L'ascension du célèbre chanteur/compositeur britannique Robbie Williams. Devenu une star avec le Boy Band, Take That, dans les années 1990, ce dernier a peu à peu plongé dans les paradis artificiels avant de retrouver le succès en solo en 1997 avec la chanson "Angels".
Le Parisien 5/5
Musicalement, le long-métrage fait des étincelles : séquences de concerts qui décoiffent, passages chorégraphiés étincelants sur les grands tubes de Robbie Williams, on en prend plein les yeux et les oreilles, tout en étant très touchés par l’authenticité de ce récit d’une vie hors norme.
L'Obs 4/5
A l’arrivée, un modèle inattendu de biopic musical au style de synthèse criard, assumant sentimentalisme et artificialité pour rendre aux poncifs sur le show-biz et la vie d’artiste leur vérité crue.
La voix du Nord 4/5
Voilà un curieux biopic, à la fois dépressif et funky, épuisant et galvanisant. Plus proche de Rocket Man (Elton John) que du trop sage One Love (Bob Marley). Coup marketing ? Le numéro d’alerte suicide apparaît au générique de fin. C’est quand même l’histoire d’un homme qui s’est pathologiquement détesté. On ne ricane pas de tout, dans Better Man.
Le Figaro 4/5
Un portrait fantasque et émouvant.
Les Inrockuptibles 4/5
Voilà ce que dévoile "Better Man" : dans ces jeux du cirque-là, devenir une star consiste littéralement à singer celles qui ont précédé.
Cahiers du Cinéma 3/5
Autobiographie survoltée et promotionnelle sous forme de comédie musicale, difficilement résistible quoique fatigante.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Après "The Greatest Showman", M. Gracey s’empare d’un autre monstre de scène, Robbie Williams, dont il retrace la carrière avec, dans le premier rôle, un singe en images de synthèse. D’excellentes séquences musicales rattrapent un scénario trop classique.
Première 3/5
Mais ça fonctionne, de la même façon que Rocketman fonctionnait, surtout grâce au capital sympathie working class de la star et à ses tubes entonnés avec entrain. Allons, on est sûrs que vous les connaissez par cœur.
Le Monde 2/5
C’est ce parcours haut en couleur qu’entreprend de raconter le film de Michael Gracey, à cette bizarrerie près de représenter le chanteur sous les traits d’un singe. Ce choix, auquel on finit sans doute par s’habituer, n’en pose pas moins un problème au spectateur.
Libération 2/5
Ce qui empêche "Better Man" de décoller, c’est précisément ce qui fait sa spécificité : ce singe animé, ticket vers le grand spectacle dont les agitations finissent par ressembler à une tentative désespérée d’occuper l’espace.
Je n'aime pas les biopic, en particulier les biopic musical, c'est toujours les memes histoires, que des "rise and fall".
Sans l'avoir vu je peux deviner que les debuts sont un peu difficiles, au final c'est le succès, mais une fois le succès les problèmes commencent, ensuite c'est la chute. Bref, toujours les memes histoires raconté mille fois, avec en prime quelques travestissement de la réalité "pour les besoins d'hollywood".
aeris90 Je me faisais la même réflexion récemment lors d'un repas de famille quand ils ont voulu mater celui de Amy Winehouse. C'est vrai que c'est toujours tourné de la même manière, même quand les artistes ont des vie totalement différente, juste par fainéantise.
L'un des plus notables étant le biopic sur Edith Piaf qui a eu direct le succès, et jusqu'à la fin, mais une vie jonchée de malheurs indépendamment de son succès.
Soit tous le monde a cru a un film disney WTF a cause du singe, soit perssonne a compris que c'était un vrai biopic ou personne n'est fan de Rob Une chose est sur, le singe c'était pas une bonne idée, surtout aprés le succès modeste du dernier Planète des singes 4.
Je n’ai vu que la bande annonce et le singe en CGI m’a déjà fait sortir du truc en quelque minutes. J’aurais été intéressé par le parcours de Robbie Williams mais là avec le singe et tout le monde qui réagit face à lui comme si c’était normal, c’est non pour moi.
C'est tellement de mauvais goût qu'il y a un côté wtf comme Cats (la purge filmique)
Tant mieux si cet ovni peut trouver son public
Sans l'avoir vu je peux deviner que les debuts sont un peu difficiles, au final c'est le succès, mais une fois le succès les problèmes commencent, ensuite c'est la chute. Bref, toujours les memes histoires raconté mille fois, avec en prime quelques travestissement de la réalité "pour les besoins d'hollywood".
Après il reste des exceptions.
L'un des plus notables étant le biopic sur Edith Piaf qui a eu direct le succès, et jusqu'à la fin, mais une vie jonchée de malheurs indépendamment de son succès.
Mais c'est vrai qu'à force bon...
Box office $14.1 million
Soit tous le monde a cru a un film disney WTF a cause du singe, soit perssonne a compris que c'était un vrai biopic ou personne n'est fan de Rob