In the name of my Mother, I will defeat you again!!
Cette année, nous fêtons respectivement les 30 ans de la série Zelda, les 25 ans de Sonic mais aussi, et çà on l'oublie un peu, les 30 ans de Castlevania.
En effet, le premier épisode de cette mythique série est né sur les terres japonais le 26 septembre 1986.
Mais vu que l'on déjà parlé de cet épisode fondateur dans un précédent test, on va le fêter autrement cet anniversaire, plus dignement avec un jeu sorti le 20 mars 1997 sur Playstation. Un certain Akumajou Dracula X: Gekka no Yasoukyoku qui parut quelques mois plus tard en occident sous le nom de Castlevania: Symphony of the Night.
Avant d'aborder le jeu à proprement parlé, on ne va pas s’interroger comme on le fait d'habitude, sur sa qualité, savoir si il vaut le coup, si il a vieillit ou pas etc... Non, non, rien de tout çà. La seule question que je poserai dans ce test est la suivante : comment peut-on mesurer l'intensité de la claque que je me suis pris violemment dans la gueule ?
Maria Renard
Le jeu démarre par la toute fin de Dracula X: Chi no Rondo sorti quelques années plus tôt sur le support CD-ROM de la PC Engine.
Nous sommes en 1792 et les développeurs nous font d'entrée de jeu, rejouer ce combat final pas si dur, mais tellement épique.
Mais ce n'est qu'un habile flash-back puisqu'en réalité, le jeu démarre 5 ans après la défaite de Dracula face à Richter.
Le monde a retrouvé sa tranquillité, quand soudain, sorti de nulle part, le château de Dracula à savoir Castlevania réapparut, trônant sombrement au dessus des bois.
Impossible ? Le château du comte est censé n'apparaître qu'une fois par siècle. Intrigué, Richter armé de son Vampire Killer, part inspecter l'étrange bâtisse. Voyant que son ancien compagnon de chasse ne donne pas de signe de vie, Maria Renard, désormais adulte, part elle aussi à l’assaut du château. Mais dans cette aventure, un nouveau personnage leur volera la vedette : un certain Alucard.
Fils de Dracula, et d'une mère humaine du nom de Lisa, Sir Adrian Farenheights Tepes connu sous le nom de Alucard est l'opposé exacte de son père, en témoigne d'ailleurs son nom, l'anacyclique du mot Dracula.
Ce vampire de sang-mêlé, brave et compatissant ne comprend pas cette apparition et décide de se réveiller de son sommeil éternel pour faire de cette "enquête" une affaire personnelle.
Fini les Belmont, cette fois Dracula aura à faire à sa progéniture et autant dire que le contentieux est lourd...
Je pense que pas mal de joueurs le savent mais je juge bon de le rappeler, Alucard ne fait en aucun cas son apparition dans la série dans Castlevania: Symphony of the Night.
Il apparaît pour la première fois dans Castlevania III: Dracula's Curse sur NES. Et déjà à cette époque, sa nature était bonne. Certes, il s'agit d'un boss dans ce jeu, mais une fois vaincu, il avoue à Trevor Belmont qu'il se battait contre lui dans le but de le tester, tout en proposant par la suite de le rejoindre et de lui prêter main forte dans son combat contre Dracula. Le joueur ayant à ce moment-là le choix de le recruter, ou non.
Alucard (à gauche) dans Castlevania III demandant de l'aide à Trevor Belmont.
Dans Symphony of the Night, il devient carrément le héros de l'aventure, ce qui change considérablement le propos du jeu qui en devient un peu plus profond. Il est d'ailleurs dommage que le jeu ne contienne pas plus de dialogues, et que les personnages ne soient pas davantage plus approfondi.
Mais on va cesser de parler de l'histoire pour se pencher sur le plat de résistance du jeu : le game-system.
Toru Hagihara, assisté (entre autres) de Koji Igarashi va tenter un coup avec ce jeu, et autant dire tout de suite qu'il s’avérera être un coup de génie.
Alucard dans cette histoire est très symbolique, car nous avons un nouvel héros n'ayant rien à voir avec les chasseurs de vampires, et aussi un nouveau gameplay lorgnant clairement du côté de Super Metroid.
Le tout en 2D (avec des effets en 3D, mais c'est tout) sur une console, et à une époque où le jeux 2D commençait à être qualifié par le grand public comme "désuet".
Mais ce n'est pas tout, les concepteurs ont inclus une dimension inexistante dans les anciens opus : la dimension RPG.
Fini, le jeu de plateforme clairement orienté action, disposant de stages distincts à la progression linéaire, ici on a droit qu'à un seul niveau, le château de Dracula. Et autant vous dire qu'il est juste immense.
A la manière donc d'un Metroid, on explore librement le château, qui est un monde ouvert jusqu'à tomber sur un endroit inaccessible. A partir de là on rebrousse chemin, tentant de trouver de nouvelles issues pour continuer la progression.
Pour ouvrir ces passages inaccessibles, il faudra mettre la main sur des compétences spéciales appelés dans le jeu reliques.
Outre les reliques, certains objets nous serviront à débloquer certaines zones comme par exemple l'armure "Protège-piques" qui permet comme son nom l'indique de traverser des zones bourrés de piques.
Bien évidemment, on retrouve des escaliers, qui font le charme des Castlevania même si ici, ils ne font office que d'élément esthétique.
Par contre les portes, elles, sont importantes car elles sectorisent le château.
En effet, le château est divisé en plusieurs zones, et pour changer de zone, il faut trouver et passer une porte. La variété est donc au rendez-vous, avec moult lieux variés que sont pêle-mêle le laboratoire d'alchimie, la bibliothèque, la tour de l'horloge ou encore les catacombes. Et j'en oublie...
Et si on parlait du level-design ? Et bien en vérité, je n'ai pas envie d'en parler plus que çà, 2 petits mots suffisent : à tomber !
Ce jeu (à ce niveau-là) est juste époustouflant, et je pèse mes mots. Très vite, on abandonne l'idée de juste finir le jeu vite fait, et on se prend au jeu de tout trouver, de tout découvrir, de compléter la carte, de voir jusqu'où va le génie des game-designer. Je m'arrête là, mais franchement jouez-y et vérifiez tout çà par vous-mêmes.
Mais contrairement à Super Metroid dont il s'inspire fortement dans son game-system, le titre de Konami dispose d'une valeur ajoutée qui lui est propre à savoir la dimension RPG.
A mes yeux, ce titre est clairement un Action-RPG. Alucard n'est pas un chasseur de vampire, ni un Belmont, il dispose d'un équipement propre qui est une véritable panoplie.
Comme on l'a abordé furtivement ci-dessus, il faudra l'équiper de la tête au pied, à grand renfort d'épées en tout genre, d'armes de jet, d'armures, boucliers, heaumes, bagues, gants, etc...
Un système d'expérience est bien présent dans le jeu, chaque ennemi donnant un nombre fixe de points d'EXP. Ce système d'EXP permet donc à Alucard de monter en niveau tout au long du jeu, ce qui fera le rendre de plus en plus fort. Cependant, comme dans un RPG classique, plus vous avancerez loin dans ce dédale de salles, plus les ennemis seront forts, et plus de points d'EXP ils lâcheront.
Outre l'équipement, et les compétences d'Alucard, notre héros pourra s’approvisionner en consommables en tout genre. De la potion qui redonne des PV, à la potion de force qui nous renforce temporairement notre attaque, à la potion anti-poison, l'équipement ne fera que croître au fil des heures au point de passer finalement pas mal de temps dans les menus à jongler entre les objets.
Mais ce n'est pas tout, le vampire bienveillant dispose aussi d'une barre de mana. Cette barre servira pendant ses transformations car oui, en récupérant certaines reliques, Alucard qui dispose tout de même de pouvoirs vampiriques, pourra se transformer en chauve-souris, en loup, mais aussi en brume. Plus on restera transformer, et plus cette barre se consumera.
De plus, cette barre servira aussi pour les attaques spéciales appelés dans le jeu des sorts (ou Spells en anglais). Ces sorts sont en fait des coups spéciaux qui s’exécutent comme ceux d'un jeu de combat 2D, à la manière d'un Street Fighter par exemple.
Ces manipulations permettent de sortir des attaques vraiment puissantes mais consommeront de la barre de Mana.
Vous croyez que c'est fini ? Non ! Comme si tout cela ne suffisait pas, Alucard pourra récupérer au cours de sa promenade dans le Château de son père des familiers. Leurs nombres varient selon la version du jeu, mais dans la version PSP (celle contenue dans Dracula X Chronicles) elles y sont toutes.
Je pense que tout le monde sait ce qu'est un familier, une fois activé il nous suit et nous épaule. Ce qu'il faut savoir c'est que le familier, à l'instar du héros, gagnera aussi des points d'EXP et montera en niveau. Je pense que le plus sage est de n'utiliser un voire maximum 2 familiers pour tout le jeu.
Bien évidemment, l'ADN des Castlevania est bien présente, avec les armes de soutien qui consommeront des cœurs. On retrouve l'eau bénite, la croix, la montre, la hache etc... Du classique. A l'exception que le nombre de cœurs ainsi que les points de vie pourront être régulièrement augmenté à l'aide d'items. Précisons que les montées en niveau améliorent nos statistiques (force, initiative, chance etc..) tout en augmentant aussi nos PV.
Je ne vais pas aller plus loin dans le détail de ce game-system, mais comme vous le constatez, ce Castlevania est très dense.
Au niveau du bestiaire, qui représente la population des salles, il faut juste savoir qu'il est d'une richesse incroyable. Le gros des ennemis viennent des anciens épisodes, quelques uns sont inédits, mais ils ont été tous redesignés par la talentueuse Ayami Kojima et ses collègues.
Que serait un Castlevania sans ses boss ? L'équipe a mis le paquet en proposant un très grand nombre. Leurs sprites sont souvent immenses, et superbement animés, on remerciera évidemment les capacités des consoles 32 bits qui faisaient des merveilles à cette époque-là.
D'ailleurs au niveau technique, le jeu s'avère être une réussite. Le titre de KCET est très beau, les salles sont gigantesques, très bien décorés, les effets sont beaux, classes. Les personnages sont charismatiques à souhait, les ennemis et boss le sont tout autant.
La musique composée par Michiru Yamane, est juste splendide et elle signe là une bande-son extrêmement inspirée. Le thème The Tragic Prince en est le parfait reflet.
Artistiquement parlant, ce jeu est juste une gigantesque tuerie pour tout résumer.
Les contrôles sont justes excellents, certaines manipulations s'avèrent un peu complexe, mais c'est voulu par les concepteurs. Le jeu est beaucoup plus souple qu'avant, exit la rigidité des anciens épisodes.
Enfin la durée de vie est nettement revu à la hausse par rapport aux itérations 8/16 bits. Pour ma part, il m'a fallu 15 heures pour boucler le jeu en tuant Dracula et en ayant la "bonne fin" avec un taux de complètement à 199,2%.
Le jeu dispose de plusieurs fins, allant de la plus mauvaise, à la meilleure que je n'ai pas obtenu car il aurait fallu recommencer tout le jeu avec Richter Belmont et battre Dracula avec.
Oui, en terminant le jeu avec Alucard, il est possible de le recommencer avec Richter Belmont.
Dernier détail, on a parlé durant tout le test de "château de Dracula" mais dans les faits pour compléter le jeu, il faut boucler 2 châteaux : le normal, et le château inversé, plus ardu.
La version PSP.
Ce test a été effectué à partir de la version du jeu généreusement offerte dans le jeu PSP Castlevania: The Dracula X Chronicles.
Cette version est basée sur la version Playstation japonaise du jeu, mais avec des ajouts. Le jeu est intégralement (assez mal) traduit en français, avec l'option des voix japonaises. On aura droit à 2 familiers supplémentaires par rapport à la version originelle sur la 32 bits de Sony, et surtout à une Maria Renard jouable en terminant le jeu avec Alucard. La version Sega Saturn permettait aussi et d'emblée de jouer avec Maria, sauf que dans cette version sur PSP, Maria est nettement plus proche de sa version Super CD-ROM², à savoir Castlevania: Rondo of Blood.
Enfin, comme sur Saturn, Maria apparaît en mid-boss dans le jeu, ce qui n'était pas le cas de la version Playstation.
Pourtant malgré ce concert d'éloges, j'ai noté quelques petits défauts au jeu. Tout d'abord, la difficulté a été revu à la baisse, ce qui est un petit peu dommage. Encore une fois les dialogues auraient pu être plus riches, mais on en a déjà parlé plus haut.
Si la carte est parfaitement lisible et bien faite, ce n'est pas le cas du menu de l'équipement que j'ai trouvé fouillis et confus. Il devient vite bordélique, on passe parfois du temps à chercher par exemple un bouclier, qui est perdu dans une pléiade de potions, nourriture, armes etc... Les items auront dû être mieux compartimenté pour le confort des joueurs.
D'autant qu'au final, et bien on passe pas mal de temps dans les menus mine de rien. Cela hache quelque peu le rythme du jeu, mais cela est contrebalancé par le fait qu'il s'agit d'un élément central du gameplay. Le changement d'équipement à la volée est un parti-pris, on s'y fait sans soucis avec le temps, et les temps de chargements sont inexistants.
Autre petit défaut, on note par endroits de gros ralentissements, dus à un grand nombre de sprites affichés. Pas de panique, cela est rare. La version Saturn est bizarrement plus affecté par ce désagrément que la version Playstation.
Enfin, et on n'en a pas parlé, il existe dans le jeu un marchand. Il peut être utile au tout début, mais Alucard devient tellement puissant assez vite dans le jeu, que ce dernier devient pour le coup anecdotique.
D.É.M.E.N.T.I.E.L !!! Une authentique claque dans la figure, qui vous fera littéralement tomber de votre chaise. Même si à la toute fin de cette critique, j'aborde les petits défauts du jeu, n'ayez crainte ils ne pèsent vraiment rien face à l'immense génie que dégage constamment le hit de Konami.
Castlevania: Symphony of the Night s'avère être un titre extrêmement accrocheur, passionnant, riche, profond, tout en étant artistiquement splendide.
Ce titre a-t-il vieilli ? J'espère que c'est une blague, une mauvaise blague même. Il met encore en 2016 K.O debout tout un panel de AAA ronflant, sans les citer. Ce titre est une référence intemporelle, qui se place très haut dans la liste de jeux ayant marqué ma vie de joueur. Merci Konami, merci.
Fiche technique: Titre original: Akumajô Dracula X Gekka no Yasôkyoku Développeur: KCET Editeur: KONAMI Genre: ACTION-RPG Année: 1997 Autres supports: SATURN, XBLA, PSP (Dracula X Chronicles) Nombre de joueur(s): 1 Localisation:
NOTE PRESSE (Joypad 064 - Mai 1997)
RESSOURCE PRESSE
Screenshots:
Bonus retro:
En bonus, la pub US qui rend honneur au jeu, je trouve.
arngrim Pareil,j'ai fini tous les Castlevania sauf ceux en 3D,et SOTN est juste celui qui reste en haut du classement,tout est classe dans ce jeu,abusé....
ravyxxs Exact, cet épisode représente tout ce qu'il y a de mieux dans la série. D'ailleurs j'ai jamais réussi à trop accrocher aux épisodes 3D. (avis perso bien sûr).
J'ai préféré Order of Ecclesia, et les mécaniques de Portrait of Ruin sont jouissives avec le binôme, mais je comprends pourquoi il y a un tel engouement autour de cet épisode-ci. C'était le premier du genre après tout.
alexkidd Mais graaaaaave et le discours sublime entre Dracula et Richter juste avant ce combat(la version PSX en tout cas) que tout fan connaît par cœur lool
kevisiano Ah mec,fait le quand tu pourras.....Ceux en 2D ce sont des perles,ceux en 3D moins,même si les deux derniers Castlevania en 3D sont plutôt bon,mais loin d'être au niveau des anciens à mon goût.
testament Tu n'a pas aimé Order of Ecclesia ?
Ce sont pour moi les 2 meilleurs , SOTN et OOE ! Je ne serais les départager , mais ce qui est clair c'est qu'ils sont bien au dessus du lot !
alexkidd dès que j'ai un peu de temps il faudra que je fasse cette version PSP puis sa fait des années maintenant que je l'ai pas fait !
Toi court faire OOE
DOS est aussi un de mes Metroidvania préférés, il est mon second château préféré (en termes de DA, LD) à explorer avec SOTN, suivi d'Aria of Sorrow.
Je suis content que tu ais apprécié la formule "Metroid" de SOTN sachant que tu es habitué à la forme plate-former/arcade de la saga.
C'est amusant dans les petites anecdotes de développement que SOTN a été conçu comme un gaiden à la base et que les développeurs voulaient en faire un épisode "abordable" pour toucher un public plus large.
SOTN est l'un de mes opus préférés et explorer le château restera toujours un grand plaisir tellement que la diversité des lieux, le détail et le travail des salles et du LD le rendent tellement plaisant.
Je regretterai cependant une difficulté trop en retrait avec un gain du XP qui monte trop vite comme tu le dis pour rendre les ennemis/boss trop faciles. Limite, je joue dans mes autres runs avec des handicaps pour me donner un certain challenge.
J'ai hâte de voir son Bloodstained à IGA en espérant un château cool à explorer et plus inspiré, vu que ça devenait un peu plus faible dans les deux derniers opus.
rockin C'est le moins bon pour moi, il est assez linéaire comparé aux autres, en enchaîne souvent des lignes droites, et tous ce qui est recherche etc...devient limite secondaire tellement on passe les zones à l'aise.
rockin De toute façon je compte tous les faire weldar ah oui, j'ai surkiffé, même si j'ai joué qu'aux anciens épisodes, que j'aime encore beaucoup d'ailleurs. J'ai jamais fait les Metroivania mais j'ai fait les Metroid, torché, retourné. Et çà fait parti de mes jeux préférés ! Mais j'imaginais pas que SOTN était aussi "énorme" vu que je m'étais toujours très peu renseigné sur le jeu histoire de tout découvrir le jour J. Ouais, comme toi limite j'ai envie de le refaire avec handicap.
J'ai attendu tres longtemps avant de le faire (y a 2 ans) j'avoue que le jeu est assez addictif: jolie ambiance, jolie carte, musique extraordinaire! Il merite le jeu culte que beaucoup lui donnait!
Le gameplay est tellement jouissif que c'est dommage qu'il soit si simple, surtout quand tu vois la beauté des boss (Scylla, Legion, Olrox, Karasuman, Death, Beelzebub...etc), il y a peut être juste le boss de l'arène à l'envers qui est assez ardu et évidemment, le GROS boss optionnel du jeu.
Il est marrant de noter par rapport aux autres opus, que SOTN est l'épisode le moins linéaire avec un gros paquet de boss optionnel au cheminement principal. Du coup, il est aussi le moins scénarisé. La seconde partie est totalement vide de dialogues (en dehors de la brève retrouvaille avec Death).
Testament
OoE avait pour volonté de rendre un hommage aux vieux Castlevania, d'où ce côté plus linéaire avec des niveaux sur la carte qui se débloque au fur et à mesure.
Inversement, la seconde partie du jeu, c'était un autre type de hommage.
alexkidd
Au passage, Si tu refait le jeu avec Richter ou Maria, l'experience va être très different, il n'y pas plus d'équipement ni de level up. par contre Richter a des coup speciaux à la Street fighter 2.
En comptant les 3 gameplay different, c'est fou la durée de vie du titre
SOTN n a pas d egal. C est un chef d oeuvre intemporel qui dès qu on allume, nous emmene jusqu au dernier boss. C est un jeu a l alchimie parfaite. Surement mon jeu preferé..... ma referance, ma bible, ma deuxieme femme .... bref
... un enorme coup de coeur...tout simplement.
Alexkidd Excellent test, tu ne m'as pas notifié? Heureusement que je lorgnais sur GK j'ai vu test Symphony Of The Night j'ai clic direct.
Sinon les MetroidVania sont clairement mes préférés même si j'ai fait pas mal des anciens (Super Castlevania 4,Bloodline, Dracula X entre autres) mais la dimension RPG ajoute un plus non négligeable pour moi. Symphony Of The Night fait clairement partie de mes préférés comme dit dans le test c'est vraiment dommage qu'il y n'ait pas plus de dialogues dans le jeu. J'avoue que j'ai bien aimé Circle Of The Moon, Aria et Dawn Of Sorow et Order Of Ecclesia, me reste que Portrait Of Ruin à faire. Je sais, faut que je m'y mette. Harmony Of Disonance je ne peut pas le blairer mes oreilles saignent trop et jouer à un Castlevania sans le son c'est non négociable.
genzzoneoaxleedgarsquall294squall294 merci à vous et merci tout le monde d'avoir pris quelques minutes pour lire ces lignes
Ce soir, je reparlerai du jeu dans notre podcast. Rendez-vous sur Gamekyo, Groupe l'instant jeux à 21h pour les intéressés
alexkidd
Les versions Castelvania 4 sur Snes et la version PSX sont le top du top façon Metroidvania.
La version PC engine était aussi au top mais j'ai pas eu la machine ni l'émulateur pour y jouer.
Nemesistavern Euh Super Castlevania 4 c'est du old school hein, c'est pas du metroidvania tu n'as même pas la possibilité de choisir ou modifier ta route. Tu confonds pas avec Dracula X sur Snes aussi ou tu pouvais "choisir" ta route en te laissant tomber dans certains trous ou utilisant une clé pour ouvrir certaines portes? Alexkidd Mais de rien, je suis rentré trop tard par contre pour le podcast.
Et bim ! Carrément.
Excellent test !!!!!!!
Un des jeux qui m'a marqué aussi,fini plus de dix fois je crois hahaha !!
kevisiano Ah mec,fait le quand tu pourras.....Ceux en 2D ce sont des perles,ceux en 3D moins,même si les deux derniers Castlevania en 3D sont plutôt bon,mais loin d'être au niveau des anciens à mon goût.
Ce sont pour moi les 2 meilleurs , SOTN et OOE ! Je ne serais les départager , mais ce qui est clair c'est qu'ils sont bien au dessus du lot !
alexkidd dès que j'ai un peu de temps il faudra que je fasse cette version PSP
Toi court faire OOE
DOS est aussi un de mes Metroidvania préférés, il est mon second château préféré (en termes de DA, LD) à explorer avec SOTN, suivi d'Aria of Sorrow.
Je suis content que tu ais apprécié la formule "Metroid" de SOTN sachant que tu es habitué à la forme plate-former/arcade de la saga.
C'est amusant dans les petites anecdotes de développement que SOTN a été conçu comme un gaiden à la base et que les développeurs voulaient en faire un épisode "abordable" pour toucher un public plus large.
SOTN est l'un de mes opus préférés et explorer le château restera toujours un grand plaisir tellement que la diversité des lieux, le détail et le travail des salles et du LD le rendent tellement plaisant.
Je regretterai cependant une difficulté trop en retrait avec un gain du XP qui monte trop vite comme tu le dis pour rendre les ennemis/boss trop faciles. Limite, je joue dans mes autres runs avec des handicaps pour me donner un certain challenge.
J'ai hâte de voir son Bloodstained à IGA en espérant un château cool à explorer et plus inspiré, vu que ça devenait un peu plus faible dans les deux derniers opus.
weldar ah oui, j'ai surkiffé, même si j'ai joué qu'aux anciens épisodes, que j'aime encore beaucoup d'ailleurs. J'ai jamais fait les Metroivania mais j'ai fait les Metroid, torché, retourné. Et çà fait parti de mes jeux préférés ! Mais j'imaginais pas que SOTN était aussi "énorme" vu que je m'étais toujours très peu renseigné sur le jeu histoire de tout découvrir le jour J. Ouais, comme toi limite j'ai envie de le refaire avec handicap.
alexkidd
http://www.zerochan.net/564559
/>
http://www.zerochan.net/564346
Le gameplay est tellement jouissif que c'est dommage qu'il soit si simple, surtout quand tu vois la beauté des boss (Scylla, Legion, Olrox, Karasuman, Death, Beelzebub...etc), il y a peut être juste le boss de l'arène à l'envers qui est assez ardu et évidemment, le GROS boss optionnel du jeu.
Il est marrant de noter par rapport aux autres opus, que SOTN est l'épisode le moins linéaire avec un gros paquet de boss optionnel au cheminement principal. Du coup, il est aussi le moins scénarisé. La seconde partie est totalement vide de dialogues (en dehors de la brève retrouvaille avec Death).
Testament
OoE avait pour volonté de rendre un hommage aux vieux Castlevania, d'où ce côté plus linéaire avec des niveaux sur la carte qui se débloque au fur et à mesure.
Inversement, la seconde partie du jeu, c'était un autre type de hommage.
https://www.youtube.com/watch?v=OiFJop4GWOw
weldar Je suis pas fan des anciens, en fait c'est justement le coté Metroid like qui me branche, mais ça vous l'aurez compris.
Au passage, Si tu refait le jeu avec Richter ou Maria, l'experience va être très different, il n'y pas plus d'équipement ni de level up. par contre Richter a des coup speciaux à la Street fighter 2.
En comptant les 3 gameplay different, c'est fou la durée de vie du titre
... un enorme coup de coeur...tout simplement.
Suivit par le très bon Dawn Of Sorrow sur DS et Aria Of Sorrow sur GBA.
Merci pour le test alexkidd
Sinon les MetroidVania sont clairement mes préférés même si j'ai fait pas mal des anciens (Super Castlevania 4,Bloodline, Dracula X entre autres) mais la dimension RPG ajoute un plus non négligeable pour moi. Symphony Of The Night fait clairement partie de mes préférés comme dit dans le test c'est vraiment dommage qu'il y n'ait pas plus de dialogues dans le jeu. J'avoue que j'ai bien aimé Circle Of The Moon, Aria et Dawn Of Sorow et Order Of Ecclesia, me reste que Portrait Of Ruin à faire. Je sais, faut que je m'y mette.
Haha!
Je l'avoue que je ne savais pas jusqu'à présent tu avais tout simplement une préférence pour les Metroidvania.
Ce soir, je reparlerai du jeu dans notre podcast. Rendez-vous sur Gamekyo, Groupe l'instant jeux à 21h pour les intéressés
Les versions Castelvania 4 sur Snes et la version PSX sont le top du top façon Metroidvania.
La version PC engine était aussi au top mais j'ai pas eu la machine ni l'émulateur pour y jouer.
Alexkidd Mais de rien, je suis rentré trop tard par contre pour le podcast.