Aimant beaucoup écrire et, étant passionné par le scénario de la saga, j'ai écrit, en essayant de reprendre le peu d'information que j'avais, ce qui aurait pu être l'affrontement entre The Boss Et The Sorrow. Je met ce petit texte ici et vous laisse jugé si oui ou non, c'est cohérent avec le reste de l'histoire. Je ne cherche pas à "compléter" la saga, juste à montrer comment j'imagine cette rencontre...



Les deux amants se fixaient dans les yeux. D’un côté une certaine incompréhension mêlée à un amour pur se lisaient dans le regard, la joie étant toujours présente ; de l’autre, autant d’amour mais une compréhension extrême mélangée à une grande tristesse venaient s’y ajouté…
Le soleil brillait en cet après-midi, le vent soufflait une légère brise qui agitait les feuilles des arbres dans un bruit a peine perceptible. The Sorrow brisa ce beau silence en s’approchant de la femme qu’il aimait en lui disant :
-Quel tristesse, c’est toujours ainsi la mort, elle amène son lot de tristesse et repart…J’entend tout ces hommes tombé au combats mais, toi m’entendra tu ?
The Boss fit le dernier pas qui les séparait et, tout en enlaçant l’homme qu’elle aimait, lui dit :
-Ils disent que tu doit mourir, ils m’ont chargé de cette mission…Mais tu le sais sans doute déjà ?
Ils se turent un moments alors qu’ils s’embrassaient tendrement, l’une avec toute la fougue et le bonheur qu’elle ressentais à chaque moment, l’autre tendrement et calmement, comme s’il savourait un moment qui ne reviendrai plus…Il éloigna légèrement son visage de celle qu’il aimais et la regarda sans mot dire pendant quelque instants puis reprit la parole, de sa voix triste :
-Bien sur que je le sais…Et j’ai pour mission d’éliminer l’agent envoyé par les Philosophes…Qu’est ce qui serait le plus triste ? Savoir que j’ai tué la femme que j’aime ou mourir de sa main ?
-Ils nous faut rester fidèle à notre mission, c’est ça qu’il faut garder à l’esprit.
The Sorrow laissa échapper un soupir résigné :
-Tu a tout à fait raison mon amour ; accomplissons notre devoir et ensuite on vivra avec ce que la mission aura apporter de tristesse dans nos cœurs…
Les amants reculèrent chacun de quelque pas tout en se regardant dans les yeux, mi-résigné, mi-déterminé ; mais aucune colère ou rivalité ne transperçait dans leur yeux.
-La mort viens chercher l’un de nous mon amour ; voyons qui de nous deux elle choisira.
-L’heure est venue d’accomplir notre mission Sorrow ; battons-nous jusqu’à la mort.
Ils s’élancèrent tout les deux l’un vers l’autre et entamèrent le combat. Le coups pleuvaient d’un côté comme de l’autre, les contres s’enchainaient sans même devoir y réflechir : c’était deux combattant hors pair qui s’affrontaient là. Soudain leur regard se croisèrent et Sorrow hésita une demi-seconde qui lui furent fatal…The Boss le déséquilibra et il se retrouve dos au sol, le souffle court ; il ne chercha même pas à se relever. Son regard montrait la résignation qui se percevait aussi dans sa voix quand il se mit à parler :
-C’est terminé Boss, tu a remportée ce combat. Maintenant met un terme à ma vie et continue la tienne ; tu a encore des batailles à menées…
The Boss dégaina son pistolet lentement, l’arma et regarda l’homme qu’elle aimait :
-Je…Je t’aime et…Je sais pas si j’y arriverai.
-Tu as déjà envoyé beaucoup de combattants d’an l’au-delà, n’hésite pas . Ne t’inquiète pas, même après ma mort, je veillerai toujours sur toi ; je serais à tes côtés. Maintenant appuye sur la détente et continue ton chemin. Tu a une mission à terminée… »

The Boss visa l’œil gauche de son amant et pressa la détente une fois en murmurant un dernier « adieu ». Le bruit du tir la surpris presque et se répercuta à travers les arbres, comme un echos qui meure peu à peu. Elle rangea son arme et s’accroupit à côté du cadavres de The Sorrow. Baissant la tête en fermant les yeux, elle pleura en silence en se demandant ce qu’elle avait fait… Une voix familière se fit entendre au creux de son oreille « tu a accomplis ton devoir, continue ta route maintenant, des soldats approchent, tu dois partir sans tarder ».
Elle se releva en essuyant ses larmes et partis d’un pas lent mais ferme. Il avait eu raison, il était toujours là ; cette pensée la consola un peu et elle fit le vide dans son esprit pour reprendre pleinement le contrôle de la situation : Elle avait encore une mission à terminée, elle ferai son deuil après…



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