Préquelle personnelle de Zelda : Ocarina of Time (1)
Préquelle personnelle de Zelda : Ocarina of Time (2)
Préquelle personnelle de Zelda : Ocarina of Time (3)
Préquelle personnelle de Zelda : Ocarina of Time (4)
Préquelle personnelle de Zelda : Ocarina of Time (5)
Lan voyage durant trois mois. Il arrive à la tombée de la nuit, dans un village perdu, en plein milieu d’un désert. Il descend et attache son cheval. Il rentre dans une taverne où l’accueille le tenancier. Lan demande :
-Y’a-t-il encore une chambre pour cette nuit.
-Pas de problème, c’est 20 rubis.
-Je prends, dis Lan en tapant avec son index sur le comptoir, je voudrais dîner ce soir, après avoir une fois déposé mes bagages.
-Montez, chambre 3, installez-vous, redescendez, ça sera prêt.
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Dans la cuisine de la Taverne, une jeune femme se cache derrière le tavernier, pour le surprendre.
-Nabooru, je suis occupé.
-Comment as-tu réussi à m’entendre, je pensais te surprendre.
-je te rappelle que Je te connais par cœur.
-On a un client ce soir.
-Je dois aller le servir.
Dans la salle à manger de la taverne
- Vous n’êtes pas du coin, que venez vous faire dans cette contrée reculée ?
Le tavernier dépose l’assiette sur la table.
-Je cherche le temple Néhan
-Vous venez d’où exactement ?
-D’Hyrule.
Lan commence à se rassasier avec un plat de viande accompagné d’haricot et d’une shop de bière bien fraîche.
-Est-ce que ce temple est loin d’ici ?
-Non il se situe derrière ses dunes, montre le tavernier à travers la fenêtre, mais avez-vous une idée à quoi il ressemble.
-Un temple c’est un temple.
-Mais on ‘a pas besoin de vous pour en cas d’attaque hostile ?
-Ne vous inquiété pas, le royaume à un grand magicien. D’ailleurs il est de la même race que vous.
-Ah ? D’un air étonné, et il s’appelle comment ?
-Ganondorf
Le tavernier retourne abasourdie dans sa cuisine, Nabooru lui demande :
-Alors, c’est qui ?
-Hyrule…et dire que c’est a cause du roi de cette cité que cette tribu a pratiquement disparu, dit Le tavernier les yeux dans le vague.
-De quoi parles-tu ?
Le tavernier prend une chaise et s’assoie.
-ça remonte à une vingtaine d’années.
Nabooru s’assoie à son tour, le tavernier continue de parler.
-Le village voisin a été attaqué, un chevalier du nom Lorma était chargé de ramener l’épée de l’avenir, le roi l’avait ordonné. J’ai rencontré cet homme, il m’a dis qu’il avait caché une jeune enfant. Mais ce qu’il voulait par-dessus tout, protéger le garçon de la tribu.
-Pourquoi cet enfant ?
-Je me souviens qu’il m’est dit « j’espère à l’avenir ne plus jamais me tromper »
-et, l’autre enfant qu’est-il devenu ?
Le tavernier racle sa gorge et se lance :
-Euh…fallais bien que ça arrive, je t’ai caché la vérité sur ton passé, tu…tu n’es pas ma fille.
-Quoi dit-elle en se levant. …Pourquoi tu m’as-tu caché cette histoire.
-Je sais pas quoi te dire, je n’aurais pas pensé qu’un homme venu d’Hyrule referais son apparition par ici dit-il gêné.
-Hyrule ?
-C’est le nom de la cité d’où venez le voyageur qui m’a dis ou te trouver.
-Qu’est-il devenu ?
-Je n’est jamais su…si il y’a une chose à faire, c’est de rétablir la vérité en allant jusque cette cité avec Shannah ton cheval, l’enfant recueilli s’appelle Ganondorf, Il faut lui dire d’où il vient, et qui il est.
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Pendant ce temps dans la cuisine du château d’Hyrule, Ingo confie à une servante le souper à destination de Ganondorf. Elle se dirige vers le bureau. Elle frappe à la porte.
-Oui, entrez.
Elle pose le plateau, Ganondorf l’interpelle alors qu’elle s’âpreté à sortir de la pièce :
-Tu n’as pas oublié les couverts.
-Oh ! Excusez-moi, maître dit la servante embarrassée.
-Ce n’est pas la première fois que ça arrive, à un moment ou un autre c’est le plateau que tu oublieras.
Impa referme la porte derrière la servante.
-Vous êtes un peu dure avec elle.
-A chaque fois, elle oublie quelque chose.
-Je ne vous voyer pas aussi mesquin.
-Ca me rappel a qu’elle point j’ai l’impression de ne pas faire parti des gens de se royaume.
-Vous savez que le roi vous apprécie, je pense même que beaucoup son jaloux de cette complicité, mais je ne pensai pas que le regard des autres vous touchez à ce point.
-Vous ne pouvez pas comprendre ce que je ressens.
-Vous croyez que d’être une femme soldat est si bien vu que ça, a-t-elle point que certain me perçoivent comme un garçon manqué, vous le premier d’ailleurs.
-C’est vrai, Je le reconnais, mais une femme qui se bat ce n’est pas digne dans être une.
-Et un homme qui pleure sur son sort est-ce digne d’un homme.
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