Tom Clancy, le maître américain du roman d'espionnage sur fond de guerre froide ou de terrorisme (on a même inventé un terme pour ce genre de roman, le techno-thriller), est décédé ce mardi à 66 ans à Baltimore, sur la côte est des Etats-Unis. Il est mort à l'hôpital John Hopkins après une "maladie foudroyante", selon le Baltimore Sun.
Auteur richissime et prolifique, Tom Clancy a signé de nombreux ouvrages devenant presque à chaque fois des best-sellers, comme ceux de la série des Jack Ryan ou encore Net Force et Op Cente, en tout une cinquantaine d'ouvrage.
Relativement connu des amateurs de jeux vidéo, c'est de son impulsion qu'est née des séries de jeux telles Splinter Cell, Rainbow Six, Ghost Recon, ou encore d'autres œuvres vidéoludiques uniques telles Hawx et EndWar!
Le dernier jeu vidéo de la franchise Tom Clancy, possession de l'éditeur français Ubisoft s'avère être le très impressionnant graphiquement The Division, dévoilé à l'E3 2013 sur Playstation 4, Xbox One et PC.
Né le 12 avril 1947 à Baltimore, dans l’État Maryland, Tom Clancy était passionné par l'armée. Après des études d'anglais, il devient courtier en assurances. A son grand regret, sa trop mauvaise vue l'empêche de rejoindre l'US Army et de participer à la guerre du Viêt-Nam.
Son dernier roman, Command Authority est censé sortir chez Putnam's Sons du groupe Penguin aux Etats-Unis le 3 décembre.
Alanna Masterson (« First Day ») a signé pour jouer dans la saison 4 de « The Walking Dead », qui sera à nouveau diffusée sur AMC le mois prochain.
Même s’il n’y a aucune confirmation sur le rôle qu’elle va jouer, Deadline, qui rapporte la nouvelle, pense qu’elle dépeindra Tara Chalmers, le personnage vu pour la première fois dans le numéro 104 de la bande dessinée de Robert Kirkman. A part Alanna Masterson, la saison 4 comprendra au casting Andrew Lincoln, Norman Reedus, Steven Yeun, Lauren Cohan, Chandler Riggs, Scott Wilson, Melissa McBride, Chad Coleman, Sonequa Martin-Green, Emily Kinney, Larry Gilliard Jr., David Morrissey, Christian Serratos et Danai Gurira.
La nouvelle saison sera diffusée à la télévision à partir du 13 octobre, tandis que trois nouveaux épisodes de la websérie seront disponibles sur AMC.com et sur la chaîne youtube d’AMC dès le 1er octobre.
Dans ces trois nouveaux épisodes de 7 à 10 minutes chacun, les seuls survivants de l’invasion massive, Paul (Wyatt Russell, « Cowboys et Envahisseurs ») et Karina (Ashley Bell, « Le Dernier Exorcisme »), se ruent vers la campagne, cherchant frénétiquement de l’aide, pendant que l’un deux perd du sang lentement. Ils sont enfin arrivés dans un hôpital, qui n’est pas envahi apparemment, mais ce qui semble être un miracle pour eux va se transformer en cauchemar. Un médecin prévenant (Ellen Greene, « Little Shop of Horrors »), à priori, cache en fait une facette plus sombre.
Aujourd'hui, 23 septembre, la grande dame qu'elle est, Michiru Yamane fête son anniversaire! (c'est pas bien de dire l'âge d'une femme mais sachez qu'elle a 50 ans aujourd'hui!).
Mais qui est Michiru Yamane pourrait-on me dire!
Ni plus ni moins qu'une des meilleures compositrice japonaise OFF ALLLL TIMES !!
Le 13 portait donc chance. C'est en 2013, le 22 septembre, à 22h36, que l'équipe de France masculine est devenue championne d'Europe pour la première fois, et championne tout court, douze ans après les filles de Cathy Melain et Yannick Souvré. Les Bleues le sont deux fois d'ailleurs, alors si les garçons veulent bien... Passons, l'avenir a tout le temps d'arriver. Laissons le présent vivre sa vie, il est si doux, si léger. Les Français viendront désormais en pelerinage à Ljubljana, comme ils se se font protographier au Stade de France en souvenir de 1998. Il faut toujours une première fois. Avant, cela fait toujours peur et la bande à Parker avait payé pour voir en 2011, écrasée par l'Espagne, par l'enjeu, déjà la tête aux Jeux Olymiques de Londres aussi (98-85). Elle avait retenu la leçon. Cette fois, ce sont les Lituaniens qui ont joué petit bras, déjà largués à la mi-temps (50-34).
Cela aurait pu faire +13 à la pause mais Antoine Diot a lâché une dernière bombe de sa spécialité juste avant de rentrer aux vestiaires. Elle a gonflé un peu plus un écart qui respirait déjà la fête à venir. Cinquante points en une mi-temps, avec seulement quatre de Tony Parker, moins que les six de Florent Pietrus ou de Johan Petro, cela n'arrive pas tous les quatre matins. Alors en finale... C'était un peu trop grand pour être vrai et on attendait le rapproché des Baltes. Il n'est jamais venu car les Lituaniens ne se sont jamais rebellé. Cela a au final donné une rencontre très propre. C'est encore ça de gagné. Les Bleus affirmaient qu'ils avaient encore une marge de progression après avoir abattu la bête noire espagnole en demi-finale (75-72 a. p.). C'était vrai : ils ont déroulé un bijou de finale du début à la fin, shootant bien parce qu'ils jouaient juste, défendant fort car tous ensemble, dominant le rebond en profitant de la coordination plus que moyenne des lourds gabarits adverses.
L'équipe de France n'aurait jamais pu réussir un tel exploit sans pouvoir s'appuyer sur chacune de ses armes principales. Nicolas Batum a connu un réveil offensif en fanfare (17 points... tous avant la mi-temps), Mickaël Gelabale a presque joué comme si de rien était malgré son strap au genou gauche et Parker s'est même offert un petit plaisir personnel avec huit de ses douze points dans les dernières minutes. Ca tombe bien, ce titre, c'est en grande partie le sien. En face, il n'y a guère eu que ce formidable attaquant de Linas Kleiza pour offrir la réplique pendant vingt minutes avant de s'éteindre, et Mantas Kalnietis dans une moindre mesure. L'équipe de France s'était présentée dans cet Euro comme un outsider parmi d'autres, pas le plus coté en fait car tous ses meilleurs joueurs n'étaient pas là. Certains doivent le regretter car elle en ressort comme une immense championne au message positif, celui du labeur qui récompense ceux qui sont patients. Ca valait le coup d'attendre.
Contrairement à la plupart des héros de Dragon Quest, Lucéus, celui de Dragon Quest HEROES est très (trop ?) loquace, il tente de jouer le rôle du tacticien du duo.
Aurora, la seconde héroïne du duo est plus franche et bagarreuse que Lucéus. Un petit air à C-18 ?
Un joli décors boisé. Dommage que l'exploration des décors n'apporte strictement rien dans ce jeu, ça reste un dungeon-action-RPG pur jus.
Beaucoup d'effets visuels lors des combats. Techniquement, ça reste bien plus propre que l'ensemble des productions du même genre signées Omega Force.
Encore un joli décors. Il sert à illustrer la pire tare génétique des jeux 3D depuis qu'ils ont vu le jour: les murs invisibles. Quel gâchis...
L'éloquence grandiloquente et surjouée du roi Doric peut être fatigante à entendre à la longue. Mais bon. D'ailleurs, saviez-vous que le doric était une langue régionale d’Écosse ?
Depuis Dragon Quest VIII en 2004, beaucoup rêvait de revoir Jessica en HD, voilà chose faite !
Comme il est de coutume dans les DraQue, les PNJ sont assez volubiles et ont souvent un phrasé soutenu, la traduction est d'ailleurs aux petits oignons.
Le méchant du jeu, assez charismatique, comme souvent.
Assez vite, on affronte des ennemis coriaces qu'on trouve d'ordinaire à la toute fin des Dragon Quest classique. Ici, ils ne sont pas si ardus à vaincre et on peut même les éradiquer à la chaîne avec quelques grosses attaques magiques bien placées.
Même face à une armée de monstre, l'action reste relativement claire, c'est assurément un atout majeur pour ce genre de jeu.
Les magies ultimes envoient vraiment la purée en terme d'effets spéciaux. Foudre, flamme, effets de particules et de texture en tout genre, c'est un véritable boxon multicolore bien sympathique à voir !