Choppé sur amazon.es pour 27 euros frais de port compris. Ya aussi une offre sur Ni no kuni 2 pour 29 euros mais là j'hésite (pas trop enfantin comme rpg ?)
Déferlante de jeux d'arcade Sega bientôt sur Switch
La stratégie rétro de Sega est sous le feu des critiques. Elles pointent un manque de visibilité voire une approche opportuniste quand l’ancien adversaire de Nintendo répond qu’il s’agit plus volontiers « d’une stratégie non ciblée ». Toutefois, les dernières actualités montrent que la Switch semble devenir la console de choix de Sega.
Dans les colonnes du magazine économique GI.biz, le vice-président de Sega Europe défendait la politique éditoriale tous azimut du géant japonais de l’édition. Obéissant à « une véritable réflexion », cette (sur)capitalisation de son catalogue rétro cherche « des itinéraires viables dans le but d’atteindre la communauté des joueurs » la plus large possible. Le haut dirigeant paraphrase même les manuels scolaires de marketing pour appuyer leur stratégie de diversification : « nous essayons réellement de diffuser le bon contenu, au bon moment sur la bonne plate-forme ». Mais tout ceci s’explique bien plus par un état d’esprit propre à l’entreprise nippone dont l’organisation interne est présentée comme « diversifiée et ouverte ».
Par la polyvalence de son concept ludique, la Switch témoignerait-elle du même caractère que Sega ?
Oui si on porte attention à l’actualité rétro de la console vedette de Nintendo. Coup sur coup, l’équipe de développement M2 chargée de porter les anciennes gloires du constructeur déchu sous le label Sega Ages (lisez-le à l’envers comme à l’endroit) annonce d’être en capacité d’émuler les vénérables cartes d’arcade des années 90. En premier lieu desquels le Model 1 lancé en 1993. Ce véritable concentré de technologies américaines consacra l’entrée en fanfare de Sega dans le monde de la troisième dimension.
Plusieurs titres à licence inédits voire de franchises maladroitement transférés sur consoles Sega devraient voir le jour sur Switch si un accord peut être obtenu avec les détenteurs de la juteuse licence Star Wars. Le Star Wars Arcade massacré sur format 32X comme le Star Wars Trilogy Arcade (Model 3) jamais transcrit sur une plate-forme de salon laissent imaginer du meilleur pour Nintendo.
Mais c’est surtout la carte NAOMI (elle partage une architecture commune à la Dreamcast) qui excite l’attention. Lors d’un entretien croisé accordé au magazine en ligne Gamewatch.jp, le PDG du studio M2 accompagné du producteur de la gamme Sega AGES confirment « avec certitude » que la Switch « est en mesure de supporter des jeux issus de cette carte. Sega AGES Volume 1 sera un succès ». Rendez-vous pris.
Bas voilà ca serait sympa de laisser vos anecdotes sur vos aventures dans le fare west. Moi j'ai appris à chasser juste avec l'arc et parfois vu la taille du gibier ils me filent entre les mains. Donc le fusil s'impose
L'egoest le premier destructeur de valeur dans un projet. J'ajouterais meme dans la vie de tous les jours, avec la peur c'est les pires plaies de l'humanité.
Bon dans le dernier volume de one piece (8 il y avait une offre pour tester gratos pendant 30 jours ADN, vu que je réside en Espagne jy ai pas droit (pas prendre vpn pour ca) donc je laisse ici le code au plus rapide.
Rockstar (Dan Houser) qui avoue avec fierté d'avoir de bon exclaves pret à bosser 100 heures par semaines pour boucler Read.................................
Youpi, en matière d’internet, les choses bougent ! Youpi, l’Union Européenne s’occupe des internautes ! Double-youpi, l’État français aussi ! Nous sommes franchement gâtés ce mois-ci et vraiment heureux de constater que les libertés offertes par les nouvelles technologies sont minutieusement étouffées pour éviter toute joie trop forte qui augmente, on le sait, risques d’infarctus, AVC et autres embolies.
Pour la France, c’est décidé : le salut de nos artères et le calme de nos tempéraments passeront par la mise en place d’une réglementation (comment ça, une de plus ?) pour éviter l’addiction aux réseaux sociaux.
Oui, je subodore fortement que vous ne le saviez pas, mais si, la dépendance des écrans est à la fois connue, avérée et dangereuse.
Connue, puisqu’on en parle dans les journaux et chacun sait que ces derniers émettent toujours une information scientifique, minutieusement relatée et parfaitement équilibrée.
Avérée puisque des millions, que dis-je, des milliards d’études scientifiques extrêmement bien menées prouvent sans le moindre doute que l’augmentation des écrans dans notre quotidien accroît mécaniquement les addictions et les troubles mentaux. Il n’est qu’à voir le nombre de déséquilibrés qui sévissent actuellement pour comprendre l’ampleur du désastre sociétal.
Quant aux bénéfices possibles de ces écrans qui permettraient de contrebalancer les dangers qu’ils provoquent, oublions-les tant ils sont insignifiants (à tel point qu’on se demande même pourquoi ces écrans, ces réseaux sociaux et ces technologies ont été inventés).
Et devant la trop grande liberté prise par tous, autant que nous sommes, de profiter de ces nouveautés, le gouvernement se devait donc d’agir. Comme Mounir Mahjoubi, dont la rumeur insiste qu’il serait secrétaire d’État au Numérique, n’aurait servi absolument à rien s’il n’avait pas présenté une loi, voilà donc un projet fièrement lancé avec une question, aussi stupide que répétitive chez les hommes d’État : « Quel cadre imposer aux acteurs numériques en vue d’assurer la protection des personnes ? »
Parce qu’il faut un cadre, il faut l’imposer, et parce que la protection des personnes n’appartient qu’à l’État (comme les personnes elles-mêmes du reste — après tout, au-delà de 50% d’imposition, est-on autre chose qu’un esclave ?). Il faut en effet comprendre que les individus, oscillant vaguement entre le statut de contribuable et celui d’usager, ne sont pas beaucoup plus que des larves sans colonne vertébrale, sans volonté et incapables de gérer leurs occupations, auxquels seul l’État permet en leur fournissant un cocon (moyennant finance et serment allégeance indéfectible) de faire chrysalide et de se transformer en beaux papillons citoyens.
Mounir et sa clique vont donc lancer une consultation truc machin, à la suite de quoi une loi sera votée pour réguler bien fort le temps que les larves en question passent à bricoler sur Facebook, Youtube ou Instagram au lieu d’aller regarder la télé et lire les journaux officiels où la bonne parole gouvernementale se répand sans fake news.
Youpi, décidément.
Parallèlement, il eut été dommage de passer sous silence les efforts encore plus majestueux qu’a déployés l’Union Européenne pour transformer l’internet en véritable champ de mine juridique où le petit internaute pourra rapidement se faire éparpiller en charpie au moindre faux-pas.
Avec l’instauration de la RGPD, on avait déjà eu un avant-goût de ce que donne un grand pouvoir dans les mains de parfaits irresponsables : grâce à l’effort conjugué de parlementaires pas du tout à jour techniquement, le vieux Continent, croyant forcer les grandes entreprises de l’internet, majoritairement américaines, à mieux protéger les internautes aura abouti à donner encore plus de levier à ces dernières, seules en mesure de suivre les embarrassantes contraintes techniques que le texte provoque, sans changer d’un cachou la protection des données des internautes.
Se berçant sans doute des mêmes illusions, ces mêmes parlementaires viennent à présent de voter une mise à jour des droits en matières de droit d’auteur et de droits voisins, suivant avec application servile les recommendations consternantes des lobbies les plus enragés des grosses entreprises de gestion de ces droits. Ces dernières ont en effet réussi le tour de force de faire croire aux députés européens que ce faisant, ils allaient aider les petits artistes (ce qui est un bobard de force 9), tout en se tirant une copieuse volée de plomb dans les pieds : tout indique que l’entrée en force des articles 11 et 13 de cette nouvelle directive va donner des leviers supplémentaires aux acteurs majeurs d’internet qui n’en avaient pourtant pas besoin.
En effet, ces articles aboutissent (comme le détaillent de nombreux articles documentés que nos parlementaires n’ont pas lu et n’auraient de toute façon pas compris, n’étant pas équipés pour) essentiellement à la mise en place de filtres massifs sur les plateformes d’hébergement de contenus pour s’assurer qu’aucune publication n’enfreint de droit d’auteurs. Inutile de dire que les petits éditeurs n’auront jamais les moyens de mettre ces techniques en place, et que la moindre poursuite à leur encontre se terminera avec pertes et fracas.
De la même façon, les droits voisins — qui imposeraient par exemple à Google News de rémunérer les éditeurs de presse pour les vues générées — vont se retourner violemment contre ces derniers. Si Google peut fort bien se passer de ces éditeurs (les rentrées publicitaires grâce au moteur de recherche sont amplement suffisantes pour lui), l’inverse n’est en revanche pas vrai du tout. Google aura tout intérêt à moduler l’accessibilité des nouvelles fraîches en fonction des retours que ces éditeurs pourront lui octroyer, sous forme d’encarts publicitaires par exemple. Non seulement, ces éditeurs vont accroître leur dépendance à ces plateformes, mais en plus y ajouteront-ils une connivence aussi servile qu’obligatoire.
Les prochaines années promettent d’être croustillantes et seuls pourront s’en tirer ceux dont le trafic est organique, c’est-à-dire généré par un retour de lecteurs réguliers. Les autres vont encore devoir accélérer la foulée dans la course à la visibilité. Comme, en France notamment, la presse est massivement subventionnée et donc déconnectée d’un vrai lectorat, la qualité du contenu risque de s’en ressentir…
Ce qui, finalement, est une excellente nouvelle !
Mounir et sa brochette de rigolos ministériels n’auront finalement pas beaucoup d’efforts à faire pour détourner les Français de réseaux sociaux dont le contenu va progressivement se vider de toute substance intéressante à mesure que plateformes et éditeurs se sépareront. Au rythme où vont les choses et grâce aux règles idiotes mises en place par une technostructure complètement inapte et totalement vendue aux intérêts des lobbies de la propriété intellectuelle, les applications et autres réseaux sociaux lourdement contingentés n’auront bientôt en Europe plus aucun intérêt pour personne.
Depuis quelques années, on est en droit de se demander si l’intelligentsia européenne ne désire pas fusiller durablement la culture et l’économie européenne. Cependant, était-il vraiment utile de hâter à ce point la déconfiture du vieux continent ?
L’Europe a-t-elle tant besoin de se mettre de nouveaux boulets aux pattes avant d’aller trotter sur le marché mondial où Américains et Asiatiques galopent vivement sans s’embarrasser de ce genre de considérations idiotes ? Est-il réellement utile de se donner de tels handicaps dans la course mondiale dans une démonstration à la fois de vertu ridicule (« sauvons les petits artistes ! ») et à la fois d’une force imaginaire sur le mode « ce ne sont pas les GAFA qui décideront pour nous, non mais ! » alors que tout indique que, précisément, c’est sous leur coupe qu’on vient de se ranger avec cette nouvelle directive ?
En France, est-il à ce point nécessaire de faire intervenir, une fois encore, l’État dans un domaine qu’il ne maîtrise absolument pas et dans lequel il a toujours démontré, sur les cinq dernières décennies, n’être qu’un empoté cataclysmique et coûteux ? Est-il absolument nécessaire de légiférer, réglementer encore un domaine qui a déjà subi un véritable carpet bombing législatif, administré par une brochette de tireurs parkinsoniens au strabisme atavique ?
Pour moi la sega saturn remporte le match. Je laisse ici des videos. La ps1 doit surtout son succès a quelques titres mais surtout grace au piratage. Pour la 3D la saturn n'avait pas à rougir, mais ca programmation était un vrais casse tete pour les développeurs à cause de son double processeur entre autres.
Astal plateforme 2D
Mr. Bones
Shinobi X
Guardian Heroes saturn
Thunder force 5
Clockwork Knight
Saturn Bomberman
Sexy Parodius
Prikura Daisakusen
Sega Saturn - Cotton 2
Le plus bo jeux 2D de la sega saturn (enfin pour moi)
Magic Knight Rayearth
niveau rpg je laisse cette liste
Grandia, Lunar, Lunar 2, Shining Wisdom, Tengai Maklyou Apocalypse IV, Princess Crown, Linkle Liver Story, Dragon Force 2, Phantasy Star Collection, Sakura Taisen, Sakura Taisen 2, Devil Summoner, wachenröder, Vandal Hearts, Slayers Royal, Baroque, Langrisser IV, Cyber Doll, Xanadu, Chaos Seed, Ogre Battle: The March of the Black Queen, Suikoden, Samurai Spirits RPG.
Et je vais éviter de parler des jeux 2D baston qui son tous en superior version sur la sega saturn
Bref la sega saturn et la meilleur console que j'ai jamais eut pour moi. Je regrette juste de ne pas avoir connu la pc engine
Mais putain ce retour au source du sacro saint rpg jap de l'ère super famicom and sega saturn, mais putain cette tuerie visuel et sonore qui se permet le luxe de sublimer l'époque des rpg super famicom MAIS QUE DIRE MAIS ACHETER LE PUTAIN !! Ca va etre long jusqu'au 13 juillet !!!! S.E. à annoncé qu'il ni aura pas d'expansion ni aucun rajout au jeux