Greg Kasavin, directeur créatif de Hades :
Jusqu'à présent, Returnal est l'un de mes jeux préférés de l'année. Bon sang, je n'ai pas encore bouclé une run, mais j'ai joué des dizaines d'heures à ce jeu. Je suis à fond dedans. Housemarque sont des développeurs super cool. Je les suis depuis des années.
Indépendamment de la structure roguelike et certaines ambitions narratives, Returnal et Hades sont tellement différents, surtout en ce qui concerne le point de vue de l'action. J'ai adoré l'approche dont Housemarque a fait preuve en prenant la dimension bullet hell de leurs précédents jeux, pour l'amener dans une structure roguelike. Il y a un parallèle avec nous car nous avons, de façon intentionnelle, remis une partie du gameplay hack and slash de Bastion sur lequel nous avons travaillé il y a longtemps, afin de l'incorporer à une structure roguelike.
Quand vous faites un jeu, vous essayez d'être le meilleur dans le domaine ou d'être unique d'une certaine manière. Malgré les nombreux roguelike, nous avions le sentiment qu'il y avait suffisamment de place pour explorer encore davantage le genre. Et dans notre cas, nous voulions utiliser la structure comme prémisse pour raconter une histoire et réfléchir à un scénario où quelqu'un mourrait et reviendrait à la vie sans cesse. Et Returnal explore cette idée aussi.
déclare Kasavin dans un entretien à Comingsoon.
JVLive
PS : Gregory A. Kasavin est un scénariste et concepteur de jeux pour le studio Supergiant Games, et l'ancien directeur et rédacteur en chef de GameSpot pendant plus de 10 ans. (Wikipédia)
churos45 Je ne sais pas comment c'est avec les autres rogue-like mais sur Returnal, j'ai vraiment pas senti de lassitude à recommencer. Surtout que je trouve que c'est assez facile de revenir au biome où on a échoué quand tu as battu un boss ou ouvert le passage vers le boss. Tu te retapes pas 1h de jeu avant de revenir à là ou tu en étais. Puis il y a des avantages à reprendre du début comme améliorer les armes, trouver des objets. J'ai vraiment pas trouvé le jeu frustrant. Et finalement pas si dur.