description : L'idée de ce groupe, c'est susciter l'envie de regarder des films plus ou moins connus (c'est plutôt ceux là qui seront mis en avant, si possible) qui sont interessant (certains devenus "culte") à voir (ou revoir) et qui passe à la télé en soirée.
Les jeux vidéo s'inspirent aussi du cinéma, donc un groupe qui parle de film parait logique.
Cabochard, amateur de femmes et de boissons fortes, Steve Everett, grand reporter qui avoue son penchant immodéré pour les sujets chocs, finit par se faire licencier du "New York Time". Il échoue sur la côte Ouest à "l'Oakland Tribune". Là il est chargé de reprendre une enquête interrompue après la mort accidentelle d'une jeune collègue. Cette dernière etait chargée de couvrir l'execution d'un criminel noir, Frank Beechum, condamné pour le meurtre d'une caissière. Très vite, Everett à de sérieux doutes sur la culpabilité de Beechum, qui doit être éxécuté à minuit.
Un Clint Eastwood réussi pour un film aussi rocambolesque que malin.
Une critique sociale sans en avoir l'air.
Réalisé et scénarisé par Makoto Shinkai
(Les Enfants du temps / Your Name)
Dans une petite ville paisible de Kyushu, une jeune fille de 17 ans, Suzume, rencontre un homme qui dit voyager à la recherche d’une porte. Décidant de le suivre dans les montagnes, elle découvre une porte délabrée trônant au milieu des ruines, seul vestige ayant survécu au passage du temps. Cédant à une inexplicable impulsion, Suzume tourne la poignée, et d’autres portes s’ouvrent alors aux quatre coins du Japon, laissant passer toutes les catastrophes qu’elles renfermaient. L’homme est formel : toute porte ouverte doit être refermée. Suzume s’est égarée où se trouvent les étoiles, le crépuscule et l’aube, une voûte céleste où tous les temps se confondent. Guidée par des portes nimbées de mystère, elle entame un périple afin de toutes les refermer.
Un road trip paranormal mêlant onirisme et réalisme avec une légèreté mélancolique.
La réalisation, le rythme, l'OST sont réussis.
Sur les autoroutes désertées d'une Australie méconnaissable, une guerre sans merci oppose motards hors-la-loi et policiers Interceptor, qui tentent de triompher de la vermine au volant de voitures aux moteurs surgonflés. Dans ce monde en pleine décadence, les bons, les méchants, le manichéisme disparaissent...
Le début d'une saga culte.
Le premier rôle marquant de Mel Gibson
Le désespoir poussé à son paroxysme.
Réalisé par Goro Miyazaki : Les Contes de Terremer
Umi est une jeune lycéenne qui vit dans une vieille bâtisse perchée au sommet d’une colline surplombant le port de Yokohama. Chaque matin, depuis que son père a disparu en mer, elle hisse face à la baie deux pavillons, comme un message lancé à l’horizon. Au lycée, quelqu’un a même écrit un article sur cet émouvant signal dans le journal du campus. C’est peut-être l’intrépide Shun, le séduisant jeune homme qu’Umi n’a pas manqué de remarquer. Attirés l’un par l’autre, les deux jeunes gens vont partager de plus en plus d’activités, de la sauvegarde du vieux foyer jusqu’à la rédaction du journal. Pourtant, leur relation va prendre un tour inattendu avec la découverte d’un secret qui entoure leur naissance et semble les lier…
Une histoire pleine de nostalgie.
Une approche plus contemplative des films d’animation Ghibli
Plus réaliste et moins onirique que les films de Hayao Miyazaki.
Réalisé par Brian De Palma : Carrie au bal du diable / Blow Out / Scarface / Les Incorruptibles / L'Impasse / Mission impossible / Snake Eyes
1966, pendant la guerre du Vietnam. Eriksson, une jeune recrue, est sauvé de la mort par son commandant, le charismatique sergent Meserve. Quelques jours plus tard, le radio de l'escouade est abattu dans un village allié. En représailles, Meserve décide d'enlever une jeune villageoise.
Un film peu connus de Brian de Palma et pourtant.
Un excellent duo d'acteurs : Michael J. Fox et Sean Penn.
Tout est maitrisé jusqu’au final.
Inspiré d'un fait réel.
« plus grand film sur la guerre du Vietnam » a déclaré Tarantino
Réalisé par Sam Raimi : Trilogie Evil Dead et trilogie SpiderMan.
John Herod règne tel un tyran sur la petite ville de Redemption où se tient chaque année un tournoi de duels à mort à l'issue duquel la somme de 123.000 dollars est promise au meilleur tireur. Jusque là Herod a toujours empoché la récompense lui-même. Mais lorsque Ellen, une mystérieuse inconnue, déclare vouloir participer à la compétition, les événements prennent une tournure inattendue...
Un exercice de style fun et tragique signé Sam Raimi
Des duels inspiré.
Un casting trois étoiles (Sharon Stone/Gene Hackman/Russell Crowe/Leonardo DiCaprio)
Un film sous estimé (qui a fait un bide) à sa sortie
Réalisé par Mike Newell : Quatre Mariages et un enterrement / Harry Potter et la Coupe de feu / Prince of Persia : Les Sables du Temps
En 1978 a New York, l'agent spécial Joe Pistone est désigné par le FBI pour infiltrer le clan Bonanno, une des familles les plus puissantes de la cote Est. Il contacte un modeste porte-flingue de l'organisation, Lefty Ruggiero, aupres duquel il se fait passer pour un specialiste en joaillerie du nom de Donnie Brasco. Coupe de son milieu, Donnie va peu a peu s'identifier a ceux qu'il doit détruire.
Pacino / Depp sont parfait.
Une mise en scène sobre mais qui va à l'essentiel.
Tiré d'une histoire vraie.
La conclusion qui en dit long (et qui explique le choix de mon titre d'article)
8 Nominations aux Oscars 1978
Il a obtenu l'Oscar de la meilleure photographie
Le film est réalisé et écrit par Steven Spielberg
Des faits étranges se produisent un peu partout dans le monde : des avions qui avaient disparu durant la Seconde Guerre mondiale sont retrouvés au Mexique en parfait état de marche, un cargo est découvert échoué au beau milieu du désert de Gobi.
Dans l'Indiana, pendant qu'une coupure d'électricité paralyse la banlieue, Roy Neary, un réparateur de câbles, voit une "soucoupe volante" passer au-dessus de sa voiture. D'autres personnes sont également témoins de ce type de phénomène : Barry Guiler, un petit garçon de quatre ans, est réveillé par le bruit de ses jouets qui se mettent en route.
Cherchant à savoir d'où proviennent ces ovnis, Roy Neary se heurte aux rigoureuses consignes de silence imposées par le gouvernement fédéral. Obsédé par ce qu'il a vu et hanté par une image de montagne qu'il essaie désespérément de reconstituer, il est abandonné par sa femme Ronnie et ses enfants. Il n'y a que Jillian, la mère de Barry, qui le comprenne.
Parallèlement à ces événements, une commission internationale conduite par le savant français Claude Lacombe s'efforce d'en percer le mystère. Une évidence s'impose bientôt à eux : une forme d'intelligence extraterrestre tente d'établir un contact avec les Terriens.
Du Spielberg pur jus
L’antithèse d'indépendance day
Humaniste et optimiste.
MATRIX RESURRECTIONS nous replonge dans deux réalités parallèles – celle de notre quotidien et celle du monde qui s’y dissimule. Pour savoir avec certitude si sa réalité propre est une construction physique ou mentale, et pour véritablement se connaître lui-même, M. Anderson devra de nouveau suivre le lapin blanc. Et si Thomas... Neo... a bien appris quelque chose, c’est qu’une telle décision, quoique illusoire, est la seule manière de s’extraire de la Matrice – ou d’y entrer... Bien entendu, Neo sait déjà ce qui lui reste à faire. Ce qu’il ignore en revanche, c’est que la Matrice est plus puissante, plus sécurisée et plus redoutable que jamais. Comme un air de déjà vu...
Une suite qui divise car elle bouscule la matrice original.
Plus léger mais qui empêche pas encore de se poser des questions existentiels.
Finney Shaw, un adolescent de 13 ans, timide mais intelligent, est enlevé par un tueur sadique qui l’enferme dans un sous-sol insonorisé où s’époumoner n’est pas d’une grande utilité. Quand un téléphone accroché au mur, pourtant hors d’usage, se met à sonner, Finney va découvrir qu’il est en contact avec les voix des précédentes victimes de son ravisseur. Ils sont aussi morts que bien résolus à ce que leur triste sort ne devienne pas celui de Finney.
Entre thriller et horreur.
L'ambiance est réussi, ainsi que le rythme du film.
Une approche à la fois "sérieuse" et "irrationnel"
L'un des meilleurs rôles de Ethan Hawke