Un collectionneur français a manqué d'espace à la maison pour continuer à stocker des objets de collection Nintendo, alors il a recréé le bureau d'origine de la marque dans son arrière-cour.
Fabrice Heilig, un collectionneur français spécialisé dans les produits Nintendo (et ces dernières années plus précisément dans les cartes Hanafuda), a manqué d'espace chez lui pour continuer à stocker des produits, il a donc recréé dans son jardin le premier bureau de la marque japonaise à Kyoto, où la société a commencé à fabriquer ses cartes en 1889.
S'adressant à BeforeMario (via Kotaku), un blog spécialisé dans le passé de Nintendo avant les jeux vidéo, Heilig explique: "Comme d'autres collectionneurs doivent le reconnaître, lorsque la collection s'est agrandie, je n'ai plus d'espace pour la stocker et l'afficher. En cherchant une solution, je J'ai pensé ajouter une salle supplémentaire dédiée aux cartes [Hanafuda], car elles ont mon intérêt particulier à être le début de Nintendo. "
Après avoir réfléchi à l'idée, fin 2018, il lui vint à l'esprit de recréer le bâtiment dans lequel Nintendo a été fondée. Cependant, cette boutique en bois de Kyoto a été démolie en 2004 pour en faire un parking, elle n'avait donc pour modèle que les photographies existantes sur le réseau. De plus, les images publiées n'ont jamais montré à quoi ressemblait l'intérieur du bâtiment.
"Pour établir les dimensions du bâtiment", explique le collectionneur, "j'ai utilisé comme référence la taille des éléments en pierre du bureau Nintendo adjacent de 1933, qui existe encore aujourd'hui. Cela m'a permis de faire les plans." Les étapes suivantes ont eu leurs hauts et leurs bas.
La pandémie a ralenti la construction du bâtiment
Il a abattu un arbre dans son jardin et a collaboré avec son charpentier de confiance pour construire le bâtiment en utilisant des techniques japonaises classiques, mais a eu du mal à trouver les carreaux particuliers utilisés; après de longues recherches, il les a obtenus en Hollande. Le bâtiment a été construit en moins d'un an, mais il y a eu des arrêts dans le processus en raison de la pandémie de coronavirus.
Heilig s'est occupé du moindre détail, exportant même un extincteur japonais à placer à côté de la porte, comme d'habitude dans les bâtiments en bois du pays. «Quant à l'intérieur du bâtiment, je voulais que ce soit un lieu dédié à la présentation de ma collection de cartes», explique le collectionneur.
Il ajoute que l'intention est "de rendre hommage à Nintendo et à son histoire, mais aussi d'en profiter en famille et entre amis", donc en plus de remplir les murs avec des vitrines et des boîtes en bois pour les cartes Hanafuda, il a placé trois tatamis , climatisation et autres commodités.
Avant de devenir incontournable dans l’univers du jeu de rythme (Rez, Space Channel 5, Lumines, Meteos, Child of Eden), Tetsuya Mizuguchi s’est fait un nom en produisant certains des plus grands hits automobiles de SEGA. Né à Hokkaidō le 22 mai 1965, le garçon ne garde que peu de souvenirs de sa ville natale Otaru. Alors qu’il n’a que deux ans, son père, qui travaille dans une entreprise de Sapporo (dans le secteur de l’énergie), est muté dans une succursale à Tokyo puis Yokohama. De son enfance, « Miz », comme l’appellent ses proches, conserve le contraste saisissant entre le Mont Fuji qui surplombe la ville de toute sa beauté et cette fourmilière urbaine insaisissable. Il garde ainsi en mémoire ses nombreuses escapades montagneuse et cette communion avec les forêts, les lacs et les grottes. À l’âge de neuf ans, il est de nouveau contraint à déménager à Sapporo et retrouve ses racines à Hokkaidō. En parallèle de son attrait pour le phénomène [id:2909 Pong|sponsored=false], le garçon a une véritable révélation lorsqu’il découvre, sur le téléviseur de son établissement scolaire, un clip musical. Baigné dans la musique des Beatles, il sent tout le potentiel de cette nouvelle forme artistique et commence à se faire une culture à la fois cinématographique et littéraire. Toutes ces passions vont le conduire vers la filière artistique de la prestigieuse Université Nihon de Tokyo. C’est finalement en découvrant une borne d’arcade révolutionnaire qu’il décide, diplôme en poche, de rejoindre l’entreprise SEGA. Le début d’une incroyable carrière…
La suite ici. Je fait rarement ca mais là ca vaut sont click
Les fourreaux se retrouvent face à face contre orochi et le battent alors qu'il était entrain de se transformer
Raizo contre fukurujo
Kid discute avec law sur le fait de séparer big mom de kaido et lui demande si c'est possible, law lui répond que si sa l'était il l aurait fait
Luffy voit le futur et met en garde kid et law d'une attaque puissante venant de kaido et big mom ( zorro intercepte l'attaque mais se blessé ) les autres évitent l'attaque
Luffy attaque kaido mais se fais repousser puis on voit kaido contre-attaquer avec une attaque de foudre comme sur l'image (l'attaque s'appelle anti three...hell) kaido utilise 2 attaques differentes dans le chapitre
On voit zorro coupé Prometheus
kid et law se débarrasse de big mom en la séparant de zeus Prometheus et Napoléon
Law utilise le chambless pour mettre zeus dans une boîte de métal créé par kid
killer attaque napoléon
Big mom tombe du haut du crâne d onigashima
Il ya une page couleur cette semaine
Pas de pause la prochaine semaine
Bon bas voilà j'ai enfin trouvé ce que je cherchais depuis des mois. Une liseuse avec un écran a encre numérique pour les yeux c'est juste le pied. En plus je peut aussi introduire une mini sd de 32GB
Voici les caractéristiques présentes sur la page officielle de Pocketbook :
Écran couleur Kaleido de 7,8 pouces
Résolution noir et blanc 1872 x 1404 (300 PPI)
Résolution couleur 624 x 468 (100 PPI)
Processeur 1 Ghz
1 Go de mémoire RAM
16 Go de mémoire de stockage
Formats de fichiers supportés : ACSM, CBR, CBZ, CHM, DJVU, DOC, DOCX, EPUB, EPUB(DRM), FB2, FB2.ZIP, HTM, HTML, MOBI, PDF, PDF (DRM), PRC, RTF et TXT
J'ai déjà chopper one piece et dbz en qualité HQ avez vous des sites où je pourrais d'autre manga en HQ ? Ci oui mp merci
J'ai pas de mot pour décrire ma ......................
Oden dit qu'il est revenu grâce au pourvoir de toki
Ashura doji n'as pas cru au retour de oden et le coupe avec son épée mais le faux oden ne saigne pas.
Le faux oden explose et ashura est pris dans l'explosion
L'identité de oden est un dessin fait par kanjuro
Orochi est vivant
Il y'a une scène avec yamato et Momonosuke
On retourne sur le toit ou se passe le combat de kaido (mode hybride) et big mom contre les supernovas
Law dit qu'ils doivent se débarrasser de l'un d'eux et zorro lui dit qu'il est d'accord avec lui
Kid dit que si c est 2 se battent côte à côte sa sera l'enfer et luffy lui répond qu'il était déjà en enfer plusieurs fois
on parle de jack dans les spoils qui s'est montré et a voulu combattre les fourreaux mais inuarashi l'a arrêté et a commence un combat contre lui
(Avec quelques mois de retards je découvre cette perle de série. J'ai vraiment bien aimé, tout est bon dedans, quand je dit tout c'est tout.)
« C’est Montréal qui appelle. » « Il faut satisfaire les désirs de Montréal. » Au fil des épisodes de la série Mythic Quest: Raven’s Banquet, le nom de la métropole prend un éclat impressionnant. C’est là que résident les patrons. Là que se brassent les gros sous. Là que les jeux vidéo règnent en rois. Et là que, par la bande, résonne la musique d’Arcade Fire.
Coproduite par Ubisoft et (web)diffusée dès le 7 février sur Apple TV +, cette émission humoristique a été imaginée par la bande de It’s Always Sunny in Philadelphia. Mais ici, les rires sont nettement moins grinçants et le ton, moins satirique.
« C’est une histoire qui vient du coeur », résume avec un soupçon de tendresse le producteur et acteur David Hornsby. Il est vrai que cette comédie de situation, présentée le mois dernier à Pasadena aux journalistes, dont Le Devoir, mise sur des personnages typés attachants, une histoire d’amour naissante, des clins d’oeil moqueurs à l’actualité et quelques, comment dire ? «blagues anatomiques ».
Un peu comme Big Bang Theory utilisait la science pour toile de fond, Mythic Quest fait des jeux vidéo son décor. Reste qu’en son centre, il s’agit d’une histoire de bureau. De collègues qui s’aiment et d’autres qui se déchirent. De conflits, de rapports de genres et de jeux de pouvoir.
« Nous souhaitions faire rire avant tout », raconte Megan Ganz, cocréatrice et productrice du feuilleton. Rire, même en abordant des thèmes sérieux. Comme les heures supplémentaires de fous demandées aux concepteurs de jeux vidéo ; les conditions de travail parfois nullissimes ; la sous-traitance en Europe de l’Est. Le tout, sans trop tomber dans le prêchi-prêcha. Surtout en ce qui a trait à la récurrente question de « la place des femmes dans l’industrie ». « Nous ne voulions surtout pas aller dans le tragique, dans le “woe to the women”, malheur aux femmes, précise Megan Ganz. Nous souhaitions plutôt présenter plusieurs expériences. Et des personnages vraiment différents. »
Comme cette fille à l’ego immense, « qui n’est pas rongée par le doute, et qui n’a jamais connu l’adversité que ses collègues ont pu connaître, ajoute la productrice qui, par le passé, a signé des textes pour Community et Modern Family. Ça nous semblait plus authentique. Et, honnêtement, plus rigolo. Nous ne voulions pas que tous les mecs au sommet soient des abrutis ».
Même si certains le sont quand même un peu. Notamment ce patron incarné par David Hornsby. Un leader mollasson, qui tente d’avoir un peu de prestance et de récolter du respect. Peine perdue. « Ce gars veut à la fois satisfaire les exigences des patrons de Montréal et être ami avec les artistes. Bref, il souhaite être aimé de tous, remarque son interprète. Théoriquement, il est responsable. En réalité, il est au bas de la chaîne en matière de reconnaissance de ses pairs. » Enchaînant gaffe sur gaffe, ce gentil perdant qui chantonne du Spin Doctors illustre, selon l’acteur, « la panique que certains hommes ressentent devant les changements culturels de notre ère ».
Quatre générations d’acteurs se retrouvent, du reste, rassemblées dans Mythic Quest. Parmi eux, la jeune comédienne Ashly Burch, que les amateurs du jeu Borderlands connaissent sous le nom de « Tiny Tina ». De l’autre côté du spectre : le comédien octogénaire F. Murray Abraham, un artiste célébré pour son incarnation oscarisée d’Antonio Salieri dans l’Amadeus de Milos Forman. Dans la série, une oeuvre à mille lieues de ce classique de 1984, le vénérable monsieur incarne un scénariste de jeux vidéo complètement dépassé par les événements. Et, avec un sourire, F. Murray Abraham avoue l’être aussi. D’ailleurs, à la question : « Quel est votre jeu vidéo préféré ? », il répond : « J’aime bien celui avec un bonhomme qui en mange d’autres. » Traduction : Pacman.
Jour d’indépendance
La série n’a pas encore commencé qu’Apple TV + a déjà annoncé l’avoir renouvelée pour une deuxième saison. Simple technique de marketing ? Non, assure Megan Ganz. « C’est une compagnie qui a une vision, et qui nous permet d’avoir la nôtre. Elle ne se plie pas nécessairement aux désirs du public. »
Le cinquième épisode semble cependant faire écho à la situation de ces créateurs. On y suit l’histoire d’un couple qui travaille de tout son coeur à un projet de jeu indépendant. Ils se font remarquer par une grande compagnie. Elle leur offre une coquette somme pour leur concept. Ils l’acceptent. Et le regrettent.
Une inquiétude que Megan et David avaient en travaillant avec un géant tel qu’Apple ? Que leur idée originale soit modifiée ? Vraiment pas, soutiennent les comparses. « L’idée de cet épisode, c’était de montrer à quel point le développement des jeux vidéo a changé au fil des années. On commence par les années 1990, qui étaient très concentrées sur la masculinité, sur le sexe et sur la violence. Puis, on arrive à aujourd’hui, où on reconnaît enfin que les femmes aussi s’intéressent à cet univers. »
Notons ici que les premiers épisodes de la série ont été réalisés, entre autres, par David Gordon Green. Soit le cinéaste qui a conduit le Pineapple Express emboucané de Seth Rogen. En une trentaine de minutes bien tassées, l’ensemble aborde notamment la toute-puissance de certains youtubeurs, qui ont peut-être juste 14 ans, mais également dix millions d’abonnés. Puis ce qui arrive lorsqu’un jeu est détourné. Et utilisé par des fans aux idées extrémistes. En fait foi ce dialogue :
« Mythic Quest est le jeu numéro un…
— Fantastique !
—… parmi les suprémacistes blancs.
— Oh. »
S’ensuit une opération visant à se débarrasser des joueurs mécréants « sans contrevenir au Premier Amendement ». Comme le remarque un responsable : « Nous avons créé la plateforme. Mais est-ce à nous de décider qui peut y rester et qui doit partir ? C’est le même problème avec lequel ont dû composer Facebook et Twitter. »
Souvenir de David Hornsby : « Nous avons beaucoup discuté de la manière dont les jeux vidéo et les réseaux sociaux tissent des liens entre les gens — pour le meilleur et pour le pire. À quel point ces entités peuvent faire ressortir les plus beaux côtés de l’humanité, tout comme les plus moches. » Le remède ? Difficile à trouver. Mais dans le cas de cette comédie, dit-il, c’est simple : « Il faut affronter la situation avec beaucoup de rires. Et pas mal de ridicule. »
Sanglier abattu en Seine-et-Marne : «Ce n’était pas qu’un animal, c’était mon bébé»
Une vidéo d’un chasseur tuant un sanglier domestiqué a provoqué l’indignation. Alain Martin, qui l’avait recueilli, n’en peut plus que les animaux vivant sur son domaine se fassent tirer dessus. La ministre Barbara Pompili a demandé l’ouverture d’une enquête.
La vidéo, terrible, montre le jeune animal exécuté alors qu'il suit les chasseurs, en toute confiance
Pourquoi en Europe nous n'avons pas un amazon et un reseau social comme twitter où face de book ? MADE IN Europe ?
Trop de réglementation ?
Trop de corruption que nos chère eurodéputés ne pourrait décliner de telle offre ?
Etre la trainée des USA et tenter d'échapper à son Mac aurait de trop grave conséquence pour les dure fin de mois de nos chère dirigents ?
@sussudio
Nous n'avons pas la même culture du risque que dans les pays anglo-saxons. Le fonds d'investissements (capital risque) sont plus nombreux la-bas,
- Comme disais Steve Jobs dans une interview des années 80 (fils de p... de youtube qui supprime les vidéos...), en Europe lorsqu'on échoue, cela nous poursuit toute notre vie tandis qu'aux Etats-Unis, échouer c'est positif,
- Nous avons cru au mythe de la Silicon Valley, c'est à dire à la supériorité du secteur privé sur le secteur public. Or, en étudiant l'histoire on constate que la Silicon Valley (Vallée du silicium) doit énormement au départ aux commandes du secteur public.
Nous aurions très bien pu avoir les équivalents des GAFAM en Europe tout comme la Russie et la Chine mais encore faut-il comprendre que les innovations ne sont pas l'apanage du secteur privée et que le secteur public est lui aussi source d'innovations. Mais en adoptant les règles du libre échange, en privatisant les entreprises publiques et surtout en n'ayant aucune planification de l'économie par les états, nous avons échoués.
@Lastboss
La plupart des business qui fonctionnent bien sont rapidement rachetés par les grands groupes et généralement le tout racheté par « Disneyland v1 » (comprendre l’empire américain) d’où l’absence apparente de technologies qui cartonnent chez nous. On en a mais on se fait baiser à chaque coup dès qu’un truc marche