Quand je mes une claque aux fanboys, ils font trois
fois l'tour de leur Time Slip sans toucher les
coutures !
Les voyages dans le temps dans le jeu vidéo, ça a rarement donné quelque chose de bon. Timecop, Retour vers le Futur, Mario’s Time Machine, Daïkatana... Heureusement qu'on a eu des trucs un peu plus solides comme Chrono Trigger ou Eternal Darkness. Globalement, et je vais pas perdre mon temps à vous expliquer pourquoi (parce que je sais que c'est pas compliqué à comprendre), baser sa narration sur les voyages temporels, c'est casse-gueule, que ce soit en film ou en jeu vidéo. Alors imaginez quand c'est un studio sans talent supporté par un éditeur de seconde zone qui tente l'aventure. Quand je commence un retro test comme ça, vous savez que ça pue déjà du fion. Hein, vous le savez. Bon, allez, voyons voir ce qu'il en est...
Time Slip, putain rien qu'avec le titre du jeu ça part très mal. J'en vois déjà deux-trois dans le fond qui se marrent comme des phacochères, rien qu'à entendre le mot « slip », ça doit être ces gros relou de Negan et Octobar. Time Slip, donc, nous raconte l'histoire d'une race extra-terrestre appelée les Tirmatiens qui cherchent à s'emparer de la Terre, comme d'habitude quoi. Mais eux, au lieux de nous envoyer une flottille de vaisseaux et de monstres comme dans n'importe quel shoot them up, ils choisissent d'y aller plus subtilement en attaquant la race humaine dans différentes époques avant que nous ayons inventé nos armes de destruction massives et nos meilleurs technologies. Dès l'intro, qui tente de nous faire croire qu'il y a un scénario riche et vaste à grand renfort de date (alors qu'en fait tout peut être résumé en une phrase : les méchants découvrent une faille spatio-temporelle qui mène à la Terre, il attaque la Terre. Voilà.), on constate un problème. C'est qu'entre le moment où les Tirmatiens ont découvert la Terre et le moment où ils se sont décidé à l'attaquer, il s'est passé quinze ans. Allez savoir, p'tet qu'ils ont débattu de cela pendant quinze ans dans leur Assemblée Nationale à eux. Enfin bref, un groupe de scientifiques (dont, selon l'intro, l'un d'eux à soit un gros problème de dos bossu, soit un sacré gros cul... ou alors c'est juste que les graphismes sont laids) décide d'envoyer quelques hommes à différentes époques de l'Histoire pour lutter contre les Tirmatiens qui envahissent la Préhistoire, l'Antiquité et bien d'autres. Alors qu'il suffisait de laisser faire Desmond Miles et ses potes à moindre frais. Bon, trêve de galéjades.
On incarne le soldat scientifique (si si, c'est possible) Vincent Gilgamesh et... quoi ?! C'est quoi ce nom à la con, Vincent Gilgamesh. C'est le mélange d'un nom complètement random tout ce qui a de plus ''humain'', le pire dans le genre patronyme rependu et sans originalité, avec un nom super classe de héros mythologique. Oué, parce que Gilgamesh, à part être une invocation badass ou un boss caché surpuissant dans les Final Fantasy, c'est aussi un personnage de la culture mésopotamienne. Et c'est un sacré trou du cul, roi tyrannique de sa contrée, il ne vit que par excès et défie les dieux jusqu'au jour où ces derniers lui envoi Enkidu, une créature créée pour l'affronter. Gilgamesh finit par devenir ami avec Enkidu et ensemble ils continuent à casser les couilles et à défier les dieux. Gilgamesh rembarre comme un goujat Ishtar, la fille d'un dieu et quand ce dernier se voit séparé de Enkidu, il tente de trouver la vie éternelle. Cela restant impossible, il se retire dans sa cité pour continuer à vivre comme le trou du cul qu'il a toujours été jusqu'à sa mort. Bon, je force le trait, en fait, dans les textes il semblerait qu'il soit plutôt vu comme un héros et un être quasi divin. Mais toujours est-il que je ne vois pas le rapport avec le jeu d'aujourd'hui ou son contexte scénaristique. Ça m'énerve ça, quand les développeurs essayent de faire genre qu'ils sont culturé parce qu'ils ont lu trois pages d'un bouquin d'histoire au lycée et qu'ils essayent de foutre des noms stylés, mais dont ils ne maitrisent ni les origines ni les significations dans leurs jeux vidéo.
Vincent Gilgamesh (et pourquoi pas Jean-Louis Bahamut, ou Kevin Poséidon ? Nan mais vous voyez que ça colle pas, et si on essayait Benjamin Héraclès... non, ça marche vraiment pas, Vincent Gilgamesh c'est un nom de merde, je suis désolé), donc, se retrouve dans l'ère médiévale en guise de premier niveau, chose étrange parce que à en croire la scène d'intro, on devait se diriger vers l’Égypte Antique. Soit. J'en ai déjà plus rien à foutre de toute façon.
Le premier niveau est censé être l'ère médiévale. Hmm, avec des mecs en treillis et bottes militaires, qui tirent des flèches qui dégagent plein de fumée comme si c'étaient des roquettes, et... attendez une minute. Je viens de flinguer trois bonhommes là, et juste après est apparut un extra-terrestre, c'est un Tirmatiens, je le reconnais d'après la scène d'intro ! Alors pourquoi je dézingue des hommes qui ont l'air tout à fait humain si je voyage dans le temps justement pour lutter contre l'envahisseur et sauver l'Humanité ? Tu serais pas un peu teubé Vincent Gilgamesh ? Ou alors c'est le jeu qui est daubé ?
Le second niveau, qui est celui du Crétacé ne semble de prime abord pas bien différent du début du premier, avec ses arbres morts partout et ce marron-diarrhée dégueulasse qui compose 90% de la palette graphique des sprites... Mais c'est un shoot them up ! Super, ça nous changera un peu de ce gros sac de Vincent qui à pied se traine comme une grand-mère de 96 ans, mais genre littéralement. On est archi loin de la vitesse de défilement et de la souplesse du personnage de Contra III, le must en la matière.
Mais même dans ce niveau façon shmup, le plaisir est à la peine. Le vaisseau qui est en fait une sorte de motojet dispose d'un bon canon mais pas encore suffisant face au boss du level, un ignoble ptéranodon qui prend des millions de boulettes dans la tronche pour calancher. Le vaisseau est gros aussi, et vous savez ce qui est encore plus gros (non, ferme là Shanks, ne répond pas), c'est sa hitbox. Je suis pas dingue, j'ai vu un bidule exploser face à moi, en mesure de pixel je dirais que c'était à cinq mètres devant mon nez, et je me suis quand même pris des dégâts ! Alors, soit les programmeurs sont de sacrés alcooliques, soit ils sont malintentionnés pour charger la mule en terme de difficulté à un jeu qui est déjà pas bien attrayant ! Et c'est sans compter les rochers qui tombe du ciel qui, si on est pas préparé et averti, nous écrase le nez assez facilement parce que le hub en haut de l'écran masque leur arrivé. Une fois qu'ils apparaissent réellement dans notre champ de vision, ils ont déjà accompli au moins le quart de la distance qui nous sépare d'eux, et là, il est souvent trop tard pour réagir. Idem dans le niveau d'après, qui redevient un niveau pédestre, avec cette fois-ci des boules de feu (ou des météorites, vu qu'on est à la Préhistoire) qui ne nous laissent pas une minute de répit. Dans un bon jeu, dur, mais intelligent, on aurait eu des signes avant-coureur comme une ombre au sol qui nous intime la venu imminente d'un danger venu d'en-haut. À l'instar de Battletoads in Battlemaniacs par exemple. Mais dans Time Slip, que dalle, tu sais pas si un rocher enflammé va t'exploser le crâne, et en plus de ça, tu dois grimper à des parois quasiment tout le long du niveau ce qui te rapproche toujours un peu plus du danger.
Qu'à cela ne tienne, je persévère et je me dis qu'au troisième niveau, je vais obtenir une arme de bourrin et qu'enfin va commencer la récréation. Eh ben non. Je garde ad vitam æternam mon fusil d'assaut et va falloir que je m'en contente, car je n'aurais que ça. Où sont-ils passés, les lances-flammes, rayons lasers et autres cracheurs de missiles téléguidés ? Ces peaux de vache de Probotector auraient-ils vidé le stock sans laissé le moindre flingue de rechange à ce pauvre naze de Vincent ? S'ensuit le niveau de l’Égypte (enfin) aux couleur très ternes, très fadasses, très grises, très Megadrive de 1989 en fait (pour rappel, nous sommes fin 1993 à la sortie de Time Slip, la Super Nintendo compte déjà une foule de jeu magnifique dans son catalogue). C'est là qu'on se rend compte (non, en fait on s'en est rendu compte bien avant mais c'est juste histoire de dire) que le jeu est moche. Fonds unicolores marrons, verdâtres, parfois même noirs, travail de texture très pauvres, bestiaire complètement ridicule composé aux trois quarts d'humanoïde plus ou moins accoutré comme il se doit selon les époques (encore une fois, j'étais censé péter la gueule à des extra-terrestres, pas à mes vénérables ancêtres, bande de con ! ), effets spéciaux timides, bug d'affichage (des sprite d'explosions qui se mélangent à des sprite de décors)...
Time Slip aurait put proposer un sympathique travail de level design ou une patte artistique intéressante en exploitant le voyage temporel. Le jeu avait la chance de pouvoir se servir de périodes et d'environnements théoriquement aussi vastes et inspirants que l’Égypte Antique, le Moyen-Âge et la Préhistoire, et tout ce qu'on obtient au final c'est une plâtrée de pixel qui oscille trop souvent entre le vert fangeux, le ocre et le gris. La planète alien est un tel niveau de bouillie de pixel que je crois en avoir attraper de l'herpès aux globes oculaires. Des éléments décoratifs s'entre-mêlent au premier plan, obstruant ainsi une grosse partie de la vue du joueur, les teintes de mauves et de verts se marient (mal), et un tas de bestioles se cachent dans tout ce merdier pour vous faire la peau de façon particulièrement vicieuse.
C'est d'ailleurs dans ce niveau qu'on commence enfin à attaquer le cœur du problème, au lieux de violenter nos semblables. Seul le niveau de Rome peut éventuellement trouver grâce à mes yeux. Et encore, faut vraiment le savoir pour dire qu'il s'agit de Rome, car on y voit rien de véritablement caractéristique de la noble cité impériale. Mais bon, au fond, on y aperçoit une mer déchainée ondoyer de façon crédible et un ciel baigné de lumière orangée assez jolie. Une si petite contrepartie pour tant d'agression visuelle.
Et le pire (oué, parce que on y était pas encore), c'est le dernier niveau. Déjà, la phase en shoot them up qui constitue la première partie est interminable. Si vous avez le talent de la réussir en une seule fois, vous verrez qu'elle est deux ou trois fois plus longue que la phase de shoot du Crétacé, et c'est pas une sinécure. Et la seconde phase, à pied de nouveau, nous fait traverser une ville en ruine, typiquement post-apo nucléaire où on défouraille sur des espèces de clochards-zombies au beau milieux de carcasses de bagnoles qui ont l'air tout droit issues des années 50 (alors que le jeu vous dit bien qu'on est revenu dans le futur, à votre époque, en 2147).
Mais alors, débarquer au Moyen-Âge ou en Égypte deux milles ans avant Jésus Christ, accomplir un véritable génocide sur nos congénères, déboulonner toutes les machines extra-terrestres qu'on pouvaient croiser et finalement revenir chez nous n'aura servi à rien, puisque au final on trouvera notre ville et notre époque dévastée par l'invasion alien ? Paradoxe temporel, vous avez dit ? Ben oui, à force de faire le con dans le passé, on a certainement finit par démolir le présent. Allez savoir, de toute façon ce jeu n'est qu'un tas de débilité de beauf de développeurs qui se sont dit qu'il suffirait de tout faire péter (et encore, même ça ils le font mal) dans des décors faussement originaux pour appâter le joueur lambda.
Et vous devinerez jamais c'est quoi le pire (j'vous jure c'est la dernière fois que je vous l'a fait ) ! Le boss final. Bon, déjà c'est une machine à la con, on aurait espéré voir un gros monstre des familles issu de la faune de la planète alien, ou un super vaisseau cuirassé des envahisseurs. Mais non, à croire qu'en tant qu'extra-terrestres hostiles, les Tirmatiens ont pas le budget. Et cette machine, j'ai l'impression qu'elle ressemble à un espèce de gros trou de bal qui s'ouvre et qui nous lâche à la figure des boulettes de merde couleur marron. Et quand le boss a fini son pattern d'attaque, on voit une petite trappe mécanique se refermer quelque instant, en plus. Non mais regardez le let's play que je met à la fin du test si vous me croyez pas, et jurez moi qu'on dirait pas une sorte d'anus gigantesque et tout gris qui nous chie dessus ?! Même la saynète de fin, qui n'est en fait qu'un écran fixe, est répugnant, avec des couleurs criardes, monochromes, en aplat sans textures, avec deux gamins difformes qui jouent au ballon dans une rue qu'on croirait presque issue des quartiers pauvres de Mexico, et non d'une ville digne de l'an 2147.
Exécrable, il n'y a que ce mot qui me vient à l'esprit pour mettre un point final à cette fumisterie. Dés le début, j'aurais dut sentir que ça allait puer le slip sale (lol mdr), le menu n'offre même pas d'option. C'est à dire qu'on ne peut pas régler la difficulté, le nombre de vie à notre disposition, ni même sélectionner un mode deux joueurs, pas indispensable mais quand même vachement chouette pour essayer de rattraper le coup quand un jeu est aussi mauvais dans tout les domaines. Pas de continue non plus, pour un jeu du genre, souvent injustement difficile, c'est détestable. Et évidemment, aucun cheat code ''officiel'' pour s'octroyer quelques vies supplémentaires. Je peux encore essayer une toute dernière fois d'être clément en disant que certains boss ou sous-boss sont relativement sympatoches, comme cette espèce de serpent du premier niveau où l'armure de chevalier géante. Les sprite sont pas mal fichus, mais leur animations sont très feignantes, quand on compare ça à l'énormité extra-terrestre du premier niveau de Contra III par exemple, il n'y a pas photo.
Contra III qui est d'ailleurs sorti l'année d'avant et qui pourtant accompli une prouesse technique qui suffit à pulvériser ce Time Slip loqueteux à tous les étages. Contra III, Sunset Riders, Gunstar Heroes, Contra Hard Cop, Metal Slug, Rendering Ranger R², Alien Soldier... peu importe sur quelle machine 16-bits vous jouiez, il y a bien mieux que ce Time Slip, exclusif à une malheureuse Super Nintendo qui s'en serait bien passé.
anakaris Je sais que c'est vache mais en dirait lui jeune en mode dessin du pauvre.... Time slip/Time cop (d'ailleur son jeu ) puis bon on sait que ça a repompé grave sur le ciné pour les arts a l'époque.
hijikatamayora13 j'en penses que c'est un trou du cul d'opportuniste qui, sous prétexte qu'il a joué dans deux films de merde le rôle d'un personnage cliché et sans envergure (en plus d'être l'amalgame mal foutu de deux autres personnages légendaires eux: Luke Skywalker pour le côté pilote d'exception et han Solo pour le côté cow-boy de l'espace) croit pouvoir s'approprier le rôle d'une des icône du jeu vidéo, icône elle-même basée sur d'autres rôles et acteurs légendaires du cinéma (Michael Biehn, Kurt Russel...), légende du cinéma qu'il n'est pas, et qu'il ne deviendra jamais.
anakaris J'aurais toujours le regret pour Kojima de pas avoir pu faire un MG au ciné avec l'un des deux plus jeunes,j'espère juste que le réa va respecter MG et va nous respecter aussi même si il doit aller chercher un no name pour jouer le rôle.
anakaris Pas con c'est vrai Jackmann ça passerait bien mais tu va voir ils sont encore foutus de te mettre un des Hemsworth ou Pratt une connerie du genre des acteurs fait pour ce rôle y en a pas des masses aujourd'hui.
Merci de t'être sacrifié pour nous parler de cet obscur étron, il ne me serait de toute façon jamais venu à l'idée de le tester
A la rigueur, tu aurais pu en glisser un mot à ce cher JDG...
esets rassure toi, pour le prochain jeu, je vais me faire sacrément plaisir
randyofmana le pire c'est qu'en vérifiant qui était derrière cette daube, j'ai appris qu'il y avait un des game designer et programmeur du très sympa Die Hard Trilogy que j'ai testé sur PS1 pour Retro Gamekyo. C'est un jeu que j'avais beaucoup apprécié étant jeune et à peine 2 ans séparent l'un et l'autre, comme quoi...
arngrim dis toi que j'ai été jusqu'à la fin ! J'en ai chié sur les deux premiers niveaux, ensuite j'ai cracké une rom pour faire du tool assisted speedrun parce que ça devenait plus possible... et ben je regrette d'avoir perdu mon après-midi à y jouer
anakaris Comme quoi, ce n'est pas parce qu'on fait un mauvais jeu une fois qu'on ne fera que des mauvais jeux ensuite !
Mais bon, à priori, la boîte n'a pas vraiment fait de hits non plus...
anakaris Je sais pas d'où tu l'as chié ce jeu, mais çà a l'air énorme tellement ennuyeux !! Je connaissais pas du tout, grâce à ton test je sais pourquoi
Et puis, c'est lent, lent.... Toujours rigolo les tests de daubes !
Regarde la tronche de zombie qu'il se tape le mec, ça donne pas envie d'incarner le bonhomme
Certes.
Mais heureusement qu'au milieux d'un tas de mocheté, des artwork de jaquette inspiré d'affiche du cinéma nous envoi du rêve
En revanche celle-là ...
Au faite t'a vu que l'acteur qui fait Poe Damron dans SWVII veut faire Solid Snake dans le film,t'en pense quoi ?
Voilà voilà.
Merci de t'être sacrifié pour nous parler de cet obscur étron, il ne me serait de toute façon jamais venu à l'idée de le tester
A la rigueur, tu aurais pu en glisser un mot à ce cher JDG...
randyofmana le pire c'est qu'en vérifiant qui était derrière cette daube, j'ai appris qu'il y avait un des game designer et programmeur du très sympa Die Hard Trilogy que j'ai testé sur PS1 pour Retro Gamekyo. C'est un jeu que j'avais beaucoup apprécié étant jeune et à peine 2 ans séparent l'un et l'autre, comme quoi...
arngrim dis toi que j'ai été jusqu'à la fin ! J'en ai chié sur les deux premiers niveaux, ensuite j'ai cracké une rom pour faire du tool assisted speedrun parce que ça devenait plus possible... et ben je regrette d'avoir perdu mon après-midi à y jouer
Mais bon, à priori, la boîte n'a pas vraiment fait de hits non plus...
Et puis, c'est lent, lent.... Toujours rigolo les tests de daubes !