CinemaTeaser 5/5
Dans un paysage où les ambitions du genre super-héroïque apparaissent souvent sinistrées, Matt Reeves se saisit de l’icône Batman en un geste radical et imposant.

Filmsactu 5/5
Reeves a réussi l’exploit de réaliser le meilleur Batman depuis The Dark Knight, donnant un vrai coup de polish à un univers et des personnages vus et revus, explorant les zones sombres de Gotham d’une façon encore jamais vue.

Le Dauphiné Libéré 5/5
(...) comme Joaquin Phoenix a changé le Joker, dans Joker (2019) de Todd Phillips, Robert Pattinson invente une nouvelle version originale de Batman dans The Batman de Matt Reeves. Robert Pattinson est un Batman sombre, un Bruce Wayne névrosé, un héros tragique magnifique.

Le Figaro 5/5
Matt Reeves propose une version sombre et poisseuse de Batman. Il arrive après le gothique Tim Burton, le navrant Joel Schumacher et l’intouchable Christopher Nolan, mais ne se contente pas de repasser les plats.

20 Minutes 4/5
Robert Pattinson surprend par la noirceur de son interprétation dans « The Batman ». Il est étonnant face à Zoë Kravitz dans ce néopolar qui renouvelle la franchise.

Ecran Large 4/5
The Batman est bien l’œuvre bouleversante que l'on n'espérait plus. Sombre, décadent et d'un nihilisme total, le film de Matt Reeves déploie une relecture désespérée d'un Chevalier Noir plus politique que jamais. Son casting parfait et sa mise en scène classieuse fournissent l'écrin impérial d'un blockbuster immanquable.

Le journal du Dimanche 4/5
Mention spéciale à l’excellent Paul Dano alias The Riddler, qui exécute encore une performance saisissante d’ambiguïté et installe un malaise durable.

Le Parisien 4/5
Un retour aux sources sombre, volontairement bricolé sur le plan visuel, et très réussi.

Les fiches du cinéma 4/5
Matt Reeves réinvente magistralement le Chevalier noir, au fil d’une enquête sombre et dense, qui n’a rien de super-héroïque.

Les Inrockuptibles 4/5
D’une durée de 2 heures 55, le film a quelque chose d’éprouvant. On en sort un peu fourbu·e, assommé·e par ces intrigues à rallonge, ces combats délayés, ce tunnel de nuits qui semblent avoir avalé le jour.

Libération 4/5
The Batman est tellement un film, à croire que c’est encore possible, il déchaîne tant de ténèbres, les sature de tant de désir, qu’on oublie de quoi il retourne – un autre film de super-héros – on pense Murnau, Feuillade, Tourneur, tout le cinéma des débuts comme cinéma des crépuscules, l’horreur du monde comme expérience.

Paris Match 4/5
Réinventer une icône déjà magnifiée par Tim Burton ou Christopher Nolan, ne voilà pas la moindre des qualités de Matt Reeves. Son Batman est poisseux et sombre dans un film dantesque qui dissèque les travers d’un super-héros dépressif, campé par un Pattinson minimaliste.

Le Nouvel Observateur 3/5
A l’instar du film, enquête policière sans intrigue, marche funèbre rattrapée par sa fonction de blockbuster, dont l’ensemble, démesurément long (2h55 !), est inférieur à la somme des parties. Impossible de ne pas admirer (l’image, l’atmosphère), difficile de se sentir concerné (par les personnages, la parabole éventée). Le conte y est, pas la voix.

Les Echos 3/5
La chauve-souris de Gotham City est de retour sous les traits de Robert Pattinson. Matt Reeves signe une fresque à la plastique monochrome impressionnante, sur un scénario exagérément étiré.

Télérama 3/5
(...) fini le tandem Zack Snyder et Ben Affleck, peu concluant, place à un nouveau ticket, nettement plus gagnant, Matt Reeves et Robert Pattinson. Qui mieux que ce dernier pouvait coller à l’univers gothique du superhéros ? Ce rôle paraît fait pour lui. Trop peut-être.

Le Monde 2/5
Le tout émaillé du sempiternel roman des origines batmanien et doté de scènes d'action de bonne facture (...). Dans cette partition sans grande surprise, Robert Pattinson s'essaie à trouver sa signature.

Première 2/5
Plus que dans ses démonstrations de force ou son entêtement à ne jamais ressembler à ce qui l’a précédé, c’est dans ces interstices un peu trop rares où The Batman est à son meilleur : quand il se décide enfin à montrer l’agitation intérieure de son héros au lieu de la théoriser.

Sud Ouest 2/5
Le film embrasse large : un puzzle à la « Seven », des cascades impressionnantes, une dramaturgie à rallonge et des enjeux humains version XXL.

Allociné