Réalisé par Steven Soderbergh : Erin Brockovich / Traffic / Ocean's Eleven / Solaris / Effets secondaires
Scénario de David Koepp : L'Impasse / Snake Eyes / Hypnose / Panic Room / Spider-Mane et le co-scénariste de Jurassic Park et scénariste de Le Monde perdu : Jurassic Park.
Synopsis : Une famille emménage dans une nouvelle maison, où une mystérieuse présence hante les lieux.
Réalisé par Bong Joon Ho : Memories of Murder / The Host / Mother / Snowpiercer, Le Transperceneige / Okja / Parasite
Synopsis : Mickey7 est un individu envoyé coloniser une planète gelée. A chaque fois qu'il meurt, ses souvenirs sont implantés dans un nouveau corps et sa mission reprend. Après être mort à six reprises, Mickey7 commence à comprendre le but réel de sa mission...
L'ascension du célèbre chanteur/compositeur britannique Robbie Williams. Devenu une star avec le Boy Band, Take That, dans les années 1990, ce dernier a peu à peu plongé dans les paradis artificiels avant de retrouver le succès en solo en 1997 avec la chanson "Angels".
Le Parisien 5/5
Musicalement, le long-métrage fait des étincelles : séquences de concerts qui décoiffent, passages chorégraphiés étincelants sur les grands tubes de Robbie Williams, on en prend plein les yeux et les oreilles, tout en étant très touchés par l’authenticité de ce récit d’une vie hors norme.
L'Obs 4/5
A l’arrivée, un modèle inattendu de biopic musical au style de synthèse criard, assumant sentimentalisme et artificialité pour rendre aux poncifs sur le show-biz et la vie d’artiste leur vérité crue.
La voix du Nord 4/5
Voilà un curieux biopic, à la fois dépressif et funky, épuisant et galvanisant. Plus proche de Rocket Man (Elton John) que du trop sage One Love (Bob Marley). Coup marketing ? Le numéro d’alerte suicide apparaît au générique de fin. C’est quand même l’histoire d’un homme qui s’est pathologiquement détesté. On ne ricane pas de tout, dans Better Man.
Le Figaro 4/5
Un portrait fantasque et émouvant.
Les Inrockuptibles 4/5
Voilà ce que dévoile "Better Man" : dans ces jeux du cirque-là, devenir une star consiste littéralement à singer celles qui ont précédé.
Cahiers du Cinéma 3/5
Autobiographie survoltée et promotionnelle sous forme de comédie musicale, difficilement résistible quoique fatigante.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Après "The Greatest Showman", M. Gracey s’empare d’un autre monstre de scène, Robbie Williams, dont il retrace la carrière avec, dans le premier rôle, un singe en images de synthèse. D’excellentes séquences musicales rattrapent un scénario trop classique.
Première 3/5
Mais ça fonctionne, de la même façon que Rocketman fonctionnait, surtout grâce au capital sympathie working class de la star et à ses tubes entonnés avec entrain. Allons, on est sûrs que vous les connaissez par cœur.
Le Monde 2/5
C’est ce parcours haut en couleur qu’entreprend de raconter le film de Michael Gracey, à cette bizarrerie près de représenter le chanteur sous les traits d’un singe. Ce choix, auquel on finit sans doute par s’habituer, n’en pose pas moins un problème au spectateur.
Libération 2/5
Ce qui empêche "Better Man" de décoller, c’est précisément ce qui fait sa spécificité : ce singe animé, ticket vers le grand spectacle dont les agitations finissent par ressembler à une tentative désespérée d’occuper l’espace.
Et si l’être que vous aimez se transformait en une créature à peine reconnaissable ? Père de famille vivant à San Francisco, Blake hérite de sa maison d’enfance, une vieille ferme située au fin fond de l’Oregon, lorsque son père disparaît et qu’il est considéré comme mort par les autorités. Alors que son couple bat de l’aile, Blake convainc sa femme Charlotte de changer d’air et d’aller vivre dans sa maison de l’Oregon avec leur petite fille Ginger. Mais lorsque Blake, Charlotte et leur fille arrivent près de la ferme, ils sont attaqués, en pleine nuit, par un animal invisible : tentant de prendre la fuite, ils se barricadent à l’intérieur de la maison pour se protéger contre la bête qui rôde, aux aguets. Mais au fil de la nuit, Blake commence à se métamorphoser en une créature méconnaissable…
L'Obs 4/5
Dans cette ode à l’indépendance et à l’espièglerie, la beauté faussement naturaliste du dessin évoque avec justesse la perte tragique de l’innocence. Superbe.
Le Parisien 4/5
Un film de monstres inventif, qui prend rapidement une tournure inattendue et ne lésine pas sur les montées d’adrénaline.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Après l'homme invisible, Leigh Whannell offre une nouvelle incarnation à un autre monstre de cinéma : le loup-garou. S'il n'atteint jamais les hauteurs de "Invisible Man", "Wolf Man" n'en demeure pas moins une relecture honnête, efficace et maîtrisée.
Libération 4/5
Whannell touche au plus beau classicisme, le presque noir et blanc des nuits sont comme les ténèbres des films B des décennies 40 et 50 (on pense à Nicholas Ray, la Maison dans l’ombre). Son économie de moyens est raccord avec sa sobriété magnifique [...].
Mad Movies 4/5
Le cheminement du récit est ainsi d'une limpidité visuelle remarquable, renforçant encore l'impression d'arpenter un microcosme très concret hérité des récits de [Stephen] King.
Le Point 3/5
On peut y lire une métaphore d'un nouveau déboulonnage de la masculinité – exercice lourdement répétitif dans le Hollywood des années post-#MeToo – mais Wolf Man tient tout seul debout grâce à ses qualités formelles, à quelques plans renversants de beauté et au savoir faire de Whaennell pour titiller notre peur primale de l'obscurité.
Ouest France 3/5
On appréciera aussi la lente métamorphose de Christopher Abbott en Loup-garou, une mue en plusieurs étapes, assez saisissante, où éclate le talent des maquilleurs et responsables des effets spéciaux. On aime moins… Son rythme un peu lâche et l’accumulation de péripéties trop convenues.
Télérama 3/5
Le film torture la formule de production Blumhouse, cette horreur conçue à moindre coût, lisse, divertissante et souvent vilaine, pour l’emmener ailleurs. Sur un terrain certes imparfait – c’est, souvent, un peu bébête. Mais dans un genre souvent couard et trop balisé, saluons ce blockbuster à l’os, mal aimable et par endroits dégoûtant.
Première 2/5
L’ambivalence de Invisible Man (la vengeance d’une femme battue envers son agresseur) était nettement plus intéressante, car elle heurtait deux thèmes a priori pas très compatibles (le cinéma bis et les témoignages #MeToo). A côté, Wolf Man n’est pas assez costaud, pas assez velu…
Réalisé par Barry Levinson : Le Secret de la pyramide / Good Morning, Vietnam / Rain Man / Des hommes d'influence / Bandits / The Bay
Scénario de Nicholas Pileggi : Les Affranchies / Casino
Synopsis : Vito Genovese et Frank Costello sont deux patrons du crime italo-américains au milieu du XXème siècle. En 1957, Genovese tente d'assassiner Costello mais il échoue. Ce dernier, blessé par l'attaque, essaye de se retirer de la mafia.
Synopsis : Dans un monde dystopique ravagé par des titans mangeurs d’hommes, depuis une centaine d’années, les survivants sont forcés de se barricader dans une cité forteresse. Parmi eux, Eren, qui a vu sa mère dévorée par un titan, rêve d’entrer dans le corps d’élite chargé de découvrir l’origine de ces mutants, et les détruire jusqu’au dernier. L’attaque des titans : La dernière attaque réunit les deux derniers épisodes de la série et propose un climax sur grand écran. Après son enrôlement dans un bataillon d’exploration, Eren fait face à un redoutable adversaire et en retire un pouvoir unique, qui lui révèle la vérité sur le monde. À travers celle-ci, il trouve les raisons de mener à bien un projet destiné à éradiquer toute vie sur Terre. Dans ce long métrage final, une équipe d’anciens amis et ennemis d’Eren se battront pour tenter de mettre un terme à sa funeste entreprise.
Tokyo, début des années 1940. Tetsuko, que tout le monde appelle Totto-Chan, est une petite fille pleine de vie qui mène la vie dure à son institutrice, qui finit par la renvoyer. Ses parents décident de l’inscrire à Tomoe, une école pas comme les autres où de vieux wagons font office de salles de classe. Son directeur y met l'accent sur l'indépendance et la créativité des enfants. Tandis que la Japon s'enfonce dans la guerre, Totto-Chan va découvrir que les petites expériences de la vie sont plus importantes que les leçons.
L'Obs 4/5
Dans cette ode à l’indépendance et à l’espièglerie, la beauté faussement naturaliste du dessin évoque avec justesse la perte tragique de l’innocence. Superbe.
Le Parisien 4/5
Au final, ce mélange fait mouche et sert un bien joli récit pour les plus jeunes…
Le Point 4/5
Une merveille, à savourer à partir de 9 ans.
Les Echos 4/5
Un récit sensible sur la force de l'éducation positive dans un écrin classique mais terriblement efficace.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Un récit initiatique plein de tendresse, qui, sans éluder la violence, demeure résolument tourné vers l’espoir.
Libération 4/5
Audacieux film d’animation qui ose approcher le quotidien durant la Seconde Guerre mondiale en prenant le contrepied du Tombeau des lucioles.
Ouest France 4/5
Adapté d’un best-seller de la Japonaise Tetsuko Kuroyanagi, « Totto-Chan, la petite fille à la fenêtre », de Shinnosuke Yakuwa, est un plaidoyer pour la paix et la tolérance qui séduira petits et grands.
Première 4/5
Armé d’une animation canon (les mimiques de Totto, sans cesse en mouvement, sont irrésistibles), le film profite de ses envolées les plus lyriques pour vous confronter comme son héroïne à l’expérience du deuil avec une franchise désarmante.
Télérama 4/5
Ni comédie, ni mélo, mais un peu des deux à la fois, cette tendre ode à la différence reconstitue aussi avec minutie et sensibilité les difficultés du quotidien en temps de guerre.
Le Monde 3/5
Loin de négliger le caractère distrayant qu’assurent, de fait, les facéties de l’héroïne, le cinéaste construit avec finesse un récit initiatique au caractère doux-amer, bousculé par les soubresauts de l’histoire.
Nosferatu est une fable gothique, l’histoire d’une obsession entre une jeune femme tourmentée et le terrifiant vampire qui s’en est épris, avec toute l’horreur qu’elle va répandre dans son sillage.
Mad Movies 5/5
"Nosferatu" n'est pas seulement un superbe film d'épouvante soutenu par une performance d'actrice sidérante mais aussi l'accomplissement du projet rêvé d'un auteur qu'on croyait avoir perdu avec "The Northman".
Sud Ouest 5/5
Une relecture du mythe inspirée et moderne, signée Robert Eggers.
Ecran Large 4/5
Conscient du poids de ses modèles, Robert Eggers n’arrive pas toujours à s’en démarquer. Cependant, sa vision de "Nosferatu" se révèle passionnante lorsqu’il embrasse sa nature de drame domestique, avec en son centre le regard qu’il porte à la Ellen de Lily-Rose Depp.
Franceinfo Culture 4/5
Le réalisateur américain Robert Eggers s’attaque à un chef-d’œuvre du cinéma avec une distribution remarquable et remporte la mise.
Le Parisien 4/5
Ellen constitue, certes, toujours un personnage central du long-métrage, mais jamais il n’a, dans une des versions précédentes, pris l’ampleur que lui donne une Lily-Rose Depp manifestement très investie dans son rôle. Elle constitue l’un des atouts majeurs de ce dernier film de vampires de l’année.
Le Point 4/5
Robert Eggers réussit à insuffler une nouvelle puissance à des images et des archétypes que l'on croyait usés jusqu'à la corde.
Le Figaro 3/5
Admirateur de Murnau, Robert Eggers tisse un sublime livre d’images gothique qui dépouille le vampire de ses oripeaux romantiques pour revenir à l’épouvante pure. Mais le cinéaste peine à apporter du sang neuf.
Le Monde 3/5
Tout à ses images ultraléchées, Eggers ne laisse pas la place aux vides, aux gouffres, propres à susciter de l'effroi [...].
Libération 3/5
Le vampire putréfié version Robert Eggers, plus barbare que ses précédentes incarnations, est un formidable monstre de cinéma dans un film qui l’est beaucoup moins, débauche de références et de scènes fumeuses.
Télérama 3/5
Une chasse au vampire efficace, qui doit beaucoup à la beauté des images et à Lili-Rose Deep : telle une apparition, elle a l’art de cultiver l’étrange…
Cahiers du Cinéma 2/5
Tout en respectant globalement l’intrigue et son suspense géographique […] le film ne peut s’empêcher de pousser les curseurs de l’angoisse. Il se veut plus ténébreux, plus sale, plus explicitement sexuel, et pioche alors dans les codes les plus impersonnels de l’horreur contemporaine.
L'Obs 2/5
[La] vision [de Robert Eggers] reste à la surface de la légende du célèbre vampire, continuum d’images lisses, souvent superbes, mais toujours corsetées par le poids de l’enjeu (se hisser à la hauteur de Murnau, bigre).
Première 2/5
[...] comme "The Northman" était plus proche de "Conan le destructeur" que de "Andreï Roublev", c’est dans l’ordre de la vision de cinéma d’Eggers que son remake de "Nosferatu", malgré et à cause de tout le sérieux affiché, soit plus proche de "Dracula, mort et heureux de l’être" que de Murnau ou Herzog.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Il en avait rêvé, il l’a fait : Robert Eggers fait enfin son remake du chef-d’œuvre de Murnau. Totalement respectueux de l’œuvre originale, ce "Nosferatu" 2024 est souvent magnifique, mais un peu trop timide et chiche en émotion.
Les Inrockuptibles 1/5
Comme son vampire, son film semble redouter de cramer en plein cagnard, apeuré par le moindre faux pli.
Marianne 1/5
Sommet de grandiloquence et de prétention, "Nosferatu" n’arrive pas à la cheville de ses prédécesseurs. À éviter.