« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Millenium 9/10
Enfin un peu d'air frais en 2020 ! Avec 13 Sentinels : Aegis Rim, Vanillaware offre à la PS4 une expérience singulière, portée par un scénario SF "poupée russe" bien ficelé et passionnant de A à Z. On pensait qu'il serait impossible pour les développeurs de nous tenir en haleine sur 13 scénarios différents, tout en restant intelligible. Et pourtant, malgré le nombre hallucinant de révélations et d'informations balancées par le jeu, tout reste digeste jusqu'à la conclusion. La partie combat a elle-aussi de solides arguments, avec du tour par tour très dynamique, pour des bastons jouissives à défaut d'être lisibles...
Destructoid 8,5/10
Game Informer 8/10
USgamer 8/10
IGN 8/10
Gameblog 8/10
Quelle curieuse aventure que celle proposée par 13 Sentinels : Aegis Rim. Aux antipodes de la fantasy à laquelle il nous avait habitués, le studio Vanillaware nous plonge dans un récit dantesque où les héros et les époques s'entremêlent sur fond de conspiration et de menace extraterrestre. Véritable lettre d'amour au Japon autant que catharsis historique et culturel, l'aventure étonne, désarçonne parfois, la faute à un game design aux phases hermétiquement séparées. Entre la narration qui dévoile des décors à se pâmer de beauté et des combats tactiques présentés dans leur plus simple appareil, il y a comme un monde, qui ne révèle tout son potentiel qu'après de nombreuses heures de jeu. Dense, complexe et singulier, 13 Sentinels : Aegis Rim risque de ne séduire qu'un public restreint, et c'est bien dommage, tant l'aventure est belle. Mais il faudra pour pleinement en profiter accepter de passer outre ses premières incompréhensions, et quelques blagues bien lourdingues sur les sous-vêtements féminins. Il faut de toutes façons s'attendre à ce que le jeu subisse une certaine forme d'injustice, puisque la délicieuse complexité de ce Cerbère ne se révélera qu'aux plus téméraires, non sans laisser sur le bas-côté quelques joueurs s'estimant snobés par la proposition.
JVC 16/20
Avec les efforts de localisation, le travail de Vanillaware va pouvoir être pleinement apprécié par les joueurs français. Le développeur a donné naissance à un RPG stratégique unique, très accrocheur dans son système de jeu, mais surtout un récit de science-fiction sensationnel dont il serait dommage de perdre ne serait-ce qu'une miette. La traduction française minutieuse nous fait donc recommander encore plus chaudement le titre de rentrée d'Atlus, qui concentre tout ce qu'on adore dans le RPG nippon.
J'hésite vraiment pour ce jeu... C'est juste fou parce que j'adore Vanillaware, et j'adore les T-RPG.
Le truc devrait être 100% pour moi.
Mais ce que j'en ai vu et joué chez mon frère (qui a pris une version Jap), j'ai trouvé ça pas ouf. Sur les scènes de combat j'ai trouvé ça brouillon, sur les scène de "vie" des différents protagonistes j'ai trouvé le truc un peu lourd et vieillot dans les mécaniques...
Quand tu vois ce que Persona 5 propose a ce niveau là...
Après l'histoire est vraiment super cool parait-il, l'univers me plait a mort.
A voir si j'arriverais et m'accommoder des petites imperfections
J'ai la liste de tous les membres réguliers du site ayant une PS4. Autant vous dire que vous avez intérêt a avoir le jeu d'ici la fin de semaine prochaine. Je veille au grain
Le truc devrait être 100% pour moi.
Mais ce que j'en ai vu et joué chez mon frère (qui a pris une version Jap), j'ai trouvé ça pas ouf. Sur les scènes de combat j'ai trouvé ça brouillon, sur les scène de "vie" des différents protagonistes j'ai trouvé le truc un peu lourd et vieillot dans les mécaniques...
Quand tu vois ce que Persona 5 propose a ce niveau là...
Après l'histoire est vraiment super cool parait-il, l'univers me plait a mort.
A voir si j'arriverais et m'accommoder des petites imperfections
dooku C'est normal, le jeu sort le 22, dans 6 jours