C’est gentiment pacifiste et diaboliquement efficace.
La Voix du Nord 4/5
Le chaos du monde reste hors-champ. Le récit se focalise sur l’homme qui peut sauver l’humanité. Fascinant de voir comment le héros et son interprète se rapprochent, main dans la main, du statut de super-héros. Mission : Impossible y perd en chair et en romanesque. Il y gagne peut-être une légende.
Le Monde 4/5
Le second volet de « Dead Reckoning » et huitième film des aventures d’Ethan Hunt et de son équipe déroule son lot de cascades, de trahisons et de morceaux de bravoure sans éviter l’usure du temps.
Le Parisien 4/5
Au final, si on garde une légère préférence pour le précédent opus et sa scène culte de poursuite dans un train, ce « The Final Reckoning » distille tous les éléments qui font un bon « Mission : Impossible » : esprit d’équipe, fortes personnalités, humour, danger, action, suspense, et le plaisir de laisser au patron Tom Cruise le privilège d’un final complètement cinglé.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Ce huitième opus boucle (peut-être), non sans scories, mais toujours avec panache, ce qui apparaît désormais comme la franchise d'action la plus enthousiasmante de ces trente dernières années.
Les Inrockuptibles 4/5
Avec la lourde tâche de conclure l’une des sagas les plus importantes du cinéma international, “Mission : Impossible – The Final Reckoning” convoque ses prédécesseurs et creuse de façon bouleversante le lien entre Tom Cruise et son personnage d’Ethan Hunt.
Libération 4/5
Plus que jamais depuis que Tom Cruise a confié la franchise dont il est la tête de gondole à son fidèle second Christopher McQuarrie, "Mission : Impossible - The Final Reckoning" ménage dans son récit deux tendances contradictoires comme les deux volets d’un programme industriel dont ce nouvel opus serait la plus parfaite exécution : l’avant-garde du blockbuster américain d’action et le baroud d’honneur du blockbuster américain d’action tel qu’il a été et qui bientôt ne sera plus du tout.
Sud Ouest 4/5
On ne va plus, depuis longtemps, voir « Mission : impossible » pour l’intrigue, mais pour découvrir ce que les diables de scénaristes ont encore pu inventer comme situations démentes, inextricables, pour le pauvre Ethan, mille fois donné pour mort et sans cesse ressuscité. Vous ne serez pas déçus.
Ecran Large 3/5
Les morceaux de bravoure de The Final Reckoning sont parmi les meilleurs de la saga, mais la formule de Tom Cruise commence à s’essouffler, la faute à un fan-service mégalo qui alourdit ce blockbuster trop long.
Le Dauphiné Libéré 3/5
Même alourdi par son histoire, The Final Reckoning reste un spectacle digne des grands écrans, et une belle fin pour Mission: Impossible et Ethan Hunt/Tom Cruise. À 62 ans, l’acteur arrête son rôle d’espion casse-cou au bon moment. C’était presque la partie la plus impossible de sa mission.
Les Echos 3/5
L'inusable superstar américaine accomplit un ultime tour de piste dans la peau de l'agent Ethan Hunt. Résultat spectaculaire, évidemment.
Le Figaro 2/5
Malgré une mise en place de l’intrigue peu palpitante, le huitième film de la saga se rattrape durant sa deuxième partie grâce à des séquences d’action à couper le souffle.
Le Point 2/5
Conclusion aux relents apocalyptiques, ce blockbuster un peu pâteux brille parfois mais ploie trop souvent sous le poids de sa formule et d’une star obsédée par le temps qui passe.
Première 2/5
Malgré quelques morceaux de bravoure ahurissants, la franchise portée par Tom Cruise atteint ses limites dans ce huitième épisode, trop long et boursouflé.
L'Obs 1/5
Ce huitième épisode ressert des scènes déjà vues et aligne les clins d’œil lourdauds aux autres opus. Bilan : 2h50 à la gloire d’Ethan Hunt, seul être humain capable de sauver le monde. Affligeant.
Télérama 1/5
Trop long, trop sérieux, trop confus, “Mission : Impossible 8” se noie dans des dialogues crypto-techno. Et nous avec.
Réalisé par Gareth Edwards : The Creator / Rogue One : A Star Wars Story / Godzilla / Monsters.
Scénario de David Koepp : L'Impasse / Snake Eyes / Hypnose / Panic Room / Spider-Man
et surtout le co-scénariste de Jurassic Park et scénariste de Le Monde perdu : Jurassic Park.
Avec : Scarlett Johansson / Mahershala Ali / Jonathan Bailey
Synopsis : Cinq ans après les événements de Jurassic World Dominion, l'écologie de la planète s'est révélée largement inhospitalière pour les dinosaures. Ceux qui restent vivent dans des environnements équatoriaux isolés dont le climat ressemble à celui dans lequel ils prospéraient autrefois. Les trois créatures les plus colossales de cette biosphère tropicale détiennent la clé d'un médicament qui sauvera miraculeusement la vie de l'humanité.
Synopsis : Les criminels animaliers s'efforcent de se faire à leur nouvelle vie de gentils. Bientôt, ils sont tirés de leur retraite et forcés de faire "un dernier travail" par une équipe entièrement féminine.
Hantée par un cauchemar terrifiant qui revient sans cesse, Stefanie, étudiante à l’université, rentre chez elle pour retrouver la trace de la seule personne susceptible d’enrayer ce cycle infernal et de sauver ses proches du sort funeste qui les attend…
20 Minutes 4/5
La Mort (et les scénaristes) ne manquent ni d’imagination, ni d’idées sadiques.
L'Ecran Fantastique 4/5
"Destination finale : Bloodlines" se révèle donc un des meilleurs films de la série, réussissant à injecter une dose d'humour noir bienvenue, qui n'affaiblit jamais la tension dramatique mais renforce au contraire l'empathie envers les personnages.
Le Parisien 4/5
Après quinze ans d’absence, la saga cinématographique d’horreur la plus mortelle revient avec un nouvel épisode toujours aussi plaisant. De quoi se remémorer quelques-uns des plus beaux trépas présentés lors des cinq volets précédents.
Mad Movies 4/5
Sans atteindre le niveau des "Destination finale" de James Wong, ce "Bloodlines" est donc tout à fait recommandable et remplit parfaitement son rôle de divertissement gentiment gore et bien troussé.
Ouest France 4/5
L’humour noir, autre signature de la saga, irrigue le film avec une jubilation communicative. Bref, Bloodlines s’impose comme une réussite : tendu, inventif et respectueux de l’ADN série B qui a fait le succès de la franchise. La preuve éclatante qu’on peut faire du cinéma de genre sans prétention, mais avec passion et savoir-faire.
Ecran Large 3/5
Une série B dans la moyenne haute des épisodes de la saga, c’est à dire complètement anachronique et délicieusement stupide.
Les Fiches du Cinéma 3/5
La franchise à succès des années 2000, confiée au duo Zach Lipovsky - Adam B. Stein, joue la carte de la nostalgie sans laisser de côté les néophytes. Un thriller horrifique divertissant, dans la lignée des épisodes précédents.
Première 3/5
En jouant finement entre tension, effroi premier degré et humour noir, Bloodlines s’impose comme la belle réussite horreur de ce début 2025.
Télérama 3/5
Pas de réflexions sur la condition humaine ni de véritables frissons : tout est dans l’absurdité des effusions de sang, souvent pour notre plus grand plaisir.
La Voix du Nord 2/5
Bref… Nous, on préfère l’horreur quand elle nous prend aux tripes, sans se contenter de les éparpiller. Destination Finale : Bloodlines se range dans la catégorie des plaisirs funky et coupables pour soirées frissons, généralement entre ados. Attention, interdit aux moins de 12 ans quand même.
Nice-Matin 2/5
En expliquant aux personnages qu’ils peuvent gagner du temps de vie en tuant quelqu’un d’autre, mais en n’osant pas explorer cette voie, pourtant propice à développer des dilemmes moraux, « Bloodlines » rate son coup et se contente d’être un énième slasher, pas honteux, mais qui ne cherche nullement à se distinguer de la masse, assumant le fait d’être un shot qui sera oublié par le public à l’issue de la projection.
Réalisé par Francis Lawrence : Je suis une légende / la licence Hunger Games
D'après le roman de Stephen King paru sous le nom de plume de Richard Bachman en 1979.
Réalisé et écrit par Zach Cregger : Barbare
(C'est le réalisateur du prochain Resident Evil)
synopsis : Lorsque tous les enfants d’une même classe, à l’exception d’un, disparaissent mystérieusement la
même nuit, à la même heure, la ville entière cherche à découvrir qui — ou quoi — est à l’origine de
ce phénomène inexpliqué.