Au delà du génie cinématographique de George Lucas, c'est surtout un génie marketing qui est né en 1977, lorsque le tout premier film de la franchise Star Wars fut sorti au cinéma. En effet, le cinéaste de Modesto en Californie avait bien compris ce qui fonctionnerait dans la fabuleuse histoire qu'il s'apprêtait à raconter. Outre les planètes exotiques et les vaisseaux de guerre impressionnants, il avait conscience que des personnages au caractère universel et un sens limpide à ses propos (l’éternel Bien contre le Mal) contribueraient à rendre son œuvre intemporelle et appréciée de tous selon différents niveaux de lecture. Le plus dur était de capter l'attention du public, accrocher la sympathie des spectateurs envers les protagonistes de La Guerre des Étoiles. Une fois ceci fait, la création graphique et sonore de l'univers Star Wars se ferait en un tour de main, et en découlerait une machine à pognon productrice de figurines, comics, jeux vidéo et autres contenus multimédias. Ainsi, Lucas a très vite accordé un deal de production de jouet à un grand d'époque Kenner Products (filiale de General Mills, puis racheté en 1991 par Hasbro). Côté jeux vidéo, Parker Brothers et Domark furent deux des premiers privilégiés pour tâter du pactole Star Wars, chaque studio réalisant leur propre adaptation de Empire Strike Back et Return of the Jedi entre 1982 et 1985. Quand bien même la branche jeu vidéo de Lucasfilm était officiellement créée depuis la moitié des années 80, les projets vidéoludiques gravitant autour de Star Wars étaient pour la plupart confiés à des prestataires extérieurs. Au début des années 90, lorsque l'idée d'une nouvelle trilogie germe tout doucement dans l'esprit de Lucas (en vérité, Star Wars était depuis toujours un projet bâtit sur la longueur, Lucas voulant raconté la genèse du personnage de Vador avant sa chute vers le Côté Obscur), il est décidé de commander une série de jeu vidéo afin de retracer les événements de la trilogie originelle et la mettre à la portée de tous. En particuliers des plus jeunes. Quoi de mieux alors que de viser la console d'époque la plus populaire auprès de la famille, surtout aux USA : la Super Nintendo. Le studio choisi pour développer ce qui restera une de leur rare création originale (ils étaient plutôt habitués aux portages) sera Sculptured Software. Ils se feront connaître un peu plus tard pour avoir porter Mortal Kombat I, II, 3 (et Ultimate Mortal Kombat 3) ainsi que Doom sur console 16-bits.
Super Star Wars, le premier d'une trilogie de jeu donc (parce que trois films, donc trois jeux, suivez un peu ! ), se veut être autant une vitrine technologique pour la console qu'un panorama enjôleur du film en rappelant à la mémoire des nostalgiques tout ce que le film avait eu de merveilleux. La fidélité au matériaux d'origine est présente autant que faire ce peu pour un jeu Super Nintendo et Sculptured Software a bien adapté la folle aventure spatiale de Luke Skywalker. Ajoutant ça et là quelques détails pour transformer une séquence anecdotique du film en level entier, le studio s'en sort avec les honneurs. Super Star Wars prend la forme d'un run'n gun mâtiné de plate-forme pour un cocktail explosif. L'influence de Contra III (Super Probotector chez nous) est palpable et même si les puristes remettront probablement en question l'ajout de certaine chose de la part de Sculptured Software, leur créativité pour combler les manquements et faire de ce Super Star Wars un véritable jeu vidéo, fun et cool est à saluer. Ça commence dés le premier niveau où on prend les commandes du jeune Skywalker (après un générique calqué sur ceux des films, à base de résumé défilant vers le haut sur un fond étoilé). En plein milieux d'un désert de dune sur l'aride planète Tatooine, on court et on canarde tout ce qui vient : scorpions-laser, chauve-souris géantes, serpents à tête de faucon qu'on croirait tout droit sorti d'une quelconque mythologie (chimère, tout ça...). Même les placides Bantha et les d'ordinaire amicaux mais notoirement roublards Jawa ont droit à leur rafale de tir de blaster dans les dents ! Le film est décomplexé et les affrontements, relativement rares dans le long-métrage pour se concentrer sur l'émotion et la dramaturgie, sont dopés à grands coups de pixels. La visite du désert de Tatooine se conclut par un surprenant combat de boss où on croise le terrible monstre du Sarlacc, ici véritable ver de sable colossal avec une gueule pleine de crocs et une sévère envie de vous bouffer tout cru. Les boss sont nombreux et presque aucun d'entre eux ne fait réellement référence au film mais qu'importe. C'est un pur plaisir que de croiser un bestiaire si vaste et si impressionnant pour épicer les choses. Le boss de la cantina, que l'ont doit affronter avec ce bon vieux Chewbacca (qui remplace la Leia jouable dans le Star Wars de 1991 sur NES) ressemble plus ou moins à un Rancor tout de cuir vêtu ; tandis que Han Solo – le troisième et dernier protagoniste jouable du jeu – devra en découdre avec un imposant droïde de défense impérial dans les hangars de l’Étoile Noire. Un robot de combat qui rend clairement hommage à Robocop et Aliens, par ailleurs (ou peut-être n'est-ce qu'une coïncidence...).
Disposant de quatre degrés de puissance, les blaster des héros (à l'apparence là encore fidèle à ce que les personnages manipulent dans le film) sont à upgrader au grès des bonus trouvés. Chewie, qui dispose de sa célèbre arbalète Wookie est un peu plus puissant que la moyenne et c'est par ailleurs le perso idoine pour les débutants puisqu'il dispose d'une meilleure jauge de vie. Enfin, c'est vrai si seulement vous arrivez à vous en sortir avec les phases de plate-forme qui compose la seconde grosse moitié du jeu. Un brin problématique, ces dernières souffrent d'un saut délicat où la pesanteur semble gérée de façon maladroite. La hitbox de certaines plate-formes, pas très précise, peut faire glisser votre personnage dans le vide et faire perdre une vie bêtement. Tandis que quelques passages ardus ne proposent que des plate-formes un poil trop étroites pour donner une séquence de saut intuitive et abordable, même pour les joueurs confirmés. Ajouter à cela les ennemis qui vous bouscule vers le bord de la plate-forme quand vous entrez en contact avec eux, et vous obtiendrez quelques passages casse-pied. Le level-design est par ailleurs ennuyeux. C'est beau, mais on passe son temps à foncer tête baissée tout droit devant, et à franchir des gouffres. Il n'y a aucune bifurcation possible, pas plus que de secret zone et le soft abuse parfois des trous impossibles à franchir en sautant sans se cogner le haut de notre tête pixelisée sur un élément du décors situé au dessus ; provoquant ainsi la chute inexorable et exaspérante. Finalement, Luke reste le personnage de base le plus agréable à jouer car grâce à son sabre-laser, obtenu un peu plus tard dans le jeu, vous pourrez atteindre facilement les ennemis dans un angle jusqu'à présent impossible à atteindre avec un fusil. La frénésie est souvent de mise, c'est explosif et la difficulté est bien réelle. Mais au final, on retient une forte notion d'amusement car même si le jeu paraît rude à certain moment, on finit toujours par franchir un cap et voir le bout du passage corsé qu'on est en train de traverser. Le jeu n'est pas cruel avec le joueur, il ne tient pas abusivement prisonnier celui qui s'y essaye en lui matraquant la tête des heures durant avant qu'il ne puisse enfin franchir un obstacle à la sueur de ses pouces endoloris. Sculptured Software a bien dosé le challenge de son jeu, son gameplay nerveux reste assez bien étudié et finalement, on se dit que c'est dans la norme des jeux d'époque.
Cerise sur le gâteau de ce gameplay enthousiasmant : les phases en mode 7. L’exclusivité Super Nintendo se justifie dès lors avec une séquence vidéoludique de rêve. Tout bonnement. Pour qui n'avait pas les moyens de s'offrir un ordinateur qui tienne la route afin de faire tourner un jeu comme Star Wars: X-Wing en 1993, Super Star Wars reste l'alternative bon marché. L'assaut sur l’Étoile Noire donne lieux à un level entier où, à la manière d'un Fox McCloud dans son Arwing (très inspiré du X-Wing d'ailleurs, ce n'est un secret pour personne), avec la technique d'affichage popularisée par Super Mario Kart et F-Zero, on dirige un vaisseau spatial en pleine bataille de canon laser. Un peu plus tôt dans le jeu, Super Star Wars propose une séquence similaire où à bord du landspeeder de Luke il faut rejoindre la forteresse des ferrailleurs des sables Jawas. Presque du Star Wing avant l'heure et sans Super FX. Bluffant, sensationnel, c'est pour ce genre de moment inoubliable dans l'enfance d'un joueur né dans les années 80-90 que Super Star Wars sur SNES figure parmi les jeux vidéo qui déclenchent le plus de nostalgie vingt ans plus tard.
Transition faite pour vous parler de la technique. Et si les jeux de Sculptured Software ont fait polémiques (notamment les Mortal Kombat, que beaucoup n'ont pas jugés très agréables à regarder), Super Star Wars ne suit pas la tendance. Bien au contraire. Comme je le sous-entend plus haut avec les boss, nombreux, Super Star Wars est généreux. Il nous offre 15 level et dans l'ensemble, leur palette de couleur est très bien adaptée. On reconnaît aisément les décors centraux du film. Si les cut-scene, quasi systématiques à chaque fin de niveau font dévier le scénario de façon surprenante (la rencontre avec R2-D2 qui ne se fait plus dans les canyons de Tatooine mais dans le sandcrawler gigantesque des Jawas), elles n'en sont pas moins très sympathiques à contempler. Tout de pixel fait et ne durant rarement plus qu'une minute, elles garantissent un rythme soutenu et certaines représentations (Vador contre Kenobi...) parviennent à nous tirer un frisson de nostalgie le long de l'échine ! On pourrait également évoquer une certaine interactivité avec le décor (particulièrement éclectique, ça fait plaisir ! ), il y a souvent des blocs ou autres éléments à détruire, ou encore du sable qui se détache des murs lorsque l'on tire dessus. Les animations dont disposent Luke et Han sont fluides et les effets spéciaux (des clignotements lumineux, des explosions...) sont suffisamment dynamiques pour réellement filer la pêche au soft sans ralentir l'action. Le long métrage de Lucas faisait preuve d'une inventivité artistique extraordinaire pour l'époque et embarquait avec force le spectateur dans une galaxie lointaine, très lointaine, et le jeu ici présent exploite les atouts de son modèle avec brio !
Le graphiste à qui l'ont doit ce très bon Super Star Wars est nul autre que Harrison Fong (non, pas Harrison Ford ! ), un ancien de chez LucasArts. Il était déjà connu pour les graphismes de Maniac Mansion qui ont bousculés le petit univers des micro-ordinateurs (Amiga, Atari ST...) en faisant briller le MS-DOS, la version de Microsoft du système d'exploitation PC créé par IBM en 1981. C'est entre autre avec Maniac Mansion que le PC commencera à rouler sa bosse pour devenir un support de jeu vidéo intéressant et remplaçant peu à peu le secteur des micro-ordinateurs au début des années 90. Par la suite, Fong se fera connaître pour l'excellent mais confidentiel Metal Warriors sur SNES et plus récemment les concept art de … Titanfall. Il a rejoint la bande à Tim Schafer pour remasteriser Full Throttle sur lequel il avait déjà été engagé comme graphiste additionnel en 1995. Joli CV, donc.
Côté son, ça suit l'enrobage visuel de qualité. Bien que peu nombreuses, les musiques reprennent bien évidemment les grands moments d'orgasmes auditifs symphoniques qu'aura sut nous transmettre sieur John Williams. Les puristes hurleront en entendant certains thèmes précis qui n'accompagnent pas forcément la bonne scène, mais qu'importe. Le midi ne dénature pas la musique. Les bruitages sont quant à eux dans l'ensemble satisfaisants même si certains ont put se plaindre de quelques sonorités agaçantes (les cris des Jawa, certaines armes...). La SNES commençait à en avoir l'habitude (Mortal Kombat, Dragon Ball Z Super Butoden, Mega lo Mania, Axelay...) mais c'est toujours un délice que d'entendre des voix digitalisées bien fichues. Surtout quand c'est celle du vieux Ben Kenobi qui en plein milieux du niveau de la tranchée de l’Étoile Noire - défi coriace mais ô combien palpitant pour un jeu de 1992 – déclare le mythique ''Use the Force, Luke'' !
On l'a suffisamment répété depuis des décennies, tout le monde connait l'adage selon lequel un jeu vidéo adapté d'un film est mauvais. D'autant plus si c'est adapté d'un mauvais film. Les exemple ne manque pas, sur Super Nintendo ou ailleurs. Mais quand on assimile la plus fabuleuse saga cinématographique à la plus fabuleuse console 16-bit (la plus fabuleuse console Nintendo, autant le dire), qu'est-ce que cela peut-il bien nous procurer ? Un bon jeu Star Wars, pardi. Que dis-je, un Super Star Wars ! Que l'ont soit un fana invétéré de la vaste saga aux Ewok et aux Wookie ou simplement un amateur de jeu d'action fun à souhait, on ne peut que saluer la qualité ludique et intrinsèque de ce Super Star Wars. Fait étonnamment rare, Sculptured Software et LucasArts parviendront à réitérer la prouesse par trois fois (le hat trick, comme on dit au football). Rares sont les soft à avoir sut si bien cultiver leur glorieuse inspiration pour constituer un jeu de premier choix. Star Wars est d'autant plus un défi casse gueule pour n'importe quel développeur que la série de films réclame de la démesure, de la magnificence, de l'ambition et de la folie pour en faire un bon jeu. On aurait pardonné un gameplay un peu morne, une difficulté hasardeuse et des graphismes dans la moyenne à presque n'importe quel autre run'n gun du marché. Mais avoir le privilège absolu de voir figurer le titre de Star Wars sur sa jaquette implique d'être prodigieux. Sculptured Software n'a pas tremblé et a sut endosser la lourde responsabilité d'une telle production. En résulte un jeu récréatif, complet, qui n'a pas à rougir face à ses contemporains tel Turrican ou Probotector et qui s'offre le luxe que finalement bien peu de jeu ont put se permettre : mode 7 maitrisé, voix digitalisées pour entretenir le rêve, déviance de scénario pour mieux servir le gameplay...
La Super Nintendo tient là une trilogie d'exclusivité de qualité à commencer par ce Super Star Wars remarquable. Nul doute qu'on devra bientôt aborder les deux opus suivants sur Retro Gamekyo. Histoire de voir si la Force était définitivement avec la machine de Big N ou pas.
Bon jeu. Je me rappelle la séquence finale sur l'étoile noire que j'ai dû recommencer une vingtaine de fois avant de comprendre comment il fallait vraiment faire.
Sympa à lire. Je ne connaissais pas mais le genre me plaît, va falloir que j'essai ça.
"à la plus fabuleuse console 16-bit (la plus fabuleuse console Nintendo"
Sympa la subjectivité.
Curieux de voir le jeu et le support pour le 3ème numéro.
Il était super difficile ce jeu et il commençait avec un pique de difficulté rebutant... il fallait s'habituer au personnage car le côté plate-forme, comme souligné dans la critique, n'était pas toujours évident
raiko ah toi aussi quand t'allais chez un "pote" il jouait tout seul devant toi, à un jeu conçu pour un joueur, avec une manette, tout seul, solo, pendant que toi tu poireauté sur son canapé comme un con en faisant semblant de lire 34 fois de suite la jaquette ?
"Viens on va jouer à la Super Nintendo" qu'il disait. Sale con va
gunstarred"à la plus fabuleuse console 16-bit (la plus fabuleuse console Nintendo"
Sympa la subjectivité.
Jamais prétendu nul part que mes retro test étaient objectifs d'ailleurs ça me parait simplement impossible d'être objectif en testant un jeu vieux de bientôt 30 ans. Avec toutes les évolutions technologiques que nous avons vécus, toutes les modes, les tendances, les normes, les tabous, l'émancipation créative, et le boum économique qu'à subit le jeu vidéo, la situation est beaucoup trop bouleversée par rapport à 1992 pour pouvoir juger objectivement à 100% un jeu d'antan.
gunstarred En même temps, un test est un avis subjectif d'une seule personne comme toi, moi ou un autre. Des tests ou avis objectifs, ça n'existe pas...
anakaris J'ai beau apprécier la Mega Drive, qui au passage est une console de fou niveau ludothèque (Shinobi III, Story of Thor, Soleil, Sonic, Golden Axe, etc), ma préférence va également à la Super Nintendo, qui est et restera la plus formidable console de l'histoire de Nintendo.
arngrim Pareil, j'ai dosé cette console comme un fou et j'ai eu la Mega Drive et la Super Nintendo en même temps. Mais la ludothèque de la Super Nintendo était juste énorme et il y en avait pour tous les genres.
anakaris Je ne parle pas du test mais juste de la phrase entre guillemet. Et puis tu as juste gardé le point "négatif" de mon commentaire alors que je dis que c'était sympa à lire et que tu ma donné envie d'y joué.
hyoga57 Je ne parle pas du test mais juste de la phrase entre guillemet
Pour ma part je préfère quand même la Megadrive (toujours tendance à préférer les consoles les moins appréciées moi faut croire) mais j'adore la Super Nintendo, la meilleure machine du constructeur et de trèèèèèès loin
Anakaris >Oui j'y ai eu le droit aussi, pour ce Star Wars et Pitfall aussi Du coup quand il passait chez moi je faisais pareil avec Shinobi 3 (que je finissais à chaque fois devant lui) et La Légende de Thor
hyoga57arngrimraiko au moins ce qui a de bien avec la SNES et la MD, c'est qu'elles avaient réellement une identité propre, avec beaucoup de jeux exclusifs à l'une et l'autre. Les éditeurs tiers d'époque n'avaient pas peur de s'allier avec un constructeur pour leur fournir parfois des dizaines de jeux exclusifs tout au long de la vie de la console !
gunstarred j'ai bien vu le reste de ton commentaire et je t'en remercie vivement
anakaris que ce soit la palette de couleur, le sound design, à l'époque direct tu pouvais reconnaître la machine sur laquelle un jeu tournait ...maintenant ben....bref
Apres le jeu un Dorcel hop plus la ........
Bref excellent souvenir ce Star Wars.
L’un des jeux qui m’a le plus marqué sur SNES. Jamais terminé hélas...
"à la plus fabuleuse console 16-bit (la plus fabuleuse console Nintendo"
Sympa la subjectivité.
Curieux de voir le jeu et le support pour le 3ème numéro.
"Viens on va jouer à la Super Nintendo" qu'il disait. Sale con va
gunstarred "à la plus fabuleuse console 16-bit (la plus fabuleuse console Nintendo"
Sympa la subjectivité.
Jamais prétendu nul part que mes retro test étaient objectifs
anakaris J'ai beau apprécier la Mega Drive, qui au passage est une console de fou niveau ludothèque (Shinobi III, Story of Thor, Soleil, Sonic, Golden Axe, etc), ma préférence va également à la Super Nintendo, qui est et restera la plus formidable console de l'histoire de Nintendo.
hyoga57 Je ne parle pas du test mais juste de la phrase entre guillemet
Anakaris >Oui j'y ai eu le droit aussi, pour ce Star Wars et Pitfall aussi
gunstarred j'ai bien vu le reste de ton commentaire et je t'en remercie vivement