description : L'idée de ce groupe, c'est susciter l'envie de regarder des films plus ou moins connus (c'est plutôt ceux là qui seront mis en avant, si possible) qui sont interessant (certains devenus "culte") à voir (ou revoir) et qui passe à la télé en soirée.
Les jeux vidéo s'inspirent aussi du cinéma, donc un groupe qui parle de film parait logique.
Réalisé par Clint Eastwood.
Par le scénariste (Billy Ray) de Capitaine Phillips.
Synopsis : En 1996, Richard Jewell fait partie de l'équipe chargée de la sécurité des Jeux d'Atlanta. Il est l'un des premiers à alerter de la présence d'une bombe et à sauver des vies. Mais il se retrouve bientôt suspecté... de terrorisme, passant du statut de héros à celui d'homme le plus détesté des Etats-Unis. Il fut innocenté trois mois plus tard par le FBI mais sa réputation ne fut jamais complètement rétablie, sa santé étant endommagée par l'expérience.
C'est tiré d'une histoire vraie.
Le film à des allures d'un thriller (qui prends son temps, tout en étant haletant).
Des acteurs bien choisis, pour jouer des personnes "ordinaires".
Les médias et le FBI en prennent pour leur grade.
Un film qui résume les paradoxes de l’Amérique.
Réalisé par Clint Eastwood.
Par le scénariste (Nick Schenk) de Gran Torino.
Synopsis : À plus de 80 ans, Earl Stone est aux abois. Il est non seulement fauché et seul, mais son entreprise risque d'être saisie. Il accepte alors un boulot qui – en apparence – ne lui demande que de faire le chauffeur. Sauf que, sans le savoir, il s'est engagé à être passeur de drogue pour un cartel mexicain.
Extrêmement performant, il transporte des cargaisons de plus en plus importantes. Ce qui pousse les chefs du cartel, toujours méfiants, à lui imposer un "supérieur" chargé de le surveiller. Mais ils ne sont pas les seuls à s'intéresser à lui : l'agent de la DEA Colin Bates est plus qu'intrigué par cette nouvelle "mule".
Entre la police, les hommes de main du cartel et les fantômes du passé menaçant de le rattraper, Earl est désormais lancé dans une vertigineuse course contre la montre...
La Mule est ainsi inspiré d'un authentique fait divers.
Et si c'était réellement le dernier grand rôle de Clint Eastwood (sur que le temps passe aussi).
ça a des allures d'un polar, mais c'est plus un drame familial et d'une critique social des personnes âgées qui arrivent pas à subvenir à leurs besoins dans ce pays où la ne liberté existe que par l'argent.
Un film qui montre tout le paradoxe de l’Amérique... le rêve américain peut-être un cauchemar pour les petites gens simples sur qui retombe le système.
Réalisé et scénarisé par Rian Johnson
(Looper / Star Wars, épisode VIII : Les Derniers Jedi)
Synopsis : Célèbre auteur de polars, Harlan Thrombey est retrouvé mort dans sa somptueuse propriété, le soir de ses 85 ans. L’esprit affûté et la mine débonnaire, le détective Benoit Blanc est alors engagé par un commanditaire anonyme afin d’élucider l’affaire. Mais entre la famille d’Harlan qui s'entre-déchire et son personnel qui lui reste dévoué, Blanc plonge dans les méandres d’une enquête mouvementée, mêlant mensonges et fausses pistes, où les rebondissements s'enchaînent à un rythme effréné jusqu'à la toute dernière minute.
Si vous aimez l'ambiance "Agatha Christie".
Une mise en scène classique, mais maligne.
Un casting 3 étoiles.
Réalisé par James Gray
(The Yards / La Nuit nous appartient / The Lost City of Z)
Synopsis : L’astronaute Roy McBride s’aventure jusqu’aux confins du système solaire à la recherche de son père disparu et pour résoudre un mystère qui menace la survie de notre planète. Lors de son voyage, il sera confronté à des révélations mettant en cause la nature même de l’existence humaine, et notre place dans l’univers.
Mise en scène inspiré.
Aussi spectaculaire qu'intimiste.
Le thème de la filiation "Père/fils", le vrai sujet de fond.
Un contre-pied assumé de ce que l'on attends "normalement" d'un film de Science-fiction.
Réalisé par James Mangold
(Copland / 3h10 pour Yuma / Logan)
Synopsis : Basé sur une histoire vraie, le film suit une équipe d'excentriques ingénieurs américains menés par le visionnaire Carroll Shelby et son pilote britannique Ken Miles, qui sont envoyés par Henry Ford II pour construire à partir de rien une nouvelle automobile qui doit détrôner la Ferrari à la compétition du Mans de 1966.
Un film passionnant durant et en dehors des courses.
Un duo d'acteur au top.
Une fin marquante.
Synopsis : Martin Vail, brillant avocat de Chicago, aussi soucieux de sa publicité que de son talent, se porte volontaire pour défendre un jeune homme accusé du meurtre de l'archevêque Rushman, un des plus éminents dignitaires de la ville. Aaron Stampler, le présumé coupable, provincial timide et naïf, bénéficiait de la protection de l'archevêque qu'il considérait comme son père. Vail est vite convaincu de l'innocence de son client. Cependant, après certaines révélations troublantes, il sera amené a manipuler et à piéger la partie adverse.
Un bon thriller.
Le film qui a révélé le potentiel d'Edward Norton (dès son premier rôle).
Un film à voir jusqu'au bout.
Réalisé par Michael Apted
(Gorilles dans la brume)
Synopsis : Lors d'une enquête dans les Badlands du Dakota sur le meurtre d'un Sioux Oglala, un jeune agent du FBI, Raymond Levoi, d'origine indienne mais qui ne veut pas le savoir, va être adopté par une militante indienne et un vieux sorcier qui vont se charger de son éducation et réveiller en lui le sens des valeurs et des traditions oubliées.
Un bon film policier.
Il est de plus basé sur des faits réels survenus autour des années 1970.
Pas loin d'un documentaire sur les conditions de vie des Amérindiens aux États-Unis à la fin du XXe siècle.
Le film parle de la lutte menée par le Mouvement pour la défense des droits des Amérindiens.
Réalisé et écrit par Quentin Dupieux
(Rubber / Wrong / Réalité / Le Daim / Mandibules)
Synopsis : Un poste de police. Un tête-à-tête, en garde à vue, entre un commissaire et son suspect.
Un excellent huit clos policier absurde
Une mise en abyme très bien amené
Les acteurs sont parfait
Une conclusion digne d'un épisode de la quatrième dimension.
Réalisé par Mamoru Hosoda
(La Traversée du temps / Summer Wars / Les Enfants loups, Ame et Yuki / Le Garçon et la Bête)
Synopsis : Kun est un petit garçon à l’enfance heureuse jusqu’à l’arrivée de Miraï, sa petite sœur. Jaloux de ce bébé qui monopolise l’attention de ses parents, il se replie peu à peu sur lui-même. Au fond de son jardin, où il se réfugie souvent, se trouve un arbre généalo-ma-gique. Soudain, Kun est propulsé dans un monde fantastique où vont se mêler passé et futur. Il rencontrera tour à tour ses proches à divers âges de leur vie : sa mère petite fille, son arrière grand-père dans sa trépidante jeunesse et sa petite sœur adolescente ! A travers ces aventures, Kun va découvrir sa propre histoire.
Toujours cette obsession de Mamoru Hosoda sur le rapport au temps et l'enfance...
Nous sommes dans l’esprit des productions "intime" de Ghibli.
Chronique d'une vie familiale...
Synopsis : Dans les forêts reculées du nord-ouest des Etats-Unis, vivant isolé de la société, un père dévoué a consacré sa vie toute entière à faire de ses six jeunes enfants d’extraordinaires adultes.
Mais quand le destin frappe sa famille, ils doivent abandonner ce paradis qu’il avait créé pour eux. La découverte du monde extérieur va l’obliger à questionner ses méthodes d’éducation et remettre en cause tout ce qu’il leur a appris.
Le sujet du film, c'est "la marginalité" face à "une norme".
Un film aussi drôle que touchant.
Viggo Mortensen est juste dans se rôle de père protecteur (peut-être trop...c'est aussi une des questions que posent le film, où est la limite ?).
Quelle éducation, pour quelle société ? là est la question...