Réalisé par Juan Antonio Bayona
(L'Orphelinat / The Impossible / Quelques minutes après minuit)
En 1972, un avion uruguayen s'écrase en plein cœur des Andes. Les survivants ne peuvent compter que les uns sur les autres pour réchapper au crash.
Le Parisien 5/5
Juan Antonio Bayona en tire un film profondément émouvant, une tragédie qui bouleverse le spectateur, mais le fait sans sensationnalisme, n’éludant pas le thème du cannibalisme, mais le traitant avec une pudeur remarquable.
Ecran Large 4/5
Un survival tendu et virtuose, mais surtout une oeuvre au sublime désarmant. Juan Antonio Bayona est définitivement un grand cinéaste.
Le Dauphiné Libéré 4/5
Porté par un excellent casting de jeunes comédiens hispanophones, "Le Cercle des neiges" est un film d’une grande humanité.
Le Point 4/5
Jusqu'au dénouement, Juan Antonio Bayona garde le spectateur à l'affût tout en livrant un beau message humaniste au cœur du drame. Il dresse finalement un vibrant hommage aux morts comme aux rescapés de ce crash funeste. Bref, une œuvre bluffante...
Libération 4/5
La grande réussite du film est de nous projeter de façon prolongée à l’endroit du seuil, entre la béance vers laquelle tout glisse et la déchirure dans l’obscurité, l’espoir auquel on s’agrippe à la plus infime occasion, quand bien même il devient plus plausible à chaque seconde qui passe que cet ailleurs où l’on a sombré, même si l’on s’en sauve, on n’en revienne jamais complètement.
Ouest France 4/5
Grâce à une mise en scène virtuose, le spectateur est plongé dans l’enfer de la montagne. Si l’on tend parfois à détourner le regard devant certaines situations, au bout de ces deux heures et vingt-quatre minutes, c’est avant tout le message d’espoir et de résilience que l’on retient de ce film grandiose.
Paris Match 4/5
C’est donc un formidable travail de reconstitution que mène le réalisateur espagnol. Du crash de l’avion aux séquences d’avalanche à couper le souffle, « Le Cercle des neiges » plonge le spectateur dans l’horreur vécue par les compagnons d’infortune.
Première 4/5
Le cinéaste espagnol hollywoodisé retrouve sa langue maternelle pour une relecture prodigieuse d’un fait divers datant de 1972, soixante-dix jours de survie limite après un accident d’avion dans la Cordillère des Andes.
Télérama 4/5
Le cinéaste espagnol Juan Antonio Bayona offre une relecture immersive, profondément touchante, de la catastrophe aérienne de 1972, sans sacrifier son sens du spectacle. Un tour de force à la fois visuel et métaphysique.
oloman334 je te comprends, un film que j'ai vu au cinéma d'ailleurs, je trouve d'ailleurs qu'il a pas vieillit et que par moment, je comparais les deux approches, l'accident du premier m'avait plus marqué et il n'y avait pas les "flashback" qui sont de trop pour cette version 2024, mais pour le reste, c'est bien fait, de plus c'est une histoire vraie qui mérite d'être raconté.
PS : Je voulais en parler à amario de la version de 1993, mais ça se trouve il a déjà vu ^^
nicolasgourry les deux films ont une approche différente et sont vraiment très bons tous les deux. Les survivants m’a marqué car pour l’époque le sujet traité était dingue et la réalisation folle. Je le regarde une fois par an tellement je l’apprécie. C’est un film marquant et indémodable à la stand by me, un film culte qu’on se lasse pas de revoir.
PS : Je voulais en parler à amario de la version de 1993, mais ça se trouve il a déjà vu ^^