Rien. Rien dans le projet autour de ce film ne m’intéressait. Que ça soit le nouveau pitch de l’histoire, le projet d’en faire une nouvelle trilogie et d’enchaîner le tout très rapidement avant que James Cameron n’en récupère les droits, les affiches, les bandes-annonces … Il n’y a rien eu autour de
Terminator Genisys qui ne m’a donné envie un seul instant. Cependant, malgré tout ça, je restais l’esprit ouvert. Le film pouvait nous surprendre. Le film pourrait être bon et la trajectoire de ce reboot pouvait me donner envie de replonger pleinement dans mon amour pour cette saga, amour que je n’avais plus aussi vif depuis
Terminator 3 : Le soulèvement des machines et
Terminator Renaissance. Je ne déteste pas ces films d’ailleurs je tiens à le préciser.
Terminator Renaissance était sympathique et essayait quelque chose de nouveau.
Terminator 3 était un peu trop feignant à mon goût par contre.
C’est donc l’esprit complètement vide que je suis allé voir
Terminator Genisys. Je n’avais aucune attente, aucun à priori. Je me fichais de ce que j’avais vu dans les bandes-annonces. Et je vous le dis tout de suite afin que vous ne perdiez pas une seconde de plus à essayer de savoir si j’ai aimé ou non
Terminator Genisys : je méprise ce film. Je méprise
Terminator Genisys. Non seulement c’est une daube, mais en plus il représente parfaitement tout ce qui ne va plus à Hollywood ces dernières années.
Vous êtes prévenus : je ne vais pas être tendre. Mais je vais vous préciser tout de même ma pensée. C’est parti pour la review de cet affront qu’est
Terminator Genisys. Et je vous préviens tout de suite : il y aura du spoiler en masse car je compte vous parler de l’histoire. Car le plus gros défaut du film est son scénario donc je me dois de vous en parler librement, sans avoir à me soucier si cela peut spoiler ou non. Vous voilà au courant ! C’est parti.
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