Ce soir en reluquant la pub papier de carrefour, en voyant le nombre de marques se battant dans l'électroménager je me suis posé cette question:
Pourquoi n'y a t'il que 3 marques principales dans le monde des consoles de salon?
Pourquoi d'autres ne se sont-ils pas risqués sérieusement de se lancer dans ce marché (samsung, apple, philips....) alors que ce média génère tant d'argent?
Pensez-vous qu'il y a la place aujourd'hui ou demain pour un ou plusieurs nouveaux concurrents?

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posted the 05/08/2014 at 06:44 PM by
reflexion
Sinon une bosh qui fait café aussi ce serait top
Ca a donné les Apple II (micro-ordinateur début des années 80) et les CD-i (console de salon début 90) entre autre.
Des vrai étrons tous autant qu'ils sont.
reflexion justement ça génère plus d'argent mais proportionnellement il en faut aussi énormément pour percer dans le milieu. Dans les années 80 et 90 ça allez car tout restait encore à inventer, aujourd'hui si dés le départ tu sors pas un jeu parfait qui accroche le public à fond, tu foire ton coup
Regarde à l'époque Squaresoft produit 4-5 jeu plutôt médiocre, ils se retrouvent dans la merde et Hironobu Sakaguchi invente Final Fantasy, c'est le début de la légende: 1987.
Imagine si ça s'était passé aujourd'hui, Squaresoft fait 4-5 jeux médiocres, ils auraient pas le temps de créer quoi que ce soit d'autre, ils aurait fait faillite !
Si il n'y a pas de concurrent a l'heure actuelle, c'est surtout que depuis l'ere de la ps1/Saturn, les autres constructeur n'ont pas pu (et/ou voulu) investir dans les nouvelles technologies sans gagner du fric immédiatement (regarder la 3DO, prix trop élevé et titres de lancement moyens = flop, Amiga cd32 techniquement dépassé et trop cher = flop, et je ne parle pas de la nec FX de la jaguar ou de l'hyper Neogeo 64)
Maintenant un nouveau constructeur pourrait etre bénéfique, mais mis a part Samsung, LG et Apple, je ne vois pas très bien qui peux se permettre de dépenser autant en R&D pour se lancer sur le marché tout en sachant que les bénéfices n'arriveront pas au bout de la première année de commercialisation