« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Le Parisien 5/5
Somptueux, le nouveau film du maître de l’animation japonaise offre un passionnant récit à tiroirs servi par un graphisme à l’ancienne enlevé qui fait entrer son œuvre dans la modernité.
Les Inrockuptibles 5/5
Tel Alice aux pays des merveilles, Mahito glisse d’espace onirique en corridors fantastiques, avec un emballement pour le moins déconcertant. L’on peut ainsi être pris de vertige à voir le film déployer ses ailes de plus en plus grand, loin et vite, muant constamment grâce à un moteur narratif surpuissant, conçu par un maître au sommet de son art.
Télérama 5/5
On retrouve tout l’univers du maître japonais dans cette fresque luxuriante, débridée et délicate. .
20 Minutes 5/5
« Le Garçon et le héron » prouve qu’Hayao Miyazaki est toujours en pleine forme. Le réalisateur octogénaire entraîne le spectateur dans un récit palpitant.
L'Obs 4/5
Imaginaire complexe, bestiaire foisonnant, cousinages assumés, richesse symbolique, Œdipe roi : « Le Garçon et le Héron », film bicéphale, c’est l’enfance et le crépuscule d’une vie, la finitude et l’espoir, l’expérience douloureuse des belles choses et la renaissance dans le chaos.
La croix 4/5
Très librement adapté d’un roman pacifiste de 1937 s’adressant à la jeunesse du Japon alors en guerre, le dernier (et ultime ?) long métrage du cinéaste de 82 ans est un film-somme déconcertant et mystérieux, évoquant, à travers la quête fantastique d’un jeune adolescent, la question du deuil et de la transmission.
Le Figaro 4/5
Dix ans après Le vent se lève, le cinéaste japonais met en scène un récit initiatique à l’esthétique superbe, mais plutôt destiné aux adultes.
Les Echos 4/5
Le vieux maître du cinéma d'animation japonais revient au travail et signe un film fantastique envoûtant autant qu'un conte magnifique sur le deuil et la fin de l'enfance.
Les Fiches du Cinema 4/5
Miyazaki revient avec un film débordant de visions époustouflantes et poétiques, où l’imagination s’affirme comme la seule voie possible pour appréhender l’absurdité du réel.
Paris Match 4/5
Ne manquez pas le nouveau joyau animé du maître japonais Hayao Miyazaki, peut-être son dernier..
Première 4/5
Loin de tout renoncement, le cinéaste nous laisse libres d’interpréter les derniers plans de cette œuvre éblouissante. On n’en attendait pas moins du grand maître de l’animation, qui semble ici plus apaisé et inspirant que jamais.
Rolling Stone 4/5
La magie reste intacte, et se laisser guider par elle n’est que délice.
La Voix du Nord 3/5
Le Garçon et le Héron est aussi impénétrable que personnel, moins accessible que d’autres classiques mettant en scène Totoro, Mononoké ou Chihiro. Pas très drôle non plus. Il faut le temps de digérer cette quête d’un monde harmonieux qui passe par le deuil et la transmission.
Le Figaro 3/5
Dix ans après Le vent se lève, le cinéaste japonais met en scène un récit initiatique à l’esthétique superbe, mais plutôt destiné aux adultes.
Sud Ouest 3/5
Miyazaki finit par nous perdre avec ce récit homérique, touffu, labyrinthique, aux péripéties et retournements parfois incompréhensibles. Une traversée plus somptueuse qu’émouvante.
Cahiers du Cinéma 5/5
Jamais peut-être Scorsese n’avait filmé un milieu et ses personnages de manière si organique, littérale et viscéralement tragique.
Juste un conseil, ne mangez pas avant de voir le film. Le rythme, la musique et une digestion risque d'entraîner un petit sommeil.
Je l'ai vu lundi soir. L'animation est belle mais vraiment difficile de comprendre où veut aller miyazaki. Vivement l'explication de texte. La fin est tout aussi surprenante.
Le rythme n'est pas mauvais mais c'est un rythme d'une autre epoque auquel on n'est plus habitué.
Peut être que le revoir une seconde fois me donnera des explications
ippoyabukivyse personnellement ça me fait pas peur, j'ai été voir Killers of the Flower Moon qui dure 3H30 et qui pareil prends son temps, là 2H00 ça va me paraitre court, surtout que l'on sait qu'il y a du contemplatif avec Miyazaki et de la réflexion, la réflexion c'est aussi en prenant son temps ^^
nicolasgourry oui l'animation est maboule donc j'ai aucun soucis avec ça ; mais Mononoké je l'ai revuu y'a pas longtemps..le rythme a pris cher quand même
vyse car je pense que c'est l'animation, les décors, l'ambiance et l'histoire qui t'ont fait oublier le rythme (avec une certaine idéalisation avec le temps).
Après pour des enfants (surtout petit), 2H00 pour un film d'animation c'est long, ça c'est vrai, mais il y a des images qu'ils garderont à vie.
"Miyazaki finit par nous perdre avec ce récit homérique, touffu, labyrinthique, aux péripéties et retournements parfois incompréhensibles. Une traversée plus somptueuse qu’émouvante."
Oui, comme à peu près tous les Miyazaki : Des péripéties et retournements incompréhensibles. Un défaut mystérieusement passé sous silence par la majorité de la presse et des spectateurs. Peut-être parce que l'ambiance, l'animation et la bande-son maitrisés aide à faire passer la pillule. Mais peut être aussi qu'il y'a une certaine crainte d'émettre un avis contraire aux éloges habituels de la majorité.
je les vue avec mes filles et elle on rien compris , on eu peur du heron , mes elle on aimer quand meme ... moi qui suis un mega fan j'ai adorée aussi meme si le filme et tres dur et melacolique , tres adultes quand meme .
Pitié ne regardez pas la bande annonce, elle en dévoile trop !
La scène du début avec les flammes franchement c'était une des plus belles scénes animées que j'ai pu voir
Jamais peut-être Scorsese n’avait filmé un milieu et ses personnages de manière si organique, littérale et viscéralement tragique.
Je suis pas sur pour cette critique
Je l'ai vu lundi soir. L'animation est belle mais vraiment difficile de comprendre où veut aller miyazaki. Vivement l'explication de texte. La fin est tout aussi surprenante.
Le rythme n'est pas mauvais mais c'est un rythme d'une autre epoque auquel on n'est plus habitué.
Peut être que le revoir une seconde fois me donnera des explications
Après pour des enfants (surtout petit), 2H00 pour un film d'animation c'est long, ça c'est vrai, mais il y a des images qu'ils garderont à vie.
Curieux de le voir en tout cas
Oui, comme à peu près tous les Miyazaki : Des péripéties et retournements incompréhensibles. Un défaut mystérieusement passé sous silence par la majorité de la presse et des spectateurs. Peut-être parce que l'ambiance, l'animation et la bande-son maitrisés aide à faire passer la pillule. Mais peut être aussi qu'il y'a une certaine crainte d'émettre un avis contraire aux éloges habituels de la majorité.
La scène du début avec les flammes franchement c'était une des plus belles scénes animées que j'ai pu voir