Dans un futur proche, The Running Man est l’émission numéro un à la télévision : un jeu de survie impitoyable où des candidats, appelés les Runners, doivent échapper pendant 30 jours à des tueurs professionnels, sous l'œil avide d’un public captivé. Chaque jour passé augmente la récompense à la clé — et procure une dose d’adrénaline toujours plus intense. Ben Richards, ouvrier désespéré prêt à tout pour sauver sa fille gravement malade, accepte l’impensable : participer à ce show mortel, poussé par Dan Killian, son producteur aussi charismatique que cruel. Mais personne n’avait prévu que Ben, par sa rage de vivre, son instinct et sa détermination, devienne un véritable héros du peuple… et une menace pour tout le système. Alors que les audiences explosent, le danger monte d’un cran. Ben devra affronter bien plus que les Hunters : il devra faire face à un pays entier accro à le voir tomber.
20 Minutes 4/5
Edgar Wright dénonce ainsi les excès d’une société du spectacle aussi fascinante que terrifiante. Son Running Man, d’une intelligence glaçante, mêle divertissement et réflexion à une pointe d’humour noir. On en sort lessivé mais enthousiaste.
Ecran Large 4/5
Le cinéma d’Edgar Wright a toujours été brillamment politique. Running Man est juste plus explicite et plus en colère, ce qui relève du petit miracle dans l’économie actuelle des blockbusters.
Le Dauphiné Libéré 4/5
Ce qui frappe, c’est à quel point cette Amérique de Running Man est réaliste, et nous regarde aussi. C’est l’observation aiguë, de la relation toxique entre désespoir des classes populaires et addiction collective au spectacle de la violence.
Le Figaro 4/5
Le réalisateur de Shaun of the Dead adapte une nouvelle fois Stephen King et livre un « action movie » trépidant, inventif, qui remplit parfaitement son contrat.
Les Echos 4/5
Un film d'action rythmé, malin et amusant. Une réussite rare au plat pays des blockbusters.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Entre les mains habiles d’Edgar Wright, cette nouvelle adaptation d’un roman de Stephen King se révèle palpitante et furieusement politique.
Nice-Matin 4/5
Rythmé, drôle aussi parfois comme lors de la séquence mettant en scène Michael Cera, et resserré sur la virée cauchemardesque de Ben Richards, le protagoniste qui cherche juste de l'argent pour sauver son bébé, la proposition modernise le concept, sans dénaturer l'esprit voulu par Stephen King.
Rolling Stone 4/5
Glen Powell s’y affirme comme une véritable star d’action : il court, saute, se bat, charme et improvise une scène d’évasion quasi burlesque, digne d’Harold Lloyd. Même les seconds rôles les plus austères semblent s’amuser follement.
Le Point 3/5
Heureusement bien plus aboutie et mieux fichue que la série B luxueuse de 1987 avec Arnold, cette nouvelle mouture porte bien la signature du talentueux réalisateur britannique Edgar Wright : un montage ultra-dynamique, des séquences d'action virtuoses, des ruptures de rythme et de ton, des touches d'humour inattendues (...).
Paris Match 3/5
Glen Powell, littéralement transfiguré avec sa tronche fermée à double tour, incarne à la perfection une inextinguible rage.
Première 3/5
Un spectacle imparfait mais musclé et engagé.
Le Monde 2/5
Hésitant entre le pur film d’action, le mélo social et la comédie, la version 2025 de Running Man échoue à trouver ses marques et semble se prendre régulièrement les pieds dans le tapis d’un scénario hésitant et bancal. Mieux vaut revoir Le Gladiateur du futur, version apocryphe, fauchée et italienne signée en 1983 par Joe D’Amato.
Le Parisien 2/5
Cette nouvelle adaptation d’un roman de Stephen King, déjà transposée en 1988 dans un film éponyme avec Arnold Schwarzenegger, s’avère aussi épuisante que superflue.
Les Inrockuptibles 2/5
Le it boy Glen Powell reprend le rôle de Schwarzie dans cette satire dystopique, toujours à l’aise dans la légèreté, mais génétiquement inadapté aux autres registres.
Libération 2/5
Si la nouvelle adaptation du roman de Stephen King, après le film de 1987, sur une chasse à l’homme télévisée affiche de grandes intentions, le Britannique nous perd dans un défilé d’images qui laisse la charge politique du livre dans l’ombre.
Télérama 2/5
On cherche en vain l’esprit contestataire du roman de Stephen King qui inspira le film de 1987.
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